Seuls sont sincères les sauvages et les animaux. Du moment que la civilisation a apporté dans la vie un besoin de confort du genre de celui qu’est la vertu des femmes, il n’y a plus place pour la sincérité... Parfaitement...
Combien plus heureux sont les touristes, vieux et jeunes, qui, n’ayant pas assez d’argent pour vivre dans les hôtels, habitent n’importe où, jouissent de la vue de la mer du haut des montagnes, couchés dans l’herbe, vont à pied, voient de près les bois et les villages, observent les coutumes du pays, entendent ses chansons et s’éprennent de ses femmes...
Je veux penser que le génie de l’homme qui lutte avec la nature, a lutté aussi contre l’amour physique comme avec un ennemi, et que, s’il ne l’a pas vaincu, il a réussi du moins à le recouvrir d’un voile d’illusions et de fraternité et d’amour.
L’homme doit s’emballer, faire des folies, des fautes, souffrir ! Une femme vous pardonnera une impertinence ou une impudence, mais elle ne vous pardonnera jamais d’être trop raisonnable.
On peut vendre ou hypothéquer quelque chose, et si l’intendant jure qu’il n’y a rien à vendre, ni à hypothéquer, on peut enlever les toits en tôle des dépendances de la maison et les vendre comme ferraille ; ou bien on peut, au plus fort moment du travail, envoyer au marché les chevaux de l’exploitation, et les vendre pour rien.
Les femmes sont menteuses, vaines, frivoles, injustes, peu développées, cruelles. Bref, non seulement leur niveau n’est pas supérieur à celui des hommes, mais elles sont infiniment plus bas. Et il ne nous reste rien de plus, – insatisfaits et désillusionnés que nous sommes, – qu’à maugréer, et à dire, à l’occasion, combien nous sommes cruellement déçus !
Je m'appelle .............?..........." je suis un jeune homme de dix-sept ans, laid, maladif et timide", je passe mes étés dans la "maison de campagne des Choumikhine", et je m'y ennuie.