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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Quel livre étonnant que celui-ci ! Étonnant par son sujet peu commun : l'histoire d'une petite anglaise de 8 ans, à l'enfance misérable, qui va commettre l'impensable et que l'on retrouve, un chapitre sur deux, 15 ans plus tard, maman d'une petite fille.
Mais n'ayez pas peur, cette histoire vaut un bon thriller. En effet,
il y a un véritable suspens car presque jusqu'au bout, on se demande comment les policiers vont démasquer la tueuse et ce qui va advenir d'elle. À vous de le découvrir !

Je ne peux cacher que ce récit bouscule terriblement et comment peut-il en être autrement avec un tel sujet ? Pas de répit, dès le premier jour du printemps, l'auteure nous cueille et nous plonge dans la noirceur et le sordide. Mais très vite, on se questionne : comment cette gamine a pu en arriver là ? le pire, c'est que la base de ce roman est tirée d'un fait réel (l'affaire Mary Bell à Newcastle en 68). On est un peu dans l'univers de Ken Loach, en beaucoup plus glauque, mais niveau misère sociale, on y est pleinement !

Cette histoire est vraiment captivante et ne peut que nous interpeler. Comment cette enfant a-t-elle pu commettre ce meurtre impensable et ignoble ? On devrait la détester, pourtant, la romancière a réussi à m'émouvoir et à me faire aimer cette gamine en grande carence affective. Elle est futée, intelligente, vive et à un sens de la répartie souvent comique. Elle n'a aucun code et s'élève toute seule. Mais elle est aussi méchante, brutale et voir cruelle.
Une question se pose pourtant : est-elle vraiment responsable de son acte odieux? Et les adultes dans tout ça, qu'ont-ils fait ou pas fait? C'est sa vie, ce manque d'amour qui l'a transformée en loup !
On la suit pas à pas, on erre avec elle dans ce quartier et dans sa tête. Nancy Tucker a choisi de faire parler le personnage principal lorsqu'elle avait 8 ans (d'où le langage et les erreurs grammaticales) Et en parallèle, on l'accompagne à 25 ans avec sa petite fille. La jeune femme qu'elle est devenue fait preuve de beaucoup de courage et a un réel désir de rédemption.
Je ne suis pas prête d'oublier cette petite Chrissie car son histoire est d'une rare intensité.
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GRANDIOSE ! Je termine ce thriller psychologique bouleversée, chamboulée, déstabilisée.
Un roman qui ne peut laisser indemne, il a suscité chez moi de nombreuses questions : Comment se construire sur un socle aussi fragilisé ? Reste t-on indéfiniment une "mauvaise graine"? Est ce qu'un acte impardonnable peut nous racheter aux yeux des autres ? Chrissie serait -elle devenue ce qu'elle a été à 8 ans si elle avait rencontré d'autres parents ?
On ne choisit pas sa famille, c'est le constat violent auquel on se confronte dans ce livre, on ne naît pas monstre on le devient.

📗La construction originale met en perspective Chrissie à 8 ans et Chrissie devenue adulte et mère à son tour.
On assiste au puit sans fond de désespoir brut et horrifiant de cet enfant.
Une mère d'une froideur incroyable qui ne lui aura rien épargné, qui se retrancher à derrière une incompétence à d'avoir être une mère.
Un père qui ne tiendra pas ses promesses.
Une enfant qui se sentira exister au contact de la mort et qui créera en elle un sentiment de toute puissance.
Une fillette qui crève du manque d'amour et qui utilisera la tyrannie comme défense, une fillette devenue adulte terrorisée à l'idée de ne pas être "une bonne mère".
Un seul tuteur dans sa vie, son amie Linda.

📙Une plume incroyable et percutante.
Les personnages sont décortiqués avec précision.
Une auteure qui maîtrise son sujet parfaitement.
Je ne peux que vous le conseiller.
Lien : https://tapageautourdespages..
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Coup de coeur
Chrissie, huit ans, vient de tuer Steven, un petit garçon de trois ans, le premier jour du printemps. Délaissée par une mère qui ne l'aime pas, - se plaignant de sa présence ou lui reprochant de s'éloigner, la laissant plusieurs jours seule et sans alimentation -, Chrissie s'est construite sans amour et sans preuves d'affection ou d'attachement, à en devenir amorale, insensible notamment avec Lucy sa meilleure amie, la dénigrant constamment. Et puis il y a Julia, dix-sept ans plus tard, mère célibataire qui doute de sa capacité à aimer et protéger Molly, sa fille de cinq ans...
Deux époques pour une seule et même personne, Julia était Chrissie, mais après le meurtre et un passage dans un centre pour adolescent, elle a dû changer d'identité; son passé va se rappeler à elle quand elle reçoit des appels téléphoniques qui la replongent à l'époque du drame.

Le premier jour du printemps alterne le récit de Chrissie et Julia, une même personne à dix-sept ans d'écart et elle dissèque les événements qui ont conduit à ce que la première commette un acte monstrueux et la deuxième cherche la rédemption en devenant mère, essayant de protéger sa fille et se reconstruire avec elle.
S'inspirant d'un fait divers qui s'est déroulé en 1968 à Newcastle (l'affaire Mary Bell), Nancy Tucker réussit avec beaucoup de finesse à basculer dans la tête de la jeune Chrissie, une petite fille intelligente mais qui a manqué cruellement d'amour, la laissant exempte de toute empathie et qui va commettre l'irréparable dans une sorte de transe nécessaire pour combler son manque d'amour...
Les interrogations de Julia, dix-sept ans plus tard, malgré un cheminement chaotique, sont analysées avec tout autant d'intelligence par l'auteure pour permettre à l'adulte qu'est devenue Chrissie, de prendre conscience de l'horreur de l'acte commis, une prise de conscience nécessaire pour affronter ses démons.
Le premier jour du printemps, un récit très dur car touchant à l'infanticide, mais un vrai coup de coeur tant sur la difficulté du sujet que sur son traitement. Je découvre Nancy Tucker et espère que ce premier roman ouvrira la voie à d'autres récits tout aussi forts.
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Inspiré de l'affaire Mary Bell, ce premier roman de Nancy Tucker débute par une phrase glaçante, monstrueuse : « Aujourd'hui, j'ai tué un petit garçon. »

Pas de suspense sur l'identité de la coupable donc, s'il faut considérer ainsi une gamine de 8 ans qui arrive le ventre vide à l'école, reste le plus tard possible chez sa meilleure amie pour ne pas rentrer trop vite chez elle, où les placards sont vides et sa mère psychologiquement absente. Une petite fille cruelle, dont la voix croise celle qu'elle est devenue vingt-cinq ans plus tard, jeune mère célibataire d'une petite Molly, terrorisée à l'idée que les services sociaux lui prennent sa fille.

Le ventre noué par la faim de Chrissie, sa transparence dans les yeux de sa mère, le manque de discernement des adultes qui l'entourent, l'on voit arriver l'irréparable, l'on prie avec celle qui se cache désormais derrière le prénom de Julia et qui compte les points positifs et négatifs pour savoir si elle est une mère suffisamment bonne pour échapper à son destin de mauvaise herbe.

Les ressorts de la jalousie, de l'injustice, du manque de tendresse et de soins qui mènent à la haine sont habilement amenés à travers la voix gouailleuse de Chrissie. La pesanteur de la voix populi, criant vengeance, les regards obliques des paroissiennes, la brutalité et le don total de l'enfance amènent forcément à une réflexion sur le châtiment et sa proportionnalité. Sensible et intelligent !
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Énorme coup de coeur pour ce premier livre de Nancy Tucker. C'est son premier et elle frappe fort… j'ai hâte de voir la suite !
Découvert par hasard encore une fois, je n'ai pas été déçue du tout pourtant j'avais des doutes. Déjà par le thème, qu'on voit très rarement : un infanticide perpétré par un autre enfant
L'écriture est fluide, on est happés dès les premières pages par l'histoire de cette jeune fille. On alterne entre passé et présent à chaque chapitre, entre l'ancienne et la nouvelle personne qu'elle est devenue. le récit nous invite à « comprendre » et nous questionner sur le « Pourquoi et comment l'impensable arrive, comment est-ce qu'un enfant peut tuer ? Qu'est ce qui y mène ? »
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Le premier jour du printemps, Chrissie a tué un enfant. Sans raison apparente, elle a mis les mains sur le cou de l'enfant et elle a serré. La voilà dépositaire d'un secret plus grand et plus puissant qu'elle n'aurait pu imaginer : alors que la cité s'interroge sur l'identité du meurtrier et tremble, elle sait et elle n'a pas peur. Chrissie est une enfant, une enfant qui a tué un enfant.

Des années plus tard, Chrissie est devenue Julia et a eu un enfant. Elle s'efforce d'être une bonne mère mais les fantômes du passé reviennent la hanter : et si on lui prenait sa fille ?

J'essaie ici d'en dire le moins possible pour ne pas déflorer ce roman qui est certes dur, mais d'une beauté incroyable. le personnage de Chrissie est énervant, agaçant, émouvant, incarné, tant et si bien qu'il est impossible de ne pas vouloir la prendre dans ses bras. Oui malgré ce qu'elle a fait, malgré l'horreur qu'elle a commise.

Si vous n'avez pas peur d'un sujet qui rebuter, si vous aimez les récits qui bousculent, si vous voulez prendre des coups au coeur, ce roman est pour vous. Il fut en tout cas pour moi une magnifique révélation !
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Le premier roman, de " Nancy Tucker ", et je dois dire, que la première phrase de son roman, a plongé mon esprit immédiatement dans l'horreur. Que l'on juge : " Aujourd'hui, j'ai tué un petit garçon. ", et au-delà de la stupeur, vient rapidement l'incompréhension, quand on apprend que l'auteur des faits, est une petite fille de huit ans !

Chrissie banks, survit dans une banlieue sordide dans l'ouest de l'Angleterre, et son existence s'avère déjà des plus difficiles : en effet elle souffre d'énurésie, d'herpès, d'eczéma, de poux, ne se lave pas mais surtout, elle a faim, toujours faim ; une obsession quasi permanente. Entre son père alcoolique et sa mère qui oublie de remplir le réfrigérateur, qui la rejette depuis sa naissance, qui ne lui prodigue jamais de preuve d'amour maternel, sa vie quotidienne devient un calvaire ; ainsi va son existence remplie du manque de câlins et d'attention. Tous les signes qui engendrent des perturbations, du fonctionnement cognitif et émotionnel ; et qui vont aboutir à l'irréparable en détruisant la vie d'une famille, le meurtre du petit Steven Mitchell.

Avec brio, l'auteure jongle avec une grande dextérité avec des mots d'enfants pour nous inciter à essayer de comprendre le cheminement des pensées de Chrissie. Pour quelles raisons, pour quels besoins une enfant s'en prend-elle ainsi à un plus petit ?

Le sujet primordial, reste sans conteste la responsabilité de la mère : l'absence totale du lien maternel, qui va la conduire à commettre des méfaits, qui normalement aurait dus la conduire en prison !

Après sa peine – une dizaine d'années plus tard – pour ses méfaits, elle essaye de trouver sa rédemption dans la naissance de sa fille, Molly. Mais encore pour montrer à sa mère et aux services de l'enfance qu'elle peut faire obstacle à sa propre expérience de petite fille sans amour...Sentiment que personne ne voulait d'elle ; Mais également les multiples reproches subis tels que : " Parce que je suis une mauvaise graine ".

Ce roman, interpelle et interroge ; de surcroît par des faits commis par une enfant, si jeune soit-elle, peuvent-ils être pardonnés ? Et leur octroyer des circonstances atténuantes ? de tout temps, les sentiments sur la loi du talion existent toujours dans les sombres recoins de la pensée et du comportement humain. Mais en même temps ses sentiments soulèvent les questions de l'éducation et surtout de la capacité humaine à pardonner face à l'adversité.

Un sujet parfaitement traité par " Nancy Tucker ", qui a elle-même subie une anorexie mentale et se place donc en parfait acteur de la connaissance du comportement des fragiles sujets psychologiques.

Une écriture captivante, qui plonge dans les tréfonds et méandres de la psychologie enfantine, et ce avec brio.

Lien : https://bookslaurent.home.bl..
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« Aujourd'hui, j'ai tué un petit garçon » : ce sont les terribles premières paroles prononcées par Chrissie (la narratrice) une petite anglaise de huit ans, à l'enfance totalement cabossée. Steven (deux ans) le petit voisin va bientôt revenir à la vie, pense-t-elle … (comme son propre papa qui est « mort » à chaque fois qu'il disparait de son existence, avant de refaire surface dans les pubs du coin, durant un bref moment …)

La fillette subit (depuis toujours) une telle carence affective, est écrasée par de telles souffrances physiques (la faim qui tiraille le ventre …) et morales (un incommensurable désir d'amour parental …) qu'il était fatalement impossible d'aboutir à autre chose qu'une tragédie … Un « semblant » de père démissionnaire (qui ne veut surtout pas savoir !) ainsi qu'une mère dépressive (dénuée d'empathie) : deux facteurs qui poussent inévitablement Chrissie à vouloir faire du mal aux autres, afin de soulager – un tout petit peu – sa propre douleur … Détruire pour se détruire … Jusqu'à l'irréparable !

Bien plus tard, après des années d'enfermement, une porte de sortie s'ouvrira peut-être pour elle … (La juridiction permet alors le changement d'identité des enfants criminels, trop jeunes pour être jugés …) Chrissie sera néanmoins suivie de près par les services sociaux. Quand elle sera maman à son tour (à l'âge de vingt ans) l'adolescente deviendra Julia et n'aura plus qu'une seule et unique obsession : le bonheur de sa fille Molly et le « rachat » de son âme par une attitude irréprochable ! Afin qu'on ne puisse pas avoir une bonne raison de la lui retirer … Mais ô combien le chemin semble semé d'embûches, quand on n'a pas reçu une éducation digne de ce nom ! Jamais « victime-coupable » n'avait fait preuve d'un tel désir de rédemption !

Ce récit – d'une rare violence – exprime également un désespoir insoutenable. Les faits sont basés sur une histoire vraie (ce qui fait froid dans le dos !) L'auteure qui utilise (pour plus de véracité) le vocabulaire émouvant d'une enfant de huit ans, sait parfaitement de quoi elle parle (diplômée en psychologie et travaillant en hôpital dans une unité de psychiatrie) Après avoir elle-même été confrontée à l'anorexie dans sa jeunesse …

Un premier roman percutant ! Un immense cri de détresse (et de révolte) qui laisse le lecteur pantois. Coup de coeur pour ce magnifique hommage à l'enfance martyrisée qui transforme n'importe quel agneau en loup sanguinaire !
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J'en ai lu des livres, mais celui-là est un des plus beaux que j'aie jamais lu.
Pourtant c'est glauque, glauque à vous mettre la tête en vrac.
Comme Christine ou Chrissie, c'est comme on veut.
Petit fille de 8 ans, aimée ni par sa mère (quelle catastrophe), ni par son père qu'elle ne voit que très peu.
Elle ne pleure jamais Chrissie, elle est forte. Mais encore plus forte quand elle tue des petits enfants. Elle se sent remplie, elle se sent puissante, comme Dieu, elle se sent vivante, elle se sent toute drôle, avec des fourmillements dans le corps, surtout dans le ventre. Une sorte de plaisir interdit, une jouissance qui chatouille.
Et puis tuer, pour qu'on ne l'oublie pas. Pour une fois....
Alors oui, c'est très difficile à lire, car Chrissie cumule les échecs, donne des coups aux uns et aux autres quand elle est frustrée, à des amies, mais pas vraiment, si, elle a Linda, une vraie amie qu'elle reverra plus tard, adulte, et qu'elle s'apercevra qu'elle devenue une très belle personne (d'ailleurs elles se retrouveront et c'est un moment magnifique).
Attention Chrissie ne pleure jamais, elle est forte Chrissie, elle est dure.
Sa mère ? Elle l'emmène régulièrement au Centre d'adoption de la ville et l'y abandonne pour qu'elle soit adoptée, mais elle est trop grande Chrissie, personne ne veut d'elle.
Sa "mère" ne la nourrit pas, jamais, alors elle a faim tout le temps, elle s'invite chez les uns et les autres, pour manger jusqu'à en être malade.
Adulte, elle ira voir sa mère, ce fut un passage remarquable, elle lui présente sa fille, Molly, pour montrer à sa génitrice qu'elle a réussi, elle, à s'occuper et à aimer sa fille.
Cette femme est incapable d'aimer Chrissie, elle essaye même de l'empoisonner avec de faux bonbons. Une horreur.
Pendant la lecture quelque peu éprouvante pour moi, une petite fille est arrivée sans y être invitée, cette petite fille si malheureuse, si rejetée, si peu aimée, avec une mère incapable d'être une maman.
Cette petite fille n'a pas eu la chance d'être placée, cela se faisait rarement à l'époque.
Elle mettait à mort ses poupées, avec un feutre rouge dessinait des cicatrices et essayait de les enterrer sous le parquet. Et quand les poupées réclamaient à manger ou à être changées, cette petite fille refusait de s'occuper d'elles, et à elle aussi, cela procurait une sorte de plaisir malsain.
La petite fille est repartie à la fin de cette lecture difficile, mais si belle. Une écriture merveilleuse, des mots choisis avec soin, tout est suggéré, flou, mais pas besoin d'en savoir davantage.
La petite fille aura une fille, et oui, on n'est pas obligé de reproduire, avec un travail sur soi-même on est une bonne mère, attentive et surtout, surtout aimante.
Je n'oublierai jamais ce livre, il fera partie de ceux que l'on n'oublie pas.
Jamais.
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J'ai mis du temps à finir ce roman, histoire romancée de mary Bell
Chrissie est une petite fille qui aime se mettre en avant, un peu autoritaire avec ses amis, allant même jusqu'à être méchante quelques fois
Sous ce caractère bien trempé, se cache des douleurs de l'enfance : un père quasi absent, une mère qui ne s'occupe pas d'elle.
Un jour, comme le dit la première phrase du livre, elle va tué un petit garçon de 2 ans.
On va suivre le Chemin de cette petite fille à travers deux voix dans le roman, Chrissie enfant et Julia qui est Chrissie adulte et a dû changer d'identité suite à sa sortie de prison.
A mesure que l'on progresse dans la lecture, on s'attache à cette petite fille et à l'adulte qu'elle est devenue malgré la monstruosité de son geste.
Une histoire déchirante, bouleversante qui prend aux tripes. Son geste est évidemment monstrueux mais ne faut il pas accuser les parents ?
Je ne vous en dis pas plus, vous laisse découvrir le dénouement
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