Bien manger, et boire encore mieux, relâche les sphincters de l'âme, désoriente la culture répressive, qui en perd le nord, et conditionne l'apparition d'une communicabilité qu'il ne faut pas galvauder.
Une autre considération obligée se rapporte au plaisir. Tout plaisir est joyeusement immoral [...].
Et l'affaire est bien plus immorale lorsqu'il s'agit d'additionner ou de combiner deux plaisirs aussi extręmes que bien manger et bien aimer.