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Critiques de Univers (54)
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Univers, n°7

Un bon recueil de nouvelles de science-fiction qui nous emmène à la découverte de différents peuples des étoiles à travers tout l'univers.
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Univers 1985

Joelle Wintrebert est une nouvelle fois aux commandes de cette anthologie annuelle de la science-fiction qui débute logiquement par « le chant des leucocytes », excellent texte de Greg Bear sur un humain « augmenté » par des cellules intelligentes…Il connaitra un destin moins heureux que le super-héros Bloodshoot mais Bear, pour sa part, récoltera le Hugo et le Nebula pour cette novelette ensuite étendue dans le roman LA MUSIQUE DU SANG. Un excellent début.

On poursuit avec le sympathique et référentiel « Partenaires » de Sylvie Lainé avant de prendre la direction du Canada avec Jean-Pierre April et sa « machine à explorer le fiction » suivie par un article sur la SF québécoise. Cette longue nouvelle d’April, plutôt originale (elle devait l’être encore davantage en 1985), imagine les liens entre la fiction et la réalité dans une ambiance cyberpunk réussie. L’article, pour sa part, date forcément mais reste pertinent pour découvrir quelques noms d’écrivains canadiens ayant (ou pas) traversé l’Océan (et les années).

« La géométrie narrative » d’Hilbert Schenck offre un intéressant exercice de style qui brouille sans cesse la « fiction » et le « réalité » à la manière d’un anneau de Moebius par le biais d’un récit se repliant finalement sur lui-même. Hilbert Schenck (1926 – 2013) étant un quasi inconnu (seulement cinq de ses nouvelles furent traduites en français) voici une bonne occasion de goûter à sa prose.

Après le « Matin de sang » de Vincent Ronovsky et le « Lune Bleue » de Connie Willis (ensuite republié dans le recueil LES VEILLEURS DU FEU), Ian Watson livre un curieux « L’élargissement du monde » dans lequel il revient sur la façon dont les moyens de communication ont « rapetissé » le monde. Mais que se passerait-il si, par réaction, la Terre s’élargissait au point que l’Australie et l’Angleterre soient, par exemple, distantes d’un million de kilomètres ? La nouvelle est courte (une quinzaine de pages)… dommage, on eut aimé la voir développée…pourquoi pas sous la forme d’un roman ? Brian Stableford, auteur des LOUPS GAROUS DE LONDRES propose ensuite un panorama instructif de la SF anglaise de 1964 à 1984, revenant forcément sur le New World et opposant « Star Trek » à « Doctor Who ».

Michael Swanwick livre avec « Ginungagap » un texte très réussi sur la confrontation de l’Homme et d’une race arachnoïde par-delà les trous noirs qui permettent leur rencontre. Swanwick, un peu perdu de vue aujourd’hui, était alors une étoile montante de la SF : il récolta pas moins de cinq Hugo pour ses textes courts et le Nebula pour son roman STATION DES PROFONDEURS. En une quarantaine de pages « Ginungagap » démontre toutes ses qualités : psychologie fouillée, structure élaborée, rebondissements, extrapolations scientifiques, etc.

James Tiptree Jr convainc moins avec « Larmes d’étoiles », un texte cependant intéressant sur le choc des cultures entre les Humains et des extraterrestres qui, après s’être révoltés, finissent par adopter les pires travers de l’Humanité. Un peu longuet mais la conclusion, pourtant d’une grande simplicité, reste très réussie.

La suite verse dans l’iconoclaste avec « La planète Ours voleur » de R.A. Lafferty et « Un goût de cornichon dans le plan de la matrice » de Pierre Stolze (devenu un chroniqueur récurent de Bifrost), délire sur le Bouddhisme que l’on pourrait résumer par « les religions sont parfois paradoxales » et on ajoute un article au titre amusant : « quand on aime la vie on lit de la SF » de Pascal J. Thomas. Emmanuel Jouanne & Jean-Pierre Vernay dans « Les jours d’été » traitent de voyage temporel, d’art et d’immortalité avant que Michel Lamart ne propose « Quelques pièges à lumière ».

Trente-cinq après leurs publications, replongez dans ces textes s’avère plaisant et ce recueil, copieux et varié, vaut donc la lecture, en particulier pour les nouvelles de Bear et Swanwick qui en justifient l’achat.


Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Univers 1980

Une anthologie rudement bien ficelée dans laquelle j'ai eu le plaisir de découvrir la prose de trois auteur(e)s français(e)s :



- Yves Frémion

- Danielle Fernandez

- Catherine Dunouaud



Avec des styles agréables des textes, pour certains bouleversants et des chutes bien... tombées... qui,35 ans après n'ont pas pris une ride...



Je kiffe grave le court...
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Univers, n°13

Numéro de juin 1978.

Hormis John Christopher et John Sladek, je ne connaissais absolument pas les autres auteurs au sommaire de ce numéro: Jacques Boireau, Craig Strete, Vittorio Curtoni...

Dommage dans ce cas de ne pas bénéficier de notices bio-bibliographiques à leur sujet.

Le port-folio du trimestre est signé Christopher Foss et on trouve également au sommaire deux articles: le premier sur les éditions OPTA et le second sur la science-fiction et les grands mythes de l'humanité.

Un numéro que j'ai peu apprécié, les nouvelles étant à mon avis pour la plupart d'une qualité moindre qu'à l'habitude.
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Univers 1983

Fiche de lecture archéologique un peu plus fournie que d'habitude, désolé d'avance, je ne sais pas ce qui m'a pris. Ou plutôt si, je sais : cette édition 1983 (compilée par Joëlle WINTREBERT, après les années Sadoul/Frémion) a de quoi susciter l'enthousiasme, notamment ces textes :



Jean-Claude DUNYACH, Détails de l'exposition

Autour d'un thème assez classique de la new-wave (la mort violente considérée comme une oeuvre d'art), un texte à la fois poétique et froidement analytique, présenté comme un extrait de catalogue d'exposition. L'idée derrière (je ne spoile pas) est astucieuse, et pris seul ce texte est brillant ; il l'est encore plus si on y reconnaît l'hommage intertextuel à la Foire Aux Atrocités de Ballard, qu'il convoque, relit et reconstruit.



Michael BISHOP, Retour à la vie

Un auteur qui m'intrigue de plus en plus, avec ici une nouvelle "post-apocalyptique" intriguante mais qui m'a laissée sur ma faim. L'auteur y imagine l'humanité "redistribuée" aléatoirement à la surface du globe par un phénomène inexpliqué, et décrit le chaos qui s'ensuit ; après une première partie assez réaliste où des survivants anglophones se regroupent et s'arment pour essayer de rentrer chez eux, l'auteur les abandonne pour switcher dans une description onirique de ce qui semble être un mouvement généralisé et spontané vers la "déconstruction" (littéralement !) de l'ancien monde. Anticipation, allégorie, exploration poétique ? A vous de décider, l'auteur ne l'a pas fait pour vous, malgré une forme narrative et un style très "classiques" en surface.

R. A. LAFFERTY, Ifrit



Un petit bijou d'humour fantastique (fantasy ?) étonamment "classique" (à peu de chose près une histoire-courte-à-chute à la Fredric Brown) mais au style totalement laffertyen (laffertiesque ?), où il est question de génies, de leur vie (confortable) dans leur bouteille, et du danger mortel que représentent les "orgueilleux lions des cieux", dont je ne spoilerai pas la nature.



Roger ZELAZNY, Les Licornes sont contagieuses

Le multi-primé Zelazny donne lui aussi dans la "fantasy", avec une histoire farfelue (mais pas absurde) où l'avenir de la race humaine se joue dans un saloon lors d'une partie d'échecs entre un randonneur et une licorne (appréciant beaucoup la bière), ce qui paraîtrait déjà passablement absurde si un sasquatch et des griffons ne s'en mélaient. Une réussite (mineure mais très plaisante, Zelazny écrivant toujours aussi bien, même lorsqu'il plaisante) qui aurait pu être publiée dans Unknown ou Galaxy.



 Robert SILVERBERG, Le Pape des chimpanzés 

Dans un récit de... zoofiction ? - R.S. imagine la réaction d'un groupe de chimpanzés "intelligents" en captivité, à la mort d'un de leurs dieux (un des humains les étudiant) et l'émergence chez eux d'une religion, avec des effets dabord comiques puis dramatiques. Sur le fil délicat entre satire sociale et réflexion morale, du grand Silverberg, qui laisse singeur. Euh non, songeur.



Pour le reste des fictions, il y a du bon (Gene Wolfe, moins cryptique que d'habitude, G.R.R. Martin pastichant joyeusement Jack Vance avec une pincée de Poul Anderson...), du correct et du moins bon mais honorable ; rien de franchement mauvais à l'exception de la (trop) longue nouvelle de John Brunner, qui se fourvoie complètement, loin de ses terrains habituels, dans une tentative de fantasy à la fois prétentieuse et mal construite, qui m'avait laissé froid à première lecture il y a quelques décennies (on la retrouve dans le fix-up "le passager de la nuit", que je ne vous conseille pas) - mon avis n'a pas changé ; et la participation rituelle de JP Andrevon, auteur dont la lecture me devient de plus en plus difficile, et dont on a du mal à s'imaginer maintenant qu'il était une des stars de la SF française.

Pour la partie critique, la replongée dans l'actualité de la SF en 1983 a un petit goût de capsule temporelle pas désagréable, et Jean Bonnefoy (traducteur émérite, et personnage très sympa que j'ai eu l'occasion de rencontrer à un concert de Hawkwind au début des 90's) livre son choix discographique d'"albums SF" à redécouvrir pour les curieux - ce qui est certainement plus simple et moins cher de nos jours qu'en 1983.

En résumé : une très bonne cuvée.
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Univers, n°10

Archéologie des anthologies/revues françaises : un numéro moyennement passionnant à relire de nos jours, la longue nouvelle de Philip K. Dick à l'époque inédite ayant été republiée encore et encore depuis (nouvelle qui est loin d'être une de ses meilleures) ; le reste n'est pas mauvais (c'est déjà pas si mal), mais plutôt anecdotique (avec une mention très-bien-mais-pas-transcendant-non-plus pour Sladek parodiant Dick et la très courte nouvelle de William Burroughs).

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Univers 1985

Encore une review archéologique, avec cette édition 1985 de la revue-anthologie Univers (sous la direction de Joelle Wintrebert) – et une review pour une fois aussi strictement positive (mais détaillée), j'ai décidé de ne pas perdre du temps à m'acharner sur les textes ou articles qui ne m'ont pas comblé, surtout qu'ils n'y sont pas très nombreux : une fois de plus, très bonne cuvée ! https://www.noosfere.org/livres/niourf.asp?numlivre=2101693882



Greg BEAR, Le Chants des leucocytes (Blood Music, 1983)

Avant « La Musique Du Sang », roman intense et génial à la croisée du cyberpunk, de la hard-SF apocalyptique et de la « body horror » à la Cronenberg, Greg Bear livre ici une première ébauche de la (presque) même intrigue sous forme de nouvelle. C'est passionnant (et fonctionne très bien seul) mais impossible, si on a d'abord lu la version longue, de ne pas comparer, et d'y voir autre chose qu'un brouillon – mais un brouillon brillant et multi-récompensé (Hugo + Nebula). A lire en premier ! 4/5

(par contre, RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA, « billion » se traduit par « milliard », BON SANG !:) )



Hilbert SCHENCK, La Géométrie narrative (The Geometry of Narrative, 1983)

Une amusante parodie du post-modernisme/déconstructivisme en littérature, qui fait fortement penser à Italo Calvino même s'il n'est jamais nommé (récit à l'intérieur du récit, application narrative d'une théorie mathématique). Ou peut-être est-ce un hommage ? Lecture terminée, on se demande si l'auteur ne s'est pas moqué de nous comme son personnage se moque de son prof de littérature... Je mets un 4/5 personnel, mais pas sûr que vous appréciiez si vous n'avez pas de goût particulier pour le post-modernisme et ses jeux littéraires.



 Vincent RONOVSKY, Matin de sang

Un texte étonnant de surréalisme (sanglant) mélangeant humour absurde (à la Lafferty) et visions d'apocalypse, par un très jeune auteur qui n'a malheureusement pas persisté dans la voie de l'écriture. Dommage, on tenait peut-être là un futur grand : 4/5



 Connie WILLIS, Lune bleue (Blued Moon, 1984),

Connie Willis est une auteure que je connais assez mal, et dont les quelques nouvelles que j'ai pu lire ici et là ne me frappaient pas par leur frivolité ou leur sens de l'humour... Mais il faut s'attendre à tout, elle livre ici un (petit) bijou de vaudeville/marivaudage à l'argument SF absurde (une expérience spatiale transformant la lune en gigantesque « machine à coïncidences improbables » déchaînant une tempête de chance et de malchance sur les responsables de l'expérience) à la fin duquel les méchants sont punis, les gentils récompensés, et tout se finit par un mariage. On pense aussi aux comédies de Shakespeare (particulièrement « beaucoup de bruit pour rien ») ou à l'implacable machine à mésaventures qu'est le Wilt de Tom Sharpe, autant dire qu'on s'amuse, mais Willis ajoute à la comédie une saine dose de critique sociale qui rappelle qu'elle a écrit ce texte au milieu des années Reagan. Léger mais pas creux : 4/5



 Ian WATSON, L'Élargissement du monde (The Width of the World, 1983)

Sur une idée « absurde » qui rappelle furieusement certaines vieilles nouvelles de R.A. Lafferty – la géographie se « déformant » par un phénomène inconnu, rendant les trajets d'un point à un autre de plus en plus long, comme si le monde s'étirait tel un élastique, Ian Watson (auteur que je n'associais jusqu'ici pas tellement à ce type de « prémisses aberrantes », mais je réalise que je le connais mal!) livre un texte qui n'a rien de la fantaisie ou de l'humour Laffertyen, et explore de façon réaliste les effets dramatiques de cet « élargissement » sur la vie quotidienne du narrateur et du reste de l'humanité, notamment l'apparition d'espaces interstitiels où un dixième de la population va se perdre pour ne jamais réapparaître. Un texte inclassable et imprévisible, à la limite du fantastique : 5/5



 Brian STABLEFORD, La Science-Fiction anglaise, de 1964 à 1984 (SF in Britain, 1964-1984)

Un « état des lieux » de la SF britannique en mouvement, entre new-wave et réaction inverse ; forcément très daté mais pas moins intéressant.



Michael SWANWICK, Ginungagap (Ginungagap, 1980),

Entre hard-science, récit de premier contact et proto-space-opera, une histoire de trous noirs et d'araignées de l'espace – dit comme ça on pourrait penser à du Van Vogt old-school, mais on est finalement plus proche de Bruce Sterling période Schismatrice, dans l'écriture et la construction (toutes proportions gardées). Les aspects scientifiques/conceptuels ne m'ont pas passionné mais l'intrigue, portée par un style nerveux et de vrais personnages se suffit à elle même. A noter que le héros est une héroïne, ce qui pour l'époque et un auteur mâle n'était pas si fréquent que ça.

4/5 (et m'a donné envie de creuser un peu plus ce qu'a fait Swanwick!)



James Jr. TIPTREE, Larmes d'étoiles (We Who Stole the Dream, 1978)

Un peuple extraterrestre pacifiste, réduit en esclavage (entre autre sexuel) par des colons humains, s'empare d'un vaisseau pour fuir vers un hypothétique berceau de leur race. Un texte choral dur, à la conclusion amère, qu'on peut voir comme une simple (mais violente) charge contre le colonialisme, mais se lit aussi comme un suspense haletant, et peut-être bien une allégorie de certaines situations bien réelles du XXème siècle... Le texte datant de 1978, difficile de ne pas y voir au minimum une allusion au rapatriement en Israël des falashas éthiopien, par exemple. On peut aussi y voir une allégorie féministe, ou de toutes les luttes d'émancipations, mais sans aucune naïveté militante... Tiptree au top, comme d'habitude.

4/5



R. A. LAFFERTY, La Planète Ours voleur (Thieving Bear Planet, 1982)

Des explorateurs – et exploratrices - sont chargés de comprendre ce qui ne va pas avec une planète peuplée par d'étranges créatures kleptomanes. Du pur Lafferty, ciselé, hilarant, surréaliste mais totalement structuré – et plus compréhensible (mais tout est relatif...), ou en tout cas moins cryptique qu'il ne l'est souvent. Mais de toute façon, R.A.Lafferty est un cas à part : génial quand il est « clair », génial quand il est « obscur » !

5/5



 Pascal J. THOMAS, Quand on aime la vie, on lit de la SF !

Un article de « critique littéraire » drôle mais toujours pertinent en 2024 sur – entre autres – certains tics d'écritures dans la SF américaine, dont l'importance culturelle du jus d'orange au petit déjeuner. Certains exemples sont datés, et les sujets de moquerie nous paraissent bien lointains (Alan Dean Foster, le troisième volume du monde des non-A d'A.E. Van Vogt) mais les réflexions restent d'actualité sur le fond.



 Emmanuel JOUANNE & Jean-Pierre VERNAY, Les Jours d'été

Un artiste (aux techniques meurtrières, on pense plusieurs fois à « The house that Jack built » de Lars Von Trier) voyage dansle temps en laissant derrière lui ses œuvres macabres ; tombe amoureux d'une inconnue nommée Eté ; elle le suit à travers son périple temporel, jusqu'à la création de son chef d'oeuvre ultime. Malgré quelques maniérismes agaçants typiques des auteurs français des 70-80, une assez belle réflexion morbide sur l'art, le temps, l'amour, la mort et l'éternel retour. 3,5/5









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Univers, n°1

Pour ma part ,le bilan est mitigé , deux nouvelles très bien (moby aussi et Le défi de l'au-delà) et le reste , soit incompréhensible soit dénué d'intérêt. Je vais continuer a lire cette collection car je sais qu'il y a de bonnes choses à découvrir.
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Univers, n°9

J'avoue avoir été déçu par ce recueil de nouvelles SF qui était très moyen avec des histoires très banales.
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Univers, n°6

Deux étoiles pour "Agéisme" de Walter Fisher.
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Univers, n°12

La nouvelle de Dick sur la machine à sauver la musique est improbable. Les partitions sont transformées en animaux pour les conserver mais ils se dégradent. La nouvelle fille et robots est très drôle, inattendue, légère. Une bonne critique de notre société de consommation dans Il faut tout avaler. Les gens pauvres se transforment en monstres et dévorent des centres commerciaux, enfin en gros car en détail c'est plus fin et plus drôle.
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Univers 1986

1 - Pierre K. REY, Transition de pensée, pages 7 à 13, Introduction

2 - John VARLEY, Options (Options), pages 15 à 52

3 - R. A. LAFFERTY, Les Gens dans les coulisses (Compagny in the wings), pages 53 à 69

4 - Gardner DOZOIS, Enfant du matin (Morning Child), pages 71 à 79

5 - Pascal J. THOMAS, Entretien avec Kim Stanley Robinson, pages 81 à 101, Entretien

6 - Kim Stanley ROBINSON, Venise engloutie (Venice Drowned), pages 103 à 126

7 - Jean-Pierre APRIL, Il pleut des astronefs, pages 127 à 144

8 - James Graham BALLARD, La Cible visée (The Object of the Attack), pages 145 à 162

9 - Jean CHESNEAUX, After Armageddon ou Ballard dévoilé par Ballard, pages 163 à 180, Article

10 - Jean-Claude DUNYACH, Sous l'oeil mort de la caméra, pages 181 à 189

11 - Pierre GIULIANI, Les Murailles du milieu, pages 191 à 217

12 - Michel LAMART, Dans la mouvance de Mouvance, pages 219 à 237, Article

13 - Frédéric SERVA & Jean-Pierre VERNAY, L'Heure du chat, pages 239 à 250

14 - Paul DAVID, Vol de nuit, pages 251 à 258

15 - Connie WILLIS, Joyeux Noël, mes chéris ! (All My Darling Daughters), pages 259 à 286

16 - Lorris MURAIL, Axiome fondamental du Parricide Prénatal, pages 287 à 293, Article

17 - Colette FAYARD, L'Enfant du siècle, pages 295 à 310

18 - Nancy KRESS, Trinité (Trinity), pages 311 à 371

19 - Carter SCHOLZ, Les Neuf milliards de noms de Dieu (The Nine Billion Names of God), pages 373 à 382

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Univers 1984

1 - Michel JEURY, Je t'offrirai la guerre, pages 13 à 35

2 - Connie WILLIS, Fire watch (Fire Watch), pages 36 à 87

3 - Greg BEAR, Petra (Petra), pages 88 à 111

4 - Jacques BARBERI & Henry-Luc PLANCHAT, Concondance des temps dans un lieu-dit, pages 112 à 131

5 - John Thomas SLADEK, La Disparition de la lune : une explication (Explanation for the disappearance of the moon), pages 132 à 140

6 - Larry NIVEN, Rencontre avec un trou noir (The Hole Man), pages 141 à 158

7 - John SHIRLEY, Will la glace (Will the Chill), pages 159 à 187

8 - J.-H. WINTERHALL, Maman BD, pages 188 à 195, Article

9 - Michel PAGEL & Roland C. WAGNER, Par delà les murs qui saignent, pages 196 à 212

10 - Nancy KRESS, Des ombres sur le mur de la caverne (Shadows on the Cave Wall), pages 213 à 249

11 - Spider ROBINSON, Les Éléphants sont mélancoliques (Melancholy Elephants), pages 250 à 269

12 - Raymond MILESI, Cinquante-cinquante, pages 270 à 291

13 - Jean-François JAMOUL, Les Singulières Arcadies de John Holbrook Vance, pages 292 à 324, Article

14 - Jean-Pierre HUBERT, Pleine peau, pages 325 à 340

15 - James Jr. TIPTREE, Hors de l'infini (Out of the Everywhere), pages 341 à 388

16 - Yves FRÉMION, Georges Orwell, Le père fondateur, pages 389 à 403, Article

17 - Jean CHESNEAUX, D'un 1984 à l'autre : Angsoc et Plamod, pages 404 à 415, Article
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Univers, n°17

Contient :

Joëlle Wintrebert - La Créode

Robert Holdstock - La Croix du cimetière

Marion Zimmer Bradley - Main-Verte

Craig Strete - Le conte de fées

Steve Chapman - Trio

Jean-Pierre Andrevon - Le bassin aux Triphoniae

Graham M. Hall - L'effet Tennyson

George R.R. Martin - Solitude du deuxième type

Violette Le Queré - Star'war (La guerre des stars)

Jean-François Jamoul - Futurologie et divination

Alexandre Zinoviev, Bernard Blanc et Yves Frémion - Cette fiction dite scientifique - Interview d'Alexandre Zinoviev
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