La série reste très poussive avec une histoire non pas dénuée d'intérêt mais porté par une narration trop peu détaillée et assez faible en somme. Même si les dessins de Gimenez nous aident à un peu mieux apprécier cette on commence vraiment à souffler. Et encore une fois le responsable (principale, je pense que Jodo a aussi un role dans l'histoire) reste le même : le format 48cc trop peu malléable et court.
J'avais fini ma critique du tome 1 avec le même constat et me disant qu'il fallait laisser du temps à la série mais une fois arrivé au tome 3... d'une série de 8 (Spot presque la moitié !) Je pense que je vais arrêter ou du moins je continuerais en fonction de la disponibilité en bibliothèque, pas vraiment l'envie d'attendre un tome de 60 pages pour une histoire et des personnages qui m'intéressent à moitié.
Commenter  J’apprécie         20
On m'avait vendu la Caste des Méta-Barons comme LA série ultime de BD de science fiction. Hé beh...
J'avoue que sans être déçu, ce premier tome me laisse sur ma faim, je crois que le format 48 cc y joue beaucoup, j'ai eu du mal a m'attacher aux personnages ce qui fait que lorsqu'un drame arrive, je me sens pas mal, parce qu'on brasse une longue période en très peu de pages (moins de 60).
Peut être qu'au fil des tomes je finirais pas m'attacherai à cette caste et pas spécialement à un personnage en particulier.
Commenter  J’apprécie         20
(Chronique identique pour les 8 tomes de cette série)
Parue entre 1992 et 2003, cette série de BD nous raconte l’histoire de la famille Castaka, guerriers de père en fils dans un univers très futuriste. Les méta-barons sont apparus dans "L’Incal", série de BD du même auteur que je n’ai pas lues. Depuis le trisaïeul Othon jusqu’à l’ultime méta-baron Sans-Nom, chaque tome traite d’un personnage, y compris leurs épouses et mères au rôle important. Si chaque tome forme un épisode assez autonome (quoique se terminant parfois sur un cliffhanger), il est indispensable de lire tous les tomes et dans l’ordre pour comprendre l’ensemble.
Et pas de doute, une fois embarqué dans cette aventure, et malgré ses excès, vous aurez envie de lire tous les tomes d’une traite, à l’image du robot Lothar qui réclame la suite de l’histoire à son compagnon Tonto. L’imagination de l’auteur est en effet sans limites, et la construction narrative est redoutablement efficace, jusqu’aux rebondissements du dernier tome.
L’univers qui nous est décrit ici est absolument terrifiant, très artificiel et technologique mais uniquement dans des buts militaires et de pouvoir. Une sorte de projection de notre monde tel qu’il devient, et ça n’est pas beau à voir. C’est même souvent très violent voire gore. Les humains et d’autres races vivent sur de nombreux mondes à travers la galaxie. Les diverses factions, les machines et surtout les créatures étranges sont nombreuses à parsemer ces 8 tomes, sans cesse plus originales puisque venant d’autres galaxies voire d’autres univers. Car dans cette science-fiction, la fiction l’emporte largement sur la science, avec des vaisseaux ne se préoccupant pas de relativité, des énergies manifestement infinies, et des fractures spatiales ou temporelles entre les univers. C’est un peu n’importe quoi, mais en termes de sense of wonder on peut difficilement faire mieux.
Le dessin est à l’avenant, souvent délirant voire dérangeant et en tout cas toujours d’une grande ambition visuelle malgré un côté un peu brouillon avec des explosions incessantes. Tout cela donne au final une série assez mémorable, pas du tout pour tous publics mais incontestablement ambitieuse et réussie.
Commenter  J’apprécie         40
(Chronique identique pour les 8 tomes de cette série)
Parue entre 1992 et 2003, cette série de BD nous raconte l’histoire de la famille Castaka, guerriers de père en fils dans un univers très futuriste. Les méta-barons sont apparus dans "L’Incal", série de BD du même auteur que je n’ai pas lues. Depuis le trisaïeul Othon jusqu’à l’ultime méta-baron Sans-Nom, chaque tome traite d’un personnage, y compris leurs épouses et mères au rôle important. Si chaque tome forme un épisode assez autonome (quoique se terminant parfois sur un cliffhanger), il est indispensable de lire tous les tomes et dans l’ordre pour comprendre l’ensemble.
Et pas de doute, une fois embarqué dans cette aventure, et malgré ses excès, vous aurez envie de lire tous les tomes d’une traite, à l’image du robot Lothar qui réclame la suite de l’histoire à son compagnon Tonto. L’imagination de l’auteur est en effet sans limites, et la construction narrative est redoutablement efficace, jusqu’aux rebondissements du dernier tome.
L’univers qui nous est décrit ici est absolument terrifiant, très artificiel et technologique mais uniquement dans des buts militaires et de pouvoir. Une sorte de projection de notre monde tel qu’il devient, et ça n’est pas beau à voir. C’est même souvent très violent voire gore. Les humains et d’autres races vivent sur de nombreux mondes à travers la galaxie. Les diverses factions, les machines et surtout les créatures étranges sont nombreuses à parsemer ces 8 tomes, sans cesse plus originales puisque venant d’autres galaxies voire d’autres univers. Car dans cette science-fiction, la fiction l’emporte largement sur la science, avec des vaisseaux ne se préoccupant pas de relativité, des énergies manifestement infinies, et des fractures spatiales ou temporelles entre les univers. C’est un peu n’importe quoi, mais en termes de sense of wonder on peut difficilement faire mieux.
Le dessin est à l’avenant, souvent délirant voire dérangeant et en tout cas toujours d’une grande ambition visuelle malgré un côté un peu brouillon avec des explosions incessantes. Tout cela donne au final une série assez mémorable, pas du tout pour tous publics mais incontestablement ambitieuse et réussie.
Commenter  J’apprécie         20
(Chronique identique pour les 8 tomes de cette série)
Parue entre 1992 et 2003, cette série de BD nous raconte l’histoire de la famille Castaka, guerriers de père en fils dans un univers très futuriste. Les méta-barons sont apparus dans "L’Incal", série de BD du même auteur que je n’ai pas lues. Depuis le trisaïeul Othon jusqu’à l’ultime méta-baron Sans-Nom, chaque tome traite d’un personnage, y compris leurs épouses et mères au rôle important. Si chaque tome forme un épisode assez autonome (quoique se terminant parfois sur un cliffhanger), il est indispensable de lire tous les tomes et dans l’ordre pour comprendre l’ensemble.
Et pas de doute, une fois embarqué dans cette aventure, et malgré ses excès, vous aurez envie de lire tous les tomes d’une traite, à l’image du robot Lothar qui réclame la suite de l’histoire à son compagnon Tonto. L’imagination de l’auteur est en effet sans limites, et la construction narrative est redoutablement efficace, jusqu’aux rebondissements du dernier tome.
L’univers qui nous est décrit ici est absolument terrifiant, très artificiel et technologique mais uniquement dans des buts militaires et de pouvoir. Une sorte de projection de notre monde tel qu’il devient, et ça n’est pas beau à voir. C’est même souvent très violent voire gore. Les humains et d’autres races vivent sur de nombreux mondes à travers la galaxie. Les diverses factions, les machines et surtout les créatures étranges sont nombreuses à parsemer ces 8 tomes, sans cesse plus originales puisque venant d’autres galaxies voire d’autres univers. Car dans cette science-fiction, la fiction l’emporte largement sur la science, avec des vaisseaux ne se préoccupant pas de relativité, des énergies manifestement infinies, et des fractures spatiales ou temporelles entre les univers. C’est un peu n’importe quoi, mais en termes de sense of wonder on peut difficilement faire mieux.
Le dessin est à l’avenant, souvent délirant voire dérangeant et en tout cas toujours d’une grande ambition visuelle malgré un côté un peu brouillon avec des explosions incessantes. Tout cela donne au final une série assez mémorable, pas du tout pour tous publics mais incontestablement ambitieuse et réussie.
Commenter  J’apprécie         20
(Chronique identique pour les 8 tomes de cette série)
Parue entre 1992 et 2003, cette série de BD nous raconte l’histoire de la famille Castaka, guerriers de père en fils dans un univers très futuriste. Les méta-barons sont apparus dans "L’Incal", série de BD du même auteur que je n’ai pas lues. Depuis le trisaïeul Othon jusqu’à l’ultime méta-baron Sans-Nom, chaque tome traite d’un personnage, y compris leurs épouses et mères au rôle important. Si chaque tome forme un épisode assez autonome (quoique se terminant parfois sur un cliffhanger), il est indispensable de lire tous les tomes et dans l’ordre pour comprendre l’ensemble.
Et pas de doute, une fois embarqué dans cette aventure, et malgré ses excès, vous aurez envie de lire tous les tomes d’une traite, à l’image du robot Lothar qui réclame la suite de l’histoire à son compagnon Tonto. L’imagination de l’auteur est en effet sans limites, et la construction narrative est redoutablement efficace, jusqu’aux rebondissements du dernier tome.
L’univers qui nous est décrit ici est absolument terrifiant, très artificiel et technologique mais uniquement dans des buts militaires et de pouvoir. Une sorte de projection de notre monde tel qu’il devient, et ça n’est pas beau à voir. C’est même souvent très violent voire gore. Les humains et d’autres races vivent sur de nombreux mondes à travers la galaxie. Les diverses factions, les machines et surtout les créatures étranges sont nombreuses à parsemer ces 8 tomes, sans cesse plus originales puisque venant d’autres galaxies voire d’autres univers. Car dans cette science-fiction, la fiction l’emporte largement sur la science, avec des vaisseaux ne se préoccupant pas de relativité, des énergies manifestement infinies, et des fractures spatiales ou temporelles entre les univers. C’est un peu n’importe quoi, mais en termes de sense of wonder on peut difficilement faire mieux.
Le dessin est à l’avenant, souvent délirant voire dérangeant et en tout cas toujours d’une grande ambition visuelle malgré un côté un peu brouillon avec des explosions incessantes. Tout cela donne au final une série assez mémorable, pas du tout pour tous publics mais incontestablement ambitieuse et réussie.
Commenter  J’apprécie         10
(Chronique identique pour les 8 tomes de cette série)
Parue entre 1992 et 2003, cette série de BD nous raconte l’histoire de la famille Castaka, guerriers de père en fils dans un univers très futuriste. Les méta-barons sont apparus dans "L’Incal", série de BD du même auteur que je n’ai pas lues. Depuis le trisaïeul Othon jusqu’à l’ultime méta-baron Sans-Nom, chaque tome traite d’un personnage, y compris leurs épouses et mères au rôle important. Si chaque tome forme un épisode assez autonome (quoique se terminant parfois sur un cliffhanger), il est indispensable de lire tous les tomes et dans l’ordre pour comprendre l’ensemble.
Et pas de doute, une fois embarqué dans cette aventure, et malgré ses excès, vous aurez envie de lire tous les tomes d’une traite, à l’image du robot Lothar qui réclame la suite de l’histoire à son compagnon Tonto. L’imagination de l’auteur est en effet sans limites, et la construction narrative est redoutablement efficace, jusqu’aux rebondissements du dernier tome.
L’univers qui nous est décrit ici est absolument terrifiant, très artificiel et technologique mais uniquement dans des buts militaires et de pouvoir. Une sorte de projection de notre monde tel qu’il devient, et ça n’est pas beau à voir. C’est même souvent très violent voire gore. Les humains et d’autres races vivent sur de nombreux mondes à travers la galaxie. Les diverses factions, les machines et surtout les créatures étranges sont nombreuses à parsemer ces 8 tomes, sans cesse plus originales puisque venant d’autres galaxies voire d’autres univers. Car dans cette science-fiction, la fiction l’emporte largement sur la science, avec des vaisseaux ne se préoccupant pas de relativité, des énergies manifestement infinies, et des fractures spatiales ou temporelles entre les univers. C’est un peu n’importe quoi, mais en termes de sense of wonder on peut difficilement faire mieux.
Le dessin est à l’avenant, souvent délirant voire dérangeant et en tout cas toujours d’une grande ambition visuelle malgré un côté un peu brouillon avec des explosions incessantes. Tout cela donne au final une série assez mémorable, pas du tout pour tous publics mais incontestablement ambitieuse et réussie.
Commenter  J’apprécie         10