Brigitte Kernel

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Un livre qui nous fait jalouser la vie à une autre époque où tout semblait permis…
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Un jour pour lire jours brûlants à key west. J’ai dévoré ce livre qui place Sagan au centre de gravité d’un triangle amoureux.

Du plaisir de bout en bout.

1 femme + son amour au féminin + son couple d'amis

1 drame... du soutien, du réconfort, reprendre une vie "normale" mais les sentiments sont-ils sincères ? Est-ce un manque ? Comment gérer ?....

Simple mais beau

interview de Brigitte Kernel
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En 1955, la jeune Françoise Sagan fait la connaissance, en Floride, de Tennessee Williams et de Carson McCullers. Une histoire vraie devenue roman.
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Au travers de la narratrice, dont on ignore le nom, on découvre son amie Léa et Louise la compagne de celle-ci. Louise, qui part en reportage au Moyen-Orient est assassinée. Débute ici pour la narratrice et son mari, la difficile tâche d’accompagner Léa, qu’ils accueillent chez eux, dans son deuil.



On vit le deuil de Léa, son désespoir, son refus, sa détresse et la difficulté pour la narratrice de l’aider tout en gérant son désir naissant pour la jeune femme. La question ici, c’est peut-on continuer à vivre, à désirer, à aimer malgré la mort d’un être cher ?



Un livre qui ne m’a pas laissé indifférente, loin de là. Brigitte Kernel décrit avec une extrême justesse les sentiments qui peuvent nous traverser lors du deuil, la culpabilité de cette envie de continuer à vivre malgré la perte. Et finalement, l’homosexualité de Léa et Louise, le désir de la narratrice pour une autre femme, tout cela n’est que secondaire.

Andy Warhol émouvant dans ce portrait où Brigitte Kernel lui donne la parole. Voyeur fragile et héroïque, aussi agaçant que séduisant, il garde finalement tout son mystère.

Un roman vraiment très troublant où l'amour et la haine changent de masques, si bien que tout devient mouvant. Les mots semblent contredire les gestes et les actions. Une lecture qui bouscule les certitudes... et le lecteur !

Un livre répétitif dont la longueur aurait pu être divisée par deux ! Les sentiments et douleurs des personnages sont assez bien vus, mais quel ennui ; de plus le tic d'écriture consistant à utiliser le verbe "vrombir" à tout bout de champs m'a profondément irritée !

Pas une biographie, plus un portrait de Wahrol. On y découvre un homme rongé par le désir, que sa foi sincère oblige à repousser, un homme attaché à sa mère mais aussi horriblement seul. Un artiste qui a choisi la création artistique pour fuir cette réalité qui lui fait si peur. C'est une tentative d'assassinat qui l'a renvoyé brutalement dans le réel. Une chute très étonnante et très révélatrice.
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C'est une ode à l'amour, le vrai, et une mise en garde contre les manipulateurs de tous poils, Ce livre redonne espoir car il dit que l'amour véritable existe et que celui-là peut pardonner et donner une seconde chance.

un livre qui tourne en rond, envie de sauter les chapitres, donne l'impression de lire indéfiniment la même page...

Brigitte Kernel s'accroche bec et ongles aux mots comme instinct de survie. Elle vérifie leur étanchéité, leur fiabilité. Et confirme ce que l'on soupçonne déjà tous : La remise en cause fortifie.
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