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Citations de Claude Aveline (20)


Mes hommages, monsieur Picard, et mes excuses de vous imposer des recherches qui, je le crains pour vous, ne seront pas faciles.
Sais-je même qui je suis ?
Je ne me vante pas d'ailleurs des événements d'hier.
Je compte faire mieux demain, pour les autres et pour moi.
L'abonné de la ligne U.
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Claude Aveline
 Ne crois pas que tu t’es trompé de route quand tu n’es pas allé assez loin.
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Un jour par an, le Mardi gras par exemple, les hommes devraient retirer leur masque des autres jours.
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Claude Aveline
Un homme blanc, un homme noir, un homme jaune : toutes les larmes sont salées.
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Si l'acte de naissance est quelconque, mon état-civil ne l'est point.
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Claude Aveline
L’homme qui réclame la liberté, c’est au bonheur qu’il pense.
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Belot les avait jugé l'un et l'autre : M. Colet, 12 sur 20 (il avait dit : "Avec son épingle de cravate, on l'aura tout de suite repéré."), Mme Colet, 15 sur 20 (elle avait tout de suite répondu : "Mais mon pauvre ami, cela s'enlève une épingle de cravate ! ") et même 17 sur 20 (elle avait ajouté : "Surtout si on l'a mise exprès pour attirer l'attention .") Mme Colet ressemblait à une charmante souris, M. Colet à un gros Chat.
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Je commençais à parler. J'avais au bout du fil, une employée quelconque.
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De ma vie je n’avais pensé que je pouvais être une "patriote". Une patriote, c’était Jeanne d’Arc, une martyre, une sainte ! J’aimais bien trop le coiffeur, le ski, le flirt, la danse. Je n’ai jamais cru que ce qu’on faisait chez nous fût forcément mieux qu’ailleurs. Je trouvais que rien n’était stupide comme une frontière. Evidemment, je me sentais étrangère à l’étranger, mais pas plus à Bruxelles qu’à Marseille. Ma patrie, c’était notre Paris : est-ce qu’on peut-être une patriote parisienne ?
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Fais que chaque heure de ta vie soit belle. Le moindre geste est un souvenir futur.
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Je débarquai dans l’île de B*** par un temps épouvantable. La mer ne nous avait fait grâce de rien pendant la traversée, ni de ses lames qui soulevaient le bateau et le coeur, ni du brouillard et des mugissements obsédants de la sirène, ni du retard qui avait doublé l’heure du voyage.
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Claude Aveline
L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli.
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Jusqu'alors, j'avais ignoré la jalousie, parce que je ne savais pas ce que c'était que l,amour. (p. 184)
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Il faut reconnaître que les rides, une bonne couche de billets de banque les fait mieux disparaître que des escalopes! (p. 123)
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S'il a peur, c'est un lâche, sinon, il fait son devoir, rien de plus. (p. 102)
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Se rappeler. Transitif. Oui, direct, précis, immédiat, sans surprise. L’image, le son, l’odeur répondent passivement à l’appel.

Mais : se souvenir de. IL me souvient de. Terrible neutre ! Vainqueur dès avant le combat, sans pitié, sans amour, qui surgit comme un lâche voyou ou comme un héros de roman-feuilleton, masqué, en habit noir. Une angoisse te broie le coeur, tu te retournes brusquement : IL est là.
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Bien que rien ne permette de l'affirmer, il semble que les chinois aient connu les jeux de cartes dès le Xème siècle. Pourtant les plus anciennes d'extrême-Orient parvenues jusqu'à nous ne sont pas antérieures au XVème siècle.
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J'ai cru longtemps que des "Pensées détachées", cela signifiait qu'elles l'étaient de tout, qu'elles se moquaient aussi bien du qu'en dira-t-on que du respect humain.
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Une image apparaît. Elle ne se rattache à rien de notre existence. Quelque chose en nous affirme qu’elle ne surgit ni d’une action passée, ni d’une lecture, ni d’une rêverie. Pourtant, nous avons reconnu le choc dont elle s’accompagnait, l’angoisse familière ! C’est un souvenir sans nul doute.

Le théosophe y voit une preuve formelle de vies antérieures et successives. D’accord. Mais il n’est pas nécessaire de les avoir vécues soi-même. Nos aïeux s’en sont chargés pour nous. S’ils nous ont tout donné, la teinte de nos prunelles avec le goût ou le dégoût des larmes, la ligne du menton avec la force ou la faiblesse, pourquoi pas cette image aussi, avec le souvenir qui est derrière elle ?
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