Ce texte est d'une ineptie sans nom !
Comment
Zola peut-il donner une véracité à l'imprégnation !!! Pour un auteur qui se flatte d'être naturaliste et avoir si peu le sens de l'observation, c'est un comble...
Vous me direz, c'est une oeuvre de jeunesse, mais tout de même c'est énorme, et je ne parle pas des nombreuses situations où le hasard intervient, là cela devient délirant !
Mais que reproche t-on à cette malheureuse Madeleine si ce n'est le fait d'avoir vécu avec un homme avant de connaître son mari, qui se trouve par hasard être l'ami parti aux colonies et qui l'autorise à l'oublier...
Et cette fameuse ressemblance de sa fille avec le premier ami avec qui elle n'a pu avoir
l'enfant mais qui d'après les dires
lui ressemble, grotesque... En fait
Zola arrange son scénario pour aboutir à sa théorie et non l'inverse !
Enfin bref, j'aime presque tout
Zola dans sa parti mature des Rougon-Macquart dont j'ai lu ou relu l'intégralité, La meilleure surprise que j'ai eu en lisant les quelques volumes que je n'avais pas encore lu de la saga, c'est "La conquête de Plassans", livre très peu connu, mais qui mérite le détour !
Je fais rarement de commentaires car je trouve que mon jugement n'a que très peu d'importance, mais là c'est trop fort pour moi de rester silencieux, déjà à la lecture de
Thérèse Raquin, c'était limite...
Je vais continuer la suite des
romans de "jeunesse" et autres car j'aime bien connaitre tous les aspects d'un auteur...
Et en lisant, toute la prose de
Zola dont la Débâcle, je m'aperçois que j'avais une image un peu trop idéalisée de
Zola que j'avais surestimé...
Enfin cela n'est que mon avis.
Je me sens plus proche d'un
Stendhal ou d'un
Maupassant... Ceci expliquant peut être cela...