Alexandre Jardin

J’ai été bercé dans mon adolescence par les romans d’Alexandre Jardin jusqu’à reproduire les folies d’amour de ses personnages. Je m’en suis lassée. Ce dernier roman qui se veut vrai et authentique me laisse perplexe. Il est très bien écrit, la prise y est si belle que Kali eu l’impression de perdre le brut, l’authentique de ses révélations. J’ai surtout aimé retrouvé tout ces personnages et ses images qui bercent mon esprit mais qui parfois m’égare du vrai. Comme si la firme avait desservi le font. Je demeure tout de même fan d’Alexandre Jardin.

j'ai lu le livre après avoir vu le film! j'ai beaucoup aimé l'un comme l'autre!

Un livre exceptionnel.

Quelques très bons récits noyés dans des tentatives d'écriture médiocres très éloignés du thème de l'enfance. On est en 1998, seulement deux auteures contre 15 hommes pour ce collectif.

Alexandre Jardin est un des rares auteurs dont certains de ses livres font parti de mes coup de cœur (Le Zubial) alors que j en ai détesté d autres. Celui ci fait clairement parti de la seconde catégorie. C est une suite de Fanfan, que j avais plutôt apprécié. Ici les personnages sont antipathiques, l'ambiance désagréable limite malsaine.

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On se laisse emporter par ce roman ! Certains lecteurs diront que c'est de la littérature peu facile. Tant pis ça fait tout de même plaisir !L'éloge parfaite du désir amoureux, forte et inoubliable. Ce Roman méduse dès les premières pages et il est impossible de le refermer. J'ai du m'arrêter tout de même un moment pour me servir un verre de cognac et écouter un opéra, car l'histoire aboutit à un passage d'une telle puissance qu'il ne me permettait pas de reprendre les lignes...
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Une jolie fable même si le livre traîne parfois en longueur

Amour, l'amour pour sa mère.

214 pages pour l'amour de sa mère.

Pour d'autres elle aurait pu être une mère pervers.

Pour Alexandre elle est une source de force.

Elle lui a appris à aimer.

Je n'ai pas réussi à le finir. Ca faisait longtemps que je n'avais pas lu du Jardin....mais j'ai vraiment eu du mal à me plonger dedans dommage car les mots sont très justes et c'est très bien raconté.

Sans faux-semblants, sans maquillage, il décortique ses mensonges et révèle le côté sombre de sa vie personnelle, aux antipodes de la vie extravagante qu’il évoquait dans ses best-sellers.
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Un roman agréablement simple à lire, une intrigue qui vous emmène au plus près de votre "âme d'enfant", qui vous apprend à prendre du recul sur votre condition d'adulte. Mais il manque un je ne sais quoi qui amène d’avantage de profondeur.

Alexandre Jardin remet en question tout ce qu'il a écrit avec succès. Ses livres ne sont que des mensonges qu'il dénonce dans Le roman vrai d'Alexandre.
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Passant du rôle d’amuseur à celui d’éclaireur public, l’écrivain plaide pour l’abandon de tout masque.
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Un beau livre. J’ai aimé ce texte qui fait réfléchir, qui amuse et qui émerveille. Alexandre Jardin a vraiment une belle plume originale. Ce livre m’a vraiment touché par sa sincérité. À la hauteur de mes attentes!

Je dois avouer que je ne suis pas vraiment amateur des livres d'Alexandre Jardin que je trouve un peu cul cul et politiquement corrects toujours dans la même mouvance !!! Par contre j'ai aimé les Coloriés, lu par hasard, une magnifique fable d’Alexandre Jardin sur le refus de passer à l’âge adulte. Echoués sur une île, une troupe d’enfants refuse les didkats du monde adulte, s’autorisant toutes les folies, limité uniquement par l’imagination la plus débordante. C’est cette île que Hippolyte, un ethnologue, découvre à travers Dafna, une coloriée échouée dans le monde adulte à la recherche de ses parents. S’ensuivra une redécouverte de soi, un aller simple vers la folie la plus pure, un embargo posé sur l’attitude trop sérieuse de ce monde. C'est charmant et très mignon...rafraîchissant !
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Un livre que se lit rapidement. L'écriture est belle et fluide mais l'histoire ne m'a pas touché.

Le livre que je veux avoir près de moi jusqu'à la fin de mes jours. Un hymne à la jeunesse et à l'amour.

bof

L'auteur Alexandre Jardin et le dessinateur Hervé Le Goff modernisent les contes. Ils imaginent dans Il faut aider le Petit Chaperon rouge une histoire rocambolesque pour piéger le grand méchant loup...
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