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Citations sur Un loup chasse l'autre (10)

Je ne vis réellement Wittburg que le lendemain matin (…) ; la localité n’avait pas tout à fait neuf mille habitants, dont trois mille cinq cents étaient employés à l’usine de chaussures McIntyre. Les cinq mille cinq cents autres étaient utilisés par les premiers en qualité de plombiers, médecins, menuisiers, épiciers, épouses, instituteurs et livreurs. L’usine de chaussures était donc la seule raison d’être du patelin.
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Je posai une main sur mes yeux et m'efforçai de penser. Bon Dieu ! J'arrivai à voir clair dans Hegel, alors pourquoi pas dans notre affaire ? (page 124)
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–Oui, monsieur, dis-je, je suis Paul Standish, bien connu pour ses sarcasmes et ses fanfaronnades, l’agitateur syndicaliste dont votre fille entretient ses lecteurs. Avez-vous lu son article ?
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–Tu n’es qu’un blanc-bec de Washington qui se croit très malin et qui s’imagine pouvoir s’en tirer au baratin. Ton gangster de copain, on le tient toujours.
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— Est-ce que tu m’aimes ? me demanda-t-elle doucement.
— Je ne sais pas.
C’était la vérité. J’étais trop ahuri pour comprendre, et j’avais répondu tout à trac, sans réfléchir.
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Elle était de ces femmes minces et élancées, à l’air délicat, aux mains fines et pâles, dont l’apparence est parfois trompeuse. C’est le type à la peau mate, tendue sur des pommettes prononcées, au menton droit et bien dessiné et aux tempes étroites. Elles semblent ne jamais vieillir.
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Quand on veut atteindre un but, il y a deux méthodes : la meilleure et la pire, et entre les deux, toute une série de méthodes plus ou moins médiocres. Dans notre affaire, celle que vous choisissez me paraît la pire.
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La confiance en soi y était toujours, dans le port de tête et les épaules droites, dans le sourire un peu tendu ; mais, pas de doute, les années l’avaient aigri. J’observai bien son visage : il n’avait certainement pas renoncé à ses rêves ni à l’image qu’il se faisait de lui-même ; c’était un homme encore jeune et qui voulait le rester.
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Quand on commence ses études supérieures trop tard – après avoir traîné un an à la sortie du lycée, et tiré trois ans de service militaire, on entre à l’université à vingt et un ans – il se produit une sorte de régression. On se trouve en effet dans un milieu fait pour des gens de dix-sept ou dix-huit ans, on s’adapte petit à petit, et finalement la maturité vous vient avec deux ou trois ans de retard.
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Quand son visage adoptait le masque de l’homme d’affaires, tout ; même son charme, devenait postiche ; le sourire était machinal et l’emploi du prénom n’était plus qu’un truc. Je crois bien que c’est ce qui me le rendit si sympathique.
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