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****

Au 17 Swann Street, les filles vivent en communauté. Elles dorment, mangent, se promènent, prennent des cours d'art plastique ou encore de musique, partagent des collations. Elle s'entraident, se soutiennent, s'épaulent. Mais elles suivent aussi les directives des thérapeutes, nutritionnistes ou encore des psychiatres. Elles pleurent, souffrent, se mutilent même parfois. Au 17 Swann Street, les filles combattent l'anorexie...

Yara Zgheib signe ici un premier roman tout aussi touchant qu'instructif.

L'anorexie est une maladie terrible, où l'isolement et l'incompréhension des proches sont des facteurs aggravants. Dans ce centre qui traite les troubles alimentaires, les filles font preuve de bienveillance. Souvent trop faible pour aider ou se lier d'amitié avec d'autres, les filles du 17 Swann Street se promettent de ne jamais se juger.

Et c'est sous leur regard, leur terrible souffrance, qu'on apprend leur quotidien. Entre culpabilité, dégoût, ou négation de soi-même, ces filles luttent à chaque bouchée. Chaque cuillère avalée est une victoire. Mais rien n'est jamais acquis, elles ont l'humilité des femmes fragiles et courageuses....

Les filles du 17 Swann Street est une leçon de vie... Un hymne à l'amour et à la volonté de vivre... Quoiqu'il en coûte...

Un grand merci à NetGalley et aux Éditions JC Lattes pour leur confiance...
Lien : https://lire-et-vous.fr/2020..
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Les filles du 17 Swann Street Yara Zgheib J.C Lattès Octobre 2019
#LesFillesDu17SwannStreet #NetGalleyFrance

Le 17 Swann Street, une maison médicalisée pas comme les autres! 7 ou 8 jeunes femmes y séjournent, leurs journées sont bien remplies pas question pour elles de faire un écart!
Le 17 Swann Street c'est pour certaines la seule solution voir l'unique solution pour combattre leur pathologie. Ces jeunes femmes souffrent d'anorexie...
Yara Zgheib est passée par là. Pour toutes celles qui souffrent de cette maladie, elle a décidé de partager son vécu. Elle le fait bien et Anna ne peut pas laisser indifférente, pas plus elle qu' Emm, Valérie, Sarah ou les autres?
Ce roman se veut à la fois optimiste et didactique pour les malades, pour leur entourage. J'en ai apprécié la forme, l'écriture, la double narration Anna et le narrateur accompagnant. Ni trémolos, ni pathos mais un texte qui fait mouche .
Un grand merci aux éditions J.C Lattès pour ce partage.
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Anna a tout pour être heureuse. Elle est danseuse, mariée à Matthias, et bien dans sa peau. Pourtant, tout va basculer du jour au lendemain. Elle va se blesser et devoir abandonner la danse. Lorsqu'elle va suivre son mari à New York, elle va tomber dans les affres de l'anorexie. Un long combat va alors commencer pour elle et pour son mari, avec un internement au 17 Swann Street, maison spécialisée dans le traitement de cette maladie.

Ce roman a été un véritable coup de coeur. Je suis sortie totalement remuée de ces pages et je n'avais pas du tout envie de quitter Anna et les résidentes du 17 Swann Street tant j'avais envie de les aider. La thématique abordée dans ce roman est délicate et dure. L'auteure n'a pas choisi la facilité, et pourtant elle s'en est sortie avec brio.

De manière pudique, mais surtout, toujours avec positivité, l'auteure va nous décrire les affres de cette maladie. Elle va mettre en avant le combat que mènera Anna, mais ne va pas laisser de côté ses proches, qui sont souvent les oubliés de ces drames. En effet, j'ai aimé la perspective qu'elle va donner à son récit. La peine du mari et du papa d'Anna est mise en avant et l'auteure mettra en exergue les difficultés qu'éprouvent les proches des victimes, en essayant de les aider. Cela m'a énormément touchée et j'ai versé plusieurs larmes durant ma lecture.

Le personnage d'Anna m'a extrêmement touchée mais le personnage de Matthias m'a également marquée. Il est constamment aux côtés de sa femme, même si elle ne veut pas y croire, même si elle a tendance à penser qu'il gâche sa vie. L'amour est bien plus fort et Matthias va tenir le coup. J'ai trouvé cette histoire d'amour magnifique. Malgré les difficultés, ils tiennent le coup ensemble. L'auteure a également voulu montrer l'importance de la présence des personnes aimées en cas de coup dur. Elles sont en effet essentielles à la reconstruction et à la guérison.

Je me suis totalement immergée dans ce microcosme proposé par l'auteure. Les filles du 17 Swann Street m'ont profondément émue, touchée. La bienveillance qui émane de ce récit est un veritable baume au coeur. Malgré la thématique difficile et quelques passages vraiment durs, il y a toujours au fil des pages une petite touche positive. L'auteure ne tombera jamais dans le pathos et c'est essentiel.

La plume est délicate et emplie de sensibilité. L'auteure a choisi de découper son récit en beaucoup de courts chapitres, ce qui rend la lecture très difficile à arrêter, tant cela dynamise le roman. J'ai dévoré ce livre.

Un roman abordant une thématique des plus délicates et très dure, mais toujours avec un touche de positivité et sans jamais tomber dans le pathos. J'ai été en immersion totale et je suis ressortie de ma lecture chamboulée et profondément émue. Un véritable coup de coeur.
Lien : https://mavoixauchapitre.hom..
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Anna intègre un centre de traitement des troubles du comportement alimentaire : anorexie et boulimie.
Ancienne danseuse à l'Opéra de Paris, elle a petit à petit supprimé l'essentiel de son alimentation, développant un dégoût pour la graisse sous toutes ses formes et une image négative de sa propre personne.
Son mari est resté longtemps dans le déni et c'est la confrontation avec le reste de la famille qui sera le déclencheur de la prise de conscience du caractère morbide de cette non-alimentation.
La prise de conscience est surtout celle de son mari car Anna est prise de violentes crises d'anxiété à chaque bouchée que lui impose sa nutritionniste. A l'aide des autres femmes accueillies dans ce centre, elle va comprendre les enjeux et trouver la force pour s'en sortir même si parfois le prix à payer lui semble disproportionné.
Un beau témoignage dans lequel pour autant je n'ai pas retrouvé la force narrative de Jours sans faim de Delphine de Vigan
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Des livres sur l'anorexie, j'en ai lu des tas. La jeune ado de 12 ans qui arrête de manger, celle de 15 ans qui pèse 30 kg et doit à tout prix être nourrie par sonde, celle qui arrête de manger parce qu'elle a été abusé, et j'en passe. Mais ici, quelque chose change. L'héroïne n'a pas 12 ans. Elle en a presque 30. Et oui, elle ne mange plus. Mais pas pour embêter maman. (Oui, il y a eu un long moment où la mode psychiatrique était de dire que c'était la faute de la relation à la mère. Comme toutes les difficultés psychiques d'ailleurs…). Non, c'est bien plus profond. C'est juste qu'à force d'avoir l'habitude de ne plus manger, de compter les calories, d'avoir un comportement et des pensées dysfonctionnelles, Anna se retrouve coincée. J'ai vraiment aimé cette façon de relater les choses, qui explique aussi la dimension comportementale du trouble, au lieu de ne s'intéresser qu'à la difficulté cognitive.

Malgré tout, ne fuyez pas, ça n'est pas un livre psychoscientifique, mais bien un roman. Un roman dans lequel on s'attache aux personnages dont on découvre l'histoire peu à peu. Un roman avec des moments amusants, émouvants, tragiques. Un roman où parfois, je l'avoue, j'aurai voulu plus. J'ai longtemps oscillé entre la sensation que c'était vraiment très maîtrisée, et pourtant inabouti parfois. Alors, pour une fois, j'ai ressenti le besoin de rechercher quelques informations sur l'autrice. Et comme je le présentais, elle a elle-même souffert d'anorexie. Puis elle a fait des recherches pour compléter ce qu'elle savait de l'intérieur, sur les traitements, sur les autres TCA. Ce qui fait que nous avons cette vision, certes subjective, mais aussi assez étoffée par rapport à ce que l'on pourrait attendre d'un roman de ce type.

Mais il ne faut pas oublié que cela reste un roman, et bien entendu, il faut un début, un milieu, et une fin. Or, une fin, dans l'anorexie (et non, je ne fais pas de jeu de mots psychanalytique), c'est assez compliqué, puisque c'est un problème qui reste sous-jacent toute la vie. Alors n'attendez pas de fin heureuse, avec une résolution parfaite. N'attendez pas non plus une fin tragique et noire, sinon ça sonnerait le glas de toutes les tentatives de traitements pour ces femmes – et ces hommes, même s'il n'y en a pas dans ce livre -. C'est plus pondéré, mais il y a une fin, et j'ai bien apprécié de ne pas quitter les personnages sans savoir.

Ce n'est pas un livre amusant. Ce n'est pas un livre tragique. C'est un livre émouvant, dans lequel vous vous attacherez tellement aux personnages que vous leur transmettrez force, et espoir. Et oui, je sais bien que la fin de livre est écrite avant même qu'on le lise, mais en fait, tant pis, j'ai envie de croire que toute la force qu'on envoie à ces filles aident, un petit peu…
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La maladie s'est installée insidieusement. Elle a pris possession progressivement du corps et de l'esprit d'Anna, vingt-six ans. Ce sont d'abord quelques aliments que l'on ne mange plus, un mal-être qui s'installe. Puis manger devient une angoisse permanente et la culpabilité affleure à chaque bouchée avalée. Il y a le déni, les os qui saillent, les robes que l'on n'ose plus porter.  

Lorsque Matthias découvre sa femme inanimée dans leur appartement, il prend conscience que sa vie est en péril. Anna accepte enfin de se faire aider et emménage alors dans la maison du 17 Swann Street aux côtés de Valérie, Julia et Emily.

Un face-à-face s'amorce avec la maladie. Une lutte longue, difficile, avec des pas en avant et des rechutes. Certaines reprennent une vie normale, d'autres ne s'en relèvent jamais. 

Le récit alterne entre le passé d'Anna et son séjour au 17 Swann Street. Il y a la vie d'avant, Paris, la danse. Puis l'opportunité pour Matthias, le départ pour les Etats-Unis, la solitude.  

Chacune affronte ses démons et les liens se tissent avec les autres pensionnaires. Anna peut compter sur le soutien de sa famille et l'amour de son mari. Mais cela sera-t-il suffisant pour que la jeune femme parvienne à se reconstruire?   

Les mots de Yara Zgheib, qui font écho à son histoire personnelle, racontent avec justesse les souffrances de ces femmes atteintes de troubles alimentaires. le récit est poignant mais aussi plein d'espoir.   

Un roman captivant et fort qui évoque le douloureux combat d'une femme contre l'anorexie.  
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= L'anorexie.=

‘‘Je ne souffre pas d'anorexie, je suis anorexique. Ce sont deux états différents. Je connais mon anorexie. Je la comprends mieux que le monde qui m'entoure. le monde qui m'entoure est obèse, du moins la moitié. L'autre moitié maigre. Les valeurs sont superficielles, alors que les repas sont copieux et riches en sucre. Les normes, comme les portions, ont doublé. le monde est surpeuplé et solitaire à la fois. Mon anorexie me tient compagnie, me réconforte. Je peux la contrôler, je l'ai choisie.''

Anne Roux, jeune femme de 26 ans sait qu'elle est anorexique, elle ne le nie pas, mais elle pour elle ce n'est pas une maladie.
Elle est fraîchement mariée avec Mathias, l'homme de sa vie.
Ce dernier va décider avec elle qu'il est temps d'intégrer un institut spécialisé. Il a tout essayé pour l'aider, mais à part la voir s'enfoncer chaque jour davantage dans sa maladie, il reste impuissant.

Et c'est le coeur lourd et douloureux qu'Anna va emménager dans la chambre numéro 5 du 17 Swann Street, une maison réunissant un panel de professionnelles de santé spécialisé dans les troubles alimentaires.

Un roman profond, attendrissant, mais aussi très sérieux.
Le lecteur sera plongé au coeur d'un groupe de femmes souffrant d'anorexie, de boulimie et autre maladie mentale touchant l'alimentation.

Des femmes qui se battent au quotidien, tantôt fort, tantôt faible, mais qui vont s'entraider dans cette longue épreuve.

A la lecture, j'ai pu constater que l'autrice a bien documenté son histoire. Il est indéniable qu'elle a fait beaucoup de recherche et s'est documentée sur le sujet qu'elle expose sous forme d'histoire sans tomber dans le pathos.

Une histoire qui vous emporte dès les premières pages et dont vous aurez du mal à vous séparer tant que vous ne l'aurez pas fini.

Un gros coup de coeur pour moi, un livre à lire absolument et qui vous ouvrira les yeux sur certains aspects méconnus de cette maladie.

Une plume envoûtante, magnifique, qui fait que cette histoire ne vous laissera pas indifférent et ce bien longtemps après lecture.

Lien : https://livresdeblogue.blogs..
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J'ai beaucoup aimé ce roman / documentaire sur les troubles alimentaires et surtout l'anorexie. Anna nous raconte sa maladie, son évolution et son combat contre cette maladie sournoise. On y apprend des informations, on approche les émotions de ces victimes. Un livre émouvant.
http://passeuredelivres.over-blog.com/2019/10/les-filles-du-17-swann-street-yara-zgheib-jc-lattes.html
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J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman, qui se lit très rapidement, et contient ce qu'il faut d'émotions et d'explications pour nous faire réaliser l'ampleur de l'emprise de l'anorexie mentale sur une personne.

J'avais un peu peur de ce roman, je l'avoue. Un roman sur l'anorexie mentale promettait une lecture poignante, et les troubles alimentaires me parlant tout particulièrement, j'avais peu d'affronter l'aliénation qu'ils pouvaient engendrer. Et j'ai rapidement été rassurée, bien heureusement. A aucun moment l'autrice ne porte de jugement de valeur envers les personnes atteintes de troubles alimentaires, ou leurs proches. Et à aucun moment le livre ne tombe dans le pathos; les émotions sont bien présentes, comme chaque roman touchant à des états de santé graves, mais n'en devient pas larmoyant.

Ce roman nous plonge dans les pensées et les émotions d'Anna, qui se retrouve intégrée au centre du 17 Swann Street. Elle sait qu'elle a un problème avec la nourriture, mais ne réalise pas à quel point. Toute l'intelligence du livre réside dans les choix d'écriture de Yara Zgheib, qui, via des éléments médicaux, et le point de vue de ses proches, nous fait réaliser à quel point l'état physique et mental d'Anna est grave. J'ai trouvé le déni d'Anna envers sa maladie très impressionnant, et la manière insidieuse dont la maladie prend le pas sur sa personnalité et sa vie très flippante. L'autrice utilise différentes temporalités pour appuyer son propos, et même si cela casse parfois le rythme du roman, cela aide totalement le lecteur à réaliser la manière dont l'anorexie mentale devient partie intégrante de la vie d'une personne.

Le roman n'est, malgré son efficacité, pas parfait. Un premier bémol réside selon moi dans le traitement des personnages secondaires. J'aurais aimé découvrir plus en détails l'entourage proche d'Anna, et leur manière d'appréhender sa maladie, qui est trop peu développée à mon goût.
Et de même, j'aurais aimé connaitre un peu plus les autres résidentes du 17 Swann Street, et que les modalités de traitement des résidentes dans le centre (nutritionniste, psychiatre, etc.) soient plus approfondies. Cela aurait peut-être sorti le lecteur du propos principal du roman, mais j'avoue que ça m'a un peu manqué, car je suis restée sur ma faim à ce niveau. La fin du roman était trop brutale pour moi, et j'aurais également apprécié un épilogue un peu plus long, même s'il était compliqué de le rédiger.

Je vous conseille très vivement de lire Les filles du 17 Swann Street, qui est pour le moment le seul livre m'ayant fait vivre l'anorexie mentale, et m'ayant fait réaliser l'ampleur de la gravité de cette maladie, et particulièrement son impact mental. Une petite pépite !
Lien : https://matoutepetiteculture..
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Quand manger est une souffrance...

Anna a 26 ans. Elle est danseuse à l'Opéra de Paris. Enfin, elle était danseuse car elle a suivi son mari Matthias aux États-Unis.
Maintenant c'est au 17 Swann street qu'Anna vit. Mais pas avec l'homme de sa vie.
Car au 17 Swann street, il n'y a que des femmes, des filles...
Cette maison rose n'est pas tout à fait comme les autres maisons du quartier.
Au 17 Swann street ne vivent que des filles ayant des troubles alimentaires.
Anna, 26 ans, 1m62, 39 kg... Anna est anorexique.

Nous voilà plongé dans le quotidien de ces femmes qui se battent contre la maladie.
Il y a Emm, la cheffe du groupe, Julia la pétillante toujours affamée et Valérie, si timide et effacée.
Ensemble elles vont lutter. Ensemble elles vont devoir faire face à 6 repas quotidiens.

Quelques mois dans la vie d'Anna. Quelques mois qui vont tout changer.
Difficile de comprendre pourquoi un bagel au fromage devient une torture, comment un simple yaourt peut déclencher de telles angoisses.
Le 17 Swann street est tout autant un lieu de frayeurs, de privations de liberté, de violences psychologiques que d'amitiés, de bienveillance, d'espoirs...

C'est ce que nous raconte Yara Zgheib, en toute simplicité et pudeur.
Je me suis laissée porter par cette histoire dès les premiers mots.
La plume est fluide, l'intrigue captivante. J'ai dévoré ce roman en deux petites soirées.
J'ai, à de nombreuses reprises, eu une boule dans la gorge c'est vrai. J'ai quelques fois eu envie de secouer Anna.
Parce que, parfois, je ne comprenais pas. Comme ses proches, si impuissants et brisés eux aussi, je ne comprenais pas.
Mais j'ai été bouleversée. Par chaque page, par l'histoire d'Anna, par les histoires de ces femmes cabossées par la vie et qui luttent contre leurs démons.

Il ne s'agit pas d'un roman sur l'anorexie ou les troubles alimentaires en général, mais l'histoire d'une femme forte, courageuse, qui va devoir retrouver le goût de vivre en même temps que celui des aliments.

J'ai beaucoup aimé ce roman qui paraît le 2 octobre.
Merci à Babelio et aux éditions JC Lattès pour cette découverte lors de la masse critique.
Lien : https://demoisellesdechatill..
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