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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Notre monde : au fond d’une mine d’etherium, dans l’explosion d’une poche de gaz les ouvriers sont terrifiés par l’ombre d’un iguane géant. Vallée des Rois : le pays est mis en coupe réglée par un Roi Virgil au bord de la folie pour financer une grande guerre contre un autre monde qui n’est incarnée que par la présence de Richard Aldana qui vient tout juste de se faire la malle…

La 1ère partie est excellente avec un Richard Aldana en cavale poursuivis par tout un royaume, et qui trouve des alliés plus qu’inattendus avec Maître Jansen qui ressemble de plus en plus à Chuck Norris, Marie-Hélène Sakova qui ressemble de plus en plus à Demi Moore, et par Luca Wilde le Nick Fury de petite taille qui dirige les mystérieux boucaniers interdimensionnels appelés « Aigles Rouge » (remember les pirates de "Time Bandits" et des "Mondes engloutis"). Il pourrait passer sans encombre dans notre monde, mais la vengeance l’anime et c’est plus fort que lui : c’est parti pour une baston dantesque entre Richard Aldana et le Général Morgan épaulé par Elorna et Gregorio ! (et notez bien que Gregorio s’élance à la rescousse d’Elorna qui a franchi la porte des mondes, alors que dans le tome 11 c’est l’autre homme de sa vie qui va s’élancer à sa rescousse quand elle franchira dans l'autre sens la porte entre les mondes)

Je n’ai pas du tout aimé la 2e partie : on est toujours à fond dans les années 1980 / 1990 avec le punk trash de "RanXerox" et "Sin City", où Elorna et Gregorio découvrent notre monde en compagnie d’une faune de péripatéticiennes toutes plus chelous les unes que les autres, la compagnie étant guidée par une caricature de shérif redneck qui n’est pas sans rappeler son homologue raciste de "Vivre et laisser mourir" et "L’Homme au pistolet d’or". Tout ce beau monde finit chez un maquereau sado-maso fournisseur en chef des perversités de la ploutocratie mondialisée. Bref j’ai détesté et cela continue dans le tome suivant, fort heureusement la quête de Richard Aldana est fortement chargée en émotions : après 10 ans de désespoir il retrouve le Nouvel Espoir, et ses retrouvailles avec son ancien padawan prennent la forme d’une magnifique double page où le temps suspend son vol… Sur l’autoroute de la supracoolitude, j’ai failli dérapé à cause de Balak, Michaël Sanlaville et Bastien Vivès ! Oh Yeah !!!
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Lastman tome 7 m'a laissé perplexe. La compréhension s'est éclaircie après la lecture du tome 8. Une multitude d'événements se déroule dans cet épisode, rendant un simple résumé insuffisant. Après la conclusion du cycle, l'histoire avance de 10 ans.

En définitive, un tome plaisant, moins intense et tendu, qualifiable de transition, mais qui redistribue les cartes et positionne judicieusement les éléments pour la suite.
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