Erica Spindler

Excellent bouquin.
Je conseille vivement cet auteur pour celui qui aime les histoires très denses.

Excellent bouquin !
je suis vraiment Fan de cet auteur. Je conseille.

Des histoires toutes plus farfelues les unes des autres et qui vous tiennent en haleine a chaque fois !

Excellent livre, une histoire, comme pratiquement tous les autres romans du même auteur, qui vous tiens en haleine de la première a la dernière page !

— Je suis marié depuis trente-deux ans, et je n'ai pas pigé, moi non plus. Nous nous aimons et nous nous respectons. Il nous arrive de nous engueuler, bien sûr, de ne pas être d'accord, mais nous restons ensemble. Nous avons pris un engagement l'un envers l'autre, et c'est ça qui nous garde unis, qui fait que ça marche encore. Si elle me quittait, je serais bien emmerdé.

— Imagine maintenant qu'après ce divorce, la moitié de ce que tu possèdes, mais aussi de ce que tu vas gagner à l'avenir, revienne à ton ex-femme. Qu'est-ce que tu en penserais ? Vous pourriez rester amis ?

— C'est impossible, ton truc.

— Pourquoi ?

— Parce qu'un homme et une femme qui ont eu une relation amoureuse ne peuvent pas être amis

— Vous avez un nom fameux, monsieur Coppola.

— J'ai six frères et sœurs.
Stacy s'arrêta net et leva les yeux vers lui.
— Six frères et sœurs ?
Sa réaction fit rire Spencer.
— Je viens d'une bonne famille de catholiques irlandais.
— Le Seigneur a dit : « Soyez féconds et multipliez-vous. »
— Exactement. Et ma mère a toujours suivi ses conseils à la lettre

— Mordre la main qui vous a nourri n'est pas une jolie chose.

Elle surgissait lorsqu'il y avait de l'eau dans le gaz entre deux personnes ou quand des ragots circulaient. Elle affichait ce sourire énigmatique qui lui avait déjà permis de prendre au piège quatre maris, dont le dernier était un nonagénaire millionnaire : Ricky Martin

« On peut arracher un policier à son boulot, mais on ne pourra jamais se débarrasser du flic qui est en lui. »

— C'est quoi, votre problème ?
— Dans l'immédiat ? Vous !
— La colère vous rend très belle, vous savez ?
— Et quand je ne suis pas en colère ?
— Arrêtez de me manipuler, d'accord ?
— Vous prenez vos désirs pour des réalités, inspecteur ! Que voulez-vous que je fasse d'un bouseux du Sud

Stacy avait entendu parler de ces viols, et son directeur de thèse lui avait conseillé de se montrer prudente. En particulier à la nuit tombée. Mais la jeune femme doutait que son agresseur de ce soir fût le violeur en série. Un violeur aurait essayé de lui arracher ses vêtements au lieu de lui dire : « Restez en dehors de tout ça »...Non, ça ne collait absolument pas.

— Bien le bonjour, ex-inspecteur Killian !
— Gardez votre numéro de charme pour d'autres, Malone. Je suis au-dessus de ça.
— Vraiment, mademoiselle Killian ? Ici-bas, voyez-vous, on appelle ça du charme...
— Au Texas, on appelle ça des conneries.

L'expérience lui avait appris que les mauvais flics pouvaient être classés en trois catégories. En tête de liste, il y avait les flics malhonnêtes. Là, pas besoin d'explication. Ensuite venaient ceux qui,pour une raison ou pour une autre, se contentaient de faire le strict minimum. Et puis, il y avait les prétentieux

Il n'aimait pas trop ce genre d'endroit. Trois dollars pour une tasse de café sophistiqué au nom venu d'ailleurs ? Non merci ! Et qu'est-ce qu'ils avaient avec ces histoires de « grand », « maxi » et « giga » ? Ça posait un problème de dire «petit », « moyen » et « grand », comme tout le monde ? Qui pensaient-ils
abuser, au juste ?

Stacy en profita pour étudier les deux hommes.
Le flic âgé et expérimenté qui faisait équipe avec le crack moins galonné un
tandem qu'on avait vu et revu dans de nombreux films hollywoodiens.
Sa propre expérience lui avait montré que ce genre d'équipe se révélait plus efficace dans la fiction que dans la réalité. Trop souvent, l'aîné du tandem était un ripou au bout du rouleau et l'autre, un jeune arrogant

Où étaient les inspecteurs ? Pourquoi étaient-ils si longs ?
A ce rythme, l'assassin aurait gagné le Mississippi avant même qu'ils aient
fini d'examiner la scène du crime

Même si elle avait un permis pour le pistolet, elle savait d'expérience qu'un
civil en possession d'une arme pouvait faire un suspect idéal sur le lieu d'un
crime, ou du moins détourner les enquêteurs des éléments importants.
Elle ne s'était jamais trouvée de ce côté de la procédure en tout cas pas dans le rôle de la spectatrice impuissante, de surcroît amie très proche de la victime, même si elle en avait été très près, l'année précédente

Une arme est un outil, rien de plus ; pas un objet auquel on s’attache.

L’alcool endort les sens et ralentit les réflexes.

Il n’y a rien de plus merveilleux qu’une tasse de café fumant par une froide matinée d’hiver.