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Dernières critiques
La Caste des Méta-Barons, Tome 3 : Aghnar le ..

La série reste très poussive avec une histoire non pas dénuée d'intérêt mais porté par une narration trop peu détaillée et assez faible en somme. Même si les dessins de Gimenez nous aident à un peu mieux apprécier cette on commence vraiment à souffler. Et encore une fois le responsable (principale, je pense que Jodo a aussi un role dans l'histoire) reste le même : le format 48cc trop peu malléable et court.



J'avais fini ma critique du tome 1 avec le même constat et me disant qu'il fallait laisser du temps à la série mais une fois arrivé au tome 3... d'une série de 8 (Spot presque la moitié !) Je pense que je vais arrêter ou du moins je continuerais en fonction de la disponibilité en bibliothèque, pas vraiment l'envie d'attendre un tome de 60 pages pour une histoire et des personnages qui m'intéressent à moitié.
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La Caste des Méta-Barons, tome 1 : Othon le t..

Parfois, il est bon de relire les classiques de son enfance d'autant plus quand il s'agit d'une oeuvre majeure. Quand on regarde la couverture, on sait que l'on va en prendre plein la rétine. Surtout que l'historique des fameux méta-barons nous est conté à travers le regard d'un robot qui partage avec un autre. Il n'est pas avare de détail. Bien que la série soit faîtes par des mecs à destination de mecs, les femmes ne sont pas uniquement des objets sexuels et à fantasmes. Les femmes aussi savent maîtriser l'art du combat et botte le cul à tous les ennemis. Dans les métas, il reste peu de descendant, d'où l'importance d'établir un arbre généalogique. Les origines sont placées sous la guerre, la souffrance et la mort. La construction narrative est redoutablement efficace et percutante. Surtout que cela mélange code d'honneur, technologie et pouvoir magique. Juan Gimenez sublime l'ensemble avec un sens du dessin très précis et une mise en couleur très artiste et riche. Quand il s'allie à Alexandro Jodorowsky, cela ne peut donner naissance qu'à une œuvre singulière et puissante. On ne peut pas en rester là tellement que nous sommes happés et notre curiosité titillée. Cette inventivité mérite sa place dans sa bibliothèque personnelle.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..
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La Caste des Méta-Barons, tome 1 : Othon le t..

On m'avait vendu la Caste des Méta-Barons comme LA série ultime de BD de science fiction. Hé beh...

J'avoue que sans être déçu, ce premier tome me laisse sur ma faim, je crois que le format 48 cc y joue beaucoup, j'ai eu du mal a m'attacher aux personnages ce qui fait que lorsqu'un drame arrive, je me sens pas mal, parce qu'on brasse une longue période en très peu de pages (moins de 60).



Peut être qu'au fil des tomes je finirais pas m'attacherai à cette caste et pas spécialement à un personnage en particulier.
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La Caste des Méta-Barons, tome 1 : Othon le t..

(Chronique identique pour les 8 tomes de cette série)

Parue entre 1992 et 2003, cette série de BD nous raconte l’histoire de la famille Castaka, guerriers de père en fils dans un univers très futuriste. Les méta-barons sont apparus dans "L’Incal", série de BD du même auteur que je n’ai pas lues. Depuis le trisaïeul Othon jusqu’à l’ultime méta-baron Sans-Nom, chaque tome traite d’un personnage, y compris leurs épouses et mères au rôle important. Si chaque tome forme un épisode assez autonome (quoique se terminant parfois sur un cliffhanger), il est indispensable de lire tous les tomes et dans l’ordre pour comprendre l’ensemble.



Et pas de doute, une fois embarqué dans cette aventure, et malgré ses excès, vous aurez envie de lire tous les tomes d’une traite, à l’image du robot Lothar qui réclame la suite de l’histoire à son compagnon Tonto. L’imagination de l’auteur est en effet sans limites, et la construction narrative est redoutablement efficace, jusqu’aux rebondissements du dernier tome.



L’univers qui nous est décrit ici est absolument terrifiant, très artificiel et technologique mais uniquement dans des buts militaires et de pouvoir. Une sorte de projection de notre monde tel qu’il devient, et ça n’est pas beau à voir. C’est même souvent très violent voire gore. Les humains et d’autres races vivent sur de nombreux mondes à travers la galaxie. Les diverses factions, les machines et surtout les créatures étranges sont nombreuses à parsemer ces 8 tomes, sans cesse plus originales puisque venant d’autres galaxies voire d’autres univers. Car dans cette science-fiction, la fiction l’emporte largement sur la science, avec des vaisseaux ne se préoccupant pas de relativité, des énergies manifestement infinies, et des fractures spatiales ou temporelles entre les univers. C’est un peu n’importe quoi, mais en termes de sense of wonder on peut difficilement faire mieux.



Le dessin est à l’avenant, souvent délirant voire dérangeant et en tout cas toujours d’une grande ambition visuelle malgré un côté un peu brouillon avec des explosions incessantes. Tout cela donne au final une série assez mémorable, pas du tout pour tous publics mais incontestablement ambitieuse et réussie.
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La Caste des Méta-Barons, tome 8 : Sans-Nom, ..

(Chronique identique pour les 8 tomes de cette série)

Parue entre 1992 et 2003, cette série de BD nous raconte l’histoire de la famille Castaka, guerriers de père en fils dans un univers très futuriste. Les méta-barons sont apparus dans "L’Incal", série de BD du même auteur que je n’ai pas lues. Depuis le trisaïeul Othon jusqu’à l’ultime méta-baron Sans-Nom, chaque tome traite d’un personnage, y compris leurs épouses et mères au rôle important. Si chaque tome forme un épisode assez autonome (quoique se terminant parfois sur un cliffhanger), il est indispensable de lire tous les tomes et dans l’ordre pour comprendre l’ensemble.



Et pas de doute, une fois embarqué dans cette aventure, et malgré ses excès, vous aurez envie de lire tous les tomes d’une traite, à l’image du robot Lothar qui réclame la suite de l’histoire à son compagnon Tonto. L’imagination de l’auteur est en effet sans limites, et la construction narrative est redoutablement efficace, jusqu’aux rebondissements du dernier tome.



L’univers qui nous est décrit ici est absolument terrifiant, très artificiel et technologique mais uniquement dans des buts militaires et de pouvoir. Une sorte de projection de notre monde tel qu’il devient, et ça n’est pas beau à voir. C’est même souvent très violent voire gore. Les humains et d’autres races vivent sur de nombreux mondes à travers la galaxie. Les diverses factions, les machines et surtout les créatures étranges sont nombreuses à parsemer ces 8 tomes, sans cesse plus originales puisque venant d’autres galaxies voire d’autres univers. Car dans cette science-fiction, la fiction l’emporte largement sur la science, avec des vaisseaux ne se préoccupant pas de relativité, des énergies manifestement infinies, et des fractures spatiales ou temporelles entre les univers. C’est un peu n’importe quoi, mais en termes de sense of wonder on peut difficilement faire mieux.



Le dessin est à l’avenant, souvent délirant voire dérangeant et en tout cas toujours d’une grande ambition visuelle malgré un côté un peu brouillon avec des explosions incessantes. Tout cela donne au final une série assez mémorable, pas du tout pour tous publics mais incontestablement ambitieuse et réussie.
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La Caste des Méta-Barons, Tome 7 : Aghora le ..

(Chronique identique pour les 8 tomes de cette série)

Parue entre 1992 et 2003, cette série de BD nous raconte l’histoire de la famille Castaka, guerriers de père en fils dans un univers très futuriste. Les méta-barons sont apparus dans "L’Incal", série de BD du même auteur que je n’ai pas lues. Depuis le trisaïeul Othon jusqu’à l’ultime méta-baron Sans-Nom, chaque tome traite d’un personnage, y compris leurs épouses et mères au rôle important. Si chaque tome forme un épisode assez autonome (quoique se terminant parfois sur un cliffhanger), il est indispensable de lire tous les tomes et dans l’ordre pour comprendre l’ensemble.



Et pas de doute, une fois embarqué dans cette aventure, et malgré ses excès, vous aurez envie de lire tous les tomes d’une traite, à l’image du robot Lothar qui réclame la suite de l’histoire à son compagnon Tonto. L’imagination de l’auteur est en effet sans limites, et la construction narrative est redoutablement efficace, jusqu’aux rebondissements du dernier tome.



L’univers qui nous est décrit ici est absolument terrifiant, très artificiel et technologique mais uniquement dans des buts militaires et de pouvoir. Une sorte de projection de notre monde tel qu’il devient, et ça n’est pas beau à voir. C’est même souvent très violent voire gore. Les humains et d’autres races vivent sur de nombreux mondes à travers la galaxie. Les diverses factions, les machines et surtout les créatures étranges sont nombreuses à parsemer ces 8 tomes, sans cesse plus originales puisque venant d’autres galaxies voire d’autres univers. Car dans cette science-fiction, la fiction l’emporte largement sur la science, avec des vaisseaux ne se préoccupant pas de relativité, des énergies manifestement infinies, et des fractures spatiales ou temporelles entre les univers. C’est un peu n’importe quoi, mais en termes de sense of wonder on peut difficilement faire mieux.



Le dessin est à l’avenant, souvent délirant voire dérangeant et en tout cas toujours d’une grande ambition visuelle malgré un côté un peu brouillon avec des explosions incessantes. Tout cela donne au final une série assez mémorable, pas du tout pour tous publics mais incontestablement ambitieuse et réussie.
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La Caste des Méta-Barons, Tome 6 : Doña Vicenta ..

(Chronique identique pour les 8 tomes de cette série)

Parue entre 1992 et 2003, cette série de BD nous raconte l’histoire de la famille Castaka, guerriers de père en fils dans un univers très futuriste. Les méta-barons sont apparus dans "L’Incal", série de BD du même auteur que je n’ai pas lues. Depuis le trisaïeul Othon jusqu’à l’ultime méta-baron Sans-Nom, chaque tome traite d’un personnage, y compris leurs épouses et mères au rôle important. Si chaque tome forme un épisode assez autonome (quoique se terminant parfois sur un cliffhanger), il est indispensable de lire tous les tomes et dans l’ordre pour comprendre l’ensemble.



Et pas de doute, une fois embarqué dans cette aventure, et malgré ses excès, vous aurez envie de lire tous les tomes d’une traite, à l’image du robot Lothar qui réclame la suite de l’histoire à son compagnon Tonto. L’imagination de l’auteur est en effet sans limites, et la construction narrative est redoutablement efficace, jusqu’aux rebondissements du dernier tome.



L’univers qui nous est décrit ici est absolument terrifiant, très artificiel et technologique mais uniquement dans des buts militaires et de pouvoir. Une sorte de projection de notre monde tel qu’il devient, et ça n’est pas beau à voir. C’est même souvent très violent voire gore. Les humains et d’autres races vivent sur de nombreux mondes à travers la galaxie. Les diverses factions, les machines et surtout les créatures étranges sont nombreuses à parsemer ces 8 tomes, sans cesse plus originales puisque venant d’autres galaxies voire d’autres univers. Car dans cette science-fiction, la fiction l’emporte largement sur la science, avec des vaisseaux ne se préoccupant pas de relativité, des énergies manifestement infinies, et des fractures spatiales ou temporelles entre les univers. C’est un peu n’importe quoi, mais en termes de sense of wonder on peut difficilement faire mieux.



Le dessin est à l’avenant, souvent délirant voire dérangeant et en tout cas toujours d’une grande ambition visuelle malgré un côté un peu brouillon avec des explosions incessantes. Tout cela donne au final une série assez mémorable, pas du tout pour tous publics mais incontestablement ambitieuse et réussie.
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La Caste des Méta-Barons, Tome 3 : Aghnar le ..

(Chronique identique pour les 8 tomes de cette série)

Parue entre 1992 et 2003, cette série de BD nous raconte l’histoire de la famille Castaka, guerriers de père en fils dans un univers très futuriste. Les méta-barons sont apparus dans "L’Incal", série de BD du même auteur que je n’ai pas lues. Depuis le trisaïeul Othon jusqu’à l’ultime méta-baron Sans-Nom, chaque tome traite d’un personnage, y compris leurs épouses et mères au rôle important. Si chaque tome forme un épisode assez autonome (quoique se terminant parfois sur un cliffhanger), il est indispensable de lire tous les tomes et dans l’ordre pour comprendre l’ensemble.



Et pas de doute, une fois embarqué dans cette aventure, et malgré ses excès, vous aurez envie de lire tous les tomes d’une traite, à l’image du robot Lothar qui réclame la suite de l’histoire à son compagnon Tonto. L’imagination de l’auteur est en effet sans limites, et la construction narrative est redoutablement efficace, jusqu’aux rebondissements du dernier tome.



L’univers qui nous est décrit ici est absolument terrifiant, très artificiel et technologique mais uniquement dans des buts militaires et de pouvoir. Une sorte de projection de notre monde tel qu’il devient, et ça n’est pas beau à voir. C’est même souvent très violent voire gore. Les humains et d’autres races vivent sur de nombreux mondes à travers la galaxie. Les diverses factions, les machines et surtout les créatures étranges sont nombreuses à parsemer ces 8 tomes, sans cesse plus originales puisque venant d’autres galaxies voire d’autres univers. Car dans cette science-fiction, la fiction l’emporte largement sur la science, avec des vaisseaux ne se préoccupant pas de relativité, des énergies manifestement infinies, et des fractures spatiales ou temporelles entre les univers. C’est un peu n’importe quoi, mais en termes de sense of wonder on peut difficilement faire mieux.



Le dessin est à l’avenant, souvent délirant voire dérangeant et en tout cas toujours d’une grande ambition visuelle malgré un côté un peu brouillon avec des explosions incessantes. Tout cela donne au final une série assez mémorable, pas du tout pour tous publics mais incontestablement ambitieuse et réussie.
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