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Critiques de Amber Smith (70)
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The Way I Used to Be

Éden McCrorey, dite Edie, a été violée par Kevin Armstrong, le meilleur ami de son frère, Caelin. Elle ne parvient pas à en parler avec sa meilleure amie, Mara et elle est harcelée au collège, elle parvient à trouver un peu de répit au club de lecture avec un camarade, Stephen Reinheiser, coordonnée par Mme Sullivan, la bibliothécaire. Elle rencontre alors Josh Miller, un terminale populaire qui joue dans l'équipe de basket.



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Le premier roman jeunes adultes de Amber Smith, The Way I Used to Be, est devenu un best-seller international et il a reçu de nombreux prix, notamment de l'American Library Association, il a été nominé pour un Goodreads Choice Award dans la catégorie YA Fiction. Amber Smith a depuis lors publié aux Etats-Unis d’Amérique The Last to Let Go en 2018, Something Like Gravity en 2019. Elle vient de publier cette année The Way I Am Now, la suite de The Way I Used to Be.



Elle a également contribué à l'anthologie non-fictionnelle YA Our Stories, Our Voices: 21 Authors Get Real About Injustice, Empowerment, and Growing Up Female in America.



Elle écrit aussi des romans pour la jeunesse dans la catégorie junior avec des histoires pleines de cœur et d'imagination. Son premier roman MG, Code Name : Serendipity est inspiré de son amour des animaux et raconte une histoire d’amitié entre une petite fille et son chien.



Amber Smith a grandi à Buffalo, New York et vit maintenant à Charlotte, Caroline du Nord avec sa femme et leur famille toujours croissante de chiens et de chats sauvés. Alimentée par une passion de toujours pour les arts, l'histoire et l'expression créative, Amber Smith a obtenu un baccalauréat en beaux-arts en peinture et une maîtrise en histoire de l'art. Lorsqu'elle n'écrit pas, elle lit habituellement, mais on peut également la trouver dans son studio en train de créer des œuvres d'art ou de travailler en freelance en tant que consultante éditoriale. Elle a également écrit sur les thèmes de l'histoire de l'art et de l'art moderne et contemporain.



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Ce roman est un best-seller international et un phénomène BookTok. Amber Smith défend les causes de la santé mentale et l'égalité pour les personnes LGBTQIA+. Elle lutte contre toute forme de discrimination et s’engage contre les violences sexistes. Elle écrit dans l'espoir que ses livres pourront contribuer à favoriser le changement et susciter le dialogue.



Aussi s’agit-il ici d’un roman d’avertissement sans concession aucune sur le viol. Amber Smith décrit les répercussions d’un viol sur une jeune fille de quatorze ans et décrit les quatre années suivantes lorsque l’héroïne est en troisième, puis en seconde, puis en première et enfin en terminale.



La descente aux enfers est vertigineuse. L’héroïne s’enfonce dans une dépression auto-destructrice, elle enchaîne les relations sexuelles rapides et anonymes, elle souffre d’addictions - alcool et tabac -, elle s’enferme dans des comportements odieux, violents et destructeurs et crée le vide autour d’elle. Ses camarades de lycée se déchaînent dans le harcèlement et les rumeurs enflent inlassablement, ses parents démissionnent, ses rares amis tiennent de moins en moins à la soutenir et il semble n’y avoir plus aucun espoir. L’héroïne est empêchée, elle ne peut parler, à la fois à cause du traumatisme mais aussi de l’environnement familial : le criminel est le meilleur ami du frère de l’héroïne, il a grandi dans la maison familiale et les parents l’ont toujours accueilli comme un des leurs.



Il y a alors une spirale parfois difficilement supportable dans l’avilissement de l’héroïne pour tenter d’oublier en vain son traumatisme. L’enchaînement des prises de risques devient asphyxiant, Amber Smith ne nous ménage en aucune façon et nous retrouvons la même violence psychologique insupportable que dans les œuvres de Robert Cormier ou Melvin Burgess. Le dénouement respecte le pacte de lecture du roman pour la jeunesse, heureusement, et une postface indique le numéro de l’enfance en danger au 119.



Un roman coup de poing pour dire crûment l’horreur, montrer les souffrances de la victime et les mécanismes de la violence à travers des fragments de vie du seul point de vue de la victime. Une seule allusion à la fin du roman peut peut-être permettre de comprendre une des éventuelles causes des pulsions criminelles du violeur.



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The Way I Used to Be

Ce livre m'a bouleversé. Il est difficile de dire que j'ai eu un coup de cœur pour un livre qui traite d'un thème aussi dur mais j'ai vraiment adoré la plume et les émotions que l'autrice nous transmet. J'ai été scotchée du début à la fin.



On y parle de viol. Et parfois de manière très détaillée donc attention à vous si c'est un sujet qui peut-être trop compliqué à gérer.



On va suivre Edie, qui un soir va se faire violer par le meilleur ami de son grand frère. Elle va décider de garder le silence et on va la suivre sur plusieurs années après cette nuit cauchemardesque.



C'est un roman poignant. Brutal. Qui m'a autant énervée qu'émue. J'ai parfois détesté notre héroïne. Et c'est terrible car elle a subi une atrocité mais sa manière parfois de répondre, d'agir comme si les gens devaient deviner son mal être était si bien retranscrite que parfois elle m'a énervée j'avais envie de la secouer j'avais besoin qu'elle partage ce qu'elle avait vécu pour qu'enfin elle puisse se faire aider.



Elle blesse, elle change totalement. On suit sa descente aux enfers et son auto sabotage et c'était absolument déchirant de voir ça.



C'est un roman qui vous prend aux tripes. Les relations familiales sont parfois compliquées et notre héroïne se sent seule et incomprise. C'est hyper réaliste. Et ce qui fait que c'est vraiment un récit bien amené c'est qu'elle a besoin de se sauver elle même et pas d'être sauvée par un petit ami ou le premier venu.



Je vous le recommande chaudement. C'est un roman young adult très difficile mais tellement poignant qui m'a beaucoup marqué et que je vous recommande chaudement de découvrir !
Lien : https://www.instagram.com/bo..
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The Way I Used to Be

J’ai lu le roman dont dont j’attendais la traduction depuis plusieurs mois et je n’arrive pas à m’en remettre. Les thématiques abordées, et plus exclusivement, les agressions sexuelles m’ont brisés le cœur.



L’année de troisième..

L’année qui m’a brisé le coeur, qui m’a anéantie. Je me suis retrouvée au côté d’Eden dans ce lit, j’avais cette envie viscérale de crier pour elle, de la sauver de cette horreur qu’elle était entrain de subir.

Puis au fil des pages j’ai découvert une Eden qui tente de construire une nouvelle personnalité, une nouvelle identité afin de supprimer les traces du viol qu’elle avait subi quelques mois plus tôt.



L’année de seconde…

L’année où la nouvelle Éden fait son apparition au lycée. Une Eden qui est prête à tout pour oubliées les traces que cette agression sexuelle a laissé sur son corps même si pour cela elle doit cacher ses réels sentiments quitte à briser son cœur ainsi que celui des gens qui l’entourent.



L’année de première..

L’année où Éden m’a plus énervée et où je n’arrivais plus a comprendre son comportement. J’avais l’impression que la Eden des anciennes années m’échappait petit à petit, jusqu’à l’échappée réellement.

Lors de cette année de première, Éden est devenue une personne méchante même envers les personnes qui ont toujours été présente pour elle. Malgré qu’Eden ait construit cette carapace au fil des années qui ont suivi son agression, je n’ai pas pu cautionner un tel comportement.

J’ai détesté ses parents, j’ai détesté son frère, j’ai détesté tous les comportements stupides de ses camarades de classes, j’ai détesté les résolutions de problèmes trop rapide. J’ai vraiment détesté cette partie, j’étais tout simplement frustrée de découvrir une telle Éden et un environnement nocif.



L’année de terminale..

Cette année est celle qui m’a anéantie une nouvelle fois, qui a remué l’agression sexuelle d’Eden au fond de mon coeur. Les derniers chapitres n’ont été que souffrance, j’avais les larmes aux yeux jusqu’à la dernière page, jusqu’à la dernière ligne et jusqu’au dernier mot. J’ai eu le cœur brisé, j’ai souffert avec Eden, mais j’ai surtout appris à revivre à ses côtés.



The way i used to be c’est le roman qui m’a bouleversé au début, énervé et frustré sur une majorité du roman et qui m’a anéantie une nouvelle fois à la fin du roman. J’ai fortement apprécié ce roman, malgré que la touche jeunesse et des disputes de lycées ont été assez redondantes. Toutefois, je suis contente qu’un tel roman ait été écrit pour cibler majoritairement les adolescents.



Nous pouvons tous subir, et des nôtres plus jeunes âges, des violences sexuelles. Et le plus important c’est d’en parler.
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The Way I Used to Be

Une nuit, le monde d’Edie bascule et ses certitudes volent en éclats. Une nuit où le meilleur ami de son frère la viole et la laisse anéantie. Alors Edie enterre au plus profond de son être celle qu’elle était. Les amies, les mecs, plus rien ne pourra jamais être comme avant. Désormais, elle prendra tous les matins le chemin du lycée les poings serrés et les yeux secs.



Dans ce roman, nous assistons à la spirale auto-destructrice d’Eden qui en voulant se protéger après ce qui lui est arrivé, s’est coupé des autres et s’est perdu en chemin. Il lui faudra des années pour trouver le courage de parler.



Qu’est-ce que j’ai eu mal pour Eden, c’était si difficile de la voir s’enfoncer dans cette douleur et cette solitude. En tentant de nier ce qu’elle a vécu et en devenant une personne différente, elle s’égare. On assiste à ces années de lycée qui se dégradent toujours plus jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus se taire. Parce que c’est une question de survie.



Le personnage qui m’a profondément touché et que j’ai trouvé parfait, c’est Josh. Il est juste dans toutes ses réactions. Il est profondément touchant. Il aime sincèrement Eden mais ça ne suffit pas. Ces deux-là, c’est l’exemple même de rencontrer la bonne personne mais au mauvais moment. 💔

Mais j’ai vu qu’il y avait un tome 2, alors sait-on jamais ! 🤞



Pleins de choses m’ont marqué dans cette histoire mais je dois avouer que la manière dont l’autrice passe d’un « je » à un « elle » pour parler du passé d’Eden est marquant. Ça montre à quel point Eden a pu se dissocier de ce qui lui est arrivé, au point de penser à la manière d’une autre personne. Presque comme si ce n’était pas elle qui avait été victime de ça. C’est juste fou de la part de l’autrice d’avoir exprimer cette dualité !



Honnêtement, j’ai eu peur que l’histoire d’Eden finisse mal. Mais la fin donne de l’espoir. J’ai hâte de lire le tome 2. ❤



Si vous le sentez, lisez ce livre. Il est nécessaire.



*



« Bien sûr que je me souviens de toi, Eden. Je me souviens de tout »



*

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The Way I Used to Be

Je ressors de cette lecture avec le cœur en miette et les yeux humides. Je trouve très intéressant de montrer ce combat que doit réaliser la personnage principal contre elle-même, contre ce qui s'est produit et contre les autres. C'est prenant, terriblement triste et affligeant (combien de fois j'étais moi même en colère en lisant certains passages) mais surtout, important que ce genre de livres existent pour libérer la parole et aider les victimes.
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The Way I Used to Be

Eden est violée à l'âge de 14 ans par Kevin, le meilleur ami

de son frère qui menace de la tuer si elle révèle à qui que

ce soit ce qui s'est passé. D'ailleurs, qui pourrait bien la

croire ?

A partir de là, ses années lycée vont devenir une longue

descente aux Enfers, une spirale infernale dans laquelle

chacun de ses actes et de ses choix est pour elle le moyen

de se prouver à elle-même et aux autres à quel point elle

est forte et capable de se relever elle-même de ce terrible

drame.

The way I used to be est un roman dont la lecture ne laisse

pas indemne. Le sujet abordé est difficile et pourtant

nécessaire à une heure où la parole se libère sur les violences

à caractère sexuelle.

Eden est un personnage qui va vivre avec ce terrible secret

pendant 3 ans. Combien de fois j'ai eu envie de l'avoir en face

de moi pour lui hurler : "Mais parle, bordel !!". Sauf que...

Sauf que je ne suis pas dans la tête d'une femme victime de

viol, je ne sais pas quelles sont les pensées tourmentées d'une

personne qui a subit une agression quelle soit physique ou

sexuelle. Tout au long du roman j'ai prié pour que la fin ne soit

pas aussi dramatique que le reste de l'histoire.

J'adhère complètement aux retours que j'ai déjà pu lire sur les

réseaux. C'est ma première lecture de l'année et mon premier

coup de coeur.

C'est un roman que je ne recommande cependant pas pour le

niveau collège.
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The Way I Used to Be

La narratrice, Eddie, 12 ans se fait violer par le meilleur ami de son frère pour qui elle vouait un culte. Sa vie ne sera plus la même. Toutes ses relations deviennent destructrices. En effet, elle cherche à être détestée par tous ses proches.

Avec une plume acerbe, Amber Smith nous livre un texte fort, un roman coup de poing pour dénoncer les atrocités du viol et les ravages qu'il commet sur le psychisme des ses victimes. Un roman psychologique très fin mais dur pour des grands ados et adultes.
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The Way I Used to Be

En seulement quelques minutes, la vie de la jeune Eden, quatorze ans, a basculé. La nuit où le meilleur ami de son frère la viole dans sa chambre.



Eden, terrifiée, s'enferme dans le silence et essaie d'oublier son agression afin de reprendre sa vie d'adolescente comme les autres. Mais son secret la ronge peu à peu, celle qu'elle était avant n'existe plus. La jeune fille est brisée et elle s'enfonce de plus en plus.



Ce premier roman de la romancière américaine Amber Smith m'a bluffée par son réalisme. Elle se glisse avec une grande justesse dans la peau de cette adolescente. Le lecteur est témoin de sa souffrance, des plaies vives qu'a engendré ce viol ainsi que des séquelles sur son existence.



Pendant quatre années, on suit Eden qui se débat pour rester la tête hors de l'eau. Mais, hantée par cette terrible nuit, ses relations avec sa famille et ses amis se détériorent.



Un roman particulièrement captivant et percutant que j'ai dévoré, bouleversée par l'histoire d'Eden. Une suite vient de paraître aux Etats-Unis et j'espère qu'une traduction verra le jour bientôt en France.



Une lecture coup de poing.
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The Way I Used to Be





Comment parler d'un livre qui vous a littéralement coupé le souffle ? 

Je venais de descendre du bus, j'avais cinq minutes de marche avant d'arriver chez moi... je suis arrivée devant ma porte une heure plus tard. Je ne pouvais décoller mes yeux des mots, des phrases, des émotions qu'Edie ressentait. La dernière fois que j'ai dû m'arrêter de marcher, pour lire debout au milieu de la rue, remonte à 2019 avec ma lecture de Nord et Sud de Gaskell. J'ai pleuré, j'ai hurlé intérieurement, j'ai été en colère, j'ai eu beaucoup tendresse pour les personnages, j'ai admiré le frère et c'est pourquoi je peux vous assurer que ce livre a été un merveilleux COUP DE COEUR. 

Un livre nécessaire et bouleversant qui parle de la vie après un viol. 





Edie c'est cette jeune adolescente qui adore lire et jouer de la clarinette. Elle a des copines et un grand frère qui vient de rentrer à la fac. Sa vie est banale, comme toutes les filles de son âge. Seulement, un jour, tout va basculer. Son frère vient passer les vacances  de noël à la maison et a invité son meilleur ami, Kevin... Il a suffi d'une nuit pour qu'Edie change à jamais... Kevin est entré dans sa chambre et l'a violée. Il lui a ordonné de ne rien dire et Edie ne dit rien.  Pendant trois ans son secret va la bouffer, va la changer, va la détruire. Ses relations vont changer et l'image qu'elle va se porter va peu à peu l'amener à se mettre en danger. 





Bouleversant, c'est le seul mot que j'ai en tête. L'auteure est vraiment allée au fond des choses, elle n'a pas épargné le lecteur et j'ai aimé que ça soit amené avec autant de vérité. J'ai eu un coup de cœur pour le frère qui essaye de comprendre et d'aider sa sœur. Un personnage avec toutes ses faiblesses mais qui reste présent pour comprendre sa sœur. Edie est touchante, elle est humaine et complexe et ça fait de ce livre un pur bijou. 





Foncez sur ce livre et venez m'en parler, en MP, que nous puissions échanger sur cette thématique. Je suis curieuse d'avoir votre avis 





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The Way I Used to Be

Alors, au niveau ressenti je suis sur un 3.5/5, peut-être moins mais uniquement parce que je n’ai pas du tout accroché à la plume.



Mais sur le fond du livre, ce qu’ils traversent, l’importance du roman: ça mérite un 5/5.



Ce roman parle de viol. On suit Eden qui se fait violer au premier chapitre, à 14 ans, par le meilleur ami de son frère. Ce livre se déroule sur 3-4 ans et on voit comment ce viol l’a changé, l’a détruite ect.



Clairement c’est un roman horrible à lire parce que c’est tout simplement horrible ce qui lui arrive et comment ça l’impacte par la suite.



Ce n’est pas un roman à prendre à la légère car il marque inévitablement et je pense qu’il faut avoir une certaine maturité et un recul pour comprendre Eden, ses actions et réactions.



On est sur un roman fort et nécessaire.



C’est d’ailleurs pour ça que je n’ai pas abandonné le livre malgré le fait que je n’avais aucune attache à la plume et hélas par conséquent au personnage d’Eden. (J’avais beaucoup de compassion pour elle et ce qu’elle traversait mais je n’étais pas anéanti comme j’ai pu l’être pour d’autre roman de ce genre)



Bref je vous conseillerai clairement de lire ce roman si vous êtes majeur et qu’il vous intéresse, je comprend totalement le succès qu’il a eu sur la sphère anglophone et qu’il a en France !



(Une suite est sortie en Vo, du coup je ne pense pas la lire mais c’est pour info !)
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The Way I Used to Be

AVIS LECTURE de

💔The way I used to be ❤

Auteur: Amber smith

Edition : Gallimard Jeunesse



NOTE : Coup de ❤



🌸GENRE : Drame

🌸 THÈMES : Amitié, famille, événement traumatique, reconstruction de soi, romance.

⚠TW : Vi*l, drogues et alcool.

🌸 Nbr de page : 406

🌸 Prix : 18,50€



🌸 RÉSUMÉ :



UNE NUIT, LE MONDE D'EDIE BASCULE ET SES CERTITUDES VOLENT EN ÉCLATS. Une nuit où le meilleur ami de son frère la viole et la laisse anéantie. Alors Edie enterre au plus profond de son être celle qu'elle était. Les amies, les mecs, plus rien ne pourra jamais être comme avant. Désormais, elle prendra tous les matins le chemin du lycée les poings serrés et les yeux secs.



🌸 AVIS :



Une lecture tellement poignante et réelle !

Un gros coup de coeur ❤



Ce livre nous montre la descente aux enfers de Edie suite à cette terrible nuit …



Nous suivons son évolution à travers 4 parties : donc 4 années qui s’écoulent. Le principe est super et on s’imagine très bien la Evie qui grandie.



Nous comprenons que plus les années passent et plus elle s’autorise certains actes comme normal ! Mais encore une fois on comprend. On comprend le mal-être, la honte, la peur et tout simplement l’envie d’oublier 💔



J’ai été captivé par cette lecture juste et enivrante ! J’ai adoré la fin qui s’accélère de plus en plus et nous donne un début de dénouement ☺ Mais bien évidement, il faudra attendre la suite qui vient seulement de sortir aux États-Unies !



Une lecture que je recommande fortement 🫶



A toutes les Edie, vous n’êtes pas seules, parlez , confiez-vous et n’ayez pas peur d’eux ! Vous êtes bien plus forte 🫶

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The Way I Used to Be

Je me suis plongé dans les pages de ce livre, attiré par la couverture sans vraiment savoir à quoi m'attendre. Dès les premières lignes, une scène d'une cruauté inimaginable m'a frappé de plein fouet, me laissant ébranlé, écoeuré, et profondément surpris. Il est crucial de souligner ici, avec une certaine urgence, que ce livre n'est pas destiné à tous les lecteurs, particulièrement à ceux qui pourraient être sensibles à des thèmes aussi déchirants, et surtout pas aux jeunes lecteurs.



Cette histoire poignante suit le parcours d'Edie, une adolescente confrontée au silence étourdissant qui suit un acte indescriptible. Son existence devient un labyrinthe sombre, marqué par le harcèlement à l'école et la perte de son innocence à l'âge de 14 ans, infligée par quelqu'un de proche. Une trahison douloureuse qui la hantera, car elle recroisera le chemin de son agresseur au fil des ans, alimentant les fissures dans son être en construction.



Divisé en quatre parties, le récit explore chaque étape cruciale de son adolescence, décrivant une vie construite sur des fondations fragiles, ébranlées par le silence pesant qui entoure l'horreur subie. Au fil des pages, l'accumulation d'actes désespérés devient un cri silencieux, un appel à l'aide étouffé par l'incapacité de prononcer les mots nécessaires.



Bien que je n'aie pas ressenti un coup de cœur en raison des sauts temporels et de la segmentation narrative, je réalise que c'est précisément cette approche qui rend hommage à la réalité déchirante d'Edie. Sa vie, dépeinte sans fard, perd progressivement toute trace d'humanité, devenant une suite d'événements traumatisants jusqu'à la libération finale, où la soupape doit sauter pour retrouver une forme de liberté. Cette lecture n'est pas facile, mais elle est une exploration courageuse et poignante de la résilience face à l'indicible.
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The Way I Used to Be

On suit Eden dans sa reconstruction, suite au viol qu’elle a subit, pendant 4 ans. Le fait que ce soit une romance mais qu’un sujet tel que celui-là, qui est très important, soit abordé apporte quelque chose en plus évidemment !



L’image de la couverture avec un pissenlit prend tout son sens au fil de la lecture, et il est vrai que cette métaphore ne me laisse pas indifférente, je n’avais jamais fait le lien entre le pissenlit et la reconstruction, la métamorphose.



Le niveau d’anglais est plus qu’abordable, je l’ai trouvé vraiment facile pour le coup !!
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The Way I Used to Be

Ne prenez pas en compte la note de : 5/5, c juste que quand j'ai un GROS coup de coeur pour un livre je me dois de mettre la note maximale.

C un livre qui ma bouleversée complètement et dont j'ai tellement de gratitude en vers l'auteur pour enfin avoir mit les mots JUSTES sur ce qu'on vécu des millions de femmes et d'hommes : le v*ol.

Honnêtement aucun pnt négatif pour ce livre, ou alors si mais ils ont été gentiment effacé par le réalisme incroyable du livre.



* GROS SPOILERS*



Bon... Alors premièrement on a une héroïne réaliste en ENFIN :

-NI BRUNE

-NI AVEC DES CHEVEUX LISSES !!!! Rien que pour ça je mettrai direct 5/5.



Nan mais c vrai, enfin une romance où la fille n'est pas (physiquement) "Mme tout le monde", parce que oui ça existe des filles aux cheveux roux et FRISES (je parle en connaissance de cause, et ça fait vrm plaisir de voire des héroïnes de romans qui ont des cheveux frizés/bouclés et qui ont un roman à elle seule !



Principalement, j'ai été séduite par le réalisme de l'histoire c'est à dire que ce n'est pas un Feel good, c LE GRAND AMOUR mais version réalisme donc super contente.

Je vais aborder maintenant le côté le + important (selon moi) du roman, et celui pour lequel il mérite tous les honneurs : la description réaliste non pas du v*ol en lui même, mais de ce qui viens apès.



J'ai lu BEAUCOUP de romances et pas mal de lectures Wattpad et dans une chronique Wattpad en particulier où la fille se faisait v*oler (là-dessus aucun prbl, c bien d'en parler) et après la fille part en courant+pleurant du lieu et va voire LE boy (qui est le mec sur qui elle a un crush, et donc le mec de la romance) et après le mec, représentant de la virilité commence (comme par hasard) à vouloir casser la g*ule du mec qui l'a v*oler (là aussi aucun prbl, même si c clairement une volonté de virilité de la part de l'auteur) après bien sur la meuf lui dit que c n'est pas une bonne idée et tout le bla bla même si secrètement elle est ravie, mais ce qui m'a choquée c le fait que deux jours après l'histoire reprends son cours comme si de rien n'était, la fille elle n'a aucun trauma, rien !

Dans ce cas là, l'auteur a voulu mettre cet évènement JUSTE pour rajouter du piment à l'histoire ce que je trouve immonde !



Et là, enfin on a une fille qui se fait v*oler ET que ça impacte énormément (mot faible), la vie d'Eden va se briser de A à Z à cause de ce crime et ça, ça reflète la réalité.

Ayant vécue une expérience similaire même si moins grv, je peux dire que j'ai pleurée de compassion pour Eden, mais aussi pour la reconnaissance en vers l'auteur pour la réalité du roman, et certes c horrible, et bouleversant mais c la réalité aussi moche et dure soit-elle.



Et puis j'ai aussi adoré Josh, qui est présenté comme le garçon type des romances au début du livre. Honnêtement quand je lu sa description au début, je me suis demandée s'il serait LE boy de la vie amoureuse d'Eden parce que c'était un livre TELLEMENT réaliste que je me suis demandée si dans la vraie vie on avait des mecs comme ça (jsp si vous me suivez). Et en fait le mec le + beau du lycée, se retrouve être super super gentil, et avec comme tout le monde de gros prbl dans sa vie.



Bref je pense que vous avez compris qu'il fait partie de mes livres préf, et quand je vois seulement que 841 personnes ont marqué "lu" sur ce livre je suis dépitée parce qu'il est tellement vrai qu'il mérite d'être mi entre toutes les mains, et c ce genre de livres que j'aurais aimé étudier en classe.



"Le premier roman jeunes adultes de Amber Smith, The Way I Used to Be, est devenu un best-seller international et il a reçu de nombreux prix, notamment de l'American Library Association, il a été nominé pour un Goodreads Choice Award dans la catégorie YA Fiction. Amber Smith a depuis lors publié aux Etats-Unis d'Amérique The Last to Let Go en 2018, Something Like Gravity en 2019. Elle vient de publier cette année The Way I Am Now, la suite de The Way I Used to Be.



Elle a également contribué à l'anthologie non-fictionnelle YA Our Stories, Our Voices: 21 Authors Get Real About Injustice, Empowerment, and Growing Up Female in America."



De @FabtheFab qui a écrit une critique très objective sur ce livre.



Merci à Amber Smith, j'ai hâte de lire ces autres romans.



"Je ne sais pas que ces images qui traversent mon esprit, ce film montrant une autre personne que moi, ailleurs, ne s’en iront jamais vraiment, ne cesseront jamais de passer, de me hanter."

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The Way I Used to Be

⚠TW : Vi*l, drogues et alcool, harcèlement scolaire.







Il y a des lectures qui vous bouleversent complètement.

Des lectures qui résonnent tellement en vous que vous avez cette impression étrange que l'auteur.e l'a écrite pour vous.



Dès les premières lignes de ce roman, vous êtes plongé dans le drame vécu par Eden, une adolescente de 14 ans.

Elle est victime de viol par le meilleur ami de son frère.

Je vais droit au but, car je pense qu'il est important de prévenir les lecteurs. L'agression n'est pas un vague souvenir pour l'héroïne.

C'est un acte que nous vivons en direct avec elle.



Ce n’est donc pas une lecture que je recommanderai à tout le monde.

chacun ayant sa propre sensibilité face à la violence. J’ai aimé ce roman de tout mon coeur mais je n’ai éprouvé aucun « plaisir » à lire cette violence.

( je ne sais pas si la nuance est claire ?!)



Ensuite, nous assistons à la spirale autodestructrice de la jeune fille qui, en essayant de se protéger après ce traumatisme, se coupe des autres, les repousse violemment, jusqu'à perdre son identité en chemin. Il lui faudra des années pour trouver le courage de parler. D'oser.



Ce roman peut en perturber plus d'un, mais je le trouve tellement nécessaire.

Tellement éducatif. Tellement libérateur.



J'ai ressenti l'angoisse d'Eden.

J'ai senti ma gorge se serrer, mon estomac se nouer.

Cette peur de parler, de ne pas être crue.

Cette colère envers l'entourage qui ne voit rien et ne comprend rien.

Le mal-être, la honte et la perte d'estime de soi, tant de sentiments parfaitement décrits sur le papier.



Bien sûr, j'avais le coeur aux bord des yeux.

Mais comme Eden, je me suis empêchée de pleurer.



Outre Eden, un autre personnage m'a profondément touché, c'est Josh.

Il réagit de manière juste dans toutes les situations.

Il est profondément touchant et bienveillant.



Le monde a besoin de plus de personnes comme Josh. Chaque victime devrait avoir la chance d'avoir un Josh dans sa vie.



Bien entendu, ce roman est une fiction. Il ne faut pas penser que toutes les victimes de viol ou d'agression ont un parcours de vie similaire. Cependant, je pense que chacun et chacune pourront se retrouver en partie dans ces lignes.
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The Way I Used to Be

L'histoire d'Eden est vraiment très touchante et j'ai trouvé que son état d'esprit était parfaitement retranscrit. On partage sa détresse, son impuissance, sa colère... On a envie de l'aider, de lui dire que ça ira mieux, et en même temps, on sait que les ressentis sont totalement légitimes.



Le récit est difficile à lire mais ce genre de témoignage, même fictif, est important.
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The Way I Used to Be

J'ai entendu parler de ce roman sur les réseaux comme bouleversant. Je ne vais pas du tout démentir cela, j'ai été complètement chamboulée par l'intrigue. On y suit Edie, violée par le meilleur ami de son frère. Le résumé ne vous cache rien, le sujet traité est difficile, mais il est écrit avec une plume juste, qui transmet le sentiment d'urgence, la peur, la difficulté à avancer et l'incapacité à en parler, tout ce que ressent Edie face à cet évènement dramatique.

La narration est saccadée, perdue, dans un milieu lycéen sans pitié entre intimidation et harcèlement. Les choix des personnages sont flous, les pensées d'Edie sont souvent en vrac, ce qui nous plonge entièrement dans cette œuvre poignante.

Amber Smith donne une voix à toutes les personnes victimes à travers The Way I Used to be. En France, un viol est commis toutes les six minutes.



39 19 : Numéro d’écoute gratuit destiné aux femmes victimes de violences, à leur entourage et aux professionnels concernés.



0800 05 95 95 - SOS viols : Numéro gratuit destiné aux femmes victimes de viol ou d’agressions sexuelles, à leur entourage et aux professionnels concernés.

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The Way I Used to Be

Un sujet difficile mené d'une manière puissante et brutale. La plume m'a vraiment embarquée dans la descente aux Enfer d'Edie tant sa psychologie est creusée. Elle reflète bien toute la complexité des émotions ressenties par les victimes et c'est ce que j'ai le plus aimé car nous avons tendance à juger les autres mais que savons-nous réellement d'eux ? Une pépite qui heurte le cœur et les tripes.
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The Way I Used to Be

Je dirais que je n'ai pas choisi ce roman mais que c'est lui qui m'a choisi.

Je n'avais pas entendu grand chose sur ce livre, je savais juste qu'il parlait d'une jeune fille et de viol.



Je suppose que j'ai été intriguée par cette histoire et surtout par la façon dont ce sujet très grave (et le mot est faible) allait être traité dans un roman young adult.



J'ai été prise dans ce roman dès le début. C'est très bien écrit et on rentre directement dans le sujet. On passe de l'innocence de l'enfance à la destruction d'une adolescence.



J'ai adoré Edie, j'étais à fond avec elle. On a envie d'être auprès d'elle et de lui tendre la main malgré son comportement parfois incompréhensible par les autres.



Ce n'est pas toujours facile de lire entre les lignes et d'analyser les comportements des gens qui nous entourent.



J'ai appris grâce au bandeau du livre que le roman était un phénomène sur les réseaux sociaux. Je trouve que c'est amplement mérité et je conseille à tout le monde de le lire. Peut-être qu'il aidera les victimes et les proches.



Je pense aussi que c'est un roman qui peut aider les adolescents et qui devrait être lu à l'école car il aborde beaucoup de sujets importants.



Un très beau premier roman de l'autrice, j'ai été contente d'apprendre qu'il y aurait une suite que je lirai avec plaisir.

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The Way I Used to Be

Que dire ? C’est difficile d’affirmer que c’est un coup de cœur vues les thématiques extrêmement difficiles (voir TW en carrousel !) et choquantes. Pourtant, c’est un roman grandiose qui ne peut pas ne pas en être un non plus. C’est très étrange d’en parler… je ne sais quoi dire. Ce roman jeunesse n’est pas à mettre dans toutes les mains : avant 16 ans, je déconseille totalement. Il est TRÈS DUR à lire.



Déjà, sachez que les scènes de vi*l sont explicites. Alors, attention, ce n’est pas décrit dans les gestes et la vulgarité, loin de là. Pas de sensationnalisme, pas de romantisation, pas de détail. Mais on sait ce qu’il se passe. Le roman s’ouvre sur cette scène abominable qui sera passée en revue plusieurs fois au cours du roman par Edie, l’héroïne.



Edie, elle est évidemment totalement bousillée par le meilleur ami de son frère qui abuse de sa confiance, de son crush pour lui, de sa jeunesse (14 ans), de sa naïveté. J’ai trouvé l’écriture de son personnage d’une rare justesse. Elle passera par plusieurs étapes : déni, colère, dépression, autodestruction… tout s’entremêlera, bien sûr. Elle est une casserole à pression qui a besoin d’exploser… elle se sent surtout prisonnière de son corps, de ses émotions, de ses peurs. On la suit sur trois années de souffrance. Trois années d’expériences… trois année de descente aux enfers, de tentative de garder le contrôle… jusqu’au dénouement que je tais.



Je pense ce roman essentiel dans la bibliothèque d’un•e ado (16 ans !!!) Pour plusieurs raisons que voici :



1) lire des modèles d’expérience qui rejoignent le vécu de beaucoup trop de jeunes : ne pas se sentir seul•e;



2) montrer POURQUOI les victimes prennent parfois du temps avant d’oser parler;



3) déculpabiliser les victimes… 🤎 des actes de leur agresseur•euse ; de leurs émotions contradictoires, des comportements incompréhensibles qui font du bien sur le moment (hypersexualisation pour reprendre le contrôle, par exemple) ;



4) montrer COMMENT réagir pour celleux qui entourent les survivant•e•s. Et surtout comment NE PAS réagir.



A ce vi*l, s’ajoute le harcèlement. Edie est une « pvte », tout le monde l’apprend. Elle est, fort heureusement, entourée de sa meilleure amie… qui n’est au courant de rien. Qui ne la comprend pas. Qui essaie, pourtant, de l’accepter, de l’apprivoiser… et puis, il y a Josh. Mon personnage coup de cœur. Sera-t-il un tuteur de resilience ou un trauma de plus… ? C’est à Edie de construire l’histoire… mais n’oubliez pas que ce roman n’est pas une jolie romance facile et efficace.



J’ai pleuré à gros sanglots plusieurs fois.



Bref, j’ai adoré, mais je sors complètement fracassée de ce roman. Je le recommande en tenant bien compte des TW.





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