Thorgal, tome 8 : Alinoë

[Jolan] Dis, Thorgal...
[Thorgal] Oui ?
[Jolan] Tu m'apprendras les signes des mots ?
[Thorgal] Tu veux dire... l'écriture ?
[Jolan] Oui, si ça s'appelle comme ça.
[Thorgal] Je... je ne sais pas écrire, Jolan. Et Aaricia non plus. Chez les Vikings, seuls les prêtres-sorciers savent tracer les runes.
[Jolan] Ah...

p.48.
- Thorgal… La maison, la bergerie…
- Ce ne sont que des pierres et du bois mon amour… Nous recommencerons, voilà tout !

p.33.
J’étais bien naïve de croire qu’en vivant sur une île déserte, nous serions à l’abri de la malédiction dont les dieux semblent nous poursuivre. Tant d’efforts détruits, tant de mois de travail…

« C’est bien ce que je craignais. Alinoë n’existe pas vraiment… C’est toi qui l’as imaginé ! » (p. 24)

Aahh ! Revoilà le fantastique, le mystère... et sans Thorgal ou presque. L'opus ouvre des possibles futurs.
Magnifique dessin, couleurs superbes, intrigue pleine de rebondissements, du grand van Hamme sur du grand Rozinski !

Réel ou pas, tu vas recevoir la correction que tu mérites !

Tu avais tellement envie d'un ami pour jouer avec toi... quand tu as trouvé le bracelet, tu t'es amusé à inventer qu'un garçon aux cheveux verts te l'avait donné et ce garçon est devenu réel ! Je ne parviens pas à y croire Jolan : tu as le pouvoir de faire exister tes rêves !!

Comment ce gosse a-t-il bien pu arriver jusqu'ici ?