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3,19

sur 297 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je suis tombée sur Ethelred Hengist Tressider, par le biais de ma copine babeliote nameless ( tous ses billets ne sont que tentations, je résiste, mais là j'ai succombé ).
Ce monsieur au nom long et compliqué, Ethel… Red … ou Reddy Baby, pour les intimes, est un écrivain; en faites trois écrivains. Il écrit sous trois différents pseudos , dont un nom de femme, des navets dans différents genres, des policiers, des policiers historiques ( toujours la même période, celle du règne de Richard II, car il n'a aucune envie d'approfondir ses connaissances sur d'autres périodes ), et des romans d'amour. Son agent littéraire pour les trois, est Elsie. Elsie, carbure au chocolat, méprise les écrivains, et est un as pour vendre des livres qu'elle qualifie de "dog's crap" (m....de chien ), dont elle méprise encore plus les lecteurs. Voilà pour le décor.
Quand à l'histoire, l'auteur de polar est lui-même incriminé dans le genre d'histoire qu'il a l'habitude d'écrire......Son ex-femme, Geraldine, “zeu bizines vumen” qui habite Londres, vient d'avoir la mauvaise idée de disparaître, laissant à l'abondon sur une plage du Sussex une Fiat rouge louée et une lettre d'adieu au "Monde cruel ".....non loin d'où il habite.
Le titre de la v.o. “The Herring seller's apprentice “ est très explicite pour le fond et la forme du récit. Herring seller (vendeur de hareng ) est le surnom donné par son ex à EHT, «  herrings », faisant référence aux fausses indices que sèment les auteurs de polars dans leurs livres ( red herrings, plus précisément ). Quand à l'«apprentice »( l'apprenti) c'est Elsie, la vraie star du livre, qui décide d'enquêter sur cette disparition qui pourrait éventuellement leur rapporter gros dans le cadre des “dog's crap”. Alternant les deux personnages comme narrateur, l'auteur nous plonge dans un océan de «  herrings ».....

Un livre intéressant où Tyler L.C., se défoule à travers Ethelred, sur sa propre expérience d'auteur de polar, ses astuces, ses incidents de parcours et ses frustrations d'écriture . Souvent l'histoire prend son propre envol, et une tournure non planifié d'avance, le caractère principal échappant à l'auteur et poursuivant sa propre voie ("some of my more villainous characters, who would sell their own grandmothers, prove strangely incapable of telling a direct lie" *).
Lu en v.o. j'ai aimé la prose élaborée, où l'humour ne tombe jamais dans le vulgaire, et le petit air de vintage qui donne un faux air d'intemporalité , si ce n'était quelques indices sur les nouveaux gadgets de communications. Une agréable lecture, très divertissante, dans le fond et la forme.


*Certains de mes plus vils personnages , qui auraient pu vendre leur propre grand-mère, étaient étrangement, dans l'incapacité de mentir d'une façon directe.
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Quel titre mes aïeux ! Inutile de le nier, c'est ce qui m'a fait acheter ce livre. Et je ne le regrette pas d'ailleurs. Il s'agit d'un bon petit polar bien sympathique qui permet, surtout pendant les vacances, de s'évader de façon gaie puisque L.C Tyler manie l'humour comme les cadavres. de plus, il y a ici de l'écriture dans l'écriture puisque le personnage principal est un écrivain... de polars ! Son ex-femme est retrouvée morte dans une voiture rouge. Tout laisse à penser qu'elle s'est suicidée. Mais on sait déjà que ce ne sera pas forcément le cas, rien qu'au titre.

Bon, même si le thème n'est pas nouveau, c'est bien mené, bien ficelé. Et que demande t-on à ce type de bouquin, hein ?
Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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De l'intrigue, du suspense, un crime...
Saupoudrez d'humour so british ! Mélangez et vous obtiendrez un roman palpitant qui vous mènera d'un bout à l'autre sans jamais dévoiler son issue.
Efficace, drôle, surprenant, rondement mené, ce polar anglais est un vrai délice.
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Une occasion à saisir !... Avec cet Etrange Suicide dans une Fiat rouge à faible kilométrage. Facile, direz-vous, facile, j'en conviens. Facile, l'intrigue pas aussi ébouriffante qu'on aurait pu le penser ? Faciles, les personnages caricaturaux à souhait ?
Oui mais…Oui, mais ce style qui ne se prend pas au sérieux, cet humour british qui vous tire un sourire à chaque bas de page, cette ironie et ce second degré assez subtil (essayez donc d'écrire de la mauvaise littérature comme celle du narrateur principal, ça ne doit pas être aussi facile que ça) me ravissent. J'avoue que j'ai vraiment beaucoup apprécié cette lecture qui alterne avec succès, comique de l'absurde…
« A sa façon, il s'intéressait sincèrement aux autres. Après avoir omis de me demander d'être témoin à son mariage, il se rattrapa sans tarder en m'assurant que je serai le parrain du premier enfant qu'il aurait avec Elizabeth. le fait qu'ils aient décidé de ne pas en avoir ne diminuait pas, ni à ses yeux ni aux miens, l'honneur qu'il essayait de me faire là. »
...ou comique de situation…
« _ Mais Ethelred, c'est à Feldingham. Feldingham. Ce nom ne te dit rien ?
_ Je ne vois pas où tu veux en venir.
_ Feldingham, Ethelred. Arrête de jouer au con une demi-seconde et reviens en arrière jusqu'à ce jour funeste de juin, il y a bien des années. Tu portais une jaquette grise et un haut de forme, si ça peut t'aider. Tu avais un oeillet à la boutonnière, et une connasse pendue au bras gauche. Moi, j'avais une robe jaune citron, que j'ai depuis gracieusement offerte à l'Armée du Salut.
_ D'accord, soupirai-je. C'est là que je me suis marié. Et alors ? »
Si vous avez épuisé les charmes des polars d'atmosphère (Mankell ou Indridason), si vous cherchez à oublier Lisbeth Salander*et si lire en souriant ne vous effraie pas, ne passez pas à côté de cette excellente occasion. Mettez le contact et démarrez, vous êtes en kilométrage illimité !
*Pour ceux qui auraient été à l'isolement depuis un bon bout de temps, il s'agit de l'inoubliable héroïne de Millénium (Stieg Larsson).
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Les romans avec un titre à rallonge, j'ai un peu appris à m'en méfier, car les derniers répondant à ces critères m'ont assez déçue… Toutefois, celui-ci me semblait sympathique et prometteur, car c'était ma mère qui me l'avait recommandé. de plus, certains blogueurs avaient apprécié cette lecture. Je me suis donc lancée en espérant un peu d'humour et de suspense le temps d'un week-end. Globalement, j'ai trouvé cet ouvrage plutôt pas mal : les personnages sont atypiques, l'intrigue ne met pas trop de temps à se mettre en place et les indices se succèdent assez facilement au début et au milieu du roman. Par ailleurs, l'auteur a un style particulier, vif, direct, sarcastique et humoristique qui me rappelle la plume de Philippe Saimbert. le fait qu'Ethelred, l'un des personnages principaux, soit écrivain et qu'il enquête sans les autorités m'a fortement rappelé « La vérité sur l'affaire Harry Quebert » que j'avais bien aimé. Ainsi, le mélange était plutôt agréable. Dans « Étrange suicide dans une Fiat rouge à faible kilométrage », L. C. Tyler va longuement s'attarder sur le métier d'écrivain, sur les trois pseudonymes d'Ethelred, sa relation avec ses personnages, ses envies d'écrire, sa confusion entre son personnage récurrent et lui-même ou tout simplement ses échanges avec son éditeur. On a d'ailleurs affaire à une sacrée critique de l'univers littéraire… Malgré cette mise en abime sur le monde de la littérature, les réflexions sont acerbes, haineuses et peu passionnées. On a l'impression que les auteurs ont les poings liés par les maisons d'édition : ils n'osent pas faire évoluer leurs personnages ou mettre des situations trop complexes et ne peuvent pas sortir des sentiers battus afin de ne pas perdre leur lectorat… J'ignore s'il en est ainsi avec certaines maisons d'édition, cependant cela sent le vécu !

En plus d'Ethelred, la narration va être perçue du point de vue d'Elsie, une amie de longue date. Cette dernière est du genre directe, vulgaire, virulente, curieuse, intelligente, lucide et gourmande. Elle a beau être alliée à Ethelred, elle ne se gêne pas pour le juger, lui rentrer dedans ou critiquer son passé. Par exemple, elle ne supporte par l'ex-femme de son compagnon qu'elle va souvent copieusement insulter… Ces deux personnages sont à la fois originaux et francs dans leurs propos. Personnellement, cela ne me dérange pas, toutefois ils n'ont rien fait que j'ai approuvé ou qui a suscité ma sympathie ainsi que mon empathie. À vrai dire, je ne me suis pas du tout attachée à ce duo. Certes, les deux protagonistes se complètent bien néanmoins, je ne les ai pas suivis en m'inquiétant pour eux ou en savourant les obstacles qui vont se dresser devant eux. Je suivais l'avancée de l'enquête, tout simplement… D'ailleurs, je m'attendais à une telle fin. Cela colle vraiment à l'ambiance dans laquelle le lecteur baignait. le dénouement est donc assez original, bien qu'ouvert… Il reste une bonne part de mystère et c'est au lecteur de faire ses propres choix…

Pour revenir sur le scénario, j'ai trouvé qu'il était bien tissé toutefois, je m'attendais à être davantage tenue en haleine. Même si la mise en place est rapide et l'enquête progressive, une bonne partie de l'ouvrage souffre de longueurs. Je n'ai pas accroché aux extraits de chapitres rédigés par Ethelred. Ils étaient nombreux et, à mes yeux, pas forcément utiles si ce n'est pour comprendre davantage l'un des deux narrateurs… J'avais besoin d'un peu plus de dynamisme, car on m'avait présenté cette histoire comme un thriller. Or, j'ai besoin d'être en immersion et d'être vraiment prise par le rythme lorsque je lis un roman de ce genre. Ici, je n'ai pas ressenti cela. C'est un polar avec une enquête intéressante, mais pas un thriller. Malgré tout, cette lecture est plutôt correcte et se lit vite. Je suis simplement difficile, car j'ai tendance à avoir de grandes attentes lorsqu'il s'agit d'une recommandation d'un proche… À réserver aux amateurs de polar aimant l'humour anglais et n'ayant pas peur des fins ouvertes.


Lien : https://lespagesquitournent...
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Ethelred Tressider écrit sous trois pseudonymes mais l'inspiration lui manque, son agent devient de plus en plus encombrante et son ex-femme disparaît. Quand le corps de cette dernière est retrouvé près de chez lui et que la police évoque un tueur en série, il tente de résoudre l'enquête pour retrouver l'inspiration.
Pour son premier polar, LC-Tyler nous offre un roman d'intrigue à tiroirs. Une étrange enquête à deux voix pleines de chausse-trappes et de rebondissements. Maître de la manipulation l'auteur joue sur une construction diabolique jusqu'à une conclusion complètement inattendue où tous les indices disséminés dans le livre nous apparaisse alors en pleine lumière.
Sans jamais se départir de l'humour et de l'élégance qui font toute la saveur des romans policiers anglais classiques, il revisite tous les clichés du genre et nous offre un thriller au suspense implacable, et jubilatoire.
La plume est alerte et donne un ton résolument moderne à ce roman drôle et décalé à l'humour anglais, of course.
Une lecture délicieuse et hilarante.
Lien : https://collectifpolar.com
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J'ai eu beaucoup de raisons de me sentir attiré, presque aimanté, par ce bouquin. Déjà un titre à rallonge plus que bizarroïde, puis une couv' sobre (faut dire que vu la longueur du titre la sobriété est obligatoire, ensuite l'éditeur (Sonatine) et enfin la quatrième de couv' qui m'a paru être la cerise sur la cadeau.

Point de corps dans la Fiat rouge, point non plus de suicide à l'horizon. On se demande bien où le traducteur a été cherché un titre aussi tordu, seule la Fiat rouge est présente dans le récit. Il faut bien avouer que le titre original, The Herring Seller's Apprentice, n'est guère plus évocateur du contenu puisque qu'il pourrait se traduire littéralement par L'Apprenti du Vendeur de Harengs (à moins que la subtilité d'un jeu de mot ne m'ait échappé).

La construction même du bouquin est plutôt originale, le plus souvent on suit la progression de l'intrigue à travers le personnage d'Ethelred, mais parfois Elsie vient y mettre son grain de sel (ces deux points de vue sont écrits à la première personne, différenciés par le choix de la police de caractère) ; plus tard on retrouve des premiers jets du prochain roman d'un Ethelred en mal d'inspiration. Ca peut paraitre chaotique mais tout s'emboite parfaitement (hormis les digressions littéraires d'Ethelred qui semblent être là juste pour le fun) au fur et à mesure que l'on suit l'enquête pas vraiment conventionnelle d'Ethelred et Elsie (des prénoms à coucher dehors vous en conviendrez avec moi).

N'espérez pas un thriller qui vous hérissera le poil des pieds à la tête (si vous frissonnez en lisant ce bouquin alors c'est qu'il doit y avoir un courant d'air quelque part chez vous), le ton est franchement léger, l'auteur joue plus la carte de l'humour que du suspense, toutefois l'enquête n'est pas totalement laissée en plan, elle est même plutôt bien ficelée et nous réservera quelques surprises (le final est grandiose). Un polar burlesque qui procure un réel plaisir de lecture.
Lien : http://amnezik666.wordpress...
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Le titre est accrocheur. le style, enlevé. L'intrigue, rocambolesque. le tout : désopilant. C'est la premier opus de L.C. Tyler, un type par ailleurs très sérieux (et géographe de formation ... ça ne s'invente pas).

C'est sûr, Gerladine est une véritable emmerdeuse. Son dernier coup ? Venir se suicider dans une voiture de location en laissant une lettre accusatrice, à quelques kilomètres de chez Ethelred Tressider, son ex, écrivain. Enfin, écrivain, il faut le dire vite : Ethelred, très polyvalent, commet à la fois des polars de bas étage, de romans historiques, et des histoires à l'eau de rose. Un talent littéraire somme toute modeste, comme ne manque pas de le rappeler son agent, l'encombrante mais attachante Elsie, qui refuse de croire une seconde qu'un être aussi narcissique que Geraldine ait pu disparaître aussi bêtement.

C'est le point de départ d'une enquête totalement délirante, bien dans la veine d'un J.M. Erre (voir le farfelu Prenez soin du chien), avec la touche d'humour anglais presque aussi tordante qu'un bon Bennett (La Reine des lectrices). Assez marrant, quelques passages très réussis, même (et surtout si) c'est parfois super lourd. Et attention, il y a même une vraie intrigue (si, si, et pas si mal fichue). En dépit de quelques longueurs, c'est la garantie d'un moment de fraîcheur, de légèreté, et de détente bienvenu en cette fin d'année à la météo morose.

Lien : http://le-mange-livres.blogs..
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Ce livre traînait dans ma PAL depuis un moment, je l'avais trouvé dans un vide-grenier, le titre a attiré mon attention. C'était en plus un roman édité chez Sonatine, alors je me suis laissée tenter.

Nous sommes assez loin des thrillers présentés habituellement chez Sonatine. Ici, le personnage principal, Ethelred Tressider, est un écrivain qui écrit sous trois pseudonymes des livres de genre différent : des romans policiers, des romans historiques et même des romans à l'eau de rose. Mais il n'est pas vraiment un auteur à succès. Et surtout il manque cruellement d'inspiration. L'histoire commence quand la police frappe à sa porte pour lui annoncer la disparition de Geraldine, son ex-épouse. Il est alors en compagnie de son agent, la farfelue Elsie, et les questions et informations données par la police ne tombent pas dans l'oreille d'une sourde. Elsie se prend alors pour un détective et pousse Ethelred à mener l'enquête.

Les premières pages de ce roman mettent tout de suite dans l'ambiance. Avec ce livre, nous n'allons pas avoir peur, nous n'allons pas non plus nous tordre les méninges. D'emblée, le ton est donné, l'humour sera de mise. Et effectivement, les situations sont souvent très loufoques. le personnage d'Elsie est assez déjanté. Elle est très impulsive, n'hésite pas à se mêler de ce qui ne la regarde pas, ni à déranger les gens à n'importe quelle heure. Elle parle comme elle pense, sans peser ses mots, et c'est assez grisant.

"Parce que tu n'en es pas capable, espèce d'idiot, je lui répondais. C'est vrai, on est obligé d'être cruel pour être gentil, parfois, non ?"

Concernant le dénouement, il ne vous étonnera pas vraiment. même s'il laisse libre cours à l'imagination. Pour ma part, j'avais compris dès le départ quasiment. Mais ce que je retiens, c'est la construction du roman qui est assez originale. Les chapitres alternent entre Ethelred, Elsie, et des passages du roman qu'essaie d'écrire Ethelred. Les polices de caractères choisies changent avec les narrateurs.

"S'il y a bien une chose qui me tape sur le système, c'est de commencer un nouveau chapitre et de m'apercevoir que ce con de narrateur a changé.  Choisir une autre police de caractère ne fait qu'aggraver les choses, comme si l'auteur (cet abruti) pensait que le lecteur ne verrait pas qu'il s'agit de quelqu'un d'autre sans tout souligner à double trait et passer en Optima corps dix ou je ne sais quoi."

La lecture de ce roman est quand même assez divertissante et finalement, c'est peut-être tout ce que le titre promettait. Mais je viens de voir qu'il existe une suite, alors je vais peut-être me laisser tenter pour savoir ce que deviennent nos personnages. Parce que, selon moi, le plus intéressant dans ce roman n'est pas l'histoire en elle-même mais plutôt les personnages. Ils sont l'essence de ce polar-comédie et complètement à l'opposé de ce dont on a l'habitude de lire.

En résumé, Etrange suicide dans une Fiat rouge à faible kilométrage est un polar complètement loufoque à l'humour so british, et qui vous fera passer un bon moment, mais ne vous restera peut-être pas en mémoire très longtemps.
Lien : https://ellemlireblog.wordpr..
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J'avais vu différentes critiques de ce livre dans Babelio, alors, quand je suis tombée dessus dans ma Bibliothèque, je n'ai pas pu résister.
Fanatique des Monty Python depuis le première heure, j'ai trouvé que c'était un ton en dessous, mais bien drôle quand même.
J'ai bien aimé le duo écrivain-ternouille, agent flamboyante et les personnages qui les entourent et bravo à la traductrice qui a imaginé le titre !
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