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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
À paraître le 4 mai 2023.

1939, Tchécoslovaquie. Margit et Jànos sont deux enfants qui vont devoir grandir très vite à leurs dépends. Les bruits de bottes sont à leurs portes. Cachés dans un secrétaire, ils assistent, épouvantés, au viol de leur mère par un soldat nazi, leur père ayant un canon de revolver sur la tempe. Leurs parents embarqués, ils sont cachés pendant un temps chez des voisins, les Roth. Mais la peur rend impitoyable le maître de maison qui leur demande de partir. Ils vont errer en forêt, parcourir des kilomètres, braver les dangers, la faim et le froid avec ce mince espoir d'aller à Paris… Mais y arriveront-ils ?

Je referme tout juste ce livre, le coeur gros, complètement bouleversée par cette lecture. Même s'il s'agit d'un roman, il est inspiré par la véritable histoire des enfants de Selvino, un groupe d'enfants juifs (un peu plus de 800) secourus et logés dans cette ville italienne. SI je connaissais le sort réservé aux enfants, ayant lu bon nombre de livres à ce sujet, je n'avais pas entendu parler de Sciesopoli, l'orphelinat, ou de Moshe Zeiri, celui qui était à la tête de cette opération.

Tout mon respect à Rosa Ventrella qui a su si dignement écrire sur ce pan de l'Histoire afin qu'on ne l'oublie jamais.

Merci à NetGalley, ainsi qu'aux éditions Les Escales pour l'envoi de ce roman.


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Après la lecture de ce roman, comme pour beaucoup d'autres sur ce thème, que dire d'autre que la bien triste banale remarque : c'est triste, émouvant ! C'est tellement effroyable lorsque l'on sait que le sort de ces enfants orphelins tentant de survivre en se cachant et se réfugiant dans les forêts ou fermes est le fruit de la main de l'Homme . Que dire qui ne soit pas déjà dit ?
Et pourtant, et tant mieux, on reste ému et même admiratif par tant de courage et de force de la part d'enfants ! Les ressources ne sont cependant pas inépuisables et les drames arrivent. Drames qui s'agrippent et restent accrochés, collés à la peau toute la vie.
Rosa Ventrella, ici, nous accueille avec Margit et son petit frère János, qui vont eux-mêmes être accueillis par Frantz (15 ans) et d'autres petits enfants. Ils vont errer en Bohème à la recherche d'un lieu "sûr". Chacun de ces enfants emmène avec lui son lourd fardeau qui sera pour certains tellement lourd que la voix ne peut plus se faire entendre.
Cette traversée des forêts et des champs est évidemment poignante. Tirée d'une histoire vraie nous est-il dit, mais est-il besoin de le préciser ? on sait bien malheureusement que cet épisode de notre Histoire est bien réelle et qu'elle ne sort pas de notre imagination !...
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Voici mon retour de lecture sur Les enfants de Haretz de Rosa Ventrella.
1939. Margit et János coulent des jours heureux dans leur paisible ville tchécoslovaque.
Mais le jour où les nazis envahissent Prague, tout bascule. Âgés d'à peine onze et sept ans, leur enfance prend subitement fin.
Les premières parades nazies sont très vite suivies par des rafles. Des voisins les cachent toutefois, très vite, leur générosité se tarit et les enfants doivent fuir.
Commence alors une errance, avant la rencontre avec d'autres enfants qui traversent l'Europe pour rejoindre l'Italie.
Le charismatique Frantz, du haut de ses quinze ans, mène le voyage qui durera plusieurs années pendant lesquelles les six jeunes enfants apprendront à survivre et à se protéger mutuellement, comme une vraie famille.
En Italie les attend un groupe des militants qui accueillent des centaines d'enfants survivants de la guerre et des camps d'extermination, dans l'espoir de leur rendre leur enfance et de les amener sur la Terre promise.
Les enfants de Haretz est une extraordinaire épopée, d'autant plus bouleversante qu'elle s'inspire d'une histoire vraie ! Je ne connaissais pas du tout cette histoire, j'ignorais que des enfants avaient ainsi parcouru l'Europe avant d'être accueillis et secourus en Italie. C'est complètement dingue.
Et j'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette aventure pleine de dangers, en plein milieu de la seconde guerre mondiale.
Je connais énormément de choses sur cette guerre, qui me fascine. J'ai lu un nombre incalculables de romans, témoignages, sur cette période mais j'étais passé à coté de ce voyage et ces enfants.
J'ai été totalement captivée par ma lecture et très touchée par ces enfants. Bravo à l'autrice de nous restituer un pan méconnu de cette seconde guerre mondiale.
J'ai terminé ma lecture hier et j'ai toujours du mal à imaginer que des enfants aient pu faire un tel périple. Il en faut du courage, de la volonté. Incroyable !
Vous l'aurez compris, j'ai été très touché par Les enfants de Haretz que je vous recommande sans aucune hésitation, et note cinq étoiles.
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Margit a douze ans et son frère, Janos, a huit ans, quand leurs parents annoncent que les nazis sont aux portes de la ville. Nous sommes le 16 mars 1939, en Tchécoslovaquie. Quelques mois plus tard, les enfants apprennent qu'ils ne peuvent plus aller à l'école et leur père ne sort plus sans une étoile jaune sur son manteau. Un matin de l'automne 1941, ce dernier les informe que tous les Juifs sont convoqués au palais des Expositions, mais qu'ils n'iront pas : ils vont fuir. Tout est planifié pour le lendemain matin. Hélas, le soir même, les nazis frappent à leur porte. Les enfants sont cachés dans un meuble et les parents sont arrêtés. Quelques heures plus tard, des voisins viennent chercher les petits. Ils les installent dans une mansarde, accessible par une échelle et une trappe.


Lorsque la peur des nazis devient trop forte, monsieur et madame Roth ordonnent à Margit et à Janos de partir. Ces derniers errent dans la forêt, déterminés à rejoindre Paris, la peur au ventre d'être capturés par les Allemands. Ils traversent des villages, l'effroi et la méfiance chevillés au corps. Pendant leur périple, ils rencontrent d'autres enfants qui les accueillent dans leur groupe. Frantz, âgé de quinze ans, s'est attribué le rôle de guide. Son objectif est de sauver le plus d'enfants possible. Dans les bois, c'est une famille qui se crée et avance ensemble. Les enfants de Haretz raconte une tragique et bouleversante épopée, inspirée de celle des enfants de Selvino.


Dès le début, je me suis attachée à Margit et à son frère. J'ai été ébranlée par leur courage et par celui de leurs nouveaux compagnons de survie. Ces gamins, livrés à eux-mêmes, m'ont époustouflée par leur solidarité et leur maturité. J'ai été émue par leurs souffrances et par leurs épreuves, mais aussi par les drames qui ont jalonné leur terrible parcours. L'auteure n'a pas édulcoré la réalité, aussi l'expédition est, régulièrement, endeuillée. Attachée à tous, j'ai été éplorée par des évènements douloureux.


Durant leur interminable voyage, le nom de Moshe Zeiri, un soldat juif de l'armée britannique, est souvent évoqué. Cet homme, qui a réellement existé, a créé la Maison des enfants, à Sciesopoli, en Italie. « Il voulait rassembler des enfants et adolescents orphelins de la Shoah. » (p. 263) Il voulait les sauver de l'intérieur, leur offrir leur histoire, leur faire redécouvrir qui ils sont et leur offrir une renaissance en Palestine. Il a tenté de redonner espoir à plus de 800 enfants. J'ai été très touchée par ses actions humanistes. Les premières parties du roman décrivent la survie physique des enfants juifs, pendant la guerre ; la dernière dépeint celle de leur identité, de leur âme.


Les enfants de Haretz m'a bouleversée.


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Margit et Janós ont été élevés dans une famille juive et aimante. Lorsque la seconde guerre mondiale éclate, leurs parents font tout pour les protéger et les préserver. Mais quand les Allemands débarquent en Tchécoslovaquie, les parents de Margit et Janós les mettent a l'abri chez des voisins. Quand ils sont emmenés par les nazis, les enfants n'ont pas le temps de leur dire au revoir. Très vite, les voisins se débarrassent d'eux. Laissés livrés à eux-mêmes, Margit et Janós se lancent dans une fuite désespérée au milieu des bois.
C'est un coup de coeur.
Ce roman est raconté par Margit, comme si c'était une histoire vraie. Elle est, d'ailleurs inspirée de faits réels. La plume est très émouvante et j'ai aimé les petits dessins parsemés ici et là.
Margit est bouleversante de courage. Elle raconte avec pudeur mais franchise toutes les horreurs qu'elle a souffert avec son frère lors de son périple.
Impossible de rester insensible lors de ce récit. On voit dépérir ses enfants au fur et à mesure de leur fuite. On voit à travers leurs yeux, les atrocités de la guerre. On serait leurs désespoir, leur tristesse. On souffre avec eux. J'ai été révoltée de voir que quasi aucun adulte ne leur vient en aide bien au contraire.
Il faut avoir le coeur bien accroché lors de certains passages particulièrement durs.
Un livre terriblement émouvant que je vous recommande.
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Quelle autre solution que la fuite pour Margit et János quand, une fois leurs parents enlevés par les nazis, ils sont mis à la porte par les voisins qui avaient promis de les cacher ? Malgré l'aide ponctuelle de plusieurs personnes disposées à risquer leur vie, impossible pour eux de trouver un refuge durable, un endroit où attendre que la tempête passe et que le monde retrouve un sens. Lancés sur les routes, abandonnés à leur sort, obligés de se débrouiller seuls pour assurer leur survie malgré leur jeune âge, Margit et János traversent leur propre enfer, non pas dans un camp de concentration comme beaucoup d'autres, mais dans l'errance, connaissant la faim, la soif, l'épuisement, la crasse, la traque, la mort et la maladie. Qui restera-t-il au bout de ce chemin interminable ?

J'ai beau avoir lu énormément de romans sur la Seconde Guerre Mondiale et la Shoah, je suis toujours aussi bouleversée par chaque nouvelle lecture sur le sujet. Ici Rosa Ventrella prend un angle différent de celui dont nous avons l'habitude : Margit et János n'entreront jamais dans un camp, mais leur sort n'en est pas plus enviable pour autant. Ils croisent sur leur route de nombreux enfants dans le même cas, rendus orphelins par les exactions, les exécutions sommaires, les travaux forcés ou les conditions de vie impossibles. Réunis par les horreurs du destins, ces enfants parcourent ensemble les forêts de Pologne, espérant échapper au terrible Miller, responsable de la traque des juifs. le personnage de Frantz est particulièrement attachant, jeune homme assumant la responsabilité de cette petite troupe décharnée, malgré le poids de la perte de son frère, il leur apprend à survivre et parvient à leur insuffler un maigre espoir, indispensable pour continuer à aller de l'avant.

C'est un roman absolument bouleversant, qui m'a plus d'une fois amené les larmes aux yeux. Chapeau à l'autrice qui est parvenue à écrire cette histoire atroce sans pathos, sans rendre le tout larmoyant, mais en faisant affleurer avec beaucoup de véracité les sentiments de son héroïne à chaque ligne.
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Un récit fort, poignant et émouvant qui nous raconte le périple de deux enfants pour survivre en pleine seconde guerre mondiale.

Un frère et une soeur qui vont voir leurs parents emportés alors qu'ils sont eux-mêmes cachés dans un meuble. Ils seront ensuite secourus et cachés par des voisins mais, ces derniers prenants peurs, ils vont se retrouver livrés à eux-mêmes, en pleine forêt.

Des enfants qui nous touchent. On se retrouve complètement emporté par la plume de l'auteure dès les premières lignes. le chemin sera long, dur et terrible. Un voyage pendant lequel ils vont faire des rencontres et trouver de l'aide inattendues. Ils devront affronter de nombreux dangers extérieurs mais aussi faire face à la maladie.

A travers ses rencontres, on va découvrir la beauté comme la terrible cruauté de la nature humaine. Un récit basé sur des faits réels qui se dévoile à nous sans oeillère.

Des enfants qui ne sont au départ pas réellement conscients de ce qu'est la guerre. Ils vont apercevoir les camps et les fumées sortant des cheminées. C'est leur volonté de survivre qui les fait avancer. Ils seront vite accompagnés d'autres enfants, qui, comme eux, ont du fuir et se retrouvent livrés à eux-mêmes.

Ils subiront de lourdes pertes et même s'ils perdent un peu de leur courage, je n'ai, à aucun moment, cessé d'être admirative devant leur bravoure et tout ce qu'ils représentent. L'auteure nous fera aussi découvrir l'après et la difficulté de reconstruction.

Un joli coup de coeur pour ce roman à la fois beau et terriblement dur.
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Margit et János, respectivement 11 et 7 ans, vivent comme des enfants de leur âge, en 1939, en Tchécoslovaquie, dans une famille aimante. Mais avec l'arrivée des Nazis, tout bascule. Cachés dans un placard, ils assistent en silence à l'arrestation de leurs parents. D'abord cachés chez leurs voisins, leur générosité et la peur prennent le dessus, ils doivent donc fuir. En pleine forêt, ils découvrent enfin qu'ils ne sont pas seuls au monde. Un groupe, mené par Frantz, 15 ans, tentent de fuir aussi, direction l'Italie. Avec courage, nous assistons à leur voyage de plusieurs années, rempli de peur, colère, entraide…

Tout d'abord, même si ce livre est un roman, il faut savoir qu'il est inspiré d'une histoire vraie. Dès les premières pages, j'ai été happée par l'histoire, impossible de m'arrêter. Encore une fois, je découvre des pans de la Seconde Guerre Mondiale que je ne connaissais pas.

C'est un livre très dur, rempli d'atrocité et pourtant, je n'ai jamais cessé d'espérer avec eux six. On a du mal à se demander comment des enfants si jeunes ont pu résister à la peur, le froid, la faim, la maladie. Je n'ai pas honte de dire que mes larmes ont coulé plusieurs fois tout au long de ma lecture.

Je me suis attachée à Margit, János, Frantz, Thomas, Joseph, Přežil, Ruth, j'ai essayé de leur donner de la force, comme si cela pouvait changer quelque chose, je les ai aimé, de toutes mes forces, réellement, sincèrement. Ces petits-bouts, si attachants, si courageux, si adultes alors qu'ils n'étaient que des enfants.

J'ai fini ce livre, avec des larmes, en me demandant encore et toujours, pourquoi ? Pourquoi tant d'inhumanité ? Pourquoi tant de haine ? Et je me dis qu'il faut lire, en parler, encore et toujours. Pour le devoir de mémoire, pour que cela ne recommence jamais.
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Margit, onze ans et son petit frère János, sept ans, sont en fuite dans la forêt. Ils sont Tchécoslovaques et veulent rejoindre Paris, pensant que les retrouvailles avec leurs parents, raflés, se feront là-bas. Ils y rencontreront un groupe d'autres enfants, dirigés par Frantz, un adolescent en fuite également, qui les accueillera. Celui-ci veut aller en Italie, les rumeurs courent que là-bas, les enfants sont sauvés.

Malgré cette fuite dans la forêt, Margit a réussi à grandir. Son corps se développe malgré sa maigreur extrême. Elle  découvre des sentiments amoureux qui ont commencé à fleurir en elle. Dans cet environnement hostile, elle doit endosser à la fois le rôle de figure maternelle pour son frère János et celui d'une jeune femme en devenir.
Son petit frêre représente son équilibre, son objectif de survie. Ce jeune garçon vaillant et brave lui donne la force de continuer, malgré les obstacles.

János incarne la résilience et le courage dans des circonstances impensables. Il est un pilier de soutien pour sa soeur, et leur lien fraternel est une source d'inspiration. Je suis très admirative de ces deux personnages.

Je suis profondément touchée par ",Les enfants de Haretz", une fiction inspirée de faits réels. Je ne peux qu'applaudir l'autrice pour la manière dont elle a si habilement retranscrit les émotions et la fuite dans la forêt, si magnifiquement décrite. À un moment donné, je me suis même demandé si cette histoire était vraie.
Ce roman m'a ému à plusieurs reprises. Mon coeur de maman se serrait à certains passages, lorsque j'imaginais ces enfants seuls, en fuite, confrontés à l'horreur de la guerre et persécutés parce qu'ils sont juifs.

Il m'a fallu beaucoup de temps pour le lire, car il était vraiment captivant et parfois j'avais besoin de quelques jours pour me reprendre. Ce livre m'a véritablement fait pleurer à chaudes larmes à certains passages. Mais je suis parvenue à le terminer, et même s'il ne s'agit pas d'un coup de coeur, ce livre laissera une empreinte indélébile dans mon esprit et un bouleversement profond dans mon coeur.

Merci, merci pour ce livre. Même s'il ne s'agit pas d'un témoignage réel, pour moi, ce livre contribue à un devoir de mémoire.
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Fermer ce livre et pousser un long soupir.
On va le dire tout de suite: ce livre est DUR de la 1ère à la dernière page.

Quelle leçon de courage que le parcours de Janos et Margit, et de tous les enfants qu'ils croiseront, dont ce livre relate l'histoire. Histoire inspirée de l'histoire vraie d'enfants juifs tchécoslovaques pendant la Shoah.

Leurs parents arrêtés violemment devant eux, les enfants partent sur les routes tchécoslovaques et polonaises pour échapper aux nazis. 

3 années d'errance au cours desquelles ils vont croiser l'amitié, la solidarité et l'amour. 

3 valeurs qui vont aider ce frère et cette soeur à survivre dans le froid, la faim et la violence.

Lire ce livre c'est s'interroger sur la force de ces enfants juifs. Comment ont-ils réussi à survivre, seuls, sur les routes, dans les forêts, qu'il pleuve, qu'il neige ou qu'il fasse beau. Ils ont enduré, avec force, ce à quoi beaucoup d'adultes n'auraient pas survécu.

La dernière partie du livre relate l'histoire de la maison des enfants de Sciesopoli en Italie dans laquelle Moshé Zeiri a regroupé des enfants juifs, majoritairement orphelins, ayant survécu à la Shoah avant de les envoyer en terre promise se reconstruire. La maison des enfants de Selvino à Sciesopoli est un lieu de mémoire et d'espoir aujourd'hui.

Ce livre est à lire, à garder ou à prêter pour que le travail de mémoire se fasse.

Il raconte sans artifice l'inimaginable, l'inénarrable d'un épisode de l'histoire qui ne doit pas se renouveler.

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