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EAN : 9791040521075
523 pages
Librinova (20/12/2022)
3.85/5   30 notes
Résumé :
Jeune homme sans histoires, Andréa Davenport est retrouvé inanimé au beau milieu de la nuit à la bibliothèque Sainte-Geneviève, à Paris. Il ne doit son salut qu’au courage d’un témoin anonyme qui prétend avoir assisté à son lynchage. Les policiers comprennent très vite qu’il s’agit d’une exécution ratée portant la signature du Groupe Ariane. Cette mystérieuse organisation promet une série d’assassinats à travers l’Europe à des fins de déstabilisation politique. Très... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
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sur 30 notes
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Résumé : Andréa Davenport se retrouve à l'hôpital après avoir été tabassé. Interrogé, il donne des réponses floues ou incohérentes, mais des messages sont inscrits sur son corps. Les policiers, intrigués, relient vite Andréa Davenport au Groupe Ariane, qui a fait parler de lui récemment en dévoilant qu'il avait prévu une série de meurtres à travers l'Europe.

Toutefois, Andréa Davenport, s'enfuit du commissariat, faisant porter de réels soupçons sur lui ; dorénavant la police est à ses trousses.

Heureusement, la mémoire lui revient peu à peu et une jeune femme va l'aider à résoudre cet imbroglio dans lequel il ne comprend rien, à part qu'il est manipulé comme un pion dans un jeu et qu'il se sent piégé…



Mon avis : Si vous aimez le suspense, l'action et les histoires à rebondissements, vous avez trouvé le livre idéal !


Tout commence avec Andréa Davenport qui joue une partie d'échec pas banale, puisque son adversaire porte une cagoule et ses acolytes également. Ensuite, Andréa se fait tabasser et se retrouve à l'hôpital avec la mémoire qui flanche. Il est questionné par la police puis convoqué au commissariat, sentant le vent tourner, il finit par s'échapper…

Et ce n'est qu'un début, parce que ce pauvre Andréa va se retrouver aux prises avec la police, des organisations et des personnages en pagaille, ne sachant jamais à qui faire confiance… Et puis quel rapport entre André et ce procès qui se tient aux État-Unis ? Qui est ce condamné à mort ?


C'est une enquête à laquelle le lecteur participe, comme Andréa, nous recherchons qui tire les ficelles et dans quel but ! Entre les organisations, les révélations, les amis, les faux amis et les ennemis, la santé et le moral d'Andréa vont être mis à rude épreuve, et nos nerfs avec ! Parce que ce pauvre Andréa Davenport, il va vraiment se faire malmener, parfois on a envie de crier stop, pour reprendre son souffle ; mais impossible parce que tout le monde le bouscule… Alors, pas de temps mort, on va de découvertes en découvertes...


Francis VAN GURED nous offre une histoire rocambolesque qui nous entraîne dans des aventures extraordinaires, on pense que c'est terminé, la solution est là sous notre nez, eh bien non ! Ce n'était qu'une illusion, il faut chercher ailleurs ! Et l'auteur a beaucoup d'imagination, alors vous allez vous cogner la tête dans bien des murs avant de trouver la sortie !


Ne vous fiez pas aux échecs, ce n'est qu'une infime partie du roman, mais des énigmes, il y en a une kyrielle ! Et ce n'est pas tout, Andréa s'aperçoit que le temps est compté, parce qu'il doit résoudre des énigmes dans un but très précis et un délai imparti… C'est donc également une course contre la montre qui va bousculer nos méninges et nous faire beaucoup voyager autour du globe… Et la fin ? Elle nous laisse carrément sur le derrière !


Francis VAN GURED nous offre un roman d'actions, avec une enquête à rebondissements, pleine de suspense, des intrigues qui se suivent, on ne peut faire confiance à personne. Andréa se retrouve à participer à un jeu géant, avec des enjeux vitaux, et nous vibrons à mesure qu'avance le chronomètre… Bien joué, Monsieur VAN GURED, votre livre est digne d'être adapté sur le grand écran !


En bref, un roman palpitant qui va vous entraîner dans une histoire incroyable ! Attachez vos ceintures !


À lire avec des gaufres de Liège, des Chamallows accompagnés d'une tasse de café avec une musique zen en fond sonore.

Mon compte Instagram : @la_cath_a_strophes
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Voici mon retour de lecture sur Les Sentiers de la vérité de Francis van Gured.
Jeune homme sans histoires, Andréa Davenport est retrouvé inanimé au beau milieu de la nuit à la bibliothèque Sainte-Geneviève, à Paris. Il ne doit son salut qu'au courage d'un témoin anonyme qui prétend avoir assisté à son lynchage.
Les policiers comprennent très vite qu'il s'agit d'une exécution ratée portant la signature du Groupe Ariane.
Cette mystérieuse organisation promet une série d'assassinats à travers l'Europe à des fins de déstabilisation politique.
Très rapidement pourtant, celui que tout le monde considérait comme une victime se voit pointé du doigt.
Traqué de toutes parts, Andréa Davenport réalise qu'il est pris au piège d'un jeu qui lui échappe, et dont il ne maîtrise absolument rien, pas même les règles..
Les Sentiers de la vérité est un très bon thriller.
L'auteur nous emmène avec lui dans des aventures stupéfiantes.
En commençant notre lecture il est impossible de deviner ce qui va arrivé à Andréa Davenport. Ce dernier a été roué de coup mais très rapidement, à cause de son possible lien avec le groupe Ariane, Andréa passe de victime à possible coupable.
Impensable n'est ce pas ? Et pourtant, c'est bien ce que le pauvre vit !
Il se retrouver à devoir résoudre des énigmes en un temps imparti. J'ai pris plaisir à suivre ses aventures et à essayer de résoudre les énigmes en sa compagnie. Ce n'est pas évident car quand je pensais avoir compris, l'auteur m'emmenait sur d'autres pistes !
je vous le dit, Francis van Gured est machiavélique. Jusqu'aux dernières pages il nous balade de surprises en surprises.
Je ne me suis pas ennuyée une seconde et j'ai apprécié ce thriller. Je ne vais pas trop en dévoiler, pour ne surtout pas spoiler.
N'hésitez pas à le lire si vous êtes des amateurs du genre.
Ma note : 4.5 étoiles.
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Voici un polar que son auteur m'a proposé de lire il y a un petit moment. Mais vous le savez, chaque mois ma Pal déborde. Aussi j'espère que Françis van Gurel ne m'en voudra pas d'avoir pris tout ce temps pour chroniquer son premier roman.
Enfin premier roman, rien n'est moins sûr, car celui-ci est vraiment très abouti.
Alors que nous raconte Les Sentiers de la vérité. On va suivre Andréa Davenport, un jeune homme qui semble sans histoire dans une suite de péripéties plus incroyables les unes que les autres. Andréa a été agressé, alors qu'il dépose au commissariat, il voit sa vie basculer car il se retrouve mêlé à une affaire d'enlèvement qui le dépasse. de victime il devient suspect. Il s'échappe du commissariat et fait la connaissance de Melissa Bonnefeuille. Très vite il voit dans cette jeune femme, une personne intriguant. Mais lui n'a d'autre choix que de reprendre l'enquête et de prouver son innocence. Pour cela il va nous entrainer dans une course folle à travers des jeux d'énigmes qu'il devra ressoudre la plus vite possible s'il veut s'en sortir. 
Il y a forcément plusieurs niveaux de lecture dans ce polar où action et rebondissement sont la marque de fabrique. En effet en utilise pas le jeu d'échec impunément si ce n'est pour parler de thèmes de société actuels.
 Ici van Gurel a voulu faire partager sa passion des échecs à ses lecteurs mais pas seulement. Il imagine des énigmes qui font appel à nos connaissances historiques, artistiques, mythologiques... Et si on a pas ces connaissances, alors on les découvre tout au long de ses intrigues.
Chaque jeu de piste que doit résoudre Andréa dans un temps donné nous parle forcément de manipulation, de désinformation, de complot contre nos démocraties. D'utilisations des nouvelles technologie à des fins malveillantes.
J'ai beaucoup aimé ce thriller très visuel qui plaira au auteur du genre, j'en mets ma main à coupé.
C'est très bien mené, très bien écrit. le scénario est parfaitement ficelé et il vaut mieux avec toutes ses intrigues qui s'imbriquent.
Vraiment une belle découverte.
Cependant ...
Il y a une quête, une énigme pourtant qu'il nous reste à résoudre, pourquoi notre auteur a-t-il chercher a cacher son identité et a voulu s'effacer derrière son oeuvre ?

Lien : https://collectifpolar.blog/..
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Ce roman nous offre une quatrième de couverture plus qu'intrigante et qui nous donne envie de plonger rapidement dans cette histoire. Comment la situation d'Andréa ne pourrait pas éveiller notre curiosité ? Dès les premiers chapitres, l'auteur réussit à nous emmener dans une course contre la montre étonnante et rythmée, qui va nous conduire à travers des sentiers bien tortueux vers une vérité tout bonnement incroyable !

Andréa est un homme sans histoire qui va subir une agression dont il n'a aucun souvenir. Mais un témoin va raconter le lynchage dont il a été la victime et qui laisse supposer qu'il a pu échapper par miracle à un assassinat. Mais pourquoi ? Andréa peine à le savoir… Alors qu'il est une simple victime, les indices vont conduire les enquêteurs vers une tout autre version de l'histoire, une version qui met Andréa dans une posture plus que problématique.

Dès lors, c'est une vraie course contre la montre qui va s'enclencher avec au centre ce pauvre homme qui ne comprend rien à ce qui lui arrive, ni à ce qu'on lui reproche. du coup, bon menteur ou réelle victime d'une machination incroyable ? Alors qu'Andréa essaie de s'en sortir en ayant embarqué bien malgré lui une personne qui n'a rien à voir dans l'histoire, les rebondissements vont nous conduire sur des chemins totalement inattendus.

L'auteur nous offre un roman au fil rouge bien pensé et très original ! Sincèrement, j'ai été totalement scotchée par les idées qu'il nous présente et par la vérité derrière tout ce qu'il se passe ! C'est assez tordu, mais j'adore ! C'est vraiment une excellente idée et le tout est admirablement bien traité par l'auteur qui a pensé au moindre détail.

Jusqu'à la fin, nous ne savons pas trop sur quel pied danser : qui dit la vérité ? Dur de le savoir… C'est ce qui rend le récit d'autant plus accrocheur et nous pousse à vouloir en savoir toujours plus ! J'ai été touchée par ce qui arrive à Andréa et nous ressentons toutes ses émotions à travers les différents événements. Cela nous plonge d'autant plus dans le récit.

En bref, ce roman est une excellente découverte et je ne peux que vous conseiller de le lire le plus rapidement possible.
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Je voudrais tout d'abord remercier l'auteur Francis van Gured pour m'avoir permis de découvrir son premier roman « Les sentiers de la vérité ».

L'histoire commence par une partie d'échec assez déroutante, un homme Andréa Davenport a pour adversaire un homme encagoulé, ils sont entourés d'autres personnes portant également une cagoule. Cette partie va virer au cauchemar, Andréa va être tabassé et ne doit son salut qu'à l'intervention d'un témoin qui va alerter la police.

Andréa se retrouve à l'hôpital, sa mémoire est bancale et il ne comprend rien à ce qu'il lui arrive car la veille il était à Dublin pour une fête entre amis, Convoqué au commissariat il va devoir s'expliquer mais c'est tellement confus que la police va douter de la véracité de ses dires. Il va devoir s'enfuir. Et quel est le lien avec ce procès aux États Unis ?

Le décor est planté, on a affaire à un imbroglio. Je ne vais pas vous décrire toute l'histoire car je dévoilerais l'essence du roman et ce n'est pas le but d'une chronique. le lecteur va donc suivre Andréa dans ses pérégrinations, mais le lecteur est aussi perdu que le héros car on ne sait pas du tout où l'auteur veut nous emmener, C'est très déroutant mais ça aiguise également la curiosité, On veut savoir ce qu'est cette affaire Ariane et qui sont tous ces gens qui gravitent autour de cette histoire.

On s'aperçoit que les apparences sont souvent très trompeuses, on sent au fil de la lecture que quelque chose cloche mais à chaque fois qu'on pense qu'on met le doigt dessus un autre détail apparaît et tout est remis en question, C'est clairement un thriller avec tous les bons ingrédients tels que filature, complot, trahison, C'est haletant, Les chapitres au format court donne une dynamique intéressante au récit, on est dans l'urgence, le chrono tourne et la tension monte.

Les personnages sont très bien travaillés, le trio que forment André Mélissa et Erèbe nous embarque dans un tourbillon de rebondissements, chaque révélation engendre un autre mystère, le voile s'épaissit et ça n'est qu'à la toute fin que le lecteur comprend.

L'intrigue est établie en plusieurs couches, ça m'a fait penser aux poupées gigognes, ça se resserre au fur et à mesure pour atteindre le Graal à la toute fin, il faut être attentif dès le début car sinon on est vite perdu. L'auteur a su créer une toile très dense aux multiples énigmes. D'ailleurs ce fut passionnant d'essayer de décortiquer tous ces codes, ces jeux de piste, de relier les symboles, de comprendre tous ces indices disséminés deci delà.

La plume est fluide, les références nombreuses, le lexique est très riche. L'auteur a un talent certain pour balader les lecteurs, pour nous perdre dans cette spirale endiablée, j'ai eu la sensation d'être de la partie aux côtés d'Andréa et de ses acolytes, c'est vraiment très bien ficelé.

Seul petit bémol : les longueurs au début du livre qui peuvent en décourager certains mais je dirais qu'elles sont nécessaires car il y a beaucoup de détails à assimiler pour pouvoir comprendre l'histoire et la suivre.

Si vous aimez les thrillers captivants avec un univers original un brin psychologique « Les sentiers de la vérité » est fait pour vous.
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Les paroles résonnaient dans sa tête sans qu’Andréa Davenport ne sache pourquoi. Elles étaient là, tambourinant sans cesse, et rien ne pouvait les chasser de son esprit. Il en était de même pour la peur qui se lisait dans ses yeux.
Quelque chose lui paraissait différent depuis tout à l’heure, mais Davenport était incapable de dire quoi. Son regard se porta sur l’échiquier installé face à lui. Trente-deux figurines s’y dandinaient langoureusement comme s’il s’agissait d’une piste de danse. La lueur chancelante qu’offraient les quelques bougies éparpillées çà et là dans la pièce, orchestrait la chorégraphie. Tout agréable qu’il fut, le spectacle n’apaisa en rien le jeune homme, bien au contraire.
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Il est des couples pour lesquels l’absence de disputes conjugales témoigne
moins d’un bonheur parfait que d’une difficulté chronique à communiquer. Le silence alors se fait menace, étouffant davantage les âmes sensibles, à mesure qu’il se prolonge. Roger Zaldini sur ce point au moins, n’avait strictement rien à craindre pour la solidité de son mariage : son caractère bien trempé faisait de lui l’exact opposé d’une âme sensible. Gina, sa femme, avait quant à elle hérité du tempérament extraverti et colérique de ses aïeux siciliens et calabrais. Les coups de gueule, à vrai dire, faisaient presque partie du régime matrimonial auquel avait souscrit le couple. La dernière engueulade ne remontait pas plus loin qu’à la veille au soir, si bien que Roger Zaldini et Gina s’étaient couchés fâchés, comme cela leur arrivait fréquemment. Cette situation ne semblait pas les déranger le moins du monde. Tous deux dormaient d’un sommeil profond lorsque sonna le téléphone portable du policier, peu après 3 heures du matin.
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À peine les menaces étaient-elles apparues que les agents de la DGSE prenaient contact avec leurs homologues des principaux pays européens.
S’agissait-il d’extrémistes politiques d’ultra gauche de type Black Bloc ? D’ultra droite de type Bloc Identitaire ? De terroristes islamistes ? De mouvements politiques d’extrême droite opérant depuis l’étranger et désirant faire imploser l’Union Européenne ? À moins qu’il fût question de petits plaisantins souhaitant faire une mauvaise blague ? C’est précisément cette dernière hypothèse que retinrent les services de renseignements allemands.
À Paris au contraire, l’affaire fut jugée suffisamment inquiétante pour que les douze agents chargés de l’enquête reçoivent la consigne d’éviter les fuites.
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Cette affaire aurait probablement connu des développements bien différents sans l’heureux concours à son commencement de Jean-Bernard Bonvoisin, ou JB pour les intimes. PHAROS, une unité basée à Nanterre qui avait pour mission de traquer les crimes et délits sur internet.
[…]
Au total, seize petites phrases repérées sur une célèbre messagerie cryptée, faisaient état d’un série d’enlèvements aux quatre coins du continent. Aucun lieu, aucune identité, aucune date n’étaient cités. Mais les échanges vocaux interceptés mentionnaient près d’une trentaine d’enlèvements tout de même. Il était aussi question d’enterrements, de diffusion des images, mais également de psychose et de projet politique de déstabilisation à grande échelle, afin que les citoyens prennent conscience de l’incurie de leurs forces de police et de leurs gouvernants
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Cette affaire aurait probablement connu des développements bien différents
sans l’heureux concours à son commencement de Jean-Bernard Bonvoisin, ou
JB pour les intimes. Capitaine de police à ses heures, il officiait au sein de la
prestigieuse plateforme PHAROS, une unité basée à Nanterre qui avait pour
mission de traquer les crimes et délits sur internet.
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