XIII, Tome 3 : Toutes les Larmes de l'Enfer

Un tome trois qui nous laisse «un peu de répit» quant à l'identité de ce cher XIII, ici c'est le talent de Vance qui est à l'honneur et il en a le bougre.

Quel album magnifiquement dessiné, une intensité dramatique qui va crescendo notamment la scène de l'évasion dans le tunnel.

Il s'agit donc d'une histoire d'évasion classique dans un institut psychiatrique où le médecin en chef est autant (voire plus) malade que les prisonniers.

Il y a aussi l'enquête du colonel Amos qui nous embrouille un peu plus...

Du grand art.

Après le final du second tome, j'avais hate de vid dans quel état on retrouverai ce cher XIII. Et autant vous que je n'ai pas été déçu. On retrouve notre héros en prison, et de fait tout le tome est un sorte de huis-clos assez oppressant.

J'ai beaucoup aimé ce changement de rythme et la construction de cette aventure qui monte en puissance au fil des pages. de plus Jones prends une nouvelle dimension et deviens un personnage que j'apprécie de plus en plus. le passage de la Mangouste dans la prison est également excellent.

Le tome deux était meilleur que le premier, et le troisième est meilleur que le tome deux. Je n'ai qu'une hâte, lire le tome quatre !

On évolue toujours dans le suspens avec notre héros XIII. Accusé de double meurtre, celui de son père et de son oncle , et arrêté dans le deuxième tome, le voilà dans ce troisième tome qui se retrouve dans le trou de l'enfer, autrement dit il est enfermé dans un centre pénitencier et psychiatrique de Plain Rock. où il subit un traitement spécial par rapport à d'autres détenus. Son cerveau est mis sous tension avec des électrochoc afin de le sortir de cette amère Amnésie qui entrave la vérité sur les commanditaires de l'assassinat du président Shéridan

Ici aussi la question fondamentale reste la même: qui est l'homme qui porte de chiffre XIII? Son identité comme le capitaine Steve Rowland s'avère douteuse. Une fois de plus suspens, l'auteur nous entraîne sur une autre piste. le colonel Amos découvre que XIII avait subit une opération chirurgicale au niveau du cerveau...La sentence tombe, il n'est pas le capitaine Steve malgré qu'il porte son corps. le pauvre capitaine est bel bien mort mais qui a emprunté son corps et dans quel but?

Pendant ce temps XIII reçoit la visite de la Mangouste à Plain Rock.. Sentant sa vie compromise, il s'évade...

Ensuite on découvre sa nouvelle identité, il est Ross Tanner...

Plus les questions fulminent dans ce BD, plus on y trouve du plaisir, et pire encore, l'auteur nous emballe de plus en plus dans des grandes surprises où les réponses ne sont que des nouvelles questions, on part d'une énigme à une autre. L'autre grande surprise est que les personnages ne semblent pas être ce qu'ils sont...

A chaque pas, un masque tombe...

« Vous devez expier vos abominations terrestres avant de connaitre la douleur éternelle du repentir en pleurant toutes les larmes de l'enfer », dit le docteur Johansson à XIII, en lui administrant un traitement électrique de choc dans son cerveau pour qu'il retrouve la mémoire !
Interné à l'asile de Plain Rock pour, soi-disant, avoir tué père et oncle, "Steve Rowland" clame son innocence, et surtout le fait qu'il n'est pas Steve Rowland.
« Toutes les larmes de l'enfer », c'est aussi l'évasion spectaculaire de XIII, toujours avec la complicité de Jones. Chaque retrouvaille avec cette Warrior, où, à chaque fois elle le sauve, donne lieu à un échange humoristique !
Enfin, Steve Rowland, « grâce » à Amos, devient Ross Tanner : )
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Toujours délicieux 😉

Toutes les larmes de l'enfer, un titre hollywoodien gonflé à la testostérone pour un album de XIII des plus durs et pour autant un épisode charnière de la série.
En effet, après les événements du tome 2 qui l'ont conduit dans un pénitencier de haute sécurité, XIII va passer ce tome-ci à rétablir sa situation pour relancer sa quête de vérité. Episode charnière s'il en est, on découvre ici qui sont les vrais amis du héros ; on découvre surtout que le danger, plus encore que dans le premier tome, est vraiment omniprésent et chaque personne croisée peut se révéler être un ennemi. La tension du récit est destinée à toujours être relevée d'un niveau !
Pour notre plus grand plaisir, le premier cycle (l'original, le seul, le vrai !) de la série XIII a pour clé de voûte cet épisode de Toutes les larmes de l'enfer. le cliffhanger de fin relance, comme l'habitude est désormais prise, notre intérêt ppour la suite. Incontournable !

Le tome 3 de la série nous emmène dans un établissement pénitencier psychiatrique.
Toujours autant de suspense, un rythme soutenu et des dessins réalistes.
Les douleurs, colères et émotions sont parfaitement illustrées.
Et comme d'habitude, une pointe d'humour dans le récit.
Vivement le tome 4.

A la fin du tome précédent, XIII alias Steve Rowland était condamné pour meurtre.
On le retrouve donc au début de ce troisième tome dans l'asile pénitentiaire de Plain Rock, un véritable enfer illustré par des dessins qui font sentir l'aridité et la dureté du lieu.
Il est en plus entre les mains d'un psychiatre sadique qui prend plaisir à lui administrer des électrochocs. Cela fait beaucoup penser au film Vol au dessus d'un nid de coucou, et il y a d'ailleurs une allusion à la page 18.
XIII va donc essayer de s'évader, sachant que de leur côté le général Carrington et le lieutenant Jones vont aussi essayer de l'aider.
Comme toujours à la fin de l'album, on est tenus en haleine par un nouveau rebondissement et une nouvelle piste sur l'identité de XIII.
La série est donc toujours aussi passionnante, et j'ai également aimé le titre très évocateur de cet album.

XIII commence vraiment à m'intriguer. Les deux premiers tomes servaient de mise en bouche mais avec le troisième je me sens déjà à la fin des hors-d'oeuvre et complètement emballée par le scénario pour tout invraisemblable qu'il soit n'en est pas moins addictif. Les dessins sont extrêmement soignés et les personnages bien campés dans leur rôle. Je viens à peine de tourner la dernière page que ‘ai déjà hâte d'emprunter le tome suivant…

Le moins que l'on puisse dire, c'est que XIII dérouille pas mal.
Le voilà-il-pas enfermé dans une prison pour fous criminels?
Même dans cet endroit infect et désespérant, notre amnésique n'est pas à l' abris: La mangouste se rappelle à son bon souvenir (!) en venant le narguer et lui promettre sa fin prochaine.
Rajouter dans ce bon plat épicé, un psychatre complètement allumé, un ado-tueur, un médecin naïf et amoureux et vous obtenez une intrigue de haute volée aussi captivante que haletante.
Et puis, les alliés de XIII possèdent pas mal de ressources fort utiles.

Atmosphère plus oppressante pour ce troisième volet de XIII, dont l'action se déroule majoritairement dans l'asile pénitentiaire où Rowland (qui n'est finalement pas Rowland) se retrouve emprisonné suite aux meurtres dont il est accusé (voir tome 2). Détenus psychopathes, médecin sadique, traitement par chocs électriques, XIII n'est vraiment pas à la fête...de nouvelles perspectives s'ouvrent cependant pour lui en fin d'épisode.