Si Van Gulik n'a pas écrit d'étude sur les trois religions chinoises (le confucianisme, le taoïsme et le bouddhisme) ce n'est pas, contrairement à ce que prétend John Blofeld, par ignorance des "questions fondamentales", mais plutôt, selon moi, parce qu'il était trop intelligent pour s'exprimer de façon intelligible sur des sujets qui, par leur nature même, ont tendance à échapper à notre entendement.
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En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.