Contrefaçon

Edouard est un jeune banquier qui a une vie plus que normale. Un jour il commence à entendre une voix et se dit que c'est la fatigue intense. Il vit dans un monde hyper connecté, il se dit qu'il va réussir à dépasser ça.


C'est un roman avec beaucoup de suspence. Nous percevons la détresse d'Edouard qui augmente au fur et à mesure. On ressent son inquiétude et son incompréhension, on se met facilement à sa place. C'est un roman futuriste et glaçant qui dénonce la technologie et la société. C'est un récit intense qui ne peut laisser personne indifférent.Je vous laisse découvrir la plume de l'auteur qui est addictive. C'est un super thriller dystopique réussi.

WOUAH !!

Le livre démarre sur les chapeaux de roues.
Beaucoup de descriptions, de détails, tout est fait pour passer un bon moment avec cette lecture.

Le rythme est intense, une plume addictive. Et le suspens nous tient en haleine jusqu'aux dernières pages du livre. Tout ce que j'aime !

L'auteur nous livre une histoire futuriste sur la technologie, le cyber harcèlement moral des entreprises sur leurs employés.
Jusqu'où peut aller ce harcèlement ?

Tout démarre par la création d'holoclones qui prennent leur hôte humain gémellaire en otage psychologique.

Tout est fait pour rendre le lecteur aussi fou qu'Édouard !

Un thriller dystopique plus que réussit !

C'est un peu différent de ce que j'ai l'habitude de lire en terme de genre ou même de style, mais j'ai beaucoup apprécié ma lecture! J'ai adoré sentir la tension monter au fur et à mesure de la lecture, j'ai aimé les néologismes, la création de ce monde ultra connecté qui finalement n'est pas sans rappeler le notre, s'en est presque dérangeant !
Très belle lecture que je recommande vivement !

Une nouvelle d'anticipation dont l'auteur à le secret. Je vous invite à aller à sa rencontre en dédicace : les réflexions qu'il suggère dans ses écrits sont issus d'une grande maturité, dérangeants, justement parce que tellement plausibles !

J'ai eu l'honneur de faire partie de son équipe de bêta lecteurs. Partagée entre la joie de découvrir la plume cachée derrière cet énigmatique personnage - avec qui les joutes verbales avaient été très agréables lors de nos rencontres précédentes - et la crainte de ne pas « accrocher » à son style d'écriture. Vierge de ses écrits intentionnellement, je ne voulais pas me créer une idée préconçue en lisant ses précédents écrits.
Merci JB de ta confiance et d'avoir résisté à mes corrections impitoyables avec toujours cette bonne humeur qui a permis des échanges géniaux !

Son univers nous emporte très vite dans cette histoire angoissante où Edouard, personnage principal, perd pied face au harcèlement d'une voix dont il n'arrive pas à déterminer l'origine. On s'enlise avec lui, on ressent sa rage, sa perdition. Impossible de lâcher le livre avant d'avoir fini, impossible de fermer le livre sans être plein d'interrogations sur les thèmes abordés.
L'auteur nous décrit une histoire glaçante par son réalisme possible, dans une société qui pourrait être celle de demain… Une société soumise à l'ultraconnectivité, déshumanisée, où l'homme est réduit à simple objet d'utilité pour la société. Une maîtrise littéraire, avec un phrasé « signature » propre à JB van Dyck.

Je n'en dirai pas davantage par peur de spoiler, si vous voulez savoir alors je vous invite à le lire !

Dans un futur peut-être pas si lointain que ça…Une société hyperconnectée qui a pour maîtres mots la consommation et l'utilité, allant jusqu'à donner des « malus citoyens ». Edouard est banquier et gère ces malus, coupant les vivres aux contrevenants pour des périodes plus ou moins longues.
Jusqu'au jour où il se met à entendre une voix. Pas dans sa tête, non elle semble sortir d'on ne sait où. Elle lui parle, lui dit à bientôt, tu vas être en retard au travail, … Petit à petit, Edouard perd le sommeil. Et s'il n'arrivait pas à déterminer l'origine de cette voix qui le harcèle ? …
L'auteur nous fait découvrir un monde futuriste loin d'être idyllique. Tout est fait pour que l'homme (au sens large) consomme et soit utile. Un retard au travail ? le malus citoyen augmente. de même si vous n'avez ni compagne ni enfant. Et si par malheur ce malus augmente, on vous coupe les vivres pour toujours, vous êtes condamné à un exil forcé…
Un univers assez angoissant, noir, dans lequel on est plongé avec Edouard. Une société qui ne pense qu'à la rentabilité, sans égard pour la personne. Mais l'auteur ne néglige pas une certaine forme d'humour, noir bien entendu, qui allège un peu l'atmosphère...Peut-être une façon pour l'auteur d'exorciser une certaine forme de crainte.
L'écriture est addictive. On se demande ce qui arrive à Edouard et comment il faire pour « jongler » avec cette voix. Une certaine forme de « pitié » se développe, on le plaint.
Une lecture agréable dans un monde qui ne l'est pas. Un monde inhumain qui, espérons-le, ne verra jamais le jour.
Je vous souhaite une bonne lecture.

Bonjour,
Mon retour sur contrefaçon de Jean-Baptiste van Dyck.
L'auteur nous offre une Novella dystopique qui fait frémir. Dans une société ultra connectée, Édouard, un beau jour, va voir son existence devenir un véritable enfer.
Avec un vocabulaire très soutenu sans jamais devenir indigeste, l'auteur nous fait vraiment toucher du doigt l'angoisse de cet homme à qui tout échappe. L'humour noir est savamment dosé, si bien que très vite le sourire laisse place au stress. Jean-Baptiste parvient à nous faire ressentir tout ce qui se passe dans la tête d'Édouard. Et comme pour le personnage l'enfer se referme sur le lecteur jusqu'à la chute finale qui est très réussie.
L'écriture est très visuelle, et incisive et en très peu de pages l'auteur nous narre une société qui si on y prend pas garde pourrait devenir tout simplement la nôtre.
Une réussite donc pour cette novella et cet auteur qui est ne cesse de s'améliorer au fil de ses textes.