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Citations de Daphné Du Maurier (1122)


She belonged to another breed of men and women, another race than I. They had guts, the women of her race. They were not like me.
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Instinctively I thougt, 'She is comparing me to Rebecca', and sharp as a sword the shadow came between us...
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Ma fierté d'adulte se désagrégea et mes méprisables larmes, heureuses de leur victoire, remplirent mes yeux et se mirent à couler sur mes joues.
Je pensais à toutes les héroïnes de romans que les pleurs embellissent, moi, avec mon visage boursouflé et mes yeux rougis. Ainsi finissait cette matinée, et la journée qui s'étendait devant moi serait longue.
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J'aurais pu lutter contre une vivante, non contre une morte. S'il y avait une femme à Londres que Maxime aimât, quelqu'un à qui il écrivit, rendît visite, avec qui il dîna, avec qui il couchât, j'aurais pu lutter. Le terrain serait égal entre elle et moi. Je n'aurais pas peur. La colère, la jalousie sont des choses qu'on peut surmonter. Un jour cette femme vieillirait, ou se lasserait, ou changerait et Maxim ne l'aimerait plus. Mais Rebecca ne vieillirait jamais.
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- Rebecca devait être une personne remarquable.
Je ne comprenais pas comment j'avais pu enfin prononcer ce nom. J'attendis, me demandant ce qui allait se passer. J'avais prononcer ce nom. J'avais prononcé tout haut le nom de Rebecca. C'était un extraordinaire soulagement. J'avais l'impression de m'être purgée d'une souffrance intolérable. Rebecca. J'avais dit cela tout haut.
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Je m'adossai dans mon fauteuil, regardant la pièce autour de moi, essayant de me donner une certaine confiance, la conscience authentique que j'étais là, à Menderley, la maison de la carte postale, le célèbre Manderley, et que tout cela était à moi parce que j'étais mariée avec Maxim.
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Peut-être que je la hantais ainsi qu'elle me hantait ; elle regardait du haut de la galerie, comme avait dit Mrs. Danvers, elle était assise à côté de moi quand je faisais mon courrier à son bureau. Cet imperméable que j'avais porté, ce mouchoir dont je m'étais servie, ils étaient à elle. Peut-être m'avait-elle vue les prendre, Jasper avait été son chien et courait maintenant sur mes talons. Les roses étaient à elle et je les cueillais. M'en voulait-elle et me craignait-elle, comme je lui en voulais ?
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Ce qui devait arriver arriverait. On ne pouvait lutter contre son destin...
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L’été et l’hiver passaient, les enfants devenaient des hommes et des femmes – la vie n’était rien d’autre que cela. Très loin existaient d’autres terres qu’habitaient des gens étranges, où l’on disait que la vie était dure, que les hommes devaient lutter pour leur survie.
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La tragédie de l'existence, songeait Niall en brossant ses cheveux avec la brosse d'ébène que Papa lui avait donné pour son vingt et unième anniversaire, n'était point que les gens mourussent, c'était qu'ils fussent morts pour vous.
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C'était assez insultant de s'entendre dire qu'on ne savait rien de l'amour. C'était pire que d'être accusé de manquer d'esprit. Si l'on ne savait rien de l'amour, alors pourquoi était-on triste sans raison ? Pourquoi ces réveils dans la nuit, l'esprit inquiet et effrayé ? Pourquoi ce désespoir latent à cause d'un jour gris, à cause des feuilles qui tombent, à cause de l'hiver ? Et pourquoi ces élans de joie, ces besoins de folie qui venaient si souvent et repartaient trop vite ?
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À trente ans, il avait désiré Susan, plus âgée que lui, pour les soins qu’elle pouvait lui prodiguer. À présent, à cinquante ans, il désirait Annie comme le symbole de sa jeunesse passée et afin d’écarter le spectre de sa vieillesse.
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Je n’ai pas de raisons d’être honteux de mon métier, qui me semble le plus beau du monde et qui est en outre un métier d’homme, ce qui est mieux. Tu peux très bien être le « monsieur » de la famille, et j’en serais même content si cela t’apportait du bonheur.
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Je crains que les hommes ne se rendent pas compte des choses de la même façon que les femmes.Les marins, surtout, sont des égoïstes. Ils ne pensent jamais aux autres. J’ai été méchant, à leur manière, moi aussi. Mais cela va changer à l’avenir. Tu vas voir que tu vas être bien, maintenant, en un rien de temps…
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Elle n’est ni belle ni jeune, mais quelque chose d’attachant émane d’elle. Sa voix est douce et basse. Il est heureux d’être dans cette maison, de la voir se pencher sur le feu en riant à ses remarques et en rejetant en arrière avec impatience une mèche de cheveux bruns.
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Inconsciemment, il sent le besoin des mille petites attentions dont elle le comblait. Elle s’occupait de ses vêtements et de sa nourriture, lui donnant toujours ce qu’elle trouvait de meilleur et lui prouvant ainsi, à chaque instant, son amour.
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Il savait qu’il ne serait jamais capable d’aimer une femme. Son cœur et son âme ap-partenaient à Janet, à Janet et au bateau. Mais il pourrait éprouver
de l’affection et de la tendresse ; il pourrait goûter cette chaude et heureuse impression d’être attendu dans une maison claire, de n’être pas entièrement isolé : de posséder un être capable de lui donner un foyer et du confort.
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Il n’y a pas de peur, pas de laideur, pas de mort, mais seulement la blanche
lumière dit courage, de la beauté, de la vérité…
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C’était l’accomplissement de son rêve. Elle était maintenant à l’avant d’un navire qui portait son nom. Elle oubliait tout si ce n’est que le moment était venu où elle allait faire partie d’un vaisseau, partie de la mer, pour toujours…
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A cause de la beauté d’une nuit sur la mer, notre chair et notre sang ne disparaîtront pas. Une part de nous respirera le même air que celui que nous
avons respiré et ira où nous avons passé.
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