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Citations de Bernard Lenteric (153)


J'ai renoncé de faire de toi un humaniste...L'homme qu'on aime peut avoir quelques petits défauts.Certains ronflent, d'autres se curent le nez de façon agaçante, toi, tu confectionnes des morts et des blessés.
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-Adieu monsieur Honendael! lui répondit le Grec.
-Il ne faut jamais dire adieu, monsieur Hespéra! Le destin en décidera pour nous.
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La planète terre sentait sacrément mauvais par moments!
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La fatalité...C'est le nom que nous donnons à notre égoïsme...
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D'une voix grave, le vieil homme conclut
-Il y a toujours une autre partie.
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Le sommeil vaut ce que vaut la conscience.Chaque jour qui se lève est radieux pour l'homme juste.
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Mon père me disait:quelquefois on est très malheureux dans la vie.Mais,quoiqu'il arrive,il faut continuer.Il faut faire quelque chose.Aller quelque part.Sinon, on meurt.
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Oui, perdre son âme c'est facile en politique.
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Le kadjmakan baissa les yeux.On est toujours le petit garçon de quelqu'un.
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Péricles avait compris que le malheur des pauvres n'est pas seulement une question d'argent.Dans leur lutte pour la vie,ils se battent chargés de chaînes invisibles et cependant pesantes:l'ignorance,le manque d'entregent des humbles...
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Le juif n'avait aucune raison de se fier à lui.Mais un homme traqué ne refléchit pas trop sur la main qui se tend.
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On a toujours eu le sang chaud à Salonique, mais la diversité des races et la haine qu'elles se portaient mutuellement en cette époque troublée attisaient ce tempérament belliqueux.
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« Je leur ai parlé, Fozzy »
Silence.
« A tous les sept. »
Silence.
« Ils m’ont regardé de leurs grands yeux… »
En marchant, Jimbo s’était réfugié dans une zone d’ombre. Seuls ses yeux étaient vaguement éclairés. Un autre être humain présent à ce moment-là dans la salle souterraine n’aurait pas remarqué à quel point ce corps était dégingandé, maigre, maladroit.
Il aurait tout juste vu les yeux de Jimbo Farrar et compris alors à quel point il était fait d’intelligence pure, une fois dégagé de son corps d’adolescent monté en graine. Et il en aurait été fichtrement impressionné.
La vois de Jimbo provenant de l’ombre :
« Je leur ai dit la phrase que j’avais préparée. Celle-là seulement. Qu’est-ce que je pouvais leur dire d’autre ? J’avais déjà l’air assez fou de chicoter ça à des enfants de cinq ans… Fozzy ?
- Oui, Jimbo ?
- Demande-moi ce que je leur ai dit.
- Qu’est-ce que tu leur as dit, Jimbo ?
- On ne dit pas : qu’est-ce que tu leur as dit. La forme interrogative correcte est : que leur as-tu dit ?
- Que leur as-tu dit, Jimbo ?
- Je leur ai dit : Vous n’êtes pas seul. Vous êtes sept.
- Ca fait deux phrases », dit Fozzy.

Jimbo sorti de l’ombre, avança de deux pas. Il paraissait vraiment très grand. Il acquiesça, s’immobilisa. Puis il acquiesça de nouveau, avec gravité, comme si Fozzy venait de faire là une découverte capitale.
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Il partit de Colorado Springs le 20 juin, dernier jour du printemps. Mais ce n'était qu'une coïncidence. Et ce fut ainsi qu'il rencontra les Sept pour la première fois.
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A quoi il fallait effectivement ajouter la mise initiale, soit cent vingt mille dollars.
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Il est blond châtain. Il a des yeux bleu clair avec de longs cils sombres, qui lui donnent un air très doux. Il est extraordinairement intelligent. Son quotient intellectuel est bien au-dessus de cent soixante. A cent dix, on n’est déjà pas bête… Il a l’air incroyablement gentil.
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Je croyais que nous allions au Pentagone, remarqua Jimbo. Pentagone, du grec penta qui veut dire baïonnette, et du latin gono, qui signifie littéralement « s’asseoir dessus ».
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Pas un instant il ne soupçonna ce qui se cachait derrière le miroir sans tain des grands yeux noirs apeurés de Gil Geronimo Yepes : un cerveau capable de deviner, d’enregistrer et de mettre aussitôt en mémoire des centaines de programmes et des milliers d’instructions. Et, mieux que cela, ayant percé les codes d’accès, capable de concevoir et d’exécuter le branchement qui allait permettre d’établir, à distance, le contact avec la mémoire centrale de l’ordinateur.
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Hari le Noir lui sourit avec une tendresse fraternelle. De ses longs doigts de basketteur, il lui effleura la main…
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Si son corps n’a que quinze ans d’âge, son cerveau ridiculiserait celui de n’importe quel adulte. Il porte en lui trop de haine et de désespoir accumulés au fil des quelques dix années précédentes, à attendre.
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