Ce n'est pas de gaieté de cœur que nous avons pris cette décision, croyez-moiYusra, nous en avons longuement discuté, mon épouse et moi.
Et...
Nous ne souhaitons pas garder cet enfant.
Reprenez le !
Comme ma mère avait coutume de le dire :
"S'il reste de l'eau dans ton arrosoir, c'est qu'une fleur sauvage, quelque part, a soif."
(page 52)
Les enfants ne fatiguent jamais les personnes âgées. Ils leur donnent des regrets parfois. Mais ils ne les fatiguent jamais.
(page 29)
Je fais peur aux enfants. Je torture les gens. Et on me paie pour le faire !
(paroles de dentiste)
(page 24)
- Il a un de ces regards !
- Il a le regard d'un enfant qui n'a pas eu d'enfance.
(page 21)
Sachez, cependant, frère adoptif indigne, que les garçons du lycée s'étriperaient pour sentir mes lèvres parfumées se poser sur leur peau "clearalisée" !
(page 19)
Mon pauvre Romain, un jour tu oublieras tes doigts dans la bouche d'un de tes patients !
(page 18)
On a accueilli cet enfant. On lui offre un foyer, on lui donne tout notre amour...Et voilà comment il nous remercie...
- Il a passé la moitié de sa vie en enfer ?..."
- Oui eh bien, maintenant, l'enfer, il l'a ramené chez nous !
- Je suis comme... désorientée, Giacomo. Vois-tu, Wajdi semble répugner au moindre contact physique.
Et moi, tu me connais, je suis très "touche-touche".
- Il a peut-être été victime de violences physiques. Qu'est-ce que vous en savez, après tout, de la vie de ce gamin.
- Pas grand-chose.
4800 kilomètres...non mais tu te figures, Ess ?
- C'est la distance entre Nantes et Dakar.
Il n'y a que les héros pour entreprendre un voyage pareil !
- Les héros et les gens désespérés.