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J'ai emprunté le 1er fascicule de cet "infinity 8" à la bibliothèque en voyant le nom de Trondheim. En général, je trouve ces b.d plaisantes même si elles ne sont pas inoubliables. Je trouvais également le concept intrigant.

Et bien j'ai trouvé ça totalement naze.
Le scénario (quel scénario ?) ne raconte rien. L'histoire (quelle histoire ?) est confuse, les enjeux (quels enjeux ?) sont inexistants, les personnages (quels personnages ?) sont fadasses. Tout ça est très fouillis mais sans avoir un côté bordélique sympathique, "infinity 8" est juste brouillon et bâclé.
Il n'y a rien de pire qu'une comédie pas drôle. Et bien, je n'ai pas ri, ni même souri une seule fois. Les dialogues tombent à plat et l'humour est assez lourd, voire beauf.
Je n'ai pas non plus été emballée par le dessin. Sans être laid, il ne dégage aucun charme, aucune personnalité.

Je me suis tellement ennuyée à la lecture de ce 1er fascicule (seulement 36 pages pourtant !) que je ne vais pas perdre mon temps à lire les suivants, je m'arrête là.

Challenge B.D 2017
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Je n'avais jamais vraiment prêté attention à cette série à la bibliothèque, mais cette fois-ci, j'ai jeté un regard un peu plus attentif parce que je cherchais quelque chose pour mon gamin. Et j'avoue avoir été surpris par les noms des auteurs sur la couverture : Trondheim et Zep ??? Des auteurs que je n'imaginais pas du tout s'attaquer au format des comics américains. Lewis Trondheim avec sa série Ralph Azham est un plaisir de lecture que je partage avec mon gars. Autres surprises, d'abord seul Lewis Trondheim participe à tous les album, le dessinateur et le second scénariste changent à chaque tome, et l'histoire se passe à chaque fois en huit heures, les huit mêmes heures dans chaque volume car le capitaine du vaisseau spatial à le pouvoir de faire huit reboots d'affilée, donc toutes les histoires se passent en même temps dans une continuité temporelle différente. J'adore ce genre de concept, ce genre de délire de geek, un régal pour le fan de pulp SF que je suis. L'humour de Lewis Trondheim par dessus, c'est du pur bonheur.
Dans cette première partie, le vaisseau spatial transportant presque 1 million d'individus de 257 races se trouve bloqué sur sa route par un mausolée errant dans l'espace, un cimetière de la taille d'un système solaire, rempli de cadavres, de tombes de toutes les espèces de la galaxie. L'agent Yoko Keren va devoir sortir dans l'espace pour découvrir la raison de la présence de ce cimetière spatial. Mais une race nécrophage va venir semer la pagaille dans cette mission.
La mise en page est dans l'esprit des comics américains, le graphisme n'est pas toujours très travaillé, parfois un peu brouillon, mais certaines illustrations grandioses en pleine page viennent apporter du lyrisme rococo à l'aventure, dans l'esprit d'un Druillet. Ce premier tome est très gore, mais cet aspect est traité avec humour, parodie, j'y ai d'ailleurs retrouvé un peu de l'humour de la série Ralph Azham, qui oscille avec brio du plus trivial au plus fin. Les personnages sont tous bien trouvé. J'ai vraiment envie de continuer dans cette série, c'est du bon délire de pulp SF.
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Gueuleton royal dans la galaxie.

L'infinity 8 n'est pas un vaisseau spatial comme les autres.
C'est une arche de Noé, dans laquelle pas loin d'un million d'êtres sont entassés. Des humains biens sûr, minoritaires en comparaison de tout un tas de formes des vies extra-terrestres.

Et parmi elles, des Kornaliens. Gentils mais... nécrophages.
Rien de bien méchant en soi, mais lorsqu'ils dévorent des cadavres, ils commencent à devenir royalement dingues.
Alors, lorsque le vaisseau est stoppé par tout un tas de reliques morbides, çà va rapidement être l'hystérie dans l'espace.

L'agent Yoko Keren se sentira bien seule, pour calmer tout ce petit monde, qui va vite décider que leur vaisseau était un cercueil en puissance, de quoi se régaler...

C'est du Trondheim, donc c'est un brin déjanté.
Le scénario fait un petit peu sourire, sans plus, et les dessins sont corrects, sans plus aussi.
Á lire une fois par curiosité mais on s'attendait à mieux.
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[...]
« Romance et macchabées » permet de suivre l'agent Yoko Keren à bord de l'infinity 8. le personnage est obnubilé par la procréation, et recherche un mâle adapté. Elle scanne donc tous les mâles du vaisseau afin de mettre la main sur la perle rare. Certaines conversations autour de ce sujet sont délectables.

Il y a de l'action, des rebondissements, et l'ensemble est totalement déjanté. À bord de l'infinity 8 se trouvent 880 000 personnes de races diverses et variées. Il est même précisé « 257 races et 1583 humains, dont la moitié d'hommes ». Les auteurs se sont d'ailleurs lâchés sur les physiques des différentes races. Il y a même des nécrophages qui auront un rôle important dans ce volume. C'est sanguinolent à souhait, mais en même temps, cela prête à sourire avec toutes les onomatopées utilisées : Scrotch, Crounch, Clac, Splatch, wizz, ploutch, etc.
[...]
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Je n'ai pas vraiment accroché à cette BD à l'univers un peu spécial.
Il y a un peu une surenchère aux aliens, des personnages exotiques avec une agent à la forte poitrine qui ne pense qu'à se trouver un géniteur (il semblerait que la compatibilité génétique ne soit pas un soucis), un lieutenant débauché, une espèce qui bouffe les cadavres...
Et puis lorsqu'il y a un problème, on envoie un seul agent qui doit se débrouiller pour tout...
Un récit donc sans queue, ni tête, aux personnages improbables et qui n'a pas susciter d'intérêt pour moi...
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http://dcafeine.blogspot.be/2017/06/infinity-8-t1-et-t2-trondheim-et-des.html

Dans le tréfonds d'une galaxy lointaine navigue le vaisseau de classe-A : l'Infinity-8. Sa destination ? la Galaxy d'Andromède. Sa cargaison ? pas moins de 900.000 passagers de toutes races parti faire bronzette les doigts de pieds bien écartés s.v.p.

C'est a son bord qu'officie la jeune et jolie Yoko Keren, agent de police qui porte fièrement le lycra comme une seconde peau et qui est en charge de faire respecter l'ordre d'une poigne de fer ... mais à sa manière; D'autant plus qu'elle à sur ces fesses le lubrique le lieutenant Reffo et le capitaine du vaisseau à la forme tentaculaire et qui a l'habilitée de pouvoir rebooter jusqu'à 8x un moments afin de faire une boucle dans le temps et d'éviter certains désagrément :)

Mais une situation d'urgence vient de survenir : le vaisseau vient de faire un arrêt inattendu suite à l'encontre d'un amas d'artefact d'origine inconnue façon gros dépotoir, surtout qu'il est rempli de vestige symbolisant la mort sous toute ces formes; que ce soit des morceaux de villes, des débris , ou autres.

L'agent Keren va devoir investiguer et s'assurer qu'aucun danger n'y est caché ... mais c'est sans compter certains passagers Kornalien, qui non content d'être de sacré nécrophage, sentent cette bonne odeur de mort les appeler.

Sexy, fun , décomplexé, ... voilà un sympathique Space Opera qui aura le mérite de vous mettre l'eau à la bouche avec ce premier épisode d'un cycle comportant pas moins de 8 numéros; Proposé aux éditions "Rue de Sèvres" , ce projet à pour origine le duo Olivier Vatine et Lewis Trondheim.

Alors je freine un peu tout de suite avant de continuer cette critique, mais celle-ci ne porte que sur les deux premiers cycles, je n'ai point eu entre mes fraîches mimines les deux derniers épisodes;

Alors, c'est bien ?

Chaque cycles ou épisodes de cette série est l'opportunité de vivre une nouvelle aventure mais sous un tout autre angle car un simple élément, l'effet papillon, va donner une toute nouvelle direction. La preuve en est le deuxième épisode ou l'agent doit mené l'enquête mais elle est surtout en train de tombé sous le charme de se jeune mouvement qui à le vent en poupe et portant fièrement la croix gammée.

Encadré par une charte graphique crée par deux main gantés (et clouté), j'ai nommé Olivier Vatine et Lew Trondheim, chaque récit est tenue par un graphiste différent offrant au lecteur l'avantage de retrouver facilement notre équilibre et nous offrir une cohérence et continuité entre chaque cycle temporels (oui je sais une continuité quand on parle de reboot ça fait très euclidien).

Scénaristique-ment les deux premières histoires sont très originales et complètement différentes. Des dialogue qui mon mouche à chaque crochet de page (mouche ... crochet ... non ?) et le graphisme, étant confié à un auteur de talent différent, est simple et sans chichi (c'est pas du Goya non plus hein) vous fera une lie qui donnera un moment d'évasion à nos chères esprits; d'autant que les dialogues sont amusants, frivole et même parfois sérieux.

L'on passe donc un très bon moment de lecture; à cela vous rajoutez une jolie couverture et je pense que cette série aura du succès si elle est diffusée correctement chez tous nos libraires.

Les deux premiers épisodes sont disponibles façon cartonnée , genre bd classique ou également en format comics très très sympathique.

Sauront-ils s'échapper de ce mystérieux amas d'artefacts morbide ? Huit aventures, Huit possibilités ... à vous de choisir la votre
Lien : http://dcafeine.blogspot.be/..
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Trois fascicules d'une trentaine de pages dans chacun de ces tomes. Des fascicules prépubliés en 2016 et vendus en librairie. le postulat de départ est un vaisseau de croisière ultra-rapide et immense, l'Infinity 8 qui – à un moment donné de son voyage – est contraint de s'arrêter, un étrange obstacle l'empêchant de poursuivre son trajet. Après avoir demandé de l'aide, le Capitaine du vaisseau décide d'envoyer des agents pour mener l'enquête et comprendre ce qui se passe. Au moment où chacun d'eux entre en fonction, il ouvre une fenêtre temporelle de huit heures dans lequel il fait entrer un agent qui doit explorer un futur probable. Il peut répéter cette opération à huit reprises.

L'occasion pour le lecteur d'explorer le potentiel narratif de ce postulat de départ et d'en vivre huit déclinaisons possibles. Huit agents, huit missions, huit équipes d'auteurs.


Un voyage dans l'espace en direction d'Andromède. A bord de l'YSS « Infinity », un vaisseau ultra-rapide, l'agent Yoko Keren est chargée de la sécurité des 880000 passagers. Parmi cette population en transit dans l'espace, près de 257 races différentes dont 1583 humains. Yoko, quant à elle, profite de cette mission pour trouver le géniteur parfait. Avec son petit scanner portatif, « Twip twip ! », elle débusque les eczémas, asthme et autres « tares » qu'elle veut à tout prix éradiquer du patrimoine génétique de sa progéniture.

Pendant le trajet, l'Infinity rencontre un obstacle de taille qui oblige le capitaine à arrêter le vaisseau. C'est à l'agent Keren qu'on demande d'intervenir..
L'Agent Yoko Keren va donc devoir sortir pour repérer les lieux et les sécuriser si nécessaires. Mais la situation va échapper à tout contrôle.

Pour le premier tome, le duo Zep – Lewis Trondheim se forme côté scénario tandis que Dominique Bertail se penche sur la partie graphique. L'ensemble donne un album décapant, tant au niveau des répliques que du dessin. Avec un certain sens de la répartie, un brin de mauvaise foi et beaucoup de panache, les bases de l'aventure sont posées et vont être dépliées à un rythme soutenu. le récit ne souffre (presque) aucun temps mort et l'intrigue avance joyeusement vers son dénouement. Dominique Bertail quant à lui semble prendre plaisir à faire évoluer la jeune Yoko, plantureuse et musclée, futée et caractérielle, dans un décor improbable. le sang gicle, des vaisseaux aux tailles colossales flottent majestueusement dans l'espace et en toile de fond, la galaxie qu'on a à peine le temps de regarder tant on saute d'une action à l'autre. Un bon space opéra qui s'ouvre avec cette série atypique.

Au bout du compte, le « reboot temporel » se referme et on se retrouve au point de départ, juste avant que le Capitaine n'enclenche le reboot.
Une nouvelle série qui démarre tambours battants et si elle me fait sortir de ma zone de confort côté lecture, ça m'étonnerait que je manque les prochains tomes !
Lien : https://chezmo.wordpress.com..
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http://dcafeine.blogspot.be/2017/06/infinity-8-t1-et-t2-trondheim-et-des.html

Dans le tréfonds d'une galaxy lointaine navigue le vaisseau de classe-A : l'Infinity-8. Sa destination ? la Galaxy d'Andromède. Sa cargaison ? pas moins de 900.000 passagers de toutes races parti faire bronzette les doigts de pieds bien écartés s.v.p.

C'est a son bord qu'officie la jeune et jolie Yoko Keren, agent de police qui porte fièrement le lycra comme une seconde peau et qui est en charge de faire respecter l'ordre d'une poigne de fer ... mais à sa manière; D'autant plus qu'elle à sur ces fesses le lubrique le lieutenant Reffo et le capitaine du vaisseau à la forme tentaculaire et qui a l'habilitée de pouvoir rebooter jusqu'à 8x un moments afin de faire une boucle dans le temps et d'éviter certains désagrément :)

Mais une situation d'urgence vient de survenir : le vaisseau vient de faire un arrêt inattendu suite à l'encontre d'un amas d'artefact d'origine inconnue façon gros dépotoir, surtout qu'il est rempli de vestige symbolisant la mort sous toute ces formes; que ce soit des morceaux de villes, des débris , ou autres.

L'agent Keren va devoir investiguer et s'assurer qu'aucun danger n'y est caché ... mais c'est sans compter certains passagers Kornalien, qui non content d'être de sacré nécrophage, sentent cette bonne odeur de mort les appeler.

Sexy, fun , décomplexé, ... voilà un sympathique Space Opera qui aura le mérite de vous mettre l'eau à la bouche avec ce premier épisode d'un cycle comportant pas moins de 8 numéros; Proposé aux éditions "Rue de Sèvres" , ce projet à pour origine le duo Olivier Vatine et Lewis Trondheim.

Alors je freine un peu tout de suite avant de continuer cette critique, mais celle-ci ne porte que sur les deux premiers cycles, je n'ai point eu entre mes fraîches mimines les deux derniers épisodes;

Alors, c'est bien ?

Chaque cycles ou épisodes de cette série est l'opportunité de vivre une nouvelle aventure mais sous un tout autre angle car un simple élément, l'effet papillon, va donner une toute nouvelle direction. La preuve en est le deuxième épisode ou l'agent doit mené l'enquête mais elle est surtout en train de tombé sous le charme de se jeune mouvement qui à le vent en poupe et portant fièrement la croix gammée.

Encadré par une charte graphique crée par deux main gantés (et clouté), j'ai nommé Olivier Vatine et Lew Trondheim, chaque récit est tenue par un graphiste différent offrant au lecteur l'avantage de retrouver facilement notre équilibre et nous offrir une cohérence et continuité entre chaque cycle temporels (oui je sais une continuité quand on parle de reboot ça fait très euclidien).

Scénaristique-ment les deux premières histoires sont très originales et complètement différentes. Des dialogue qui mon mouche à chaque crochet de page (mouche ... crochet ... non ?) et le graphisme, étant confié à un auteur de talent différent, est simple et sans chichi (c'est pas du Goya non plus hein) vous fera une lie qui donnera un moment d'évasion à nos chères esprits; d'autant que les dialogues sont amusants, frivole et même parfois sérieux.

L'on passe donc un très bon moment de lecture; à cela vous rajoutez une jolie couverture et je pense que cette série aura du succès si elle est diffusée correctement chez tous nos libraires.

Les deux premiers épisodes sont disponibles façon cartonnée , genre bd classique ou également en format comics très très sympathique.

Sauront-ils s'échapper de ce mystérieux amas d'artefacts morbide ? Huit aventures, Huit possibilités ... à vous de choisir la votre
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Au départ, un concept amusante et la tentation d'y voir un objet délirant qui serait à la SF ce que fut Donjon à la Fantasy. Au final, un premier tome brouillon, qui multiplie les facilités et qui hésite entre un gros truc bourrin et une parodie. Sauf que la parodie, si c'en est une, ne décolle jamais. Au contraire, elle reste plombée par un humour lourd qui se vautre dans les clichés. Je cherche le second degré, amis j'ai l'impression de ne voir qu'une bande de potes qui se sont amusés à délirer, qui ont pondu un scénario improbable mais qui n'aurait jamais dû aller plus loin que le délire entre potes.
Au lieu de cela, la bonne idée de départ (le reboot) est noyé dans un empilage de clichés qui ne semble jamais s'élever au delà d'une simple surenchère, sans distance et sans relief. Et ce n'est jamais drôle, ce qui est rédhibitoire pour un projet sensé être humoristique. Gros casting, résultat inintéressant.
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J'ai vraiment du mal à saisir le principe de cette série concept. Une équipe de scénaristes et de dessinateurs vont réaliser 8 bandes dessinées racontant des histoires se déroulant en parallèle dans les entrailles de l'Infinity 8, vaisseau-monde qui vogue dans le cosmos.
Ce premier tome introduit déjà une race capable d'explorer les 8 prochaînes heures d'une trame temporelle, ce qui laisse supposer qu'il y aura des chausses-trappes.
Pour ce premier tome, le maître d'oeuvre Tondheim s'associe à Zep et Bertail pour une histoire d'amour et de nécrophagie.
Humour crétin, rayons lasers et bestiaire colorés... pourquoi pas ? Mais cette déclinaison en comics me laisse dubitatif. Il semble qu'il y ait volonté de pasticher les comics des années 50-60. Mais il ne suffit pas d'une couverture racoleuse comme il faut. Il faut que tout l'objet tende vers son modèle. le gros papier glacé fait déjà tache. Les planches de Bertail soufflent le chaud et le froid. Parfois, on retrouve un aspect de pastiche. A d'autres, c'est juste une bande dessinée franco-belge classique.
Ce genre de comics se doit aussi d'avoir une page de titre flashy, et une fin en forme de cliffhanger le plus excessif possible, accompagné de son petit texte plein d'emphase pour annoncer la suite. Ces 2 premiers fascicules semblent ne présenter que les planches en format réduit, sans aucun effort pour en faire autre chose qu'un matériel promotionnel. Il n'y a aucune réflexion sur le format ou la narration. le premier fascicule se termine de manière presque normale pour ce genre d'histoire (une grande case). le suivant se termine parce qu'on a atteint le nombre de page (petite case avec un minable "a suivre"), alors qu'une mise en page adéquate aurait pû donner plus d'impact.
Plouf.
Côté bonus, rien de sérieux à se mettre sous la dent.
La bande dessinée en elle-même n'est pas fameuse. Pas vraiment drôle, pas vraiment dépaysante, pas vraiment effrayante. Tout est mou.
Format gadget pas exploité et contenu mollasson.
gros raté pour une pseudo dream team.
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