Farah Anah

Ce n'est pas un coup de cœur mais une lame en plein cœur...



Jolie petite poupée aimante, tu as fait des ravages dans mon petit cœur de guimauve...



Grand méchant loup, tu es l'un des héros les plus traumatisants que j'ai pu lire...



Une romance qui met mal à l'aise...



Compliqué de donner un coup de cœur quand un roman traite un sujet particulier. Il agit comme un uppercut. Une dark romance qui fait mal. Et pourtant, j'ai ouvert mes œillères de psychorigide et accueilli la romance de Farah Anah comme il se doit.



Qu'on le veuille ou non, Loving Doll marque les esprits. Qu'on aime ou pas, on reconnaît la qualité et le côté psychologique minutieux. Une intrigue rondement mené. Ça passe ou ça casse...



Très vite j'étais tétanisée face au profil complexe de Wolfgang. Aucun fantasme possible mais une envie morbide de le découvrir dans ses moindres recoins obscures. Besoin de savoir jusqu'où il poussait sa dépravation. Et en face de lui, Katharina, si douce, si jolie, si parfaite, si malléable, que cela en devient flippant. Et on rajoute à ce duo, un manoir qui qui devient un personnage à lui seul..



Un huis clos qui devient oppressant mais Farah Anah en atténue les traits en créant une ambiance conte. Une jolie allusion au petit Chaperon Rouge et son grand méchant loup. J'ai même ressenti un côté tragédie Shakespearienne.



Je vous invite à franchir les portes de ce manoir de la famille Von Gail. Grande famille mais avec des secrets inavouables. Une trame qui se met en place et bouleversera vos idées préconçues.



Une mention spéciale pour le broché. Des très belles illustrations ornent les pages et clôturent ce roman spécial. 

En mode Challenge hiver Blackink



2/4...compromis pour finir mon défi....



Thème : Couv avec un Fond blanc ou clair



Agréablement surprise par cette lecture.



A quoi je m'attendais :

- à une romance chick lit...

- à une héroïne miss catastrophe...

- des bourdes à répétitions...

- et un voisin trop sexy pour être vrai...



Ma surprise fut de découvrir une femme Alizée qui portera le roman du début jusqu'à la dernière ligne. Une jeune femme qui traine de lourdes casseroles. Une jeune femme avec des fêlures profondes qui a su me toucher très vite. Mon crush de la romance.



Farah Anah, à travers cette rencontre insolite, nous relate une reconstruction d'une très belle personne : Alizée.... Désolée mon cher Ervin, tu es passé en second plan dans mon cœur.



Ervin...

Un voisin au comportement limite goujat.

Des œillades très poussées.

J'avoue avoir eu beaucoup de mal avec ses interactions. Les révélations de l'auteure ont été une bouffée d'oxygène qui laisse la lectrice sur le popotin. Heureusement que le mien est bien rempli pour amortir le choc de la vérité. Ervin a été en décalage dans cette romance car Alizée lui prend toute la place.



Un moment de lecture très sympa mais pas le coup de cœur attendu. Ce n'est pas mon préféré de l'auteure.

Ewen & Rina

Amis/amants....

Une histoire d'amour/amitié basée sur une attraction évidente, une tension sensuelle, une parcours de vie à l'opposé et surtouts sur les non-dits.



Ewen & Rina

Une évidence pour la lectrice. Pourtant elle devra attendre que nos deux protagonistes se livrent. Ces deux âmes sœurs vont se chercher, se perdre, se percuter.....Des actes manqués. Des paroles blessantes. Une romance sous haute tension. Un lien qui se construit au fil des années pour notre plus grand plaisir mais aussi notre désarroi. Et oui, Ewen et Rina ce sont des loopings incessants pour notre cœur.



Une histoire d'amour qui m'a bouleversé. Je voulais débarquer avec mes grands sabots pour secouer le cocotier. Farah Anah m'a touché en plein cœur. Je l'ai découverte avec Loving Doll qui est gravé dans mon cœur. Avec cette romance plus contemporaine, elle me touche aussi.



J'ai passé un moment exquis, sensuel, doux mais aussi palpitant. J'ai hâte de relire l'auteure dont j'apprécie la plume et la puissance des émotions.

Alerte coup de cœur!



Lecture personnelle & fortement conseillée 2022.



Entre Esme & Abain...

Une amitié improbable avec la différence d'âge.

Un 1er amour qui brise les tabous.

Des séquences qui mettent mal à l'aise.

Et pourtant Farah Anah frappe juste & fort!



Entre Esme & Abain...

C'est cohérent et logique.

Une romance sombre et chaotique.

L'auteure nous malmène, ne lâche rien et nous pousse dans nos retranchements. C'est simple, j'ai foncé sur le tome 2! Et je ne suis pas une adepte de sage et tout le tintouin!



Entre Esme & Abain...

Un amour tortueux.

Entre eux, la descente aux enfers malgré leur lien.

Le final m'a laissé sur le popotin!



Chaud patate ma lecture.

L'auteure a l'art et la manière de te faire avaler des couleuvres. Perso, je suis psychorigide en romance et certains sujets peuvent me rebuter. Mais il fallait en passer par là pour comprendre ce duo hors du commun. Ca suffit un moment le monde des bisounours!



Si je pouvais comparer Farah à un aliment....LE CHOCOLAT!

Une drogue douce & addictive et on s'en fout des kilos en trop. Cro cro cro bon!



Un immense merci Miel Pops pour ce conseil. Même si parfois je ne partage pas tes gouts, J'avoue que tes coups de cœurs tombent souvent juste.

Rina et Ewen, sont des jeunes gens sur la fin de l'adolescence qui vont vivre un amour puissant et impossible.

Dès leur rencontre dans ce parc pour enfants, la connexion est immédiate, et ils sentent tous les deux qu’il se passe quelque chose de merveilleux.

Mais Ewen est en couple et ne compte pas laisser sa petite amie, et Rina ne veut surtout pas de petit ami.



Leur histoire d’amour aurait pu être splendide sans ces nons dits et ces faux semblants.

Il n’en reste pas moins qu’une formidable amitié va naître entre eux, avec des sentiments qui les dépassent.

Ils s’aiment mais ne se le disent pas, ils se repoussent, ils font leurs vies, ils se retrouvent et le cercle recommence.



Il y a beaucoup de longueur, j’ai eu du mal à avancer, même si dans le temps l'histoire se développe à un bon rythme, les mêmes schéma recommencent et les répétitions sont là.



Tout cela n'empêche pas qu’il s’agit d’une belle romance qui se lit très rapidement.

Quelle claque ! J’avais été prévenue de la violence de certaines scènes, mais je ne m’attendais pas à ce que les tensions psychologiques soient aussi présentes dans ce roman classifié en « dark fantasy » ! Cap sur Alcibiade territoire sanglant que se disputent les hommes « civilisés » de Celestia et les « Sauvages » !



« Mon cœur va exploser, de nouveau, j'ai l'impression de voler. Le vent frappe sur mes joues, ça ne sent plus le sang, mais la douce odeur de l'herbe, et je suis enfin libre.

De toute façon, je le savais.

Parce que c'est un rêve...

... duquel je ne me suis jamais réveillée. » Sanaé, jeune orpheline de Celestia, atteint enfin son but : intégrer la Savage Task, l’unité d’élite vouée à la défense absolue de son peuple et donc à l’extermination de leurs ennemis, les « Sauvages ».



« - Estimes- tu avoir les épaules pour gérer une situation d'attaque, d'attentat ou d'invasion ? Ne crains- tu pas de te perdre dans la Forêt de la Lune, au milieu des bêtes les plus féroces de la contrée ? Tu es une femme et tu connais la réputation des Sauvages, es- tu consciente que si un jour tu te fais coincer par l'un d'eux, la seule alternative que tu auras à la mort serait un viol brutal et douloureux ? » Sanaé a du mal à s’intégrer dans la Savage Task du fait de son côté tête brûlée. Son désir de vengeance lui fait prendre des risques inconsidérés et elle se retrouve très vite sur la touche. Mais la jeune femme ne va pas se laisser enfermer dans la case que l’on a décidée pour elle.



« - Ma bravoure m'empêche de quitter ces lieux sans t'avoir tué.

- Ta témérité.

- Appelle ça comme tu veux ! » Face aux « Sauvages », Sanaé ne va pas perdre une once de sa prestance. Son cœur va même être bien chahuté : à qui faire confiance ?



Au final, un premier tome qui m’a captivée, qui m’a fait pousser des « oh ! » et des « ah ! » au fil des révélations et des retournements de situation ! Si vous aimez l’action, les secrets bien gardés, les complots politiques tordus et les personnages torturés, foncez !

Lecture personnelle



Chaud patate pour Bibi!!!!



Je ne suis pas sortie indemne de ma duologie. J'ai eu un sacré coco en face de moi... Non mais Abain...compliqué à suivre. Je me suis fait des nœuds au cerveau! Je rassure les fan de Farah Anah, j'ai adoré ma lecture mais il m'a fallu un long moment pour calmer ma colère lol.



Un tome centré sur les révélations et me permettre d'ouvrir mon cœur à Abain. Il partait avec un immense train de retard. Avait-il droit à une seconde chance? Par moi? Et surtout par Esme?



Esme / Abain

Un couple à part

Un duo atypique

Genre de couple qui ne me fascine pas vraiment mais qui titille ma caboche.

Un amour malsain, viscéral... qui peut faire perdre la tête.



J'ai adoré l'évolution d'Esme, la femme qu'elle devient. J'ai adoré la manière dont elle prend sa vie en main. Quant à Abain...bon ben j'ai compris lol.



Coup de cœur pour l'épilogue anti-bisounours!



Farah Anah : Valeur sure!

L'histoire est écrite en deux temps, nous débutons par le présent avec Esme qui a alors 24 ans, puis on fait régulièrement des retours en arrière sur son enfance/adolescence, assez sombre et dramatique, et ainsi mieux comprendre son caractère et son comportement mais aussi sa relation fusionnelle avec Abain.

Esme est une jeune fille de 12 ans qui vit dans un quartier où la drogue est reine.

Elle ne peut compter que sur elle, c'est une gamine très forte qui n'est pas aidée par sa famille. Ses parents étant de la pire des espèces, drogués, alcoolisés et allant jusqu'à vouloir vendre le corps de leur fille pour un peu de fric.

Son salut viendra d'un jeune homme de 5 ans son aîné, Abain. Il va la prendre sous son aile et elle sera tout le temps avec lui et sa famille, elle deviendra comme sa deuxième petite sœur.

Un lien très fort va naître entre eux jusqu'au jour où ils vont franchir cette barrière très mince entre amitié et amour, les unissant à jamais pour devenir encore plus inséparables.



C’est une romance difficile et triste, avec des personnages profonds, durs et torturés.

Il y a certaines lectures que je vis un peu mal et j'ai besoin de faire une pause, c'est le cas de cette histoire d'amour très toxique et violente sentimentalement, j'ai dû lire au moins 4 livres avant de ressentir le besoin de reprendre ma lecture et d'en savoir plus sur les raisons de l’abandon d'Abain.

Plus on avance dans notre lecture, plus l’histoire devient dure et complexe, et nos sentiments font les montagnes russes, toutes les émotions sont au RDV…c’est affreux.

Mais que dire de cette fin…heureusement que j’ai le 2eme tome, mais là encore il faut que je fasse une pause avant de continuer.

Qu’augure l’avenir quand votre quotidien se trouve bousculé par le passé, que l’on vous contraint à renouer avec vos origines ?



C’est ainsi que Lesath fait effraction dans la vie bien rangée de Cérès. Il s’immisce dans son miroir teinté d’invisibilité pour la projeter dans une lumière qu’elle a toujours tenté d’étouffer.



Hérulya est sa fatalité, en être la princesse est un chemin dont elle ne peut se détourner.



Un Roi en devenir à épouser ? Qui est le prince Altaïr à qui elle est destinée et dont la personnalité n’est que sous-entendue, laissant planer l’effroi ?



Un royaume mis à ses pieds ? Rien n’est moins sûr. Rien n’est plus faux.



Le palais de Tasman n’est en rien propice aux flatteries, à la ferveur et à l’élan de retrouvailles. Cérès va en faire l’amère expérience… Elle qui s’est évertuée à se draper d’insignifiance est soudain soumise aux feux des regards, aux jeux de pouvoirs, à l’hostilité et à la malveillance. Or rien ne l’y préparait. Un « petit oiseau » lancé en proie aux vautours, habitant un corps si étranger qu’elle peine à se camper en tant que femme affirmée.

 

Pourtant… Sa féminité est la pièce maitresse de son avenir. Une féminité si longtemps bâillonnée qu’elle en vient à suffoquer et réclamer sa liberté. Et surtout qui  l’irradie en la présence de celui qui est devenu son seul repère, Lesath.

 

Lesath, un homme à l’allure désinvolte, souvent canaille, jouant d’aplomb et d’assurance…Est-ce sa véritable nature ou cache-t-il une sombre détermination teintée de tourments? Quelles sont ses intentions ?



S’immerger dans ce royaume c’est ouvrir les portes d’un passé non maitrisé, errer entre des personnages insondables, naviguer dans l’obscurité de complots chuchotés. Si les ombres se pourlèchent de la naïveté de Cérès, elle semble néanmoins être la clef de leurs intérêts.



« The Wrong Prince » est une lecture scénique, séquencée à la manière d’actes dans une pièce de théâtre. Farah Anah distribue la parole à différents personnages, fait murmurer les conspirations et nous plante avec un acte final digne de cette intrigue.

Et bien, on peut dire que ce livre m’a obligée à sortir de ma zone de confort littéraire ! Jamais lu un truc pareil !!! Il s’agit, enfin je le croyais, d’une romance, comme je m’en autorise parfois, un peu comme un « repos du lecteur ». Romance donc, je confirme, mais alors plutôt dans l’esprit dark romance ! J’irais même jusqu’à oser dire very dark romance…

L’histoire sort tout à fait de l’ordinaire. Les deux personnages principaux, Esme et Abain, sont très bien campés, leur environnement suffisamment détaillé et réaliste, leur relation évolutive et pleine d’écueils comme seule peut l’être une relation adolescente ! Ils sont adorables, touchants, insupportables et détestables. Si, si, je vous assure, ils sont tout cela à la fois, et ça marche !

Farah Anah ne manque manifestement pas d’imagination, mais elle doit également avoir les pieds sur terre, pour être capable de nous entrainer dans cette folie, sans jamais nous perdre, sans jamais nous lasser…

Je vous laisse, faut que j’attaque le tome 2

L’odeur. Celle que nous portons, nous sentons ou pas, celle qui attire, répulse, celle qui nous envoûte, celle qui devient une obsession.





Une obsession maladive, malaisante, immorale. Une obsession, une pulsion vitale. Un parfum unique. Son parfum.





Farah Anah nous plonge littéralement et rapidement au cœur d’une histoire immorale. Les prémices sont rapidement remplacées par une situation dérangeante mais absolument pas brutale. Ava,20 ans, est une jeune femme rentrant dans l’âge adulte encore naïve et pure. Malgré les blessures psychologiques infligées pas sa mère toxique, elle n’hésite pas à se rendre en Italie lorsque sa grand-mère maternelle soupçonne des violences conjugales. L’objectif de ce voyage est avant tout de nouer des liens avec sa petite sœur qu’elle ne connaît que trop peu et de laisser une dernière chance à sa mère et d’affirmer ou non ces violences. Elle reste tout de même sur ses gardes mais le méchant loup a les dents bien aiguisées.





Imrel, 37 ans, est un as dans son domaine, la parfumerie. « Nez » talentueux, ses fragrances s’arrachent. Il est obsessionnel et ne tolère que la perfection. Un homme charismatique, imposant. J’ai vraiment eu du mal à l’imaginer et il en est de même pour Ava ou carrément à m’approprier les personnages.





Farah Anah crée rapidement un huis clos, nous poussant à devenir le témoin de situations non conformistes. Une étrange atmosphère est créée où le sens de l’odorat devient le moteur principal du scénario guidant les personnages à écouter leurs pulsions et leurs émotions. Et c’est à partir de ce moment-là que tout part en cacahuète.





J’ai beaucoup aimé le fond de l’histoire. Une romance immorale (on ne me juge pas) où les prémices des émotions bouleversent les personnages qui ont du mal à les gérées. Il y a ce côté découverte qui va très vite, il y a la remise en question et il y a ce lâcher prise car l’obsession devient trop pressante. Si tous ces rebondissements émotionnels concernaient la première moitié du roman la seconde est tout autre. Un changement de rythme radical. La situation s’enlise. J’ai ce sentiment que l’auteure ne sait pas comment faire évoluer la situation. Les révélations de cette seconde partie ne sont pas plaisantes et intensifient ce sentiment de malaise. C’est vraiment dommage !





Une dark romance qui joue sur une liaison immorale et le trope « age gap » (comprenez écart d’âge important). Elle avait tous les atouts pour me plaire dans son intégralité surtout les clins d’œil au roman « le parfum » de Patrick Süskind. Malheureusement la seconde partie m’a ennuyée et Arffff quel dommage (je sais encore).
Lien : https://misschocolatinebouqu..

J'ai enfin finis cette lecture et j'en suis plus que soulagé!!



Je me suis jamais senti aussi mal à lire un livre... Une histoire malsaine qui m'a mis mal à l'aise tout le long....



Mais malgré tout j'ai continué, fallait que j'aille jusqu'au bout, je voulais savoir a tout prix...



Ça été dur à lire, je ne sais pas si j'ai aimé ou non, mais ce que je sais c'est que ça m'a rendu mal. Mal pour la vie d'Imriel et sa sœur...

Mais quelle histoire !! Pfiou... Ça te chamboule la tête et le cœur...



Malgré toute l'issue de l'histoire, on va dire que c'est beau, on y trouve le bonheur a la fin... Un bonheur sur une base malsaine...

Une fragrance subtilement dérangeante. 



Il ne m'a fallu que quelques heures pour parcourir avec ferveur cette histoire qui exhale des notes complexes. 

J'ai pu sentir les effluves qui exsudent de ce récit. 

Délicates saveurs où se mêlent divers arômes, nous offrant une senteur bien singulière, perturbante, gênante, subtilement…grisante.

Les tripes tantôt ravagées par des relents de souvenirs méphitiques, tantôt nouées par une entêtante fascination aux saveurs sucrées, Farah Anah décompose la Quintessence de la Passion.

Ton parfum est un bijou dans un écrin aux notes provocantes, obsessionnelles et envoûtantes, dont les exquises saveurs enivrantes reposent toujours sur ma langue.



Belle et incommodante lecture !

J'ai été captivé par cette histoire.

Très physiologique avec un thème tabou et macabre. Un savant mélange.

En commençant cette lecture je ne savais pas à quoi m'attendre. Et tout au long de ma lecture j'ai été absorbé par les événements. J'étais à la fois troublée et fasciné par la suite. Récit très addictif.

Un retour en demi-teinte pour ce deuxième et dernier opus d’Esme. Le premier tome m’avait complètement emballée, emportée, enthousiasmée… Cette deuxième partie me semble plus terne. L’histoire est un peu noyée par les scènes de sexe qui, trop nombreuses, n’apportent pas grand-chose au récit. Qu’on s’entende bien : je n’ai rien contre la littérature un peu « hot », mais encore faut-il qu’on y trouve un peu d’imagination, que tout ça sorte de l’ordinaire ! Ici, ça faisait un peu remplissage, comme si Farah Anah avait « tout donné » dans le premier tome, et devait rajouter des pages pour arriver à un pavé acceptable par l’éditeur…

C’est dommage, mais je garderai, malgré cette petite déception, un bon souvenir de cette duologie, de cette histoire d’amour bouleversante, toxique, et éminemment douloureuse.

Elle n’était rien. Juste une gamine squattant les marches de son perron attendant que les heures défilent. Attendant que l’on oublie. Griffonnant sur son cahier rempli de pages aux dessins tristes et sans vie. Esme n’a de courage que sa force à se contenir, à vivre dans ce milieu hostile où aucune main ne lui est tendue où les regards et les mots meurtrissent son âme d’enfant qui ne demandait qu’à rester pur. Esme est seule. La gringa n’est qu’un mot au milieu de tant d’autres. Une éphémère salie par la connerie des adultes.





Jusqu’au jour où l’insolite se produit. Lui, le blanc bec, qui lui jette des mots ni méchants ni gentils, lui qui s’avance et lui propose un pacte. Abain est ni un Don Quichotte ni un super héros et encore moins Dieu. De cinq ans son ainée, Abain est un jeune homme hors norme qui prend sous son aile la petite Esme de douze ans. Abain et sa famille « normale » l’accueillent sans question et la main sur le cœur. Les mois passent et cette famille chaleureuse devient son refuge où les rires réchauffent son cœur, où les chamailleries sont bon enfant. Esme s’épanouit sous cette protection. Elle commence à rêver d’un autre monde avec lui. Elle voit plusieurs avenirs un de ceux où la misère ne serait qu’un lointain souvenir. Et puis du haut de ses treize ans, elle tombe éperdument amoureuse. Une relation interdite qui éclot dans cette profusion de sentiments. Une relation aussi belle que toxique. Un amour aussi puissant que destructeur. La rue, le drame, l’abandon, le silence, la peur consument ces deux amants maudits. Qu’adviendra t-il d’eux ?





Puissant et déstabilisant, la nouvelle romance de Farah Anah va te faire sortir de tes gonds, te faire ronger les ongles jusqu’aux sangs et te faire crier de désespoir. Un romantic suspense qui mêle l’improbable et la raison d’une manière dérangeante. Et c’est totalement époustouflant. Alternant entre le passé et le présent, l’atmosphère s’alourdit. Au fur et à mesure que l’on découvre les éléments clés qui composent une vie aussi belle que dure. Le danger, la colère, l’incompréhension s’insinuent. Une relation de non-dits, de vérités cachées, de mensonges étouffent toute once espoir. Les larmes, les cris et l’amour se hurlent dans un concert de notes dérangeantes et agonisantes. Si seulement cette rage pouvait éclater de mille feux, pouvait embrasser ses deux âmes sœurs, les consumer et les révéler. On se sentirait soulagées. Farah Anah signe un romantic suspense inoubliable. Un premier tome qui ne dévoile que le strict minimun, laissant en suspension l’essentiel. Nous portant vers un final tonitruant, touchant et scotchant ! Une plume qui sait jouer entre le sombre et le merveilleux. Une plume qui d’une manière subtile sait jouer avec la toxicité de l’amour et la psychologie des personnages.





C’est dingue ! C’est fou ! C’est hallucinant ! C’est touchant ! C’est énervant ! C’est rageant ! Mais qu’est-ce que j’ai pu adorer ! Une des meilleurs romantic suspense qui m’a été permise de lire.
Lien : https://lesmisschocolatinebo..

Je rédige cette chronique en direct de l’hôpital psychiatrique Black Ink. Internée dans le service des lectrices ayant perdu la raison, suite à ma lecture du premier tome de la duologie Esmé de Farah Anah. Autrice tortionnaire des éditions Black Ink !



Ma psychiatre, la cheffe de service, Sarah Berziou, m’a autorisé à venir vous livrer mon ressenti, selon elle, cela fait partie intégrante de ma thérapie. Sans quoi, je ne pourrais avoir la permission de poursuivre avec le second tome qui devrait apaiser mes tourments. Ou les aggraver…



Comment en suis-je arrivée là ?



C’est encore flou dans ma mémoire, je n’étais pas prête psychologiquement à découvrir l’histoire d’Esmeralda & Abain. Je me pensais assez solide et forte pour survivre à ce raz-de-marée émotionnel… Comment ai-je pu négliger tous les signaux qui se sont allumés lors de ma lecture ? Comment ai-je pu me laisser maltraiter par les émotions troublantes ressenties lors de ma lecture ?



Durant ma lecture, j’ai perdu pied, perdu la raison et une partie de ma santé mentale, à tel point que je me retrouve aujourd’hui enfermée, sous contrôle médical ! Parce que voyez-vous, les éditions Black Ink ont tout prévu. Sans doute un coup monté de cette Farah Anah qui rend ses lectrices dépendantes. La folie s’est emparée de moi, j’ai souffert avec Esmé… J’ai détesté Abain, au point que j’en suis rendu à l’état d’hystérique vindicative… Un héros m’a rarement autant fait souffrir, j’ai pleuré, hurlé et j’ai été épuisée par les sentiments qui m’ont écorchés.



Haine, espoir, amour, désillusion, souffrance, dépendance… Autant de symptômes qui m’ont conduit à l’internement !



La fiction et la réalité se sont mélangés ! Je ne faisais plus la différence, sans cesse sous l’emprise de cette espère de substance illicite que cette autrice distille dans ses romans. Une fois commencé, je n’ai pas pu lâcher le roman. Oh, mon entourage a bien essayé de m’enlever ma liseuse des mains… se heurtant à ma hargne de vouloir continuer. Telle une possédée, il fallait que j’aille au bout de ce premier opus.



Mystère, suspense, passion et danger sont les éléments culminants de cette histoire. Ma psychiatre, Sarah Berziou, n’arrête pas de me pousser à mettre des mots sur mes souffrances, sur mon ressenti sur ce roman. C’est sensé me préparer pour la suite de l’histoire d’Esmé et Abain. Mais plus j’y pense et puis j’ai l’impression que la folie s’ancre profondément en moi. Comment surmonter un tel déferlement d’émotions ? Comment retenir toutes ces larmes de haine et de tristesse ? Comment aller de l’avant ?



Je suis terrifiée à l’idée de lire la suite. Serais-je assez forte ? Vais-je sombrer encore plus dans les méandres du désespoir ? Je suis encore perdu dans les limbes de ma déchéance.



Farah Anah sévit en toute liberté, si vous saviez le nombre de lectrices qui sont comme moi, enfermées pour leur propre sécurité. Cette autrice sans pitié n’arrêtera jamais ses méfaits, c’est une récidiviste et je doute que l’on puisse l’arrêter en si bon chemin. Les meilleurs sans sortent toujours et elle est très forte dans sa discipline… La torture de lectrices !!!



Ce roman m’a heurté de plein fouet, l’autrice a placé la barre très haut, en terme de mystère, de frustration, de douleur intense qui fait saigner le cœur. J’ai ressenti un sentiment d’injustice envers mon Esmé adorée ! Cette héroïne qui a vécu l’enfer. Abain, celui qui était sensé illuminer son monde, l’a réduit à néant ! Et pourquoi ? Je vous le demande…



Ici, on m’aide à gérer le manque, depuis que j’ai terminé le roman, c’est comme si j’étais en crise de manque. Les personnages me hantent, leur histoire fait encore bouillir le sang dans mes veines. Je suis en état de choc et j’ai très peu de temps pour m’en remettre avant la sortie du seconde opus.



Écrire cette chronique m’a fait du bien. Je me dois de vous mettre en garde… Mais après tout, ce ne sont que les propos d’une lectrice qui a sombré dans la folie. Ce roman est indescriptible. Esme et Abain vont s’infiltrer en vous. Hanter vos rêves ! Faire battre votre cœur et écorcher votre âme de lectrice. Farah Anah est actuellement recherchée par le service de protection des lectrices. Aux dernières nouvelles, elle se cache pour mieux tourmenter ses futures victimes. Elle fait partie du gang des « Serial Writer ». Une nouvelle sorte d’écrivaines, celles qui induisent une addiction sévère chez leurs lectrices. Ma psychiatre, Sarah Berziou, tente de me rassurer, mais le mystère reste entier, je ne sais pas si je survivrai à la suite de cette saga. L’avenir nous le dira ^^



Trêve de plaisanterie ! Le mot de la fin ? Ce roman c’est une tuerie ! Vous savez ce qu’il vous reste à faire ! On fonce se procurer cette pépite !
Lien : http://www.lmedml.fr/2019/10..

C'est toujours agréable de terminer un livre de cette autrice, même si je dois admettre que les romances universitaires ne sont pas celles que je préfère. Cela explique surement mon avis mitigé sur ce livre.



West et Quinn forment un couple mignon, lui représentant le cliché du beau gosse (un peu trop) insouciant, et elle, une féministe dans l'âme et un brin aigrie.



Néanmoins, la lecture de ce roman m'a pris du temps. Bien que léger, drôle et mignon, vers le milieu du livre, je me suis un peu ennuyée. Les protagonistes et leur histoire d'amour ne m'ont pas vraiment enthousiasmée.



Après une courte pause, j'ai quand même apprécié reprendre ma lecture, et les thèmes abordés se sont avérés plutôt intéressants. Mais surtout, je voulais le finir parce que j'ai hâte de lire le prochain tome, avec une intrigue qui me parle davantage.



En résumé, ce fut tout de même une lecture sympathique, qui pourra plaire à beaucoup d'amateur du genre.

A ne pas mettre entre toutes les mains !



Beaucoup d'adjectifs peuvent caractériser cette lecture, malaisant et malsain, immoral et répugnant.



Toutefois, sans cautionner la perversité romancée de certains faits, je ne peux que reconnaître que l'autrice a une très belle plume qui a su mettre en évidence et au centre de l'histoire la personnalité atypique d'Imrel. Son enfance est traumatisante, ce qu'il a vécu avec sa soeur est insupportable. Par ailleurs son don olfactif, l'hyperosmie, ainsi que son vécu lui donne une vision particulière de son rapport aux autres.



Ava est une jeune fille qui souffre de l'abandon et du rejet de sa mère et endure depuis plusieurs années des insomnies qu'elle met sur le compte du divorce de ses parents. Un traumatisme qui lui fait détester Imrel, l'homme qui a brisé sa famille.



La relation entre Imrel et Ava est dérangeante tout autant qu'elle est intéressante et complexe. Il est parfois difficile de comprendre les réactions d'Ava.



Cette histoire autour du parfum et des odeurs, de cette quête obsessionnelle d'une fragrance particulière est originale et bien maîtrisée, j'ai beaucoup aimé.

The Wrong Prince c’est l’histoire d’un amour interdit. C’est la découverte d’un monde magique, d’un destin non voulu et des intrigues de cours. L’ensemble de ses thématiques ont eu raison de moi.



Ce premier tome est introductif. On découvre l’univers en même temps que Céres et on se questionne : Qui est-elle ? Qu’est-ce qui l’attend dans ce nouveau monde ? Quelles sont ses capacités magiques ? Pourquoi son arrivée déclenche des comportements hostiles ? Tout ses éléments m’ont tenu en haleine !



La plume de Farah Anah est fluide, addictive et maintient le suspense. Lorsque l’on ferme le livre, l’envie de lire le second tome est insoutenable.



De plus, nous avons un univers riche dû à la multitude de créatures surnaturelles présentes : sorciers, vampires, nymphes, elfes, etc... La cohabitation au sein du royaume est loin d’être facile et cela soulève de nombreuses intrigues.



Cette romance mêlée au fantastique forme un cocktail détonnant. Le tout, est soupoudré de mystère avec les secrets entourant les membres de la cour. J’ai adoré ! C’est une très chouette lecture.



Attention : Présence de scènes épicées !
Lien : https://lacitadelledemeslect..