Critiques de Edmond Rostand (484)
Un roman que je n'ai pas du tout apprécié,c'est trés chiant pour ma part de le lire avec toutes ces rimes,a part quelque passages droles ce roman est ennuyeux et mou, .J'ai quand même vu le film et il y avait des passages intéressant et humoristique.
Cyrano aime Roxane qui aime Christian qui aime Roxane : il y en a un de trop… oui mais à Cyrano il manque la beauté, à Christian il manque l’esprit : qu’à cela ne tienne, à eux deux ils ne formeront qu’un pour séduire et se faire aimer de Roxanne, Roxanne pour qui amour rime avec esprit et beauté.
Le panache, la grandeur, le désintéressement, la générosité, autant de vertus magnifiquement célébrées par les parfaits alexandrins de Rostand ; la quintessence de la comédie et de la tragédie réunies en un texte sublime et extraordinairement indémodable, capable de tirer autant de rires que de larmes, aux enfants comme à leurs grands-parents
Et je cite un adolescent sortant du théâtre où il était allé voir la pièce « ouais, ça déchire grave cette pièce : Cyrano, il a un texte trop cool ! »
Le panache, la grandeur, le désintéressement, la générosité, autant de vertus magnifiquement célébrées par les parfaits alexandrins de Rostand ; la quintessence de la comédie et de la tragédie réunies en un texte sublime et extraordinairement indémodable, capable de tirer autant de rires que de larmes, aux enfants comme à leurs grands-parents
Et je cite un adolescent sortant du théâtre où il était allé voir la pièce « ouais, ça déchire grave cette pièce : Cyrano, il a un texte trop cool ! »
Je lis et relis souvent cette pièce, sans m'en lasser. Je découvre à chaque lecture des détails qui m'avaient échappés.
Que dire de plus que ce qui a déjà était dit!
Cyrano , ce personnage qui parait si imbu de lui-même, très arrogant, cache en réalité un coeur d'or. Si amoureux de Roxanne qu'il est prêt à laisser la place à Christian , beau jeune homme sans esprit, dont Roxanne est amoureuse. Par son verbe et son esprit, il va aimer Roxanne par procuration. On retiendra aussi cette façon fort polie et poétique d'envoyer au diable tous ces pseudos bien- pensants ou donneurs de leçons !
La pièce met en avant aussi une société dans laquelle Cyrano se sent stygmatisé par son physique ingrat, heureusement qu'il a de l'esprit et qu'il pratique l'autodérision. Christian lui , a moins de problème car il est beau et moins intelligent, donc moins susceptible de dire des choses déplaisantes... Quant à Roxanne, on ne lui demande même pas d'avoir de l'esprit, il suffit qu'elles oit jolie et c'est là le point négatif. En même temps, remit dans le contexte historique, ça n'est pas surprenant!
Tout compte fait, Cyrano aborde des thèmes tout à fait actuels.
Que dire de plus que ce qui a déjà était dit!
Cyrano , ce personnage qui parait si imbu de lui-même, très arrogant, cache en réalité un coeur d'or. Si amoureux de Roxanne qu'il est prêt à laisser la place à Christian , beau jeune homme sans esprit, dont Roxanne est amoureuse. Par son verbe et son esprit, il va aimer Roxanne par procuration. On retiendra aussi cette façon fort polie et poétique d'envoyer au diable tous ces pseudos bien- pensants ou donneurs de leçons !
La pièce met en avant aussi une société dans laquelle Cyrano se sent stygmatisé par son physique ingrat, heureusement qu'il a de l'esprit et qu'il pratique l'autodérision. Christian lui , a moins de problème car il est beau et moins intelligent, donc moins susceptible de dire des choses déplaisantes... Quant à Roxanne, on ne lui demande même pas d'avoir de l'esprit, il suffit qu'elles oit jolie et c'est là le point négatif. En même temps, remit dans le contexte historique, ça n'est pas surprenant!
Tout compte fait, Cyrano aborde des thèmes tout à fait actuels.
Voici, selon les propres mots du personnage, l’histoire de « celui qui souffle et qu’on oublie », et selon moi, l’une des plus belles histoires d’amour de la littérature.
Cette comédie héroïque écrite en 1897 a rendu célèbre son auteur, Edmond Rostand, peu reconnu pour ses autres publications, mais il faut dire que la pièce dont je vais parler est quasiment indépassable !
La beauté des vers, la répartie tranchante des personnages, l’honneur, l’humour, et bien sûr l’amour, l’amour sacrifié de Cyrano pour celle qu’il aime...tout dans cette pièce m’avait passionnée quand je l’ai découverte au lycée, et m’a de nouveau transportée aujourd’hui.
M’étant peu penchée sur la véritable identité du Cyrano historique (car il a vraiment existé!), je vous présenterai ici le Cyrano factice, celui que nous connaissons toutes et tous en somme, le Cyrano théâtral.
Cyrano, ou Savinien de Cyrano de Bergerac est engagé comme cadet dans les Gardes de Carbon de Castel-Jaloux. Guerrier hors-pair, fin rimeur et fou de belles lettres, il est aussi éperdument amoureux de sa cousine Roxane. Hélas affublé d’un « nez qui d’un quart d’heure en tous lieux le précède », il se résigne à ne jamais avouer ses sentiments et prête son éloquence au beau Christian de Neuvillette afin qu’il parvienne à séduire la jeune femme, sacrifiant ainsi son bonheur contre l’assurance qu’elle vivra un amour complet auprès d’un autre.
Vous vous en doutez, je donne cinq étoiles à ce chef-d’œuvre : l’écriture en vers peut vous effrayer, mais dès que vous en commencez la lecture, chaque rime sonne comme une musique, vous serez transporté.es par la beauté des répliques et la profondeur de l’histoire.
L’alliance d’un homme qui se trouve trop laid pour se montrer et d’un bellâtre qui se pense trop sot pour parler est aussi drôle qu’émouvante. Touchée par les mots du personnage, amusée par ses « punchlines », frustrée par son sacrifice, vous le serez comme moi si vous vous plongez dans cette lecture.
Je le conseille à quiconque a déjà douté de son physique ou de ses capacités intellectuelles, bref, à celles et ceux qui manquent de confiance en eux, vous verrez, rien n’est impossible !
Cette comédie héroïque écrite en 1897 a rendu célèbre son auteur, Edmond Rostand, peu reconnu pour ses autres publications, mais il faut dire que la pièce dont je vais parler est quasiment indépassable !
La beauté des vers, la répartie tranchante des personnages, l’honneur, l’humour, et bien sûr l’amour, l’amour sacrifié de Cyrano pour celle qu’il aime...tout dans cette pièce m’avait passionnée quand je l’ai découverte au lycée, et m’a de nouveau transportée aujourd’hui.
M’étant peu penchée sur la véritable identité du Cyrano historique (car il a vraiment existé!), je vous présenterai ici le Cyrano factice, celui que nous connaissons toutes et tous en somme, le Cyrano théâtral.
Cyrano, ou Savinien de Cyrano de Bergerac est engagé comme cadet dans les Gardes de Carbon de Castel-Jaloux. Guerrier hors-pair, fin rimeur et fou de belles lettres, il est aussi éperdument amoureux de sa cousine Roxane. Hélas affublé d’un « nez qui d’un quart d’heure en tous lieux le précède », il se résigne à ne jamais avouer ses sentiments et prête son éloquence au beau Christian de Neuvillette afin qu’il parvienne à séduire la jeune femme, sacrifiant ainsi son bonheur contre l’assurance qu’elle vivra un amour complet auprès d’un autre.
Vous vous en doutez, je donne cinq étoiles à ce chef-d’œuvre : l’écriture en vers peut vous effrayer, mais dès que vous en commencez la lecture, chaque rime sonne comme une musique, vous serez transporté.es par la beauté des répliques et la profondeur de l’histoire.
L’alliance d’un homme qui se trouve trop laid pour se montrer et d’un bellâtre qui se pense trop sot pour parler est aussi drôle qu’émouvante. Touchée par les mots du personnage, amusée par ses « punchlines », frustrée par son sacrifice, vous le serez comme moi si vous vous plongez dans cette lecture.
Je le conseille à quiconque a déjà douté de son physique ou de ses capacités intellectuelles, bref, à celles et ceux qui manquent de confiance en eux, vous verrez, rien n’est impossible !
Cyrano de Bergerac / Edmond Rostand
L’œuvre d’ Edmond Rostand, et Cyrano en particulier, représente une des dernières réussites du théâtre en vers et elle apporte une nouvelle jeunesse au théâtre romantique.
L’histoire : Cadet de Gascogne, Cyrano de Bergerac est affligé d’un appendice nasal hors norme qui l’affuble d’une laideur peu commune. Il aime secrètement sa cousine Roxane qui lui demande d’aider Christian de Neuvillette, un bel homme à la séduction de qui Roxane n’est pas restée insensible. Cyrano par amour pour Roxane fait tout pour Christian et c’est même lui qui lui dicte les mots pour plaire à Roxane. Avec l’aide de Cyrano, Roxane épouse secrètement Christian. À la mort de Christian, Roxane se retire au couvent. Plus tard, Cyrano est attaqué en pleine rue. Mourant, il rend une ultime visite à Roxane qui ignore tout de son état. Elle lui remet la dernière lettre de Christian qu’elle porte sur elle depuis toujours, ignorant que c’est Cyrano qui l’a écrite. Quiproquo romantique qui verra finalement s’ouvrir les yeux de Roxane.
Le Duc : « Et son dernier billet, sur votre cœur, toujours ?
Roxane : « Comme un doux scapulaire, il pend à ce velours »
Et Roxane de s’écrier à la fin :
« Je n’aimais qu’un seul être et je le perds deux fois ! »
Puis Cyrano : « Que dites-vous ? C’est inutile ? Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l’espoir du succès !
Non ! non ! c’est bien plus beau lorsque c’est inutile ! »
Depuis 1897, Cyrano triomphe car il joint poésie, jeu et individualisme héroïque et sacrificiel. C’est un drame historique dont l’action se passe à la fin du règne de Louis XIII.
On y retrouve des vers célèbres ; extraits :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître. »
Ou bien encore :
« C’en est trop Montfleury. Que Montfleury s’en aille
Ou bien je l’essorille et le désentripaille ! »
Et encore :
« Dîner, boisson, dessert ! Là je me mets à table
Ah ! j’avais une faim, mon cher, épouvantable ! »
À Lise qui s’approche un peu trop, Ragueneau dit magnifiquement :
« Ma Muse, éloigne toi, pour que tes yeux charmants
N’aillent pas se rougir au feu de ces sarments ! »
Cyrano plus loin se défendant :
« Ah ! Mais pour le principe, et pour l’exemple aussi
Je trouve qu’il est bon d’exagérer ainsi. »
On a pu taxer cette œuvre de facilité et de banalité avec une pointe de préciosité, mais la fougue et le lyrisme verbal ainsi que l’originalité ont assuré le succès et même le triomphe de ce drame à travers les décennies et jusqu’à nos jours. Cyrano est devenu un mythe avec le temps.
L’œuvre d’ Edmond Rostand, et Cyrano en particulier, représente une des dernières réussites du théâtre en vers et elle apporte une nouvelle jeunesse au théâtre romantique.
L’histoire : Cadet de Gascogne, Cyrano de Bergerac est affligé d’un appendice nasal hors norme qui l’affuble d’une laideur peu commune. Il aime secrètement sa cousine Roxane qui lui demande d’aider Christian de Neuvillette, un bel homme à la séduction de qui Roxane n’est pas restée insensible. Cyrano par amour pour Roxane fait tout pour Christian et c’est même lui qui lui dicte les mots pour plaire à Roxane. Avec l’aide de Cyrano, Roxane épouse secrètement Christian. À la mort de Christian, Roxane se retire au couvent. Plus tard, Cyrano est attaqué en pleine rue. Mourant, il rend une ultime visite à Roxane qui ignore tout de son état. Elle lui remet la dernière lettre de Christian qu’elle porte sur elle depuis toujours, ignorant que c’est Cyrano qui l’a écrite. Quiproquo romantique qui verra finalement s’ouvrir les yeux de Roxane.
Le Duc : « Et son dernier billet, sur votre cœur, toujours ?
Roxane : « Comme un doux scapulaire, il pend à ce velours »
Et Roxane de s’écrier à la fin :
« Je n’aimais qu’un seul être et je le perds deux fois ! »
Puis Cyrano : « Que dites-vous ? C’est inutile ? Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l’espoir du succès !
Non ! non ! c’est bien plus beau lorsque c’est inutile ! »
Depuis 1897, Cyrano triomphe car il joint poésie, jeu et individualisme héroïque et sacrificiel. C’est un drame historique dont l’action se passe à la fin du règne de Louis XIII.
On y retrouve des vers célèbres ; extraits :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître. »
Ou bien encore :
« C’en est trop Montfleury. Que Montfleury s’en aille
Ou bien je l’essorille et le désentripaille ! »
Et encore :
« Dîner, boisson, dessert ! Là je me mets à table
Ah ! j’avais une faim, mon cher, épouvantable ! »
À Lise qui s’approche un peu trop, Ragueneau dit magnifiquement :
« Ma Muse, éloigne toi, pour que tes yeux charmants
N’aillent pas se rougir au feu de ces sarments ! »
Cyrano plus loin se défendant :
« Ah ! Mais pour le principe, et pour l’exemple aussi
Je trouve qu’il est bon d’exagérer ainsi. »
On a pu taxer cette œuvre de facilité et de banalité avec une pointe de préciosité, mais la fougue et le lyrisme verbal ainsi que l’originalité ont assuré le succès et même le triomphe de ce drame à travers les décennies et jusqu’à nos jours. Cyrano est devenu un mythe avec le temps.
Christian aime Roxane qui aime Christian. C'est formidable mais Christian ne sait exprimer ses sentiments. Qu'à cela ne tienne, il demande à l'affreux Cyrano de lui souffler les mots. Inspiré, il l'est Cyrano. Il a le verbe doux et brûlant parce que Cyrano aime Roxane. Il l'aime tellement qu'il ne veut que son bonheur quitte à aider son rival.
Après plus de 180 critiques sur le site, plus inspirées les unes que les autres, je ne sais pas ce que je pourrais ajouter sur ce texte magnifique puissant, impressionnant, poignant. Cyrano est une histoire pleine de panache où l'amour se fait avec les mots.
Le style est flamboyant, précis, superbe. Si votre cœur ne s'emballe pas à la lecture de ce texte, c'est que vous êtes déjà mort.
Après plus de 180 critiques sur le site, plus inspirées les unes que les autres, je ne sais pas ce que je pourrais ajouter sur ce texte magnifique puissant, impressionnant, poignant. Cyrano est une histoire pleine de panache où l'amour se fait avec les mots.
Le style est flamboyant, précis, superbe. Si votre cœur ne s'emballe pas à la lecture de ce texte, c'est que vous êtes déjà mort.
Ah Cyrano ! Fort, fragile, entier, honnête, courageux, flamboyant, empli de panache... C'est le héros incontournable de la littérature française ! Si un malandrin se met sur sa route, il le pourfend. Un mauvais acteur monte sur scène, il en rira face à face (ou plutôt nez à nez) sans fard. Qu'on l'assassine et il mourra. Une référence de lecture ! La meilleure pièce qu'il m'ait été donné de lire ou de jouer.
Cyrano de Bergerac. Une belle œuvre en somme mais avec certain défaut.
Tout d’abord la difficulté de lecture. Personnellement je n’ai pas l’habitude de lire des pièces de théâtre, ce n’est pas trop ma tasse de thé, mais celle-là a été compliqué à comprendre dès le début. Il y avait beaucoup trop de personnage c’était un grand bazar et je ne comprenais pas vraiment de quoi ils parlaient dans les premières scènes. Sans parler des répliques d’un ou deux mots qui s’enchaine en escalier qui, jusqu’au moment que je comprenne que s’était une figure de style, m’ont encore plus perdu et désorienté. [Jusqu’à l’arrivé de Montflerry je ne comprenais rien.
Puis ensuite arrive notre personnage éponyme et ses longs vers très impressionnant qui, a chaque relecture de ceux-ci, sont toujours aussi impressionnant et intéressant a analysé. Tien parlons-en de ce Cyrano ! Un personnage au première abord arrogant et un peu trop sûr de lui qui va jusqu’à interrompre une pièce juste parce que l’acteur principale ne lui plait pas, il est de plus très querelleur et se fait plusieurs ennemi rien qu’au première acte à cause de cette action sans que ça ne le dérange réellement. Cela dit il s’avère être un bon ami et une personne de confiance car tout au long de la pièce, il va mettre de côté ses propres sentiments pour aider Christian à conquérir Roxane et même après la mort de celui-ci et pendant 14 ans il va se taire, ce qui est admirable. Au final, bien qu’au début il ne m’a pas convaincu, Cyrano est un bon personnage principal. Juste pour faire la remarque, il y a un moment de la pièce ou je trouve le personnage de Roxane un peu bête, c’est à la scène du balcon. Comment peut-elle ne pas reconnaître la voix de Cyrano et ce dire que c’est normal que Christian change de voix juste comme ça sans n’avoir aucun réel doute au final, car elle pose vaguement la question mais les timide explication illogique de Cyrano vont lui suffire, et puis elle le voix avec sa voix normal dès qu’il monte sur le balcon pour l’embrassé sas qu’elle ne se pose de question. Et ce n’est que 14 ans plus tard quand Cyrano lit la lettre qu’elle comprend la supercherie.]
Bon en bref la pièce n’est pas si complexe que ça, il faut un peu se concentré pour la lire au début mais le scénario fait un peu déjà vu, la manière dont on arrive au dénouement est particulière et intéressante, l’œuvre était une révolution a son époque mais aujourd’hui elle prend un petit coup de vieux et ne garde pour originalité que ces nombreuses figures de styles utiliser a bonne escient , les réplique célèbres tel que « c’est un roc, c’est un pic, c’est un cap ! Que dis-je…c’est un cap ? C’est une péninsule ! » Et bien d’autres encore que je ne vais pas m’amusé a cherché et a citez. Pour moi elle ne vaut pas tant le coup que ça a part pour développer son analyse littéraire mais elle est quand même fun à lire de par ses situations comiques c’est pourquoi je lui mets la note de 2.5 sur 5. Je l’ai lu dans un cadre scolaire, et je n’en suis pas déçu il m’a appris beaucoup de chose mais sans réel plus.
Cette critique est totalement subjective et c’est mon avis, libre à vous de pensé d’une autre manière.
Tout d’abord la difficulté de lecture. Personnellement je n’ai pas l’habitude de lire des pièces de théâtre, ce n’est pas trop ma tasse de thé, mais celle-là a été compliqué à comprendre dès le début. Il y avait beaucoup trop de personnage c’était un grand bazar et je ne comprenais pas vraiment de quoi ils parlaient dans les premières scènes. Sans parler des répliques d’un ou deux mots qui s’enchaine en escalier qui, jusqu’au moment que je comprenne que s’était une figure de style, m’ont encore plus perdu et désorienté. [Jusqu’à l’arrivé de Montflerry je ne comprenais rien.
Puis ensuite arrive notre personnage éponyme et ses longs vers très impressionnant qui, a chaque relecture de ceux-ci, sont toujours aussi impressionnant et intéressant a analysé. Tien parlons-en de ce Cyrano ! Un personnage au première abord arrogant et un peu trop sûr de lui qui va jusqu’à interrompre une pièce juste parce que l’acteur principale ne lui plait pas, il est de plus très querelleur et se fait plusieurs ennemi rien qu’au première acte à cause de cette action sans que ça ne le dérange réellement. Cela dit il s’avère être un bon ami et une personne de confiance car tout au long de la pièce, il va mettre de côté ses propres sentiments pour aider Christian à conquérir Roxane et même après la mort de celui-ci et pendant 14 ans il va se taire, ce qui est admirable. Au final, bien qu’au début il ne m’a pas convaincu, Cyrano est un bon personnage principal. Juste pour faire la remarque, il y a un moment de la pièce ou je trouve le personnage de Roxane un peu bête, c’est à la scène du balcon. Comment peut-elle ne pas reconnaître la voix de Cyrano et ce dire que c’est normal que Christian change de voix juste comme ça sans n’avoir aucun réel doute au final, car elle pose vaguement la question mais les timide explication illogique de Cyrano vont lui suffire, et puis elle le voix avec sa voix normal dès qu’il monte sur le balcon pour l’embrassé sas qu’elle ne se pose de question. Et ce n’est que 14 ans plus tard quand Cyrano lit la lettre qu’elle comprend la supercherie.]
Bon en bref la pièce n’est pas si complexe que ça, il faut un peu se concentré pour la lire au début mais le scénario fait un peu déjà vu, la manière dont on arrive au dénouement est particulière et intéressante, l’œuvre était une révolution a son époque mais aujourd’hui elle prend un petit coup de vieux et ne garde pour originalité que ces nombreuses figures de styles utiliser a bonne escient , les réplique célèbres tel que « c’est un roc, c’est un pic, c’est un cap ! Que dis-je…c’est un cap ? C’est une péninsule ! » Et bien d’autres encore que je ne vais pas m’amusé a cherché et a citez. Pour moi elle ne vaut pas tant le coup que ça a part pour développer son analyse littéraire mais elle est quand même fun à lire de par ses situations comiques c’est pourquoi je lui mets la note de 2.5 sur 5. Je l’ai lu dans un cadre scolaire, et je n’en suis pas déçu il m’a appris beaucoup de chose mais sans réel plus.
Cette critique est totalement subjective et c’est mon avis, libre à vous de pensé d’une autre manière.
qui ne garde en mémoire la tirade des nez ou celle des non merci?
Tout part d’un nez plus grand que la moyenne qui défigure ce pauvre Cyrano et l’empêche de déclarer son amour à l’élue de son cœur.
Après avoir vu le film avec Gérard Depardieu que j’avais trouvé remarquablement interprété, j’ai voulu lire l’œuvre originale. Le temps a passé entre les deux mais ce n’est pas plus mal. J’ai redécouvert les magnifiques tirades de Cyrano et j’ai de nouveau été sous le charme. Edmond Rostand sait faire parler ses personnages ! L’éloquence et le dévouement de Cyrano, le désir de romantisme de Roxane, le désespoir de Christian… comment résister ? Jamais pièce de théâtre ne m’a autant émue, fait rire, troublée !
Ca m’a donné envie d’en savoir plus sur l’homme qui a inspiré Edmond Rostand : Cyrano de Bergerac, ou plutôt Hercule Savinien Cyrano, a vraiment existé ! Son grand nez ou sa fine lame sont véridiques mais d’autres côtés sont complètement inventés.
Un classique que je conseille de découvrir et même de redécouvrir !
Après avoir vu le film avec Gérard Depardieu que j’avais trouvé remarquablement interprété, j’ai voulu lire l’œuvre originale. Le temps a passé entre les deux mais ce n’est pas plus mal. J’ai redécouvert les magnifiques tirades de Cyrano et j’ai de nouveau été sous le charme. Edmond Rostand sait faire parler ses personnages ! L’éloquence et le dévouement de Cyrano, le désir de romantisme de Roxane, le désespoir de Christian… comment résister ? Jamais pièce de théâtre ne m’a autant émue, fait rire, troublée !
Ca m’a donné envie d’en savoir plus sur l’homme qui a inspiré Edmond Rostand : Cyrano de Bergerac, ou plutôt Hercule Savinien Cyrano, a vraiment existé ! Son grand nez ou sa fine lame sont véridiques mais d’autres côtés sont complètement inventés.
Un classique que je conseille de découvrir et même de redécouvrir !
Cette pièce de théâtre, la plus connue d’Edmond ROSTAND, s’inspire de la vie et de l’œuvre de l’écrivain Savinien de Cyrano de Bergerac (1619-1655). Écrite quasi exclusivement en alexandrins, elle est représentée pour la première fois le 28 décembre 1897, au Théâtre de la Porte-Saint-Martin à Paris.
L’histoire se passe en 1640, sous le règne de Louis XIII.
Cyrano, cadet de Gascogne est amoureux de sa cousine Roxane. Il est vif, vigoureux, manie le verbe comme personne mais il a un physique ingrat.
Roxane, courtisée par le comte de Guiche n’a d’yeux que pour Christian, baron de Neuvillette. Beau, enflammé, courtois, amoureux de Roxane, il a toutefois des difficultés à exprimer ses sentiments.
Cyrano décide alors d’aider Christian à conquérir Roxane en mettant sa plume à son service. Christian sera ainsi le porte parole de Cyrano.
S’installe alors un triangle amoureux Roxane – Christian – Cyrano où chaque protagoniste tiendra son rôle jusqu’à la toute fin de la pièce.
Avis :
Un grand classique dont on ne se lasse pas.
La verve de Cyrano, l’amour de Christian, l’intensité des émotions traversent les temps et continuent à nous transporter !
Lien : https://delicesdelivres.go.y..
L’histoire se passe en 1640, sous le règne de Louis XIII.
Cyrano, cadet de Gascogne est amoureux de sa cousine Roxane. Il est vif, vigoureux, manie le verbe comme personne mais il a un physique ingrat.
Roxane, courtisée par le comte de Guiche n’a d’yeux que pour Christian, baron de Neuvillette. Beau, enflammé, courtois, amoureux de Roxane, il a toutefois des difficultés à exprimer ses sentiments.
Cyrano décide alors d’aider Christian à conquérir Roxane en mettant sa plume à son service. Christian sera ainsi le porte parole de Cyrano.
S’installe alors un triangle amoureux Roxane – Christian – Cyrano où chaque protagoniste tiendra son rôle jusqu’à la toute fin de la pièce.
Avis :
Un grand classique dont on ne se lasse pas.
La verve de Cyrano, l’amour de Christian, l’intensité des émotions traversent les temps et continuent à nous transporter !
Lien : https://delicesdelivres.go.y..
Honte à moi qui n'avais jamais pris le temps de lire ce grand classique d'Edmond de Rostand. Je tenais absolument à réparer cette faute et voilà que c'est maintenant chose faite, pour le plus grand bonheur de mes yeux.
Certes, je connaissais la célèbre réputation de Cyrano de Bergerac et de son grand nez mais j'en ignorais les détails et ce fut pour moi une lecture des plus instructives. En bref, une vraie merveille. Bien que le contexte ait plutôt tendance à tourner à la tragédie plutôt qu'à la farce, en raison du contexte historique très peu réjouissant (celui de la guerre des français contre les espagnols) et d'un homme qui, bien que grand poète, se trouve horriblement laid et est considéré comme tel par ses condisciples, le quiproquo amoureux qui se joue entre Roxane, Christian et Cyrano porte à sourire en raison du comique de la situation.
La célèbre tirade de Cyrano lors de son duel contre le vicomte où il mêle sa joute verbale à son combat est absolument extraordinaire !
J'ai découvert un Cyrano humble, amoureux de l'amour, prêt à sacrifier son propre bonheur pour celle qu'il aime, quitte à ce qu'elle soit heureuse avec un autre que lui, bref un Cyrano touchant et très émouvant, conscient de sa propre laideur et le compensant par sa prose des plus remarquable. A lire absolument !
Certes, je connaissais la célèbre réputation de Cyrano de Bergerac et de son grand nez mais j'en ignorais les détails et ce fut pour moi une lecture des plus instructives. En bref, une vraie merveille. Bien que le contexte ait plutôt tendance à tourner à la tragédie plutôt qu'à la farce, en raison du contexte historique très peu réjouissant (celui de la guerre des français contre les espagnols) et d'un homme qui, bien que grand poète, se trouve horriblement laid et est considéré comme tel par ses condisciples, le quiproquo amoureux qui se joue entre Roxane, Christian et Cyrano porte à sourire en raison du comique de la situation.
La célèbre tirade de Cyrano lors de son duel contre le vicomte où il mêle sa joute verbale à son combat est absolument extraordinaire !
J'ai découvert un Cyrano humble, amoureux de l'amour, prêt à sacrifier son propre bonheur pour celle qu'il aime, quitte à ce qu'elle soit heureuse avec un autre que lui, bref un Cyrano touchant et très émouvant, conscient de sa propre laideur et le compensant par sa prose des plus remarquable. A lire absolument !
J'ai beau relire et relire cette œuvre indéfiniment, rien que d'y penser, elle me donnent des frissons.
Les phrases, les tirades, sont tout simplement excises chaque lettres sont pensées, choisies, et interprétées à la perfection dans maintes pièces.
Une œuvre avec un grand "O" écrite par un génie maître des mots qu'est Edmond ROSTAND.
Les phrases, les tirades, sont tout simplement excises chaque lettres sont pensées, choisies, et interprétées à la perfection dans maintes pièces.
Une œuvre avec un grand "O" écrite par un génie maître des mots qu'est Edmond ROSTAND.
Avoir un grand nez ne vous dévisage pas.
Cyrano le gascon, c'est l'honneur, la liberté, l'épée, la langue acérée. Irrespectueux, il aurait pu être le 5e mousquetaire. Il s'inscrit dans la liste des grands personnages des romans de cape et d'épée. On connait bien son nez et son panache mais le texte nous parle de l'amour. Amour éperdu de Cyrano pour Roxane, amour d'un joli minois pour Christian , amour de l'amour pour Roxane, un trio qui se trouve empêtré dans des représentations de l'amour, dans ce qu'on veut en montrer, dans ce qu'on veut en voir et qui passe à côté de l'essentiel.
C'est beau, c'est triste, c'est grand et c'est dit avec une écriture et une sensibilité telle qu'il n'y a pas que les larmes de Cyrano qui coulent ...
Lien : http://theetlivres.eklablog...
C'est beau, c'est triste, c'est grand et c'est dit avec une écriture et une sensibilité telle qu'il n'y a pas que les larmes de Cyrano qui coulent ...
Lien : http://theetlivres.eklablog...
Chère Roxane,
Je chérissais l'espoir un jour de vous parler,
Roxane, votre voix chargée de tant d'émoi, tremble
Dans mon cœur, la mort de votre chevalier semble
Trop cruelle, tant Christian cultivait le soin de vous aimer.
J'avais huit ans quand, à l'aurore de mon enfance
J'écoutais Cyrano, les vers d'Edmond Rostand.
Il devint mon héros, indestructible, étincelant
Intarissable conteur, rumeurs et médisances.
Adressait-il à moi ces mots pleins d'arrogances ?
Petit j'étais un ange, mes yeux au ciel bleuissaient
Nul doute, j'aurai la beauté de Christian, je bégayais
Encore, m'enlaidir ou composer, saisir ma chance.
Faut-il être beau à pleurer pour piquer vos ardeurs ?
Et pour charmer votre âme, se vêtir non de charme
Mais d'éloquence, faire gémir vos yeux de larmes,
Et les mots langoureux toucheraient donc le cœur.
Intelligente, intuitive, exquise candeur,
Toutes vos qualités ruissellent de tendresse
Vers ce bretteur, dont le panache en liesse
livre des vers désopilants à ses conspirateurs.
Pour être à vos côté en mimant l' indicible,
Il donnera à son rival Christian, sa tendresse.
Mais à vous seule Roxane où Cyrano se blesse
Son amour insensé le plus inaccessible.
Peut-on fanfaronner ? Plastronner, risquer sa vie,
Pour une quelconque greluche à peine entraperçue,
L'éloquence vint à Cyrano, cette insigne vertu
Elle émerge d'un cœur pur, pas toujours de l'esprit
Quel déluge de touches, vibre à la pointe de ses mots,
La main danse, glisse sur la prose, comme une vague ruse
Avec le nageur imprudent, elle le porte puis s'amuse
A le narguer devant ses pairs, impuissant mais bien sot.
La salle porte en triomphe Edmond Rostand.
Ce silence éternel, ce moment de pure grâce,
L'irremplaçable ami, si haut à mes yeux, ces fugaces
Moments, plaideront à jamais sa verve et son talent.
Est-ce vers sa protubérance que je lorgnais ?
Ou cherchant un tuteur en lui léchant l'écorce ?
Calculer avoir peur non merci, mais par force
S'élever seul, sera la vie que je suivrai.
Je chérissais l'espoir un jour de vous parler,
Roxane, votre voix chargée de tant d'émoi, tremble
Dans mon cœur, la mort de votre chevalier semble
Trop cruelle, tant Christian cultivait le soin de vous aimer.
J'avais huit ans quand, à l'aurore de mon enfance
J'écoutais Cyrano, les vers d'Edmond Rostand.
Il devint mon héros, indestructible, étincelant
Intarissable conteur, rumeurs et médisances.
Adressait-il à moi ces mots pleins d'arrogances ?
Petit j'étais un ange, mes yeux au ciel bleuissaient
Nul doute, j'aurai la beauté de Christian, je bégayais
Encore, m'enlaidir ou composer, saisir ma chance.
Faut-il être beau à pleurer pour piquer vos ardeurs ?
Et pour charmer votre âme, se vêtir non de charme
Mais d'éloquence, faire gémir vos yeux de larmes,
Et les mots langoureux toucheraient donc le cœur.
Intelligente, intuitive, exquise candeur,
Toutes vos qualités ruissellent de tendresse
Vers ce bretteur, dont le panache en liesse
livre des vers désopilants à ses conspirateurs.
Pour être à vos côté en mimant l' indicible,
Il donnera à son rival Christian, sa tendresse.
Mais à vous seule Roxane où Cyrano se blesse
Son amour insensé le plus inaccessible.
Peut-on fanfaronner ? Plastronner, risquer sa vie,
Pour une quelconque greluche à peine entraperçue,
L'éloquence vint à Cyrano, cette insigne vertu
Elle émerge d'un cœur pur, pas toujours de l'esprit
Quel déluge de touches, vibre à la pointe de ses mots,
La main danse, glisse sur la prose, comme une vague ruse
Avec le nageur imprudent, elle le porte puis s'amuse
A le narguer devant ses pairs, impuissant mais bien sot.
La salle porte en triomphe Edmond Rostand.
Ce silence éternel, ce moment de pure grâce,
L'irremplaçable ami, si haut à mes yeux, ces fugaces
Moments, plaideront à jamais sa verve et son talent.
Est-ce vers sa protubérance que je lorgnais ?
Ou cherchant un tuteur en lui léchant l'écorce ?
Calculer avoir peur non merci, mais par force
S'élever seul, sera la vie que je suivrai.
Cyrano de Bergerac est mon livre préféré.
Cyrano est un personnage haut en couleur, toujours droit dans ses bottes, fier, très fier, il préférera subir les pires souffrances plutôt que de renoncer à sa morale.
Edmond Rostand nous offre des dialogues époustouflants émouvant et/ou à mourir de rire (Acte II scène IX entre Cyrano et Christian qui lui lance tous les synonymes du pif au nez, la scène du balcon Acte II scène VI, l'improvisation sur la lune Acte III scène III), des monologues également (la fameuse tirade des nez Acte , I scène IV, la scène de la ballade juste à la suite).
Ce livre peut se relire pour la beauté des mots, de l'histoire, des vers, des rythmes, du caractère des personnages... A découvrir si ce n'est pas déjà fait.
Cyrano est un personnage haut en couleur, toujours droit dans ses bottes, fier, très fier, il préférera subir les pires souffrances plutôt que de renoncer à sa morale.
Edmond Rostand nous offre des dialogues époustouflants émouvant et/ou à mourir de rire (Acte II scène IX entre Cyrano et Christian qui lui lance tous les synonymes du pif au nez, la scène du balcon Acte II scène VI, l'improvisation sur la lune Acte III scène III), des monologues également (la fameuse tirade des nez Acte , I scène IV, la scène de la ballade juste à la suite).
Ce livre peut se relire pour la beauté des mots, de l'histoire, des vers, des rythmes, du caractère des personnages... A découvrir si ce n'est pas déjà fait.
Ma pièce de théâtre française favorite ! Un grand style, une grande histoire ! (où pour une fois le romantisme ne tourne pas au ridicule...) Quel panache...
Ah, le fameux nez de Cyrano ! Qui ne connait pas par cœur quelques extraits de ce texte légendaire ? Peu importe les années qui passent, le texte d'Edmond Rostand continue de charmer et de marquer durablement les esprits. On ne peut que s'amuser des scènes de batailles, s'émouvoir du trio amoureux et être touché par les larmes ou le rire à chaque scène de la pièce.
Pourquoi choisir cette édition plutôt qu'une autre ?
Cette nouvelle édition conçue pour les élèves de collège (mais pas seulement) est particulièrement riche. En couleurs, sur papier glacier, l’œuvre a une mise en page soignée et durera longtemps (pour un coût moindre). Les photographies des différentes adaptations ajoutées au fil du texte sont bien choisies, les suppléments aident à mieux comprendre l’œuvre, à en apprendre davantage sur celle-ci et sont particulièrement bien conçues, et les suppléments disponibles en ligne grâce aux QR-Codes sont nombreux. Très complète, cette édition s'adapte ainsi à chacun : elle peut simplement être lue pour le plaisir ou décortiquée en détails pour les amateurs de la pièce.
Voilà une belle édition pour une pièce d'exception !
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