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Citations de Felix Lope de Vega (61)


Ô coeur noble et vertueux ! A vos paroles je présume que vous n'êtes pas d'ici ; car à Madrid les femmes ne s'embarrassent guère du voile de la pudeur : elles tiennent le pauvre pour un fou et le riche pour le huitième ciel.
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Où se trouve mon courage il n'y a pas besoin du Cid.
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Felix Lope de Vega
Dando voy pasos perdidos
por tierra, que todo es aire.
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J'aime mieux mon Peribañez
Et sa cape de bure grise
Que vous commandeur
Et votre cape dorée.
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A mis soledades voy,
de mis soledades vengo,
porque para andar conmigo
me bastan mis pensamientos.
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Felix Lope de Vega
Amour, céleste création qui perpétue la beauté de la nature, viens-tu du hasard ou d'une volonté réfléchie ? Les efforts que ta connaissance fait naître sont étranges ; tu dissipes les ténèbres ; tu donnes la parole aux muets ; aux esprits les plus lourds tu ouvres les voies de la sagesse et de la science.
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El que es pobre, ése es tenido por simple; el rico, por sabio.
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El amor no es calidad, sino estrellas que conciertan las voluntades que aciertan a ser una voluntad.
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Nous, ses premiers alcades, nous demandons à baiser vos pieds, car c'est le nom de Séville qui nous a valu vos faveurs. Du consentement de la municipalité, des jurats et consul font offrande à votre Majesté de leur fortune et de leur dévouement, à la seule condition que les privilèges de notre cité n'en recevront point de dommage.
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Felix Lope de Vega
naturalmente es del hortelano el perro: ni come ni comer deja
Bien sûr que c' est le chien du jardinier : ni il mange ni il ne laisse manger
El perro del hortelano ( le chien du jardinier) acte II vers 2296 à 2298
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“Ceux-là disent de l'homme sérieux qu'il est assommant ; de l'effronté, que c'est un gai luron ; de l'homme poli qu’il est mélancolique ; de celui qui ne mâche pas ses mots, qu'il est odieux. Quelqu'un vous aide-t-il de ces conseils, c'est un importun ; montrez-vous généreux, vous êtes un naïf ; si vous êtes juste, on vous dit cruel ; et si vous avez un coeur compatissant et sensible, vous êtes un pauvre niais.”
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Ne sais-tu pas que le bachelier on l'appelle maintenant licencié ; qu’on dit d’un aveugle qu’il a la vue basse ; du bigle qu’il a un regard fuyant ; du boiteux, qu'il a une jambe un peu faible ; du négligent, qu’il est bonhomme ; de l'ignorant, qu'il a du bon sens ; d'un galant fanfaron et grossier, qu’il a des airs militaires ; d’une grande bouche, qu'elle est fraîche ; et d’un oeil petit, qu’il est perçant…”
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Mais si je prends de ce plaisir avec tant de prudence et de circonspection, ce ne sera plus un plaisir pour moi.
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LE COMMANDEUR : Et ce croquant... Va-t-il garder impunément mon arbalète ?
FLORES : Hier soir, j'ai cru le voir à la porte de Laurencia ; et j'ai expédié en pleine figure un excellent souvenir à quelqu'un qui imitait son allure et avait sur sa cape un capuchon pareil au sien.
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TRISTÁN : Elle est un ennemi qui vit accroché à l'entendement, comme disait la chanson de ce poète espagnol ; mais voilà pourquoi c'est une jolie parade que de vaincre l'imagination.
TEODORO : Comment cela ?
TRISTÁN : En songeant aux défauts, et non pas aux charmes, car, lorsque les hommes sensés oublient, c'est parce qu'ils songent, non aux charmes, mais aux défauts. Ne l'imagine pas habillée, avec une taille si joliment prise, et juchée sur le balcon d'une paire de patins. Tout cela n'est que vaine architecture, car un sage a dit un jour que la moitié de la beauté est l'œuvre des tailleurs. On doit imaginer une telle femme comme un flagellant que l'on conduit chez le médecin : voilà comment, et non sous la parure d'un riche cotillon. Bref, songer aux défauts est un remède éprouvé. Si le souvenir d'avoir vu une fois quelque chose qui t'a semblé dégoûtant suffit à te couper l'appétit pour trente jours, celui des défauts qu'elle a, s'il te vient, Seigneur, en mémoire, fera disparaître ton amour.

Acte I.
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PASCUALA : Mais que veux-tu donc nous prouver ?
MENGO : Que nul n'a d'amour que pour sa propre personne.
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Felix Lope de Vega
L'amant timide n'est jamais heureux. Le bonheur est le prix de l'audace.
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LAURENCIA : Et vous tous, quand Fernán Gómez m'a enlevée sous vos yeux pour me conduire chez lui, vous avez abandonné la brebis au loup, comme des bergers couards. Combien de dagues n'ai-je pas vues levées sur ma poitrine ? Quelles monstruosités, quelles infamies, quelles insultes, quelles menaces, quelles atrocités criminelles pour faire céder ma chasteté à leurs ignobles appétits ! Mes cheveux ne le disent-ils pas ? Le sang et les bleus ne vous montrent-ils pas les coups que j'ai reçus ? Et vous prétendez être de noble race ? Et vous prétendez être des pères et des parents, vous dont le cœur ne se brise pas de douleur à la vue de mes souffrances ? Vous êtes de la race ovine, et le nom de Fuente Ovejuna le dit bien. Donnez-moi des armes, donnez-les moi, puisque vous, vous êtes de pierre, vous êtes de bronze, vous êtes de marbre, vous êtes des tigres !... Des tigres non, car eux poursuivent impitoyablement le chasseur qui s'empare de leurs petits et le tuent avant qu'il atteigne la mer et ne se lance sur les flots. Vous êtes des lièvres, vous êtes nés peureux ; vous êtes des Barbares, non des Espagnols ! Poules mouillées, vous souffrez que vos femmes soient possédées par d'autres hommes ! Portez donc la quenouille au côté ! Pourquoi ceignez-vous l'épée ? Morbleu ! je vais faire en sorte que seules les femmes fassent payer à ces tyrans et à ces traîtres le prix de l'honneur et du sang. A vous, femmelettes fileuses de laine, poltrons efféminés, elles vous lanceront des pierres. Et demain, vous aurez pour parure nos coiffes et nos jupes, nos onguents et nos fards ! Sans jugement ni proclamation, le commandeur veut faire pendre Frondoso au créneau d'une tour. Il vous traitera tous de même ; et je m'en réjouis, eunuques que vous êtes, car ainsi il n'y aura plus de femmes dans cette honorable cité et l'on verra refleurir le siècle des Amazones, éternel effroi de l'univers.
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Hélas ! comme l'amour est difficile entre des êtres qui ne sont pas de même rang !

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L'Amour est conscient
Que son pire ennemi, implacable et poignant,
Est l'absence qui rend les amants solitaires.

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