AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Vous aimez cette série ? Babelio vous suggère

7702 lectures
5 livres
2849 lectures
2 livres
3305 lectures
3 livres
4460 lectures
4 livres
1405 lectures
3 livres
538 lectures
2 livres
1244 lectures
3 livres
1154 lectures
3 livres

Dernières critiques
La passe-miroir, tome 4 : La tempête des échos

Un quatrième tome qui achève (malheureusement) magnifiquement bien cette saga (ma préférée) !

Les réponses et les révélations sont tellement nombreuses que ça en devient presque lassant !

J'avoue avoir été un peu déçue de la fin mais je pense que c'est car j'aurais voulu que ça ne se finisse jamais ! (Et après réflexion cette fin est plutôt logique et bien trouvée).



Mon grand problème est que je n'arrive pas à trouver de roman qui me passionnent autant que cette saga ce qui m'amène à une question : avez-vous des conseils, des livres du même style (ou pas) qui vous ont fait vibrer autant ou presque que celui-ci ?
Commenter  J’apprécie          00
La passe-miroir, tome 3 : La mémoire de Babel

Que de révélations ! Je ne peux plus lâcher cette série, j'ai adoré découvrir cette nouvelle arche et rencontrer de nouveaux personnages. Un grand nombre de mes proches ont trouvé le milieu un peu long mais je ne suis pas d'accord, ça m'a permis de bien mieux ressentir les émotions d'Ophélie, et de mieux profiter encore de cette fin juste wow !
Commenter  J’apprécie          00
La passe-miroir, tome 2 : Les disparus du C..

C'était difficile mais Christelle Dabos a réussi : ce deuxième tome est encore mieux que le premier ! L'histoire prend de plus en plus d'ampleur et on en apprend de plus en plus sur ce monde incroyable ! Après les évènements de la fin du premier tome, j'ai trouvé quelques passages du début de ce deuxième tome un peu longs mais c'était finalement nécessaire pour bien poser le contexte et savourer les révélation de la fin du roman !
Commenter  J’apprécie          00
La passe-miroir, tome 1 : Les fiancés de l'hi..

Un énorme coup de cœur ! L'héroïne Ophélie est super attachante et j'ai pris énormément de plaisir à suivre ses aventures ! Rien n'est laissé au hasard, tous les personnages sont géniaux et il est très facile de rentrer dans l'univers puisque l'intrigue commence avec un mariage arrangé (chose que l'on imagine très bien dans notre monde), les dons d'Ophélie ont au début aucun rapport avec ça et ne servent pas à l'histoire mais ils en deviennent très importants petit à petit au fil des pages !
Commenter  J’apprécie          00
La passe-miroir, tome 1 : Les fiancés de l'hi..

L'histoire met un peu de temps à se mettre en place, le temps d'avoir une bonne idée sur tous les personnages et de voir comment le récit est construit. Une fois passée cette phase l'histoire est extrêmement prenante et nous donne envie de lire la suite.
Commenter  J’apprécie          00
La passe-miroir, tome 3 : La mémoire de Babel

Plus de deux ans se sont écoulés depuis qu’Ophélie a quitté le Pôle. Elle demeure sans nouvelles de Thorn dans ce troisième tome de La Passe-miroir, et les Doyennes d’Anima l’empêchent de se lancer à sa recherche. C’est sans compter sur Archibald, aussi imprévisible que de coutume, qui fait brusquement irruption sur son Arche.



Vous prenez le pire des Fiancés de l’hiver, le pire des Disparus du Clairedelune, et vous obtiendrez La mémoire de Babel. Accrochez-vous pendant que je retrousse mes manches, ça va être un CAR-NA-GE.



On commence avec le retour des répétitions et des métaphores douteuses. Thorn est toujours aussi grand, bien sûr, mais la nouvelle marotte de Christelle Dabos, ce sont les « coups de lunettes » jetés par Ophélie. Oui, parce que les yeux, c’est surfait.



Viennent ensuite les pouvoirs. Dans ma première chronique, j’avais émis le souhait que la protagoniste traverse davantage de miroirs (c’est quand même le titre de l’œuvre), mais je n’avais pas réitéré cette remarque pour le second tome, convaincue, à la vue du dénouement, que cette faculté allait enfin prendre de l’ampleur. Eh bien, c’est raté ! C’est même pire que raté, puisque notre bien-aimée (ou pas) Ophélie se confond tellement avec sa fausse identité qu’elle n’est plus certaine d’être en mesure d’utiliser son don. Bah tiens, on ne nous avait pas déjà fait le coup dans Les disparus du Clairedelune…



Et je pourrais en dire autant de ses autres talents. Elle a hérité des griffes de Thorn, mais elle est évidemment inapte de s’en servir quand / comment il le faudrait. Quant à la mémoire… Elle, en revanche, elle a tendance à s’activer pile au moment opportun. Si opportun, en fait, qu’elle tient surtout du deus ex machina. (Deus, Dieu, ah ah, elle est bonne !)



À côté, on a… Pas grand-chose, je le crains. C’est long. Plus long que jamais. Le volume précédent m’avait paru plus supportable que Les fiancés de l’hiver parce que j’avais réussi à m’attacher à Thorn, sauf que Thorn, il faut attendre le milieu du livre pour le retrouver… et assister à un magistral retour à la case départ en ce qui concerne sa relation avec Ophélie. À l’image de l’intrigue, ça stagne, ça stagne, jusqu’au bond final qui, lui, survient beaucoup trop vite, au regard (ou aux lunettes) du tempérament des deux énergumènes. Un cap de cette importance aurait mérité d’être mieux amené. M’enfin, dans cette saga, ça m’a l’air d’être tout ou rien (et plus souvent rien que tout).



Les personnages secondaires sont toujours TROP secondaires. Octavio tire un peu son épingle du jeu, mais les autres… J’ai l’impression que la majeure partie d’entre eux (et pas seulement dans La mémoire de Babel) n’existent que pour martyriser cette pôôôvre Ophélie. Et comme je suis incapable d’éprouver la moindre compassion pour elle, c’est lourd et redondant.



Car oui, Ophélie reste mon principal point noir (ce n’est pas un point, d’ailleurs, c’est un trou, à ce stade). J’ai l’impression que Christelle Dabos ne sait pas / n’arrive pas à l’écrire. Qu’elle l’a créée avec beaucoup trop de défauts, des défauts qu’elle tend de plus en plus à jeter aux oubliettes dès lors que ça l’arrange. On oscille par exemple entre une Ophélie peu sûre d’elle, assez mal dans sa peau, et cette même Ophélie qui nous lâche avec conviction des « Je vais devenir avant-coureuse ! » Euh… Où ? Quand ? Comment ?



Surtout comment, en fait. Parce qu’on sait qu’elle progresse, mais on ne la voit pas vraiment fournir d’efforts tangibles. C’est le souci à mon sens : elle n’a pas de réelle évolution. Elle est seulement ce que l’auteur a besoin qu’elle soit à l’instant T. Et encore… Elle a bien quelques éclats de génie, mais la plupart des solutions / réponses lui tombent littéralement du ciel. Au-delà des réminiscences providentielles que j’évoquais plus haut, où en serait-elle sans Hélène ? Sans Octavio ? Nulle part. Même LE miroir doit venir à elle, puisqu’elle n’en franchit aucun. Je pourrais concéder que c’est logique, vu qu’il n’y en a pas sur Babel… sauf, là encore, piiile quand c’est nécessaire.



Voilà pour les problèmes récurrents. Passons maintenant à ceux inhérents à ce tome. Qu’est-ce qui ne va pas ? Je serais tentée de répondre TOUT ! Encore que, j’ai préféré Babel au Pôle, et j’ai apprécié Octavio, ainsi que les apartés avec Victoire, mais c’est trop peu pour nuancer mon avis.



Je notais précédemment que la dimension théologique de l’œuvre ne m’avait pas convaincue, sans me douter de combien j’étais dans l’erreur. En effet, de théologie, il n’y en a nulle goutte. Je ne vais pas vous spoiler les révélations majeures, mais disons qu’elles m’ont désagréablement rappelé la duologie La dernière licorne (Marc Séassau), qui figure rien moins que dans mon top 5 des livres les plus mauvais / mal fichus qu’il m’ait été donné de lire. Cette comparaison peu flatteuse n’a en rien arrangé mon ressenti vis-à-vis de la saga, et encore moins d’Ophélie, que je ne peux désormais m’empêcher de voir comme un double self-insert maladroit. Très maladroit.



Je vais terminer La Passe-miroir (ce serait quand même… triste de capituler à un volume de la fin), mais plus je tourne les pages, moins je m’explique l’engouement autour d’une histoire qui repose essentiellement à mes yeux sur du TGCM. Ou, en l’occurrence, TGCDieu.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
Commenter  J’apprécie          42
La passe-miroir, tome 4 : La tempête des échos

J'ai adoré les tomes précédents, celui là encore plus je suis resté sur ma fin, je suis triste de laisser le personnage Ophélie que j'adorais suivre à travers les livres.



Les Arches s'effondrent Babel, Anima, le Pôle aucune n'est épargnée, Ophélie est à la recherche du responsable de tout cela, ce mystérieux Autre, personne ne sais à quoi il ressemble, unis Ophélie en compagnie de Torn vont voyager où les echos du passé et du présent à la recherche de la clé de toutes les énigmes.



Vous aimez la fantaisie, l'aventure, le steampunk, vous avez aimé les autres tomes vous aimerez encore plus le final de cette saga coup de cœur.
Lien : https://myreadbooks.over-blo..
Commenter  J’apprécie          30
La passe-miroir, tome 2 : Les disparus du C..

Dans la continuité du premier opus, j'ai poursuivi les aventures d'Ophélie et de Thorn que j'avais hâte de découvrir. Adorant l'univers, les personnages et la plume de l'autrice, j'étais trop curieuse de me lancer dans ce fameux deuxième tome si adulé par les lecteurs.rices. Autant dire que j'en attendais beaucoup de ce volet !



J'ai été surtout agréablement surprise par la fluidité du récit. L'univers se déployant progressivement, se complexifie de plus en plus. Nous voyons apparaître de nombreux esprits de famille avec leurs particularités. Par ces relations, se dessinent doucement mais sûrement des enjeux politiques. Ophélie en semble si éloignée et en même temps, si proche. De fait, le dénouement est très accessible. La trame se veut compréhensible pour des débutants en fantasy. Ainsi, je n'ai pas été déstabilisée par ces illusions, bien au contraire ! J'étais complètement immergée par le récit.



Happée par cette ambiance magique et mystérieuse, je me suis laissée porter par l'intrigue qui gagne en relief et en profondeur. En plus d'être riche en détail et en subtilité, l'histoire se dynamise par des scènes d'actions, de révélations et de rebondissements. Certes, encore une fois, l'effet de surprise ne s'est pas ressenti mais je me suis enivrée de cette plume absolument exquise. Qu'est-ce que c'est trop bien écrit ! Le style d'écriture fourni en vocabulaires et en expressions distingués est finement et malicieusement bien ficelé. L'autrice n'hésite pas à dépeindre tout ce panel de personnages qui font le charme de la saga.



Le fait d'accentuer les traits physiques et moraux de ces derniers les rend terriblement attachants et attendrissants. D'Ophélie, à Thorn vers Archibald ensuite Berenilde pour terminer avec Roseline, je ne me lasse pas de leurs personnalités tant elles sont authentiques et atypiques, apportant un légèreté essentielle à l'intrigue. En effet, ils ont tous un rôle important dans le fil conducteur. Aucun n'est sous-exploité. Mention particulière à Renard dont je ressens un coup de cœur toujours aussi fort pour sa carrure et son dévouement sans faille envers Ophélie ! Leur relation me touche particulièrement.



Ce qui m'a le plus surprise, c'est l'absence quasi totale de romance ! Disons que nous faisons que l'effleurer. Elle est vraiment minime dans l'histoire, très bien dosée. Moi qui pensais tomber sur un triangle amoureux langoureux, je n'ai rien trouvé de tout ça. Au contraire, nous restons focaliser sur Thorn et Ophélie dont j'ai adoré l'évolution ! Ce qu'ils sont séparément et ce qu'ils font ensemble, j'en tremble d'hystérie. Les joutes verbales sont terriblement mordantes et tordantes. Leurs mentalités, si diamétralement différentes mais totalement complémentaires, s'unissent à la perfection pour nous en faire voir de toutes les couleurs. Ce duo réserve bien des surprises pour la suite des évènements.



D'ailleurs, cette fin, on en parle ? Heureusement que j'ai le troisième tome sous la main. Ce serait difficile de rester sur cette note si cruciale. Un excellent deuxième tome qui mérite totalement sa hype ! Une incroyable pépite !
Commenter  J’apprécie          10

{* *}