Citations de Brandon Mull (150)
Je suis vraiment désolé de ne pas pouvoir être là pour te raccompagner. Sacrées nouvelles de Dougan, hein ? Je peux à peine croire que tout ça se termine de cette manière. Je me disais bien que c'était louche que quelqu'un soi-disant de confiance n'apparaisse que masqué... Mais justement, les masques sont tombés, maintenant.
Je pars pour une autre mission. Rien d'aussi dangereux que celle que nous avons faite ensemble, mais une chance pour moi de me rendre utile. Je te raconterai plus tard.
Tu sais pourquoi j'aime tes lettres ? Au moins, on ne bégaie pas en écrivant !
Tu es une personne étonnante, Kendra. Je veux que u saches combien j'ai apprécié de te rencontrer. J'espère avoir l'occasion de veiller sur ton frère et sur toi à l'automne. J'espère aussi que nous apprendrons bientôt à mieux nous connaître.
Ton ami et admirateur,
Gavin.
- [...] Le Mal aime l'obscurité.
- Pourquoi ? demanda Seth.
Grand-Mère réfléchit un instant avant de répondre.
- Parce que le Mal aime se cacher.
« Cela me paraît flou, maintenant. Ça n'a duré que le temps d'un clin d'œil, un instant qui aurait duré des milliers d'années. »
Je le trouve moin bon que le premier mais sa ne peut que être meilleures
Lorsque Abéké se retourna, elle se retrouva face à Uraza qui s'était approchée sans bruit. La jeune fille était maintenant sure qu'elles pouvaient se comprendre sans parler. Elle tendit le bras. Il y eut un éclair, une sensation de brûlure, et Uraza bondit pour devenir un simple tatoo au-dessus de son coude.
le moins bien des 5 a la fin j’étais un peut déçu
Elle regarda le lait. Une fée avec des ailes de colibri buvait dans le plat. A part ses ailes, la fée avait l'air d'une mince jeune femme qui ne mesurait pas tout à fait cinq centimètres Elle portait une tunique turquoise brillante et avait de long cheveux noirs. Quand Kendra se pencha plus près, la fée s'éclipsa.
Elle ne pouvait pas voir ça ? Il devait y avoir une explication. Mais les fées étaient partout, scintillant de couleurs vives ici et là. Comment pouvait-elle nier ce qu'elle avait devant les yeux ?
Est-ce que la vie était ainsi ? se demanda-t-elle. On pouvait regarder en avant vers l'avenir ou en arrière vers le passé, mais le présent bougeait trop pour qu'on puisse le saisir.
Mais les plaisirs, les joies de la vie ont un prix : la douleur, la maladie, le déclin de l'âge, la perte de ceux qu'on aime... (p.146)
Un homme à la langue bien pendue devrait être capable d'autant de courage dans ses actes que dans ses paroles. (p.43)
Certains imaginent que la différence entre paradis et enfer est une question de géographie. Pas du tout. La différence vient des individus qui y habitent.
Le meilleur moyen d’éviter d’être un esclave est d’être le maître.
Quand des maîtres jouent aux échecs, déclara-t-il, il y a souvent un point, quelquefois de nombreux coups avant le mat, où le résultat se décide. Parfois, le perdant inévitable renonce. Parfois, il continue jusqu’au coup final. Mais au-delà de ce point charnière, les jeux sont faits.
Je ne tiendrais pas une minute sur un trapèze ou une corde raide. Autrefois, j’évoluais facilement, avec agilité. La malédiction de la mortalité. Vous passez la première partie de votre vie à apprendre, à devenir plus fort, plus capable. Et puis, même si vous n’y êtes pour rien, votre corps commence à vous manquer. Vous régressez, les membres solides s’affaiblissent, les sens aiguisés s’émoussent, les constitutions robustes se détériorent. La beauté se fane. Les organes vous lâchent. Vous vous rappelez ce que vous étiez dans votre jeunesse et vous vous demandez où est passée cette personne. Alors que votre sagesse et votre expérience sont à leur apogée, votre corps, ce traître, devient une prison.
Les deux enfants enlacèrent leurs grands-parents pour leur dire au revoir, puis montèrent dans la voiture. Grand-père fit un clin d'oeil à Kendra. Papa démarra.
- Vous avez passé de bons moments, ici, les enfants ?
- Oui, répondit Seth.
- C'était incroyable, ajouta Kendra.
- Vous vous souvenez combien vous étiez inquiets quand nous vous avons laissés ? dit Maman en bouclant sa ceinture de sécurité. Je parie que c'était beaucoup moins effrayant que vous l'imaginiez !
Seth et Kendra échangèrent un regard qui en disait long.
-Tes parents sont peut-être ici, mais pas dans une cellule à laquelle nous avons accès.
-Et toi, qu'est-ce que tu es ? Un détecteur de mensonges humain ?
-Je suis plutôt doué pour comprendre les gens. Je voulais te voir de près. Ils ont déjà envoyé des bulbes piquants. Maintenant, je sais que tu n'en est pas un, ni un enfant échangé contre un autre. En outre, tes amis auraient pu se tromper sur ceux que tu sers. J'ai du mal à croire qu'un charmeur d'ombres puisse être de notre côté, mais à présent j'en suis convaincu.
Seth croisa les bras.
-Je suis content d'avoir réussi ton test. Tu as un certificat ? C'est pour coller sur mon frigo.
- Desolé, j'ai laissé tous mes magnets dans ma cellule.
Coulter poussa une sorte de croassement; Warren se mit à tousser; Kendra lâcha un petit rot, puis découvrit qu'elle pouvait de nouveau respirer.
Voici une comparaison que mon père utilisait : les dragons nous voient comme nous voyons des souris. Nous ne sommes pas très savoureux, nous ne constituons pas une vraie menace. S'ils nous trouvent, ils nous tueront juste pour garder l'endroit propre. Mais si nous leur parlons, ils nous verrons comme nous verrions une souris qui parle. Nous deviendrons alors une nouveauté surprenante, un mignon animal de compagnie.
- Qu'est-ce que vous ferez si vous ne trouvez pas un moyen de le guérir ? questionna Seth.
Dale marqua une pause.
- Je ne le saurai jamais, parce que je ne cesserai jamais d'essayer.
Mod/Suppr
- Olvan le célèbre ?
- si tu entends par là le chef des capes-vertes alors oui c'est moi