Citations de Claire Mazard (212)
Ma micro amie ne savait pas qui elle était, d'où elle venait mais elle était incorruptible, vive d'esprit, elle ne mentait jamais...et en plus elle détectait la vérité ! Ou les mensonges ce qui est un peu pareil.
Emprisonné dans ma jalousie, je n'ai rien voulu voir de ta souffrance silencieuse.
On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans. Et qu'on ades tilleuls verts sur la promenade. Arthur Rimbaud
Ce n’est rien. Mon cœur qui saigne.
Être aimé par quelqu'un qu'on n'aime pas est dur à vivre. Être aimé par une personne alors qu'on en aime une autre est insupportable.
Les souvenirs altèrent, amenuisent ou embellissent les faits vécus. Et l'écriture aussi.
À travers mes larmes,
Dans les rayons du soleil,
La poussière des cendres a tourbillonné,
Micro-étoiles éblouissantes.
Immortelles.
- Ne le prends pas mal, Lilou, mais je dois être franc avec toi : ton attitude m'a déçu. Tu dois le comprendre, si je te cadre; c'est pour ton bien, uniquement pour ton bien.
[...]
- Tu m'écouteras désormais ? Tu iras voir ta mère quand je te le dirai ?
Jusqu’à mon dernier souffle, j’attendrai. Je t’attendrai…
Oui Jennifer était son ange gardien, son porte-bonheur, sa confidente depuis toujours.
"Ultime cours avant la retraite.... J'ai pris le marqueur et j'ai écrit au tableau blanc : on n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade." Arthur Rimbaud
- Ecrivez les réflexions que cette citation vous inspire. [...]
- Et vous, vous vous en souvenez de vos dix-sept ans. [...]
La question résonne en moi.
Tu avais honte pour moi, je crois. Et moi, c'est aujourd'hui que la honte m'envahit, à écrire ces instants.
Que dire pour exprimer ce roman magnifique, bouleversant ? On est bercés tout au long de l'histoire par l'insouciance, l'adolescence de deux jeunes filles qui testent leurs limites ... Premiers voyages, premiers cours de français ...
La fin, dure, triste, que l'on perçoit par fragment depuis le début, est d'autant plus prenante, parce qu'autobiographique.
On ne lâche pas ce livre avant d'avant relu les dernières lignes plusieurs fois, parce qu'on ne veut pas se défaire des personnages.
L'auteur signe ici un roman bouleversant, dont on se souviendra longtemps.
Et nos discussions à n'en plus finir... Et mon bonheur de te savoir dans ma vie, de penser que je t'aurais toujours.
Il ressemblait à... un nounours. L'avoir dans sa vie la rassurait. Il appartenait à la catégorie des doux, des tendres. De ceux aussi qui savent ce qu'ils veulent, ce qu'ils aiment.
Maintenant, quand je vois comme tu me jettes, je voudrais ne jamais t’avoir aimée, ne plus t’aimer. Mais on ne peut pas à la volonté.
Je me sens morte à l’intérieur.
Malgré ma volonté de t’oublier, c’est plus fort que moi, je te cherche des yeux, Sara.
J'ai trop peur que tu nous quittes sans t'avoir revue.
À partir d’aujourd’hui, Sara, je t’oublie.
Je t'enterre.
Bien obligée.