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EAN : 9782080706980
189 pages
Flammarion (07/01/1993)
3.59/5   29 notes
Résumé :

Juez. Decid la verdad, buen viejo.Frond. Un viejo, Laurencia mia, atormentan.Laur. Qué porfia !Esteb. Déjenme un poco.Juez. Ya os dejo. Decid, é quién matô a Femando ?Esteb. Fuente Ovejuna lo hizo.Laur. Tu nombre, padre, eternizo....LE JUGE. Dis la vérité, bon vieux.FRONDOSO. C'est un vieillard qu'on torture!LAURENCE. Oui... Et il résiste vai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
S'il est une oeuvre, s'il est un auteur, qui forcent l'admiration, qui trônent pareils à une grosse pince brillante sur la corde à linge de l'histoire dramatique et littéraire, c'est bien ceux-là et je prends le parti de vous arrêter un instant sur cette Fuente Ovejuna et sur cet étonnant Félix Lope de Vega.
Un sens dramatique hors du commun lui fit sentir la puissance d'une combinaison entre la tragédie, dans l'acception classique du terme, et les ressorts comiques un peu pince-sans-rire ou même parfois franchement burlesques, tels que ne les auraient pas boudés Miguel de Cervantès.
En soi, Fuente Ovejuna n'est qu'une parmi de nombreuses pièces écrites par Lope de Vega, ni plus ni moins adulée en son temps mais dont le renom et le prestige a crû au cours du temps, un peu à la façon d'un Gatsby le Magnifique, probablement parce qu'un peu de l'esprit littéraire d'une époque, une fiole de sa subtile essence y était enfermée précautionneusement.
Par cette magistrale association, Lope de Vega inventa la tragi-comédie et sut exploiter les avantages des deux genres : une comédie dont le sujet serait grave et le traitement sérieux ou bien une tragédie dont les moments les plus intenses ou insoutenables seraient balancés par des respirations légères et divertissantes.
Ainsi Fuente Ovejuna a pris valeur d'étendard du savoir-faire de son auteur, probablement aussi parce que son propos est d'une surprenante modernité pour son temps : sous des airs d'allégeance au monarque et de scènes historiques datant de l'époque de la reconquista de l'Espagne andalouse musulmane par les rois catholiques (soit une centaine d'années avant la date d'écriture de la pièce), Lope de Vega adresse un avertissement à toute forme de gouvernement ou de royauté quand à ce qu'il l'attend si elle cultive l'iniquité et la barbarie.
Car Fuente Ovejuna (signifiant littéralement " la source des brebis ") est le nom d'une petite ville qui, lasse des exactions de son tyran, s'est unie dans la souffrance pour le trucider en bonne et due forme. C'était l'annonce de la révolution avant l'heure.
On y lit également un discours sur le respect de la condition de la femme de première importance et assez insoupçonnable pour l'époque, surtout en cette Espagne très patriarcale et qu'on peut qualifier de pro féministe. Étonnant, non ?
Le tyran, quel est-il ? Fernán Gómez de Guzmán, ayant pour titre celui de Grand Commandeur de l'ordre de Calatrava, l'un des quatre grands ordres créés pour lutter contre les musulmans. C'est un homme brutal, impitoyable, peu scrupuleux, qui n'hésite pas à faire donner du fouet ou de la corde à ses sujets en son quartier général de Fuente Ovejuna.
Mais ce qui le caractérise probablement le mieux est aussi son insatiable lubricité qui le conduit à s'octroyer des droits sur n'importe quelle croupe féminine qui passe sous ses regards. Intimidations, harcèlements et viols sont son pain quotidien.
Seulement, la belle paysanne Laurencia ose résister aux avances du commandeur. Pour combien de temps encore ? le modeste Frondoso, du haut de sa paysannerie, parviendra-t-il à protéger celle qu'il aime plus que sa vie ? Félix Lope de Vega fait de cette héroïne l'égérie de sa ville, et, la porte-parole des femmes outragées.
L'auteur utilise à merveille pour susciter du comique le contraste entre le parler paysan et le langage de l'aristocratie. Mais c'est aussi l'occasion pour lui de porter l'emphase sur les différences de valeurs morales véhiculées par les humbles et les superbes, les uns grossiers, les autres raffinés, les uns vertueux, les autres vicieux. En somme, le raffinement moral n'est pas toujours là où on l'attend. Encore, selon moi, une mise en garde dissimulée à l'adresse des dirigeants.
Une pièce que j'ai trouvée admirable à tous égards, mais, mieux que tout mon bavardage qui n'est pas grand-chose, place à vous pour lire et vous repaître de ce petit joyau égaré de la couronne d'Espagne.
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Éditée en 1619, la pièce a sans doute été créée entre 1610 et 1613, sans grand succès semble-t-il. Elle a été redécouverte par les romantiques et elle est aujourd'hui une des pièces les plus connues et jouées de l'auteur.

Nous sommes à la fin du XVe siècle, pendant la guerre de Succession de Castille. L'action de la pièce est double (ce qui lui a été reproché) avec comme lien le personnage de grand commandeur de l'ordre de Calatrava, Fernan Gomez. le Commandeur pousse le Grand Maître de son ordre à combattre contre les Rois catholiques, Isabelle et Ferdinand, ce que ce dernier, très jeune finit par faire. L'ordre prend la ville de Ciudad Real. le Commandeur rentre chez lui, à Fuente Ovejuna. C'est un maître cruel, qui se livre à des exactions sur les habitants du bourg, en particulier en abusant des jeunes femmes. Il a des visées sur Laurencia, la fille de l'alcade. Celle-ci aime Frondoso, qui menace le Commandeur d'une arbalète lors d'une tentative de viol. le Commandeur furieux doit partir se battre. Les deux jeunes gens en profitent pour organiser leur mariage. Pendant celui-ci, le Commandeur battu sur le terrain militaire, revient au village, emprisonne Frondose et enlève Laurencia. Cette dernière parvient à s'échapper et pousse le village à la révolte. le Commandeur et ses séides sont exterminés. le village prépare sa défense : il faudra répondre à la question « Qui a tué le Commandeur » Fuente Ovejuna. Et c'est ce que fait le village dans son entier, même sous la torture, lorsque viennent les enquêteurs royaux. Les souverains décident de ne pas châtier, puisqu'il impossible de trouver un coupable.

La question de la tyrannie et de la possibilité de tuer un tyran était une question débattue à l'époque. En plus de faits caractérisés, d'abus suffisamment importants, la légitimation d'un tyrannicide passait par une décision collective d'une communauté, le châtiment ne devait pas venir d'un seul particulier. Ce qui est dépeint ici, c'est le village dans son ensemble et à l'unanimité qui décide de punir le Commandeur, et comme nom du coupable, les villageois donnent le nom du village, c'est à dire toute la communauté. C'est donc une action légitime.

Par ailleurs le Commandeur est présenté comme un tyran sans aucune ambiguïté. Bien sûr dans son comportement avec les villageois, mais aussi en poussant à la guerre le Grand Maître qui est un jeune homme, dépassant les limites de sa fonction en lui imposant sa volonté. Il trahit aussi ses souverains, remettant en cause toute la hiérarchie sociale. Il détruit toute l'harmonie du monde, risque de mettre en péril tous les fondements de la société. L'intervention royale vise à remettre le monde en ordre, avec la juste place qui revient à chacun. le village reste d'ailleurs acquis à l'ordre de Calatrava, le Grand Maître ayant fait son allégeance aux souverains, n'étant plus sous l'influence néfaste du Commandeur. Lope de Vega ne remet en aucun cas en cause la royauté, mais invite plutôt les détenteurs du pouvoir à une forme de modération, et au respect des structures sociales traditionnelles. le suzerain a des droits mais aussi des devoirs vis-à-vis de ses sujets, dont celui de la justice.

C'est une pièce très forte et dont le succès est tout à fait légitime.
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C'est ma première rencontre, tout à fait satisfaisante, avec le théâtre du Siècle d'Or espagnol.
J'ai trouvé cette pièce de Lope de Vega à la fois amusante et assez moderne.
Elle met en scène les abus d'un seigneur envers un village qui lui appartient et la révolte de ce village. le commandeur harcèle les femmes de Fuente Ovejuna sans aucune retenue allant jusqu'à ordonner à l'alcade de demander à sa fille qui lui résiste de lui céder. Il punit tout paysan qui s'oppose à lui. Mais le village fait front commun et lorsqu'il se décide à tuer le commandeur pour se protéger, il oppose pour toute réponse à la torture “c'est Fuente Ovejuna qui l'a fait”. Et le village sera gracié un peu à contrecoeur par Ferdinand d'Aragon.
À noter que le texte original en espagnol est en rimes embrassées tandis que traduction en français est en prose.
C'est une bonne surprise que cette découverte.
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- FUENTE OVEJUNA-

On m'a dit que si je voulais découvrir le théatre espagnol et particulièrement " El siglo de oro", je devais découvrir Lope de la Vega, car c'est lui qui à développer ou encore qui fait découvrir "Los corrales" dans le monde du théatre. Los corrales sont des comédies espagnol du siècle XVI, il y a plusiuers variante comme des corrales qui se basent sur des personnages, ou celle qui utilise la comédie nouvelle.

Ici dans cette pièce de théatre, Lope de Vega arrive à faire une critique de la société aux niveaux de la royauté mais aussi du peuple. Des questions comme le mariage, l'arrangement entre les pays de Péninsule Ibérique ( le Portugal, Aragon et Castille), mais aussi le rôle du peuple dans cette politique basée sur la royauté. C'est assez important de voir commente était la société espagnol à l'époque entre la peur et la révolte de cette monarchie. Fuente Ovejuna est un peu l'héro et le sauveur du peuple entre les mains du commandeur. Cette figure représente l'envie de changement et de révolution du peuple.

Si nous prenons le contexte historique, cette pièce de théatre se passe durant la guerre de Sucession en Castille. Pour avoir étudier l'histoire de la Péninsule Ibérique, je peux vous dire que c'était un moment compliqué pour les pays et qu'il y avait une grande instabilité, durant cette période plusiuers fois, le Portugal s'est renfermée sur lui même et faisait attention à des espions qu'ils pouvait avoir. Mais le Portugal à toujours eu quelques tensions avec Castille et Aragon, avant cette guerre, il y avait un problème en Castille sur la succession de la couronne vers 1350, Portugal à tué une femme totalement innocente en pensant qu'elle était une espionne, la célèbre histoire de Inês de Castro....

Bref je me suis égarée, excusez moi ! Cette pièce de théatre est assez intéressante à étudier pour sa comédie mais aussi pour son contexte historique.

Carlaines
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
LAURENCIA : Et vous tous, quand Fernán Gómez m'a enlevée sous vos yeux pour me conduire chez lui, vous avez abandonné la brebis au loup, comme des bergers couards. Combien de dagues n'ai-je pas vues levées sur ma poitrine ? Quelles monstruosités, quelles infamies, quelles insultes, quelles menaces, quelles atrocités criminelles pour faire céder ma chasteté à leurs ignobles appétits ! Mes cheveux ne le disent-ils pas ? Le sang et les bleus ne vous montrent-ils pas les coups que j'ai reçus ? Et vous prétendez être de noble race ? Et vous prétendez être des pères et des parents, vous dont le cœur ne se brise pas de douleur à la vue de mes souffrances ? Vous êtes de la race ovine, et le nom de Fuente Ovejuna le dit bien. Donnez-moi des armes, donnez-les moi, puisque vous, vous êtes de pierre, vous êtes de bronze, vous êtes de marbre, vous êtes des tigres !... Des tigres non, car eux poursuivent impitoyablement le chasseur qui s'empare de leurs petits et le tuent avant qu'il atteigne la mer et ne se lance sur les flots. Vous êtes des lièvres, vous êtes nés peureux ; vous êtes des Barbares, non des Espagnols ! Poules mouillées, vous souffrez que vos femmes soient possédées par d'autres hommes ! Portez donc la quenouille au côté ! Pourquoi ceignez-vous l'épée ? Morbleu ! je vais faire en sorte que seules les femmes fassent payer à ces tyrans et à ces traîtres le prix de l'honneur et du sang. A vous, femmelettes fileuses de laine, poltrons efféminés, elles vous lanceront des pierres. Et demain, vous aurez pour parure nos coiffes et nos jupes, nos onguents et nos fards ! Sans jugement ni proclamation, le commandeur veut faire pendre Frondoso au créneau d'une tour. Il vous traitera tous de même ; et je m'en réjouis, eunuques que vous êtes, car ainsi il n'y aura plus de femmes dans cette honorable cité et l'on verra refleurir le siècle des Amazones, éternel effroi de l'univers.
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LAURENCIA : Des dames, Frondoso, c'est ainsi que tu nous appelles ?
FRONDOSO : Nous voulons être au goût du jour : du bachelier, on dit qu'il est licencié ; de l'aveugle, qu'il est borgne ; celui qui louche a une coquetterie dans l’œil ; le boiteux traîne un peu la jambe ; le paresseux est bon enfant ; l'ignorant a du bon sens ; le malappris a l'air martial ; la grande bouche a son franc-parler, l'œil petit est pénétrant. Le chicanier est énergique, le sans-gêne est un boute-en-train, le discoureur un savant et l'atrabilaire un brave. Le poltron est pusillanime, le téméraire est valeureux, le sac à vin un joyeux compère et le fou un gai luron. L'esprit chagrin est grave et la calvitie imposante ; la sottise est facétie ; quant au grand pied, il donne de l'assise. Le vérolé a le nez pris, l'arrogant des manières fort civiles, le maniaque sait ce qu'il veut et le bossu est un peu voûté. Voilà le langage que j'imite en vous appelant dames, et je m'en tiens là car on pourrait continuer ainsi à l'infini.
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FRONDOSO : (...) C'est une bien cruelle récompense que tu accordes à mon amour.
LAURENCIA : C'est que je ne sais pas en donner d'autre.
FRONDOSO : Se peut-il donc que tu n'aies pas pitié de me voir si affligé ? Je ne cesse de penser à toi et ne puis ni boire, ni dormir, ni manger. Ton visage angélique peut-il cacher tant de cruauté ? Dieu du ciel ! Tu me rends fou de rage !
LAURENCIA : Eh bien ! va voir un guérisseur, Frondoso.
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“Ceux-là disent de l'homme sérieux qu'il est assommant ; de l'effronté, que c'est un gai luron ; de l'homme poli qu’il est mélancolique ; de celui qui ne mâche pas ses mots, qu'il est odieux. Quelqu'un vous aide-t-il de ces conseils, c'est un importun ; montrez-vous généreux, vous êtes un naïf ; si vous êtes juste, on vous dit cruel ; et si vous avez un coeur compatissant et sensible, vous êtes un pauvre niais.”
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LE COMMANDEUR : Et ce croquant... Va-t-il garder impunément mon arbalète ?
FLORES : Hier soir, j'ai cru le voir à la porte de Laurencia ; et j'ai expédié en pleine figure un excellent souvenir à quelqu'un qui imitait son allure et avait sur sa cape un capuchon pareil au sien.
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Vidéo de Felix Lope de Vega
La Roseraie des Cultures et des Arts - 8ème édition Table ronde : "Tous des conquérants" Invité(e)s : - Bernard Lavallé, Professeur de civilisation hispano-américaine à la Sorbonne. Mondialement connu pour l'étude des effets de la colonisation sur les sociétés d'Amérique latine. Biographe de F. Pizarro et de B. de Las Casas chez Payot. Ouvrages qu'il signera avec « Au nom des Indiens ». Titre de son intervention : « Francisco Pizarro, conquistador de l'extrême ». Livre « Francisco Pizzaro, conquistador de l'extrême », aux Éditions Payot, 2004.
- Eric Freysselinard, Haut fonctionnaire, agrégé, énarque, inspecteur de l'administration, conseiller et directeur de cabinets ministériels, préfet, directeur des stages de l'ENA. Signera sa biographie d'Albert Lebrun. Titre de son intervention : « Albert Lebrun : la conquête de l'héritage du dernier président de la III° République ». Livre « Albert Lebrun, le dernier président de la III° République », aux Éditions Belin, 2013.
- Suzanne Varga, Agrégée, docteur d'État, Professeur des Universités, spécialiste de la littérature auriséculaire, auteur de biographies dont Lope de Vega (Fayard), grand prix de la biographie littéraire de l'Académie française et Philippe V, petit-fils de Louis XIV, prix Hugues Capet. Elle signera ces biographies ainsi que celle de « Sophie d'Espagne » et « Les 12 Banquets qui ont changé L Histoire ». Titre de son intervention : « Sophie d'Espagne, une reine à la reconquête du trône des Bourbons ». Livre « Sophie d'Espagne », aux Éditions Flammarion, 2015.
- Philippe le Guillou, Agrégé, doyen de l'Inspection Générale de Lettres Modernes, écrivain, auteur de nombreux essais et d'une trentaine de romans, essentiellement chez Gallimard, prix Médicis pour « Les Sept Noms du peintre », préside le Centre de l'imaginaire arthurien. Il signera entre autres ouvrages « Géographies de la mémoire », Gallimard, 2016. Titre de son intervention : « Julien Gracq et Jean Guillou, rendez-vous à la conquête des abîmes et des cimes ». Livre « Géographies de la mémoire », aux Éditions Gallimard, 2016.
- Jean Guillou, Titulaire des grandes orgues de Saint-Eustache, compositeur, pianiste, organiste, concepteur d'orgues, pédagogue, Professeur honoraire de l'Université de Sarrebruck, écrivain, poète. Signera « L'Orgue, souvenir et avenir » (Symétrie), La Musique et Le Geste (Beauchesne), le Visiteur (Ch. Chomant). Titre de son intervention : « La Musique et Le Geste » ou une dramaturgie musicale conquérante. Transcription syncrétique de la Fantaisie et Fugue sur le nom de B.A.C.H. (F. Liszt) exécutée aux grandes orgues de Saint-Eustache, le 18 avril 2015. Projection du film et de l'enregistrement réalisés par le L'Haÿssien Philippe Barbier. Livre « La Musique et Le Geste », aux Éditions Beauchesne, 2012. Icone livre « L'Orgue, souvenir et avenir », 4ème édition, Lyon, aux Éditions Symétrie, 2012.
-- Projection (extrait) du concert de Jean Guillou, aux grandes orgues de Saint-Eustache, le 18 avril 2015. Film réalisé par le L'Haÿssien Philippe Barbier.
Modératrice : Suzanne Varga.
http://www.laroseraiedescultures.fr/edition2016/mb-table-ronde-1-Tous_des_conquerants.html
Association "La Roseraie des Cultures et des Arts" le 3 septembre 2016 - Moulin de la Bièvre Salon du Livre et des Arts de L'Haÿ-Les-Roses http://www.laroseraiedescultures.fr
Réalisation : M.D'E
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