Réconcilié avec
Werber
Après avoir dévoré
la Trilogie des fourmis, "
Le papillon des étoiles" et "
Les thanatonautes", "
Le père de nos pères" avait radicalement stoppé mon intérêt sans comprendre comment un auteur pouvait à la fois autant me captiver et m'ennuyer au point de lâcher un roman au bout d'une centaine de pages. Depuis, je cultive une certaine méfiance pour
Werber.
Or, cadeau de vacances, "
Le sixième sommeil" débarque dans mon quotidien. Après plusieurs années d'abstinence, c'est tout compte fait avec plaisir que j'attaque le récit, mais pas sans appréhension.
Et bien, bonne surprise ! Cette plongée dans les rêves m'a de nouveau diverti. Hypnos n'a pas l'impact de Thanatos, mais
Werber a renoué avec le genre que j'affectionnais tout particulièrement chez lui, l'anticipation, la vision d'un possible. du coup, ça me fait rêver ce genre de truc... j'vais p'tèt même m'acheter un p'tit carnet à poser près de mon pieu.
Pas ce que j'ai préféré, mais j'ai bien apprécié.
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