— Dis, Papy... tu crois qu'une cité volante existe pour de vrai ?
— Tu veux dire, comme celle dans vos livres ? Tu en as lu un à Pip et Mem hier. C'est pour ça que ça te travaille ?
— Moui. On peut dire ça. Mais surtout, j'ai parfois l'impression qu'il y a quelque chose au-dessus de nous et que nous sommes tout simplement incapables de le voir.
Vous l’avez fessée jusqu’aux larmes… et en plus, vous l’empêchez de faire ce qu’elle veut ? C’est pas normal du tout !
Leana : Mon séant...bouh...il a subi deux cents fessées...bouh...
Lashil : D...deux cents ?!
Löw : C'est tout du moins ce qui était prévu. Mais j'ai jugé préférable d'en rester à vingt.
Leana : J'ai mal. Bouh... Si mal que je pourrais croire que mon fessier est fendu en deux.
Löw : Votre fessier était déjà fendu en deux dès votre naissance...Majesté.
J'ai parfois l'impression... Qu'il y a quelque chose au-dessus de nous. Et qu nous sommes tout simplement incapables de le voir.
J’ai voulu voir de mes yeux les douze autres espèces non-humaines, les montagnes qui dominent solennellement le monde, les sept mers aussi vastes qu’impétueuses, les bois abyssaux, où les hommes n’ont pas le droit de pénétrer, et ce fleuve au cours si violent qu’il charrie même une île. La chaîne des monts enflammés, dont on entend encore les échos et les dunes désertiques irradiant l’iris. Sans oublier la cataracte d’or, qui se hisse vers le firmament. j’aurai voulu voir tout cela, toutes ces choses qu’on ne trouve pas chez moi. Car notre pays n’est que machines et métal.