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Critiques de Allison Hoover Bartlett (84)
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L'homme qui aimait trop les livres

Jusqu'où iriez-vous pour mettre la main sur le livre de vos rêves ?

Qui n'a jamais eu cette idée stupide de dérober un ouvrage de médiathèque pour l'ajouter égoïstement à sa bibliothèque ?

Quel homme, quelle femme peut trop aimer les livres ?

Peut-on d'ailleurs trop aimer les livres ?

Ce récit est, paraît-il, inspiré d'une histoire réelle.

C'est une traque où le libraire Ken Sanders, "biblioflic" à ses heures, poursuit John Gilkey qui prétend avoir dérobé pour plus de 200.000 dollars de livres anciens ...

Cet original et joli petit ouvrage, tout de jaune et marron vêtu, est un appel à la lecture !

Comment résister à sa quatrième de couverture ?

Mais certains livres loupent leur carrière !

Car malheureusement presque dès le début de la lecture de ces quelques 300 pages, après quelques considérations d'introduction intéressantes, l'ennui survient, et reste accroché au bout de chaque phrase.

Quel récit formidable aurait pu sortir de cette course poursuite !

Mais la bonne idée et le sens de la formule d'Hallison Hoover Bartlett n'auront pas suffi.

Cette aventure n'est ni rocambolesque, ni haletante.

C'est poussif et finalement assez banal.

Le récit est maigre, et souffre d'un manque de rythme, de rapidité et de relance.

L'auteure de l'ouvrage n'aura pas réussi à donner réellement vie à ses personnages auxquels personnellement à aucun moment du récit je n'ai eu envie de m'attacher.

Pensez donc ! L'homme qui aimait trop les livres est collectionneur qui ne lit pas ...

Et l'homme qui le poursuit est un revendeur de vieux bouquins terne et sans originalité ...

Pensez donc ! Ici, on ne juge pas un vieux livre à son contenu !

Il s'avère être plus qu'un véhicule de l'histoire qu'il raconte.

Il s'agira donc ici plus de bibliomanie que de bibliophilie.

L'auteure, en début d'ouvrage, semblait avoir promis d'envisager la relation complexe, et parfois dangereuse, que l'on peut entretenir avec les livres.

C'est manqué.

Mais il reste une bonne raison de lire le livre d'Allison Hoover Bartlett, l'espoir éventuel de vous débarrasser d'une mauvaise odeur d'aisselles si, bien sûr, vous en souffrez !

Les ingrédients d'une potion dite efficace y sont donnés en ouverture mais sans en préciser la posologie ... débrouillez-vous ...



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L'homme qui aimait trop les livres

Un très bon moment de lecture qui offre une einième hommage aux Livres , et plus insolite un Hommage ambigu envers les collectionneurs-voleurs !!!



Une sarabande rocambolesque entre un libraire d'ancien, transformé en

enquêteur pour poursuivre un "Arsène Lupin" des Livres, et entre les

deux, une amoureuse des livres, l'auteure, journaliste qui se plonge dans la planète des bibliophiles et aussi des bibliomanes , pour nous offrir ce récit, prodigue en anecdotes et rebondissements !!





"Les livres ne sont pas des objets inertes mais portent en eux autant de vie que l'âme qui les a fait naître, en effet ils conservent, comme dans une fiole, la puissance et l'essence de l'intellect qui leur a donné le jour." Presque trois cents ans après lui , en 1900, Walt Whitman faisait écho à ce sentiment : " Camarade ! Ceci n'est pas un livre , / Qui touche ceci touche un homme." (p. 156)



Toujours joyeuse de dénicher des ouvrages dont on parle moins, qui me plongent de plus dans des domaines me tenant à coeur : le Livre ancien et le monde des collectionneurs, où j'ai exercé quelques années comme catalographe !



Notre narratrice, journaliste [ l'auteure] s'est immergée dans cet univers si spécifique de l'Antiquariat, des collections de livres et des collectionneurs,; elle s'est documentée, a beaucoup lu, questionné libraires, experts, et fascinée par ce sujet, étend sa "fascination" aux "voleurs de livres"... Et dans cet objectif, elle rencontre un célèbre voleur de livres précieux, essaye de comprendre cette "addiction "ainsi que ses motivations !!



Des anecdotes multiples sur les manies des bibliomanes et des bibliophiles... de nombreux renseignements sur l'histoire du Livre, la justification de la rareté de certains tirages...les différents profils de collectionneurs, comme d'experts , les mises en garde aussi sur les tromperies des experts et sur e.bay, vaste fourre-tout d'ouvrages

à la provenance pas toujours fiable, etc.!!



J'ai abondamment souligné ce livre... et vais tenter de me limiter dans mon choix d'extraits les plus significatifs



"Plus je piochais dans mes piles de livres consacrés à des collectionneurs, plus je pensais au rôle que ces hommes (et quelques rares femmes) avaient joué pour préserver notre héritage culturel. Pour reprendre les mots de Wilmarth Sheldon Lewis, un collectionneur décédé en 1979. "Sains d'esprit ou fantasques. Ils sauvegardent la civilisation ". Ils me fascinaient tous." (p. 231)



"Plus j'en apprenais sur les collectionneurs, plus je me considérais comme l'un d'entre eux : pas une collectionneuse de livres, mais des histoires que je récoltais au cours de mon enquête. A l'image de ceux qui sont gagnés par la frénésie à mesure que leur collection prend forme, plus j'obtenais des informations plus j'en demandais. Je découvris ce qu'était le vélin, le bougran, les errata et les tranches à témoins. Mes carnets de notes se multipliaient pour former une pile haute comme dix - Kraütterbuchs- En accumulant des anecdotes sur des voleurs, des libraires, et le monde du livre ancien, j'en vins à comprendre que cette histoire n'était pas une simple compilation de délits mais bout à bout, mais qu'elle parlait aussi de la relation intime, complexe et parfois dangereuse que les gens ont avec les livres. "(Prologue, p. 17)



Ce récit se termine par une sélection bibliographique en anglais, intéressante, sur les livres rares et précieux, ainsi que sur certains célèbres collectionneurs...



En lisant cet ouvrage, l'agréable sensation physique de l'odeur des vieux livres...de l'atmosphère si unique des librairies anciennes, chacune avec leur cachet, la personnalité unique de chaque libraire, son accueil, ses bavardages , silences ou secrets !!! ...



J'ai pris le temps de lire doucement cet ouvrage qui regorge d'histoires d' hommes (peu de femmes bibliophiles !!) qui aiment trop les livres dont ce comte Guglielmo Libri, dont j'ai entendu parler lors d'une de mes missions de catalogage dans le fonds ancien de la Bibliothèque Mazarine, où il a dû aussi sévir... Une histoire incroyable !!



Cette auteure m'a rappelé le destin peu banal de ce collectionneur -savant... et un peu voleur sur les bords !!



"Une histoire qui me tenait en haleine tard le soir était celle de Guglielmo Libri (1803-1860), l'un des plus éminents gardiens de notre héritage culturel, qui a probablement autant pillé que préservé. Libri était un comte italien (...)

Il était mathématicien, journaliste, enseignant, conseiller du gouvernement français. C'était une référence en histoire des sciences et il naviguait dans les milieux académiques aussi bien français qu'italiens et anglais. En 1841, on lui confia la responsabilité d'inventorier tous les manuscrits anciens des bibliothèques publiques de France. Cette mission l'autorisait à entrer dans toutes les réserves à n'importe quelle heure. (...) En tant que catalogueur des bibliothèques de France, il savait exactement quels manuscrits n'avaient pas été encore inventoriés, et il ne put résister à la tentation. "(p. 132)



Une lecture doublement appréciée, par ses thèmes... et second plaisir : la découverte de cette petite maison d'édition indépendante... [**** voir ma liste avec les premiers titres de leur catalogue, intitulée avec ce titre trop réjouissant...; "L'Homme qui aimait trop les livres"....]



Récréation des plus plaisantes et instructives... pour tous les passionnés de livres, ayant, ceci dit, un minimum d'intérêt pour les livres anciens , la bibliophilie, les ventes aux enchères et ces drôles de spécimens: "Les Collectionneurs ", dont on a un très pittoresque et joyeux catalogue !!
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L'homme qui aimait trop les livres

Quelle lecture !

J’ai dévoré ce livre et j’ai adoré découvrir l’univers des collectionneurs de livres rares.

L’auteure est journaliste mais son ouvrage se lit comme un roman.

Elle nous raconte une traque réelle, celle d’un libraire qui part en guerre contre un voleur de livres.

Ca pourrait paraitre anecdotique s’il s’agissait du vol d’un livre valant quelques dollars, mais on parle ici de livres anciens qui valent des milliers de dollars.

Mais ce livre nous parle avant tout d’une passion ou plutôt d’une addiction dévorante, celle d’un homme qui ressent le besoin de posséder des ouvrages précieux, épuisés, des premières éditions, des livres difficiles à trouver et à se procurer, des livres qu’il serait le seul à posséder.

L’auteure nous fait découvrir l’univers des salons de collectionneurs, elle nous fait rencontrer des libraires et des collectionneurs, tous passionnés par les livres rares : des livres très anciens, des livres introuvables, des livres avec des particularités comme une dédicace ou un dessin ajouté dans la marge par l’auteur, des livres uniques en somme.

Elle va nous parler de littérature, mais surtout de vieux papiers, car aussi étrange que cela paraisse, il semblerait que les collectionneurs de livres rares ne lisent pas forcément les livres qu’ils acquièrent.

Ils sont obsédés par l’objet livre en lui-même, plutôt que par son contenu.

Et l’auteure va surtout rencontrer et avoir une relation « livresque » avec le fameux voleur en question, un homme plusieurs fois arrêté pour vol de livres.

Il va ainsi lui expliquer d’où vient sa passion pour les livres, quels sont ceux qui font vibrer son cœur et pourquoi il n’arrête pas de voler alors même qu’il enchaine les séjours en prison.

J’ai été totalement envoutée à mon tour par cet univers, que je ne connaissais pas du tout, et j’ai été subjuguée par cette histoire, à la fois la traque acharnée d’un libraire pugnace et celle d’un collectionneur que rien ne peut arrêter.



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L'homme qui aimait trop les livres

Il y avait pourtant tous les ingrédients pour me plaire : le thème du livre et de la lecture, l'amour du livre ancien, une histoire du voleur et des volés, les nombreuses librairies de livres anciens aux États-Unis et de nombreuses références de lecture. La forme du roman me plaisait aussi : une femme enquête et rencontre John Gilkey le voleur, ses principales motivations et arnaques en tout genres. Elle rencontre également Ken Sanders, amoureux des beaux livres et suit depuis des années, Gilkey, pour le faire coffrer. Je m'attendais un peu à une ambiance à la Arsène Lupin de l'auteur Maurice Leblanc. Bien que ce roman soit bien documenté, la sauce n'a pas pris. Quelques chapitres m'ont bien plu, d'autres, plus nombreux m'ont ennuyé. J'ai lu les 3/4 du livre et j'ai capitulé. Je n'ai pas pour habitude de mettre une critique d'un livre que je n'ai pas terminé mais j'avais quand même envie de vous en dire quelques mots.
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L'homme qui aimait trop les livres

John Gilkey adore les livres anciens, passionnément, follement, exagérément. Il les recherche, les chasse, les traque, les collectionne, les accumule. Leurs prix élevés ne lui permettant pas de les acheter, il les vole !



Lui trouve ça tout à fait normal, comme un juste retour des choses. Pourquoi ne jouirait-il pas du plaisir de les posséder quand bien même il n'a pas les moyens de se les offrir ? Et puis les libraires n'ont qu'à faire preuve de plus de vigilance !



Une logique fort discutable vous en conviendrez mais qui vous donne une idée de la personnalité de l'individu.

Tout au long du récit de ses méfaits, on reste pantois devant son culot et sa facilité d'action. Au fil des ans, le type a tout de même volé pour 200 000 dollars de livres anciens. Juste incroyable !



En amateur et chineur de livres que je suis, même si je ne suis pas collectionneur de livres anciens, toutes les anecdotes et détails sur les livres m'ont évidemment intéressé mais je dois bien reconnaitre que ça alourdit le récit.



Enfin, je trouve la 4ème de couverture un peu trompeuse, la notion de traque plutôt abusive. Même si le flic voudrait bien lui mettre le grappin dessus, on est loin du thriller. de plus, alors que je pensais avoir à faire à un roman, j'ai réalisé qu'il s'agissait d'un témoignage.



L'Homme qui aimait trop les livres reste une lecture plaisante mais tout de même un peu décevante.



Merci à Babelio et Pocket !


Lien : http://bouquins-de-poches-en..
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L'homme qui aimait trop les livres

Je suis déçue par ce livre, je m'attendais à une énigme et une enquête policière mais il s'agit plutôt d'un récit ou un documentaire sur les collectionneurs de livres anciens.

Le personnage du livre est particulièrement voleur, menteur et n'attire pas la sympathie du lecteur pour lui, ni de l'auteur, me semble-t-il.

Il y a beaucoup trop de longueurs sur le prix de ces livres rares. Mais cet avis n'engage que moi, je me suis ennuyée et j'ai vite perdue l'intérêt du livre, à la fin j'ai sauté de nombreuses pages.

Dommage, le titre de ce livre m'avait intrigué et je me suis trompée.

Je l'ai déjà déposé dans une boîte à livres.
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L'homme qui aimait trop les livres

Ce que j’ai ressenti:



En tant que passionnée de livres, lire cette aventure palpitante au cœur des livres, c’est un peu comme un feu d’artifice, une joie dans la joie. Allison Hoover Bartlett, avec son enquête nous pousse à nous remettre en question et à réfléchir sur nos propres comportements de bibliophiles et de bibliomanes. Jusqu’où iriez-vous pour votre passion des livres? Parce que si l’on comprend aisément, l’idée qu’un homme puisse « aimer trop les livres », qu’en est-il si cet amour le pousse à les voler? Jusqu’à quel point peut-on aimer ces petits carrés de magie?



"On en apprend beaucoup sur une personne en regardant sa bibliothèque."



John Gilkey est un voleur de livres. C’est un homme qui m’a laissée perplexe tout autant que cette écrivaine qui va consacrer des années à compiler des preuves, des entretiens et des heures à essayer de comprendre l’esprit perturbé de ce cleptomane endurci. Cette collection de livres anciens dans laquelle il se jette à corps perdu avec un idéal de grandeur, le dépasse tellement qu’il en oublie la frontière entre le bien et le mal. Mais l’amour des livres est puissant, nous savons bien cela, et d’autres amoureux de la littérature vont s’associer pour déjouer les plans de la frénésie de John Gilkey en essayant de rétablir l’equlibre et la justice, notamment grâce à un libraire tenace Ken Sanders.



« Tout livre rare est un livre volé. »



J’ai adoré cette lecture! C’était passionnant! Toute cette énergie déployée pour protéger la culture, les trésors de la littérature, la magie d’une belle histoire, la puissance ensorcelante d’un livre, tout est fascinant dans cet univers des livres anciens . Allison Hoover Bartlett nous emmène à l’intérieur de cet univers de collectionneurs chevronnés pour nous enivrer de cette odeur caractéristique du pouvoir de la lecture. Il y a vraiment des passionnés en ce monde et ça fait plaisir à lire! C’était un reportage et une enquête vraiment édifiante, j’ai appris tellement sur les livres et ceux qui les aiment TROP…Je recommande vivement cette lecture à tous ceux qui aiment les livres, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie…



"Les livres ne sont pas des objets inertes mais portent en eux autant de vie que l’âme qui les a fait naître, en effet ils conservent, comme dans une fiole, la puissance et l’essence de l’intellect qui leur a donné le jour."





Ma note Plaisir de Lecture 9/10


Lien : https://fairystelphique.word..
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L'homme qui aimait trop les livres

Seriez - vous prêt à tout pour mettre la main sur le livre de vos rêves ?



Mieux encore jusqu’où iriez vous pour posséder une bibliothèque remplie de vos livres préférés ?



Drôles de questions direz- vous ?

Ceci n’est pas un roman , pas un thriller mais une enquête parfaitement documentée, un récit rédigé à la manière d’un article mené de main de maître par une journaliste américaine passionnée , elle même amoureuse des livres : Allison Hoover Bartlett qui écrit pour Le New- York Times .



Elle conte l’histoire passionnante ,étayée , convaincante et érudite d’un des plus grands voleurs de livres anciens.: l’américain John Gilkey , amoureux des livres, collectionneur acharné qui a dérobé pour 200 000 dollars de livres anciens.



Son but : réunir une collection à son image, un sacré personnage : toujours entre deux chasses aux livres rares avec son père, fausses adresses, chèques sans provision, arnaques et séjours en prison réguliers ...



C’est sans compter sur l’activisme, la ténacité , l’obstination d’un autre amoureux des livres : Ken Sanders, libraire de livres anciens irascible, déterminé qui traquera J’ Gilkey sans relâche et mènera l’enquête ..



A travers le récit riche , insolite, érudit, de cette traque mouvementée, haletante, l’auteure, collectionneuse d’histoires , notamment celle du Kräuterbuch,( herbier ) publié en 1630, pétri d’anciens remèdes de la médecine traditionnelle , évoque longuement avec finesse et subtilité( elle a mené d’incroyables recherches ) la relation intime complexe, parfois dangereuse que les gens ont avec les livres.



Elle nous apprend que le vol,de livres anciens était un phénomène très répandu plus courant que le vol d’œuvres rares .

Pourquoi GIlkey aimait - il tant les livres rares ?

Pourquoi prenait- il le risque d’être privé de liberté ?

Il volait par amour des livres, il les voulait pour lui, ces collectionneurs comme Ken Sanders , d’ailleurs, étaient passionnés , animés par le désir , plutôt l’obsession maladive de posséder quelque chose , d’unique de merveilleux .: par exemple les papiers personnels de Flaubert , Lewis Carroll, Edgar Allan Poe, Mawfild Parrish, bibliophiles et collectionneurs pouvaient aussi collectionner des objets de différentes natures: tabatières, , objets en cristal, cartes de base- ball...



Un récit écrit en hommage à tous les amoureux des livres, les passionnés de bibliothèque, de libraires et de livres anciens ....

Reportage fabuleux , et belle réflexion sur notre rapport aux livres,...



«  Ce livre n’appartient à nul autre que moi

Car c’est mon nom que vous lisez à l’intérieur .

Si vous vous risquez à le voler

Vous vous retrouverez pendu par la gorge

Les corbeaux, alors, vous entoureront,

Pour chercher vos yeux et les piquer.

Et en criant :

«  Oh, Oh, Oh » ,

Souvenez - vous que vous méritez ce châtiment » ...



Mise en garde écrite par un scribe allemand

Au Moyen Âge .









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L'homme qui aimait trop les livres

On entre dans le monde des collectionneurs qui brassent des millions de dollars. C'est vraiment intéressant, on apprend plein de choses. En approchant le voleur de livres John Gilkey l'auteur essaye de comprendre comment il s'y prend, pourquoi a-t-il ce besoin de voler les livres? Qui est-il? Un homme énigmatique... Oscar Wild ne disait-il pas "I can't resist everything except temptation"? L'un (Gilkey) vole au risque de perdre sa liberté, l'autre (Sanders le libraire) fera tout pour la lui prendre. Pourquoi? Y arrivera-t-il? Le livre objet est précieux pour certains, engendre des souvenirs pour d'autres mais aussi la convoitise. En tant que passionnée, je me suis reconnue à bien des égards dans certaines situations. (...)



Ma page Facebook au chapitre d'Elodie
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L'homme qui aimait trop les livres

J’ai craqué pour ce livre en vacances à la très jolie librairie trait d’union à Noirmoutier. La couverture et son titre ont tout de suite attiré mes yeux sur ce petit livre (format poche) au milieu de ces très nombreux polars et thrillers. La lecture de la quatrième de couv’ a fini par me convaincre : une enquête d’un libraire jouant les Sherlock Holmes afin de mettre la main sur un voleur de livres… Seulement voilà, parfois un emballage trop beau peut être trompeur.

Je n’irais pas jusqu’à dire que ce livre est mauvais ou que son auteure soit nulle, mais ce n’est pas comme attendu, un polar au rythme effréné. Ce récit est plus un témoignage, un documentaire journalistique, nous racontant la vie de John Gilkey, voleur de livres connu pour en avoir dérober pour près de 200 000 dollars.

Ce texte donc, d’Allison Hoover Bartlett m’a appris beaucoup de chose sur les livres anciens et les fantasmes qu’ils créent chez certains d’entre nous, lecteurs passionnés, ayant tendance à accumuler les livres.

N’aimant pas par respect pour le travail des auteurs faire des retours négatifs sur leur travail, mais souhaitant être toujours honnête envers les personnes lisant mes chroniques, je ne m’étalerais pas d’avantage mais profite au cas où pour rappeler au John Gilkey qui sommeille en eux, aux personnes m’ayant emprunté à l’occasion des livres de bien vouloir les rapporter 😉.


Lien : https://imaginoire.fr/2020/0..
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L'homme qui aimait trop les livres

La journaliste Allison Hoover Bartlett narre la vie de voleur de livres rares, anciens et fort coûteux de John Gilkey, qui a sévi dans les années 2000, tout en explorant le monde des collectionneurs de livres...



C'est bête, mais quand on ne sait pas que cette histoire est en réalité basée sur un fait réel, le synopsys en 4ème de couverture peut aisément tromper le lecteur qui peut s'attendre tout simplement à un roman. Cet ouvrage est en fait une sorte de biographie d'un voleur de livres bien connu en Amérique dans les années 2000, nous assistons donc à ses méfaits et surtout à sa traque, retracée par l'auteur grâce à moult interviews.

C'est en cela que ça peut être un peu décevant, car on ouvre ou achète un livre premièrement pour le genre de littérature qu'il renferme. Néanmoins, on se laisse quand même embarquer dans cette petite aventure, bien que l'histoire ne soit pas non plus du type haletant. On y trouve beaucoup de redondances, surtout quand Hoover Bartlett développe les motivations et manies d'un collectionneur, ou ses sentiments face à un livre, alors qu'on comprend quand même vite l'idée, même si certains aspects restent intéressants. Aussi, l'auteur parle du charme de Gilkey, mais quand on est intrigué comme moi et qu'on va chercher sa photo sur internet, on voit un homme qui n'a pas franchement un physique de lover !! Ce qui est amusant, c'est que Gilkey, qui accompagne l'auteur pendant la rédaction de son livre, cherche constamment à lui trouver la fin parfaite. Allison a-t-elle donc été influencée dans la description de son sujet ?

Ah et puis que de fautes, non mais qui a corrigé ce livre ???

Bref, si vous aimez les histoires de course poursuite ET les livres anciens, alors vous pourrez apprécier cet ouvrage. Sinon, il vous fera passer le temps, sans réel plus.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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L'homme qui aimait trop les livres

Comment, quand on est passionné par la lecture, ne pas être intrigué et forcément intéressé, fortement titillé par cette couverture insolite, et par ce titre ?

Surtout quand on découvre sur la 4 ème de couverture qu'il ne s'agit pas d'un roman, mais d'une enquête d'une journaliste américaine.

Double voyage donc dans le monde du livre et dans le monde de cette Amérique, dans ce monde un peu (beaucoup) fou des Américains...Pas les américains lecteurs, comme vous et moi, non les américains collectionneurs, investisseurs, fascinés par une vieille couverture, par une édition limitée, par un autographe, fascinés par la possession, la collection, les dollars.

Qu'importe le texte du livre !

La journaliste Allison Hoover Bartlett rencontre en prison John Gilkey, emprisonné pour la nième fois pour vol de livres.

Avec lui, on apprend qu'il ne faut pas confondre livre et lecture, ce sont deux mondes différents. La lecture, chacun de nous sait ce que c'est. Le livre est essentiellement pour nous, le support de nos lectures, de nos évasions de nos découvertes.

Mais pour John Gilkey, c'est un objet qui a une autre valeur, un objet qu'on peut acheter quelques cents à un libraire proposant des ouvrages anciens, et revendre quelques semaines après dans une salle des ventes plusieurs milliers de $....parce que le libraire ne savait pas ce qu'il avait dans ses rayons...Le livre devient fascinant, devient un objet pour lequel on traversera le pays, quand il est rare, quand il est dédicacé, quand vous avez entre les mains la première édition y compris d'ouvrages qui ont fait notre jeunesse, comme les premiers Harry Potter...ou nos premiers livres illustrés que nous déchirions parfois quand nous avions 3-4 ans...pourvu que leur jaquette papier soit en bon état, et bien sûr d'origine, pas falsifiée. Nous avons eu de l'or en main.

Ce sont ces livres que Gilkey et d'autres comme lui, débusquent sur Internet, dérobent dans les rayons, amassent dans leurs appartements, ces livres pour lesquels ils sont prêts à tout, pour lesquels ils montent des arnaques, quitte à passer des mois de prison. Alors ils écument les librairies anciennes, les salons professionnels, les salles des ventes, et utilisent tous les stratagèmes possibles pour arriver à leur fin.

Face à eux, des libraires, également passionnés, presque aussi fous qu'eux. Certains connaissent la valeur des ouvrages dans leurs rayons. D'autres beaucoup moins. Certains sont méfiants, d'autres moins. Les plus méfiants s'organisent. L'auteure rencontrera Ken Sanders, Libraire à Salt Lake City et Délégué général de ALAA : Association des libraires de livres anciens d'Amérique...Il organise en utilisant Internet, la chasse des voleurs, la chasse des collectionneurs indélicats, leur identification, permet les échanges d'informations entre eux.

Certains de ces collectionneurs fous accumulent les livres sans les lire...Allison l'auteure, nous raconte que l'un des ces collectionneurs fous, fut découvert, mort, dans son appartement au milieu de 90 tonnes de livres mettant en jeu la structure du bâtiment. Celui-ci pouvait s'écrouler sous ce poids.

D'autres utilisent pour leur trafic ebay "le plus grand receleur de l'univers." ,"... devenu la plus grande entité de revente d'objets volés du monde"... selon l'auteure et Ken Sanders . J'y regarderai à deux fois avant d'y acheter, si je le fais un jour.

Amis lecteurs et voyageurs qui vous rendez aux Etats-Unis, vous aurez forcément des sueurs froides si vous avez acheté une babiole souvenir avec votre carte de crédit...Je ne vous en dis pas plus. Vous apprendrez comment, facilement, on peut utiliser les données de cette carte, à votre insu, anonymement. Ne vous étonnez pas si votre compte est débité frauduleusement plusieurs mois, après votre retour de plusieurs milliers de $, sans possibilité d'identifier votre voleur. En long et en large l'auteure nous l'explique.

Une enquête passionnante et fascinante, dès les premières pages, dans lesquelles nous faisons connaissance avec le "Kräutterbuch" (Herbier) de Hieronymus Bock estimé entre 3 à 5000 $, pesant 6kg, dont la couverture est en chêne recouvert de cuir de porc.

On pense "Oui, mais c'est les Etats-Unis, c'est loin, c'est un autre monde...." et l'auteure nous apprend qu'un français bien sous tous rapports, avec un CV long comme le bras se vit confier en 1841 la mission d'inventaire des manuscrits anciens possédés par les bibliothèques publiques françaises. Jour et nuit il pouvait entrer librement dans ces bibliothèque...il les pilla ! Plus récemment, en 2011 un voleur de livres anciens fut arrêté au Havre en possession de plus de 2000 ouvrages anciens dérobé dans des bibliothèques...Il avait mis 20 ans pour acquérir ces livres..

"L'homme qui aimait...." Non! Ce sont "Les hommes qui aiment.." Ils sont des centaines, tous aussi fous de livres, aussi collectionneurs, autant passionnés par la possession, ou par le fric.

"Partir à l'affût, me documenter, écrire donne un sens à ma vie de la même manière que la traque, la compilation, le référencement donne un sens à celle du collectionneur de livres." écrira l'auteure.

Cette enquête journalistique fouillée et érudite nous ouvre les yeux et nous offre une lecture instructive.

Oui ! le livre ancien est un investissement dont la valeur croît plus rapidement que bien d'autres placements! Alors gardez-les
Lien : https://mesbelleslectures.co..
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L'homme qui aimait trop les livres

Assurément, ce livre restera dans un petit coin de ma tête pendant longtemps!

Allison Hoover Bartlett est une journaliste américaine. Elle écrit pour The New York Times, The Washington Post et le San Francisco Chronicle Magazine. Dans L'homme qui aimait trop les livres, elle retrace le parcours de John Gilkey, un voleur de livres et de documents prolifique qui a volé environ 200 000 $ US de livres et manuscrits rares. Et c'est juste hallucinant! Proche du roman, ce livre qui est en fait un travail journalistique, m'a tenu en haleine du début à la fin. Sa traque du voleur de livre, puis sa rencontre et enfin les interviews de John Gilkey notamment en prison sont juste incroyables. Tour à tour, on s'immerge dans un roman policier, puis psychologique, puis biographique ou tous les trois à la fois!

Beau travail de madame Allison Hoover Bartlett, qui en plus d'un travail journalistique exceptionnel, est une écrivaine de talent. L'homme qui aimait trop les livres est son premier roman. Mais son nom est, à mon avis, à retenir. En tous les cas, si Madame Allison Hoover Bartlett décidait d'écrire un deuxième roman, je me précipiterais dans un librairie préférée pour vite me le procurer!
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L'homme qui aimait trop les livres

"L'homme qui aimait trop les livres" est un ouvrage étonnant, ce n'est pas un roman, cela ressemble plutôt à une longue enquête menée sur le monde des livres rares, et plus particulièrement, sur le voleurs évoluant dans cet univers. Quoique... c'est finalement autant l'histoire d'un arnaqueur, John Gilkey, que celle de l'homme qui le pourchasse, Ken Sanders, un libraire, avec, au milieu, la narratrice. J'ai d'ailleurs trouvé que cette dernière faisait preuve d'une certaine complaisance à l'égard du voleur, ce qu'on peut comprendre puisqu'il est le sujet du livre. Mais qui utilise qui ? Car notre voleur, assez égocentrique et sans scrupules, a soif d'argent, de gloire peut-être aussi, et sa passion pour les livres ne m'a pas totalement convaincu. Comme si ces derniers n'étaient en définitive que de simples objets de collection...On retrouve, à mon sens, un amour des livres beaucoup plus sincère chez les libraires floués par Gilkey. Au final, cela donne un récit plaisant, qui se lit facilement, mais ne décollant jamais véritablement.

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L'homme qui aimait trop les livres

Merci à Babelio et aux éditions Pocket pour ce livre obtenu dans le cadre d'une opération masse critique.

Bienvenue dans le monde des collectionneurs de livres (anciens, rares, premières éditions, .. etc) ! Ce roman (ou plutôt documentaire) basé sur des faits réels raconte, par l'intermédiaire de la journaliste Allison Hoover Bartlett, la vie de John Gilkey : comment il s'y prenait pour dérober des livres, ses motivations et comment un "libraire-détective" a fini par le faire arrêter. Elle nous dévoile également les dessous de l'univers de ces collectionneurs.

Un récit très intéressant qui m'a fait passer un bon moment de lecture.
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L'homme qui aimait trop les livres

Après la découverte du faussaire de Salt Lake City dans les éditions Marchialy, j’ai consulté leur catalogue et c’est cette autre enquête qui m’a passionnée. Nous sommes là aussi dans le monde des collectionneurs, des libraires et des bibliothécaires et bien sûr des livres, cet univers qui a complètement fasciné et entrainé John Gilkey dans la délinquance, superbement bien décrit et documenté par Allisson Hoover Bartlett . Ce livre regorge d’informations que ma curiosité a poussé à faire mes propres recherches sur internet. J’ai découvert aussi des auteurs et des ouvrages inconnus pour moi comme La splendeur des Amberson de Booth Tarkington nommé aussi dans

Les cent meilleurs romans de la Modern Library qui est un des fils conducteurs pour Gilkey à se constituer sa bibliothèque. Je ressent pleinement son addiction des livres à travers la plume de l’auteure et vu la liste des livres a acheter, suite aux nombreuses références littéraires citées, j’ai peur de finir comme Gilkey…

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L'homme qui aimait trop les livres

Peut-être inspiré d'une histoire vrai,

Je ne sais plus si c'est dans, "Des bibliothèques pleines de fantômes" ou "N'espérez pas vous débarrasser des livres" où j'ai lu cette anecdote d'un homme (bien avant le XVIIIe siècle) a volé des milliers d'ouvrages.

Mais "recemment" aussi :

http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-havre-l-incroyable-butin-du-voleur-de-livres-anciens-06-12-2011-1755277.php

J'ai apprécié la lecture pour les anecdotes, sur les livres anciens, mais pas que, exemple : les 1er éditions d'Harry Potter dont les prix se comptent en millier d'euros!!!!

Sinon l'histoire en elle même est tiré d'une histoire vrai si j'ai bien compris.

30 pages lues le jour de sa sortie sur internet (gratuit) puis un après midi de novembre dans une librairie : 270 pages lues.

Polar basé sur des faits réel, à lire si vous êtes bibliophile, si vous êtes bibliomane, etc...



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L'homme qui aimait trop les livres

Qui n’a pas admiré ces majestueuses bibliothèques que l’on découvre dans les grands classiques du cinéma anglais ou américain, qui posent leurs propriétaires comme appartenant à une certaine élite, celle des intellectuels cultivés, celle des bourgeois amateurs de belles lettres. C’est peut-être ce qui a séduit John Charles Gilkey, né en 1968 aux USA. Ce passionné de livres anciens et de manuscrits en a dérobé pour environ 200 000 dollars, dans des salons du livre, chez des libraires, ou dans des bibliothèques. Son but ? Posséder les livres répertoriés par la liste des 100 meilleurs romans de Modern Librairy. Dans son imaginaire, posséder une belle bibliothèque est le signe d’appartenance à une classe sociale supérieure, et certainement à ses yeux de grande respectabilité.



Pendant quelques années, il a utilisé des reçus de cartes bancaires qu’il avait subtilisé lors de ses courts emplois successifs aux rayons du Saks Fith avenue de San Francisco. Très prudent et futé, il prenait son temps pour utiliser les numéros de comptes ainsi volés. Il agissait par téléphone pour demander les livres qu’il avait repéré sur les sites des grandes librairies spécialisées dans le livre rare.



Allison Hoover Bartlett l’a rencontré. Elle le fait parler et agir sous nos yeux sidérés par tant d’audace et tant de manque de respect pour les libraires qu’il a spoliés pendant des années, et ce apparemment sans aucun scrupule. Comme s’il considérait tout simplement que ces livres lui étaient dus ! On remarque d’ailleurs en lisant les entretiens qu’elle a eu avec John Gilkey qu’il ne lui dévoile certains vols que lorsqu’il sait pertinemment qu’il y a prescription ! Il faut dire qu’il ne volait pas pour spéculer ou pour revendre, mais bien pour garder chez lui tous ces livres exceptionnels.



Face à ce voleur passionné mais bien peu scrupuleux, on trouve donc Ken Sanders, un libraire de Salt Lake City aussi passionné que lui, mais qui tient à préserver son travail et celui de ses collègues libraires en livres anciens comme lui ; il va le traquer sans relâche, mettant en place d’abord un fichier répertoriant quels livres volés et à qui, puis une stratégie pour arriver à le confondre.

Lire la chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2020/02/19/lhomme-qui-aimait-trop-les-livres-allison-hoover-bartlett/
Lien : https://domiclire.wordpress...
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L'homme qui aimait trop les livres

Ken Sanders est un libraire amoureux des livres anciens, dont il fait le commerce. À une foire aux livres à San Francisco, il aperçoit une figure connue: le voleur de livres John Gilkey, qui est évidemment la bête noire des libraires. Il engage une détective, qui n’y connait rien ni dans le monde des libraires, qui est régit par un code de l’honneur, ni dans celui des livres anciens.

S’en suit une litanie de références d’auteurs et d’anecdotes vécues par les libraires au cours de leur carrière.

Je ne suis absolument pas rentrée dans ce livre, qui ressemble plus à un catalogue de collectionneurs avec les anecdotes en guise d’illustrations. La personne qui me l’a vendu m’a dit « impossible pour toi de e pas aimer » et effectivement j’ai été alléchée par la quatrième de couverture, mais il m’a été impossible de vraiment suivre cette enquête avec passion et j’ai abandonné sa lecture…

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L'homme qui aimait trop les livres

Avec ce livre, je viens de vivre ce que l'on appelle la "déception du titre". Cet ouvrage avait tout pour me plaire : la couv', le sujet et bien entendu le titre !! Si en cette période de confinement, certaines rencontres livresques sont difficiles, la promesse d'une traque haletante n'est à mon sens pas tenue. S'il s'agit bien d'une enquête sur les raisons qui poussent un individu à voler des livres de collection, le style d'écriture et la construction narrative rendent l'ensemble poussif. 130 pages lues en 4 jours, j'ai abandonné.
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D'abord hommage à mon avatar ! entre l'abonné aux rôles de dur et "the look", 12 ans d'amour, un mariage dans la propriété de Louis Bromfield, 2 enfants et un cancer pour lui qui l'a conduit au ... grand sommeil !

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