Christie Golden

Bon , …

Comme le dit l'éditeur , nous sommes à l'aube de Wacrafft , donc avant le jeux .

Je trouve ce teste complètement lisible sans avoir la moindre culture générale relevant de l'univers du jeux .

J'en ai un peu certes , mais très peu en toute franchise .

C'est un bon planète opéra dépaysant . C'est aussi latéralement une sorte de fiction « préhistorique » et c'est enfin , un roman post-apocalyptique .

Je l'ai trouvé bien écrit , de bons dialogues , des personnages bien caractérisés , des descriptions solides , un récit vivant et plein d'énergie .

L'étrangeté des Orc ( des aliens ) est rendue finement , habilement , et de façons agréablement ponctuelle .

Ce monde n'est pas le nôtre , le lecteur le ressent suffisamment pour faire une véritable ballade sur un monde étranger , situé à des années lumières .

Ce monde se meurt et la vie semble devoir disparaitre de sa surface qui est en proie à des changements spectaculaires ou bien aussi à des changements modestes , mais non moins mortels , des changements insidieux . Bref ; l'avenir est sombre .

La tragédie descend très progressivement au fil des pages et au grés des saisons ( principalement hivernales ) qui deviennent de plus en plus difficiles , de plus en plus étonnantes et de plus en plus violentes at âpres .

Ce monde est gelé , c'est rafraichissant , sourires , mais principalement , on se dira que l'âpreté de l'univers transpire à chaque page , avec une note dramatique et tragique alternativement . Cette dynamique soutenue qui repose sur le tragique , implique efficacement le lecteur dans le destin de ces bestioles .

Des êtres qui sont autrement , beaucoup moins sympathiques .

Je ne me souvient pas d'avoir déjà lu un récit post-apocalyptique en contexte « préhistorique « et je dois dire que j'ai bien aimé cette expérience .

La note science-fantaisie est discrète et bien amenée . le lecteur imaginera subjectivement des ressorts variés , pour potentiellement lui donner un sens dans le réel de son expérience de lecture ou dans son souci de rationaliser les données qui émanent du texte , ceci, en faisant des liens spontanés avec par exemple : des croyances , des problématiques de niveaux de développement technique variés , de confrontations culturelles … et autres …

Le personnage principal du roman est vraiment solide et touchant .

Ses questionnements sont éloquents et ils peuvent conduire à des réflexions intéressantes , sur la responsabilité des leaders politiques , sur celle des chefs et enfin sur la capacité différentielle de résilience des peuples , face à l'adversité brutale d'un univers qui s'effondre .

Bref , ce n'est pas le planète opéra du siècle , mais c'est un roman post-apocalyptique et une aventure absolument sympathique .

Je commence très bien l’année 2015 avec cette très agréable lecture. Jouant depuis 9 ans maintenant au jeu World of Warcraft, je n’avais jusque-là jamais tenté de lire les livres tiré de cet univers. Je me méfie des produits dérivés qui surfent sur le succès d’un produit phare.



Et puis bon, je me suis dit qu’il fallait bien essayer. Et j’ai bien fait ! L’histoire qui nous est narré dans ce livre de 300 pages commence vraiment par le tout début, puisque nous découvrons les Orcs sur leur terre d’origine, la magnifique Draenor.



Le récit va nous montrer comment, le maléfique Kil’jaeden va manipuler les orcs et en faire des bêtes assoiffées de sang, totalement soumis à son contrôle, et comment il vont ravager leur monde et exterminer la race des Draenei. Mais nous allons également suivre l’histoire d’un orc à part, le grand Durotan qui refusera toujours de se soumettre et qui devra faire des choix difficiles.



Si l’on ne connait pas l’univers de Wow, tout ce que je viens de dire peut paraitre un peu confus, mais sachez que pour lire ce livre vous n’avez pas besoin de jouer au jeu vidéo. L’auteure nous plonge tranquillement dans la vie des différents protagonistes et on suit leur évolution avec un grand plaisir. A aucun moment on ne se retrouve perdu car on ne connait pas tel ou tel personnage.



Pour les fans de Wow on a la chance de lire une vraie histoire, bien mieux raconté que lors des diverses quêtes. Pour les néophytes de Wow, vous avez là un livre de fantasy très simple d’accès et vraiment très intéressant.



Je ne m’attendais pas à une lecture si passionnante ! Si les autres livres que Christie Golden à écrit sur cet univers sont du même acabit, j’achète tout de suite !

Je commence très bien l’année 2015 avec cette très agréable lecture. Jouant depuis 9 ans maintenant au jeu World of Warcraft, je n’avais jusque-là jamais tenté de lire les livres tiré de cet univers. Je me méfie des produits dérivés qui surfent sur le succès d’un produit phare.



Et puis bon, je me suis dit qu’il fallait bien essayer. Et j’ai bien fait ! L’histoire qui nous est narré dans ce livre de 300 pages commence vraiment par le tout début, puisque nous découvrons les Orcs sur leur terre d’origine, la magnifique Draenor.



Le récit va nous montrer comment, le maléfique Kil’jaeden va manipuler les orcs et en faire des bêtes assoiffées de sang, totalement soumis à son contrôle, et comment il vont ravager leur monde et exterminer la race des Draenei. Mais nous allons également suivre l’histoire d’un orc à part, le grand Durotan qui refusera toujours de se soumettre et qui devra faire des choix difficiles.



Si l’on ne connait pas l’univers de Wow, tout ce que je viens de dire peut paraitre un peu confus, mais sachez que pour lire ce livre vous n’avez pas besoin de jouer au jeu vidéo. L’auteure nous plonge tranquillement dans la vie des différents protagonistes et on suit leur évolution avec un grand plaisir. A aucun moment on ne se retrouve perdu car on ne connait pas tel ou tel personnage.



Pour les fans de Wow on a la chance de lire une vraie histoire, bien mieux raconté que lors des diverses quêtes. Pour les néophytes de Wow, vous avez là un livre de fantasy très simple d’accès et vraiment très intéressant.



Je ne m’attendais pas à une lecture si passionnante ! Si les autres livres que Christie Golden à écrit sur cet univers sont du même acabit, j’achète tout de suite !

Ravenloft est un des univers du jeux de rôle Donjons et Dragons. Bien que conçu, au départ, comme autonome, il fut progressivement relié aux autres mondes du jeux (les Royaumes Oubliés, Dragonlance et Greyhawk principalement). Et si ce rattachement pris du temps c'est surtout parce qu'il est relativement différent des autres (très fantasy) car il est davantage orienté horreur et épouvante. Les morts-vivants et autres loups-garous y sont les créatures dominantes, bien qu'elfes, gobelins ou orcs peuvent y trouver leur place.



Il y a trois caractéristiques indissociables du monde de Ravenloft :



- divisé en plusieurs domaines, chacun d'entre eux (ainsi que le monde dans son ensemble) est entouré par les Brumes, qui sont théoriquement infranchissables mais capturent, à l'occasion, des créatures des autres mondes pour les projeter n'importe ou dans l'espace et le temps de Ravenloft. Seuls les Vistanis (les Gitans de ce monde) sont capables de les traverser.



- Chaque domaine est contrôlé par un Sombre Seigneur, à la fois gardien et prisonnier de ses terres, et toujours tourmenté par l'objet de son désir, pour lequel il a commis des atrocités.



- Les Sombres Puissances (dont on ne sait pas grand chose) sont les véritables maîtres de Ravenloft, modelant cet univers à leur guise et n'y attirant que des êtres ayant succombé au mal.



Du point de vue littéraire, Ravenloft c'est également une série de romans, tous publiés chez Fleuve Noir, dont "le Vampire des Brumes" est le premier. Il met en scène deux personnages emblématiques de la franchise ; Jander Etoile-Solaire (un elfe originaire des Royaumes Oubliés, devenu vampire) et Strahd von Zarovich, le Sombre Seigneur du domaine de Barovie.



Alors certes, stylistiquement, ça ne vole pas très haut, mais l'autrice respecte parfaitement le canon "ravenloftien" et, par le développement du personnage de Jander, insuffle une dose certaine de romantisme, inhabituelle dans les autres romans issus des univers de Donjons et Dragons. La tentative d'illustrer la double temporalité (celle des vampires immortels et celle des mortels qui les combattent ou les côtoient sur plusieurs générations) est louable mais pas toujours une franche réussite, à cause de transitions trop abruptes. L'ambiance "gothique" est plutôt bien rendue même si j'aurais préféré davantage de descriptions. Evidemment, tout le monde connait les contraintes de pagination de Fleuve Noir...



Néanmoins, l'ensemble se lit bien, l'action n'est pas si présente que ça, l'accent étant avant tout mis sur le développement de la relation entre von Zarovitch et Jander, relation que l'on pourrait qualifier d'ambiguë (de même que le personnage de Jander, archétype du vampire tourmenté). Pour qui aime l'univers de Donjons et Dragons, c'est un agréable divertissement, qui amène une rupture avec les traditionnelles aventures de fantasy, où magie et combats prédominent.

Connaisseurs et amateurs de WoW ce roman pourra vous satisfaire. Néophytes, passez votre chemin.



Je conçois donc que l'on puisse apprécier cette histoire qui développe l'essor des orcs, de leur société tribale à leur arrivée en tant que Horde unifiée sur "Azeroth" (je suppose que c'est la planète où se déroule WoW). Mais si vous n'avez pas le background nécessaire pour apprécier les références, l'histoire et le style de l'auteur ne sauveront pas votre lecture.



Le tout est très facile (un méchant vient voir les orcs, il leur dit de tuer les gentils, ils le font, et bis repetita) et l'écriture peu profonde. Et même si le côté "Nuremberg" est apte à pousser la réflexion et les parallèles, je ne retiendrai pas grand chose de cette lecture (à part peut-être le côté shamanique des orcs primitifs qui est plutôt bien décrit).

Alors me voilà dans le coté littéraire de « Warcraft ». Ce monde, ce n’est pas moins de 50 œuvres retraçant le LORE, l’histoire des célèbres jeux vidéo. Il fallait commencer par le premier, « L’ascension de la horde », écrit par la célèbre Christie Golden, surement la meilleure auteure de la série des Warcraft.



Alors Warcraft c’est quoi ? C’est divers mondes, situés dans un même univers. Warcraft c’est l’histoire d’un combat entre la horde d’un côté dont les membres ne sont autres que des Orcs, Trolls… et l’alliance dont les membres sont des Hommes, Nains, Gnomes… Ces combats ont principalement lieu sur une planète nommée Azeroth. Jusque-là tout parait simple, sauf que cette guerre ancestrale à une origine bien complexe, entre manipulations et soif du pouvoir, et ce, des deux côtés.



Ce livre compte le tout début de cette guerre, la naissance d’une Horde manipulée qui n’existe plus désormais. Il compte également l’histoire des Draeneï, autre peuple à la triste histoire. Ce qui frappe dans ce roman c’est bien ce côté de l’histoire de warcraft. C’est profondément triste. Ce peuple d’Orc si proche de la nature et son terrible destin, si « destin » est le terme adéquat. Durant cette lecture passionnante au cœur du monde de Draenor, on ne peut s’empêcher de s’énerver contre certains personnages et en encourager d’autres. Mais malheureusement, rien ne va comme on le souhaiterait et, en tant que joueur, nous connaissons très bien l’issue de tout cela…



C’est assez étrange de lire un livre en connaissant la fin. C’est un peu comme lire un livre d’histoire, connaitre en détail des détails de différents peuples que l’on dirige dans le jeu. Alors ce livre peut-il être lu par un néophyte ? Je pense que oui, mais je doute sur le fait qu’il y prenne autant de plaisir que moi. Il y a surement d’autres livres qui sont plus à même de jouer ce rôle. Ou peut-être que le commencement sera le film WARCRAFT annoncé pour 2016. En attendant, je vais enchaîner sur la suite, ne pouvant pas m’arrêter en si bon chemin.

Après avoir lu quelques romans mettant la faction de la Horde en avant (Thrall, Voljin, etc.), je me suis plongée avec délectation sur Jaina Portvaillant : le déferlement de Christie Golden.Avec brio, Christie Golden a su retracer l’histoire de cette mage puissante de l’Alliance. Jaina, fondatrice de Theramore, pacifiste, amie de Thrall et Cairne Sabot de Sang va sombrer dans les ténèbres lors de la destruction de sa ville. Va-t-elle reprendre ses esprits et savoir pardonner à la Horde, l’anéantissement de Theramore . Vous le découvrirez si vous lisez ce roman.

Ce livre, « Arthas : L’ascension du Roi-Liche, est un pilier de la saga Warcraft. De même que le jeu « Warcraft III » dont s’inspire la romancière est l’un des meilleurs jeux de stratégie sortis à ce jour. J’y ai d’ailleurs passé de long moment durant mon adolescence. En outre, Arthas est considéré comme l’un des plus grands méchants des jeux vidéo. Un équivalent du Dark Vador du cinéma. D’ailleurs, son destin n’est pas sans rappelé celui de cet autre personnage. Bref, vous l’aurez compris, l’attente est immense. De plus, Christie Golden ne m’a jamais déçu jusqu’à maintenant.



Ainsi l’histoire débute avec un Arthas encore enfant, juste avant la seconde guerre, lors de l’arrivée des survivants de la première guerre. C’est ainsi intéressant de reprendre l’histoire d’un nouveau point de vue même si, vous l’aurez compris, l’idée n’est pas de développer l’histoire d’Azeroth mais bien celle de ce personnage clé qu’est Arthas. On s’attache vite au personnage, même si l’image qu’on a de lui ne nous quitte pas. Le plus grand moment émotionnel du livre est sans doute son histoire avec Invincible, sa monture. Il faut dire que cet animal joue un rôle clé dans le destin d’Arthas. Enfin, sans rien dévoiler, nous terminons sur Arthas en tant que roi-liche. Autrement dit, il reste tant à découvrir !



Dans ce livre, de nombreux personnages font leur apparition ou réapparaissent. Ainsi, on retrouve les héros de la seconde et troisième guerre (Khadgar, Turalyon…) mais aussi un certain Prestor, la famille Menethil, Medivh, Ner’Zhul ou encore l’ordre du Kirin Tor. Mais on découvre de nouveaux personnages comme Kel’Thuzad, Illidan (qui fait sa première apparition dans les livres lus dans l’ordre chronologique, voir ma liste Warcraf), Mal Ganis, Sylvanas… Bref, de bons moments pour ceux qui ont lu les précédents romans ou qui ont joué aux jeux.



Ça fait d’ailleurs plaisir de lire des choses qu’on a vécu. Oui je pense à l’épuration de Stratholme, une sacrée scène du livre et un sacré moment en jeu. ON revoit également les cinématiques du jeu Warcraft III, notamment la scène se passant avec Arthas au retour de Norfendre.



Cependant, il y a quand même de gros défaut à ce livre. D’une, cela va beaucoup trop vite. Des événements tel que la découverte de Deuillegivre sont expédiés en quelques pages. De plus, des personnages clés arrivent parfois comme un cheveu sur la soupe : l’exemple de Kel Thuzad est l’exemple le plus parlant mais il y a également l’elfe traître. Bref, on a une impression de bâclée à certains passages du film. Faute surement à une histoire collant trop au jeu de stratégie. Cela gâche largement le potentiel du roman et de ce fait, ce fut une grande déception pour moi.



J’ai trouvé les précédents romans bien au-dessus de celui-ci. Un comble pour un personnage qui se veut être le grand méchant charismatique de la saga. Une impression de « pas fini » ou de « bâclé » je ne sais pas trop comment le dire. Bref, un livre qui aurait pu être largement meilleur !

Je découvre pour la première fois avec ce roman, le monde fantastique est célébrissime de World Of Warcraft. N’ayant jamais joué à ce jeu, ni même lu les nombreux ouvrages tirés de celui-ci, je dois dire que je me suis d’abord sentis un peu perdue. C’est un ami qui voulant me faire découvrir ce monde m’a prêté ce bouquin et je lui en suis extrêmement reconnaissante. Après avoir terminé Le Déferlement, je pense sérieusement découvrir plus amplement l’univers de ce jeu vidéo.



Les personnages sont intéressants, originaux et attachants. L’histoire est prenante et nous tient constamment en haleine tandis que l’intrigue nous captive rapidement. Des combats et de la magie, du sang et des larmes, de l’amour et des rivalités sont au rendez-vous pour ce roman.



La belle Dame Jaina Portvaillant dirigeante de Theramore et une des mages les plus puissantes d’Azeroth, tente de rétablir la paix entre la Horde et l’Alliance. Mais, Garrosh Hurlenfer le nouveau dirigeant de la Horde en a décidé autrement. Assoiffé de sang et de pouvoir il veut par tous les moyens conquérir Kalimdor. Chef de guerre, cruelle et sans pitié il envoie ses troupes pour assiégé Theramore et vaincre par la même occasion Jaina Portvaillant.

Theramore est sur le point de vivre des heures sombres, d’où résulteront de terribles événements. Sans compter sur l’iris de focalisation qui fut dérobée du Vol Bleu. Kalecgos, l’Aspect du Vol Draconique Bleu en se lançant à sa recherche se lie d’amitié avec Jaina Portvaillant.



L’écriture est sympathique et agréable à lire. Une bonne lecture que je conseille aux gamers et au fan de WoW autant qu’aux amateurs de fantasy.

Salut les Babelionautes

Peu familier de jeux vidéos je me suis régalé a lire cette Novélisation du jeu Assassin's Creed inspirée surtout du film, que je n'ai pas vu non plus.

Donc c'est s'en à priori que je me suis plongée dans ce récit mêlant la Science fiction et la Fantasy.

Callum Fynch, un condamné à mort, échappe a son destin pour servir les buts cachés et tant convoités de l'Ordre des Templiers, localiser dans l'Andalousie de 1491 un artefact, sensé éliminer la Violence en supprimant le Libre Arbitre de l'Humanité.

On y suit son parcours, qui tout en faisant semblant de collaborer, cherche un moyen pour s'enfuir.

Il trouvera de l'aide auprès d'autres personnages, qui comme lui, n'aspirent qu'a se sortir des griffes des Templiers.

Ce court roman me donne envie de découvrir les autres tome écrient par Oliver Bowden et la BD d'Éric Corbeyran

Christie Golden est un auteur incontournable pour les fans de World of Warcraft. En général, j’adore ses romans et celui-ci en fait partie. L’ascension de la horde raconte la réunification des orcs ainsi que leur asservissement à Kil Jaeden. De plus, elle a innové par un changement narratif. D’une part, le lecteur peut lire les pensées de Thrall au début de chaque chapitre et d’autre part l’histoire propre dite.

Après avoir lu « L’heure des ténébres », il faut forcément se lancer dans la lecture de ce bouquin qui en est la suite directe (voir ma liste « Warcraft »). On retrouve de même les grands écrivains de la saga : Rosenberg et Golden rassemblé ! Autant dire que cela donne envie !



L’histoire reprend donc juste après la fin de la seconde guerre. La horde a été repoussée en Draenor (excepté quelques clans). Cette fois ci, Turalyon, Khadgar et les autres se retrouvent à poursuivre la horde dans leur monde, quittant ainsi Azeroth pour de nouveaux décors déjà découverts dans « L’ascension de la horde » qui présentait l’origine du visuel chaotique de ce monde.



Bon clairement, j’ai littéralement dévoré ce bouquin. C’est d’une grande richesse, à tel point que ce livre est un carrefour vers d’autres œuvres. D’un côté, les clans orc resté en Azeroth (et dont l’histoire est contée dans « Le jour du dragon ». De l’autre, Aile-de-mort que l’on retrouvera dans de nombreux événements de World of warcraft. Puis l’histoire des hommes partis en Draenor « future-outreterre ». Enfin Ner’zhul qui signe son grand retour ainsi que les sous fifres de Sargeras.



L’atout de ce bouquin est le voyage. Nous sommes baladés aux quatre coins d’Azeroth et aux quatre coins de Draenor. Un plaisir de retrouvé Hurlevent, Lordaeron, Alterac et j’en passe… Des lieux très importants pour les lecteurs de Warcraft. Le point faible demeure peut être les batailles bien qu’elles ne trainent pas en longueur même si elles sont nombreuses.



La traduction est excellente, comme dans tous les livres affichés « World of Warcraft » (ce qui n’est pas le cas des livres « Warcraft »). Le récit est vraiment fluide et le scénario plaira aux joueurs comme aux non-joueurs. Toutefois, je conseille vivement d’avoir lu les tomes précédents pour bien s’imprégner de l’ambiance et des personnages.



En parlant des personnages, le livre nous fait basculer de la horde à l’alliance et de l’alliance à la horde. Dans les deux camps, les personnages sont très charismatiques. Khadgar, Turalyion ou Alleria sont les plus attachants coté Alliance (avec les nains bien sur) et coté horde, Ner’Zhul est un personnage que j’adore et que j’ai appris à détester dans ce roman. Cerise sur le gâteau, l’auteur arrive à nous pondre une histoire d’amour des plus attachantes !



Non vraiment, la série des bouquins warcraft est une excellente surprise et je suis curieux de connaitre le ressenti de quelqu’un qui ne joue pas au jeu. Notamment en ce qui concerne la vision que l’on peut avoir des lieux tel que Auchindoun ou le temple noir… VIVEMENT CONSEILLE !

Thrall. Ce prénom ne rendra indifférent aucun joueur de world of warcraft, qu’il soit de la horde ou de l’alliance. Thrall est le sage de la saga, le personnage aimé de beaucoup de personne dont moi. Ainsi, je voulais connaitre son histoire. Ce livre était à la base un jeu de la licence Warcraft qui a malheureusement été annulé peu avant sa sortie. L’auteur, Christie Golden, en a fait un roman passionnant afin de ne pas jeter des années de travail à la poubelle. Verdict ?



Il faut tout d’abord savoir que ce livre conte les débuts de Thrall. Il se déroule temporellement après la première guerre (voir le roman « Le dernier gardien ») et se termine après la seconde guerre (voir le roman « L’heure des ténèbres »). De plus, ce roman a été écrit à une époque où la traduction est plus qu’incomplète, notamment concernant le nom des clans orcs et de certains protagonistes.



Ainsi, nous nous retrouvons avec Durotan et son fils Thrall. Ce dernier est rapidement recueillis à Fort de Durn, forteresse tenue par les Hommes et chef-lieu de nombreux clans d’internement orc. Ce qui est très intéressant avec ce personnage, c’est que c’est un orc physique mais un humain mental. Je veux dire par là qu’il a grandi auprès des humains, bons ou cruels. C’est surement ce qui fait toute la richesse et la complexité de ce personnage.



Le récit dénote un peu avec le reste de la saga car tout se déroule dans une même zone que l’on pourrait rapprocher aux montagnes d’Alterac et aux hautes terres d’Arathi. Tout, vraiment tout se repose sur l’aspect relationnel qui se noue autour de Thrall, que ce soit avec les Hommes ou avec ses semblables. Certaines scènes sont vraiment marquante, comme la découverte du soi par Thrall ou cette scène finale dont je tairais le déroulement dans cette critique.



Toutefois, je n’ai pas été très emballé par ma lecture. Je m’attendais tout de même à mieux. C’est vraiment très lent comparé aux autres romans et les personnages charismatiques, outre Orgrim et Thrall himself, manquent cruellement au récit.



C’est un roman indispensable pour tout fan de l’univers Warcraft. Un livre qui, une nouvelle fois, nous fait voyager avec grand plaisir au cœur d’Azeroth.

Ce roman nous plonge dans l'univers du jeu World of Warcraft. Jaina est une mage aguerrie, vivant isolée du reste de la communauté magique, à Theramore. Diplomate et pacifiste, elle tente depuis des années d'apaiser les esprits de l'Alliance pour éviter la guerre avec la Horde. Mais la guerre viendra à elle ...

On retrouve Jaina, bien des années après l'action du roman Arthas. Toujours fidèle à elle-même, elle lutte pour maintenir la paix mais Garrosh, le nouveau chef de la Horde ne l'entend pas de cette oreille.

L'écriture est fluide, les personnages attachants et l'intrigue bien menée. Malgré les quelques rappels, ce livre risque d'être un peu difficile à lire pour ceux qui ne connaissent pas l'univers du jeu.

Crimes de guerre de Christie Golden est un des plus intéressants car il s’agit du procès de Garrosh Hurlenfer en Pandarie. Un chef assoiffé de gloire et de puissance, n’hésitant pas à tout détruire sur son passage. J’ai apprécié ce roman car il permet de réfléchir ; est-ce qu’on est toujours défendable même si on a commis les plus grands crimes de l’humanité ?

L’auteur a su mettre en haleine le lecteur uniquement sur la condamnation de ce monstre sanguinaire. Même s’il y aura bien entendu des péripéties qui permettront de continuer la licence de World of Warcraft



Ce livre est pour les connaisseurs (joueurs de World of Warcraft). L’univers de ce dernier est tellement riche. On regrettera tout même que Blizzard ne permet pas de savoir quel est le livre qu’il faut lire en premier. Mais, il s’agit d’un bon roman heroic fantaisy. Pour les anciens gameurs, cela donne toujours une notion de nostalgie.

J'ai beaucoup aimé ce livre. Je me suis vraiment plongé dedans comme dans le film. Merci Christie Golden.

C'est un événement marquant de l'univers de Warcraft que raconte ce roman : la propagation du Fléau.

De la jeunesse du Prince Arthas jusqu'à son accession au Trône de Glace, les événements tout droit issus de Warcraft III s'enchainent, avec un accent sur ceux ayant posé les bases du célèbre MMORPG de Blizzard (l'indépendance des Réprouvés, le massacre des Hauts-elfes de Quel'Thalas...).

Le style et la traduction sont très appréciables malgré quelques lourdeurs verbales ; les noms propres sont bien évidemment traduits eux aussi (et certains regretteront peut-être comme moi les Frostmourne, Stormwind ou Undercity)...

Avis donc aux amateurs de la saga Warcraft qui seront agréablement plongés dans leur univers. Attention par contre pour les non initiés du fait des nombreux personnages et lieux évoqués, n'étant presque jamais décrits ou explicités : il y a de quoi se perdre, ou du moins passer à côté de beaucoup de choses...

Dixième volume rassemblant les comics de Buffy. Cette fois ce sont trois histoires se déroulant durant la quatrième saison que nous découvrons ici.



"Reprenons la nuit" :

Une série de meurtres sur le campus, un démon insectoïdes qui rôdent, une conférence sur le viol...on imagine à peu près là où les scénaristes ont voulu en venir, mais c'est bien trop bref et surtout trop brouillon pour que l'histoire soit prenante. On l'oublie aussitôt lu.

Les dessins par contre sont plutôt bons.



"L"Heure du crime" :

C'est dans ce comics que l'on découvre "la terrifiante confrérie féminine" annoncée en quatrième de couverture...où l'art d'attirer le lecteur par des boniments !

En effet, il s'agit simplement de trois "nunuches" qui invoquent un cafard afin que l'une d'elles entre dans la confrérie...(Bon dis comme ça, c'est sûr ça parait très ridicule, mais je suis pas très loin de la réalité...).

Pour autant, ça passe, malgré une ou deux incohérences dans le récit. Les dessins sont sympa et au final, ça ressemble plus à une scène pré-générique qu'à une histoire à part entière.



"Le Sang de Carthage" :

Voilà un comics que j'attendais de lire avec impatience. Tout d'abord parce qu'il s'agit d'une histoire complète et bien développée et puis parce que Lucy Hanover fait sa guest-star et c'est une tueuse que j'ai bien aimé croiser dans divers romans comme "La trilogie de la Porte Interdite" ou encore "Immortelle".



Mais de quoi ça parle ?

Buffy commence à douter de ses capacités à concilier sa vie d'étudiante à sa vie de Tueuse lorsqu'elle élimine malencontreusement le gardien d'une vieille entité démoniaque.

L'histoire vaut le coup, surtout qu'elle s'intéresse à divers personnages ainsi qu'à leurs relations. On retrouve donc le Scooby Gang, Spike, Lucy et cie aux prises avec leurs passés respectifs et les problèmes actuels.

Comme annoncé en introduction du tome, il y a trois sortes de dessins, ceux habituels propres aux comics de Buffy qui sont plutôt réussis, ceux plus sombres évoquant le passé de Spike et rappelant un peu les comics se focalisant sur le couple Spike & Dru, et enfin les dessins plus "manga" illustrant l'enfance d'Alex et Willow. Ces derniers sont sans doute les plus agréables de par leur originalité, leurs couleurs douces et leur style collant parfaitement au récit.



Donc une longue histoire où l'on retrouve une grande partie du casting que l'on aime mais aussi des guests tels que Lucy Hanover, où l'on explore un peu plus le passé de certains personnages, notamment l'enfance d'Alex et Willow (à ne pas rater !) et où l'on retrouve tous les ingrédients de la série : magie, combats, problématiques personnels, démons, vampires etc.

J'ai dévoré ce roman où il m'a plongé dans l'une des histoires de l'univers de World of Warcrat, avec cette auteure, c'est toujours un succès.

C'est une histoire pleine de rebondissements. Il n'y a pas de place pour les temps morts. Naturellement, les joueurs de WOW ont l'avantage de voir les décors, de savoir quelle sera l'issue du livre...Pour ceux qui ne jouent pas au jeu, il y a les informations complémentaires, avec tous les livres parus, ainsi que des précisions sur les personnages importants comme Thrall ou Jaina Portvaillant...Pour un lecteur non averti, il doit lire d'abord la saga Warcraft puis celle de World of Warcraft...Toutefois il n'est pas obligé de lire toute la saga, le volume d'Arthas peut se lire séparément.

Comment et pourquoi la horde a envahit Azeroth?

Pourquoi les orques sont ils devenus vert?

Qu'est il vraiment arrivé au Draeneï sur leurs monde natale?

Si vous voulez des réponses à toutes ses questions. Il vous faudra lire se roman qui est à mon gout l'un des meilleurs de la licence avec Le chef de la rébellion.



Pour la horde!!