AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Florian Parent (28)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Ne pars pas

L'auteur nous propose depuis peu son deuxième ouvrage "Ne pars pas" qui est une vraie merveille. Ce second opus commence tout doucement et va prendre de plus en plus de rythme au fil des pages. On apprend à connaître les protagonistes principaux, Lucas et Paul, tous les deux très attachants. L'auteur nous plonge dans un univers de sentiments qui sonnent vrai. La vie étant ce qu'elle est, cette histoire n'est pas une niaiserie sucrée où tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes. Le dosage est juste et le résultat est d'une grande beauté.



Alors que Lucas s'enlise dans un deuil apathique, un événement presque surnaturel va venir le secouer, le questionner et lui donner de nouveaux espoirs. Ne dit-on pas qu'on peut tout faire par amour ? Chaque personnage va respecter cet adage à sa façon et le lecteur va être confronté à de multiples surprises. Sans jamais nous perdre, cette lecture nous emporte dans un passé très actuel et dans un présent situé en 2034. Les talents de l'auteur nous permettent de naviguer aisément entre science-fiction et romance MM, le tout agrémenté de quelques pointes de thriller et une intrigue forte.



J'attends maintenant avec impatience la prochaine création de Florian Parent et je vous conseille chaleureusement la lecture de ses deux romans.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          61
Retrouve-moi ce soir

Retrouve-moi ce soir, une découverte que j'ai fait il y a peu, et j'admets ne pas trop savoir quoi en penser. Je me retrouve là face à un bouquin dont la quatrième de couverture m'avez beaucoup emballé. Le fait de créer une histoire ( d’amour ) au sein même d'un moment que nous avons tous connu il y a de ça peut de temps était vraiment intéressante.

Mais malheureusement, pour ma part, ça ne prend pas totalement. Bien que l'histoire de fond soit intéressante et plutôt prenante, c'est le style de l'auteur qui m'a le plus perturbé. J'ai particulièrement eu des difficultés sur les dialogues. J'ai trouvé que ces derniers ne sonnait pas suffisamment juste pour paraitre 100% crédible.

Les échanges que peuvent avoir les différents personnages tout au long du livre me paraissant parfois surjouée.

Malgré tout, le fil conducteur de l'histoire, cette rencontre / connexion dans les songes de nos deux héros a maintenu mon envie de continuer a lire, et d'aller jusqu'à la fin.

Et quelle fin d'ailleurs ? L'auteur nous laisse libre de choisir, hélas moi je n'ai pas réussi.
Commenter  J’apprécie          54
Retrouve-moi ce soir

Une 1er romance MM pendant le confinement

Parfait pour adoucir ces moments compliqués qu'on a passé ces derniers mois

Moi aussi le confinement m'a permis de me déconnecter du monde virtuel

Une romance, un peu normal les scènes canal +. Mais yen a pas tant que ça

Vive l'amour

Vive les rêves tout doux

Je ne vous dirai pas ce que j'ai préféré dans les derniers chapitres
Commenter  J’apprécie          40
Retrouve-moi ce soir

T’es-tu déjà reveillé en plein rêve , en souhaitant te rendormir dans l’espoir de continuer ce rêve , avec « retrouve moi ce soir » tout est possible .

J’y ai découvert une histoire d’amour , non seulement très originale mais aussi tellement belle .

Un livre qui s’adapte parfaitement avec la situation de notre monde actuel : la covid et le confinement .

Ce roman porte à réflexion : sur nos vies , nos rêves , nos envies ...



L’auteur possède une plume fluide , simple et accessible à tous .

Et un point d’honneur tout particulier à la fin très ouverte ... mais je ne vous en dis pas plus , je vous laisse le lire !
Commenter  J’apprécie          40
À ceux que nous étions

J’aurais vraiment voulu aimer ce livre, mais pas moyen de rentrer dedans, donc c’est un abandon à la page soixante-treize. J’en suis désolée parce que j’adore ce genre de thème, des meilleurs amis qui tombent amoureux, et qui se retrouvent des années plus tard et reconstruisent une relation. Mais je n’ai pas aimé le style d’écriture, je n’ai pas été transportée dans l’histoire, je suis tellement restée au bord de la route que je n’ai rien ressenti vis à vis de cet amour naissant. C’était mignon sans doute, mais sans plus. Je n’ai pas accroché avec les personnages, certaines remarques m’ont un peu fait grincer « les filles sont comme ceci, les garçons comme cela », c’était bof. Mon avis va s’arrêter là, que pourrais-je dire de plus après aussi peu de page? Je suis allée lire la fin en diagonale et je sais qu’il vaut mieux que je m’arrête sinon je vais me provoquer un bloquage. Tant pis.
Lien : https://jetulis.wordpress.co..
Commenter  J’apprécie          30
Retrouve-moi ce soir

Tiens, une histoire de confinement. « Manquait plus que ça », dirait l’autre, « on vient de s’en taper à répétition, des confinements, alors pas envie de les retrouver en bouquin. » Ou au contraire, comme dirait l’un : « Voilà un auteur qui sait capter l’immédiat, en termes de fond d’histoire. » Remarquez, l’auteur en question était (est ?) dans la comm’ et le marketing, dans le civil, alors c’eût été décevant s’il n’avait pas trouvé une accroche « vendeur ».



Pas de crainte, par ailleurs – le confinement (le premier, de mars 2020, hein, celui qui a pris tout le monde de court) n’est pas davantage. Juste le fond devant lequel se déroule toute l’histoire, le décor, l’arrière-plan. Justement, puisque je dis « pris de court » – le premier personnage, Lior, un jeune San Franciscain, l’est en effet, tout autant que les autres Californiens, quand ça lui tombe dessus. Ce Covid qui se déclinait encore au masculin, car rien de plus qu’un virus lointain, frappe soudainement à toutes les portes du globe, et même le gouverneur de Californie se voit contraint de décréter : allez, zou, confinement pour tout le monde à partir de demain. Heureusement qu’un des amis de Lior possède une grande maison près du lac Tahoe. Il embarque donc petit copain fraîchement choisi et meilleurs amis, dont Lior, et c’est parti direction isolement de riche en pleine nature intacte. Les amis télétravaillent ; le propriétaire des lieux et son chouchou bullent, regardent Netflix, font la cuisine.



C’est là que Lior se met à avoir un rêve étrange. Une nuit, son inconscient lui invente une rencontre fortuite quoiqu’heureuse avec un certain Julian, employé de supermarché au regard hypnotisant. Ce qui distingue ce rêve de tous les autres, c’est son côté hyperréaliste, genre, c’est la Duane Hanson des rêves : plus vrai que nature. Presque plus vrai que la vie. Détail encore plus surprenant, ce rêve ne s’estompe pas au bout de quelques secondes ; il ne disparaît pas non plus dans le flux alterné conscient-subconscient-alterconscient, ce que l’on appelle communément vie éveillée et sommeil. Non, il se transforme en série à épisodes qui s’enchaînent, nuit après nuit. Après la rencontre, les deux hommes tombent amoureux l’un de l’autre, commencent à se côtoyer, à se construire une vie à deux, à faire des projets, à devenir… un couple ? Mais ce ne sont que des rêves, voyons ! Comment est-ce possible ? Puis, le confinement se termine enfin, le cours normal des choses va s’installer à nouveau, et Lior se résout à terminer cette relation onirique. Il sait qu’il ne pourra pas passer sa vie à rêver. Sauf que… la vie réserve parfois de jolies surprises.



Le livre se découpe en trois parties, deux principales et une que je qualifierais de conclusion heureuse. Évidemment heureuse ; ou vous préférez une romance qui se termine mal ? Pas moi. Enfin, passons. La première partie, donc, c’est l’histoire de Lior : SF, confinement, lac Tahoe, rêves, Julian, etc. La deuxième partie raconte, en revanche, l’histoire d’un certain Dorian, autre San Franciscain, employé de supermarché de son état (tiens, tiens), et son vécu du confinement à lui. Avec, là encore, d’étranges rêves à la clé… D’accord, je vous entends déjà dire : « Je le vois venir, là, l’auteur, il me ressert la même histoire, mais vue de l’autre bout. » Oui, sauf que ce n’est pas un bis repetita ennuyeux, car Dorian n’est pas Lior, justement. D’où des expériences différentes, un ressenti différent, une histoire différente.



Une trame assez originale, cette relation qui se construit par rêve(s) interposé(s). Malgré le côté supernaturel, elle tient debout, en plus ; on y croit, on la suit avec intérêt. Donc, pour ce qui est de l’histoire, je n’ai rien à dire, je l’ai trouvée intéressante, bien trouvée, bien construite, et ce premier confinement en toile de fond ajoute de l’actualité, donne cet aspect « connu ». On se surprend à penser, mais oui, le confinement, c’était ça, j’y étais.



Là où le bât blesse, pour moi, c’est le style. Car tout est raconté. Je sais, c’est toujours la même rengaine, avec moi, mais c’est vrai, entre raconter et montrer, il y a un fossé. La quatrième de couv promet « un roman […] comme un film ou une série Netflix » ? Seulement si ledit film ou ladite série était présenté(e) en synopsis uniquement, en audiodescription si vous voulez, pas en images. Du coup, je suis resté sur ma faim, je n’ai pas pu me glisser dans la peau des protagonistes, je n’ai pas pu vivre leurs histoires comme si j’y étais. Dommage. Je n’ai pas été fan des nombreux anglicismes, non plus – pour ne citer qu’un exemple, je trouve cringeworthy, pour y aller d’un anglicisme à mon tour, de dire que deux personnes vont se dater (du verbe to date, « sortir avec »), surtout quand on ne met pas le mot en italique. « Dater » a une signification en français, et, nous sommes bien d’accord, hein, ce n’est pas la même.



Autres griefs, les erreurs de concordance, des erreurs de temps tout court (pourquoi des présents quand c’est écrit au passé simple ?), des erreurs d’orthographe. Puis, pour moi, petit problème de suivi de narration, on pourrait aussi dire, problème de point de vue. Dans la partie consacrée à Lior, c’est lui, le narrateur, alors je ne devrais pas avoir d’explication sur les raisons des actions et réactions de Julian (et vice versa pour la deuxième partie). Ça embrouille, ça fait fouillis.



Dernier point, le livre était trop court. Du coup, l’évolution des personnages passe quelque peu à la trappe. Des étapes importantes sont vite expédiées par, là encore, des explications racontées, que l’on ne peut pas suivre de l’intérieur. Ainsi, les deux personnages, pour attachants qu’ils soient, restent un peu plats, un peu loin.



Dommage, car ce livre aurait pu donner un joli récit vraiment innovant et touchant. En l’état, je suis resté un peu en-dehors, même si j’ai pu déceler un très joli potentiel. Il me reste un deuxième livre de Florian Parent à lire ; à voir si je suis davantage conquis par celui-là.
Lien : http://livresgay.fr/retrouve..
Commenter  J’apprécie          30
Retrouve-moi ce soir

Lorsqu'on évoque la covid et le confinement, l'évasion n'est pas la première chose qui nous vient à l'esprit. C'est pourtant ce que Florian Parent nous propose avec "Retrouve-moi ce soir, le rêve de Lior et Julian". Ce roman est né de cette réalité si particulière, avec la ville de San Francisco en toile de fond. C'est donc plein d'espoir que j'ai ouvert ce livre un matin pour le refermer avec le sourire le soir même. Le voyage transatlantique a été une vraie réussite.



De son écriture fluide et très contemporaine, l'auteur nous présente Lior. Ce jeune homme se confine avec quelques amis en pleine nature autour de San Francisco. Alors qu'une nuit il fait un rêve étrange, il va se rendre compte que c'est la même histoire qu'il retrouve nuit après nuit. Il ne la revit pas mais il la retrouve là où il l'avait laissée et la poursuit. C'est ainsi que son histoire d'amour prend forme au risque de déborder sur sa vie réelle... Ce qu'il ne sait pas encore c'est que le phénomène se produit également chez un autre jeune franciscain.



L'histoire est originale, belle et bien écrite, ne se limite pas aux deux personnages principaux mais donne également vie à des personnages secondaires bien présents. La vie des songes et celle de la réalité s'entremêlent nous maintenant en permanence un pied dans l'imaginaire et un autre dans un monde plus classique.



Je vous invite donc à faire ce très beau voyage. Votre lecture sera à la fois très proche de votre quotidien mais en même temps très éloignée de ce que vous avez pu lire jusque-là.
Commenter  J’apprécie          30
Les songes d'Elias

Orphelin, baladé de famille en famille, Elias mène désormais une petite vie tranquille au Québec entre un appart minuscule et un boulot dans une supérette. Morne, sans saveur.

Mais Elias a une particularité. Il a cette capacité à s’extraire instantanément de sa réalité en invitant ses rêves à tout moment. Bien plus exaltant qu’empiler des conserves, mais hélas, irréel. Après sa journée de boulot, il n’aspire qu’à une chose, prendre ses crayons et les dessiner.

Jusqu’au jour où le fantasme prend corps en la personne de Kyle, le nouveau vigile. Grand, beau, baraqué, inaccessible. Lui parler ? Bafouiller, vous voulez dire !

Allez, Elias ! C’est le moment où jamais. Tu ne peux pas tout le temps vivre dans tes rêves. Qu’est-ce que tu as à perdre ? … l’espoir, peut-être. Tant que l’on n’a pas tenté, on ne peut pas savoir, mais on peut toujours espérer.

Alors, lorsqu’une tempête exceptionnelle s’annonce, Elias compte tenter sa chance. Une nuit, la supérette, le vigile et lui …

Tels des spectateurs, on assiste, dans un quasi huis clos, à la confusion des sentiments du jeune homme. A la troisième personne, on prend part à ses états d’âme, ses interprétations des faits et gestes de Kyle qui l’emmène loin, loin …. Il n’a absolument aucune confiance en lui, mais se résous enfin à avancer entre rêve et réalité. Et c’est en cela qu’est tout l’intérêt du roman, la frontière est tellement floue ! Et on comprend Elias, parfois, s’échapper en pensée est tellement plus agréable, une technique de survie comme une autre qui nous fait aspirer à des lendemains meilleurs à certaines périodes de notre vie.

J’ai aimé la plume fluide de l’auteur, précise et descriptive, nous donnant la matière pour imaginer le cadre très simple dans lequel les émotions peuvent se développer complètement. Si dans la plus grande partie, on a le point de vue d’Elias, donc, la réalité à travers son filtre, Kyle prend le relai et se révèle être bien moins caricatural qu’il pourrait paraître. Leur discussion, tâtonnante, puis franche et très coquine a été un régal.

Une lecture assez rapide pour ce format « nouvelle », ce qui laisse tout le loisir d’une relecture dans quelques mois.
Commenter  J’apprécie          20
Retrouve-moi ce soir

On va faire la connaissance de Lior, un jeune employé de chez Amazon qui va profiter du confinement pour aller avec des amis dans une maison de vacances. Ils vont y passer tout le premier confinement et pendant ce dernier Lior va faire des rêves étranges et particulièrement réaliste. Il va commencer à rêver de Julian, son âme-soeur en quelque sorte, et surtout il va rêver d'un avenir à deux avec lui. On va suivre Lior dans ses rêves mais également Julian.



Si je devais définir ce livre en un mot, je dirai : déroutant, déstabilisant. L'écriture est vraiment différente de ce que j'ai pu lire et c'est troublant au début. L'écriture va droit au but (non ici il n'y a aucune référence à Marseille) et on ne se perd pas dans les dédales d'explications et les descriptions à rallonge. Bon j'avoue par moment j'étais un peu perdue parce que je ne savais pas si je lisais un moment qui s'inscrivait dans le rêve ou dans la réalité et une ou deux fois je me suis vraiment posée la question. Mais à part ça, la plume était très agréable à lire, d'une fluidité qui faisait que je ne me rendais pas compte que je tournais les pages. J'ai à peine commencé le livre que je l'avais déjà fini.



Concernant les personnages, j'ai bien aimé Lior. C'est un homme qui a tout fait pour réussir dans sa vie professionnelle et pour arriver le plus haut possible, mais lors du premier confinement, il va se rendre compte qu'il a besoin d'autre chose. En réalité le roman n'est pas sur son évolution personnelle, mais plus sur son rêve de s'envoler et de découvrir ailleurs.



Pendant le confinement, on a tous eu des moments où on voulait partir loin de chez nous et en finir avec tout cela (dans le sens que le confinement s'arrête) et en quelque sorte Lior l'a fait et j'ai bien aimé suivre ses aventures à travers ses rêves. J'ai trouvé que c'était une bonne façon d'aborder le rêve, l'envie et peut être même renouveau en quelque sorte. On voit que Lior a besoin de changement dans sa vie et c'est grâce à son rêve qu'il va le faire. On dit bien qu'il faut toujours poursuivre ses rêves, et bah Lior l'a fait.



J'ai trouvé une certaine poésie dans l'écriture et même dans la "morale" de l'histoire, si je puis appeler ça comme ça. Parfois on perd nos objectifs de vie, on perd nos rêves pour ne jamais les retrouver alors qu'on en a besoin. Comment peut on vivre sans avoir de but? Sans désirer quelque chose si ardemment? Le rêve fait parti de nous et certaines pérennes ont eu le courage de les réaliser après les confinements.



Et revenons à nos moutons convenrnant les personnages. Je crois que ce que j'ai le plus aimé dans le livre c'est d'avoir les deux points de vue. Celui de Lior qu'on a au début de l'histoire et celui de Julian qu'on a par la suite. On voit la différence d'imagination, la différence entre leurs deux relations. J'ai trouvé ça très intéressant et amusant également. Et puis ils ont chacun imaginé le prénom de l'autre et je peux vous dire que ça ne ressemble pas vraiment à leur vrai prénom.



Le personnage de Julian est également intéressant par son vécu et par la manière dont il s'imagine Lior. Il n'est pas si loin de là vérité que cela, mais il y a quand même un écart. Ce que j'ai trouvé mystérieux c'est que les deux hommes rêvaient plus au moins de la même chose, en tout cas pour le début et la fin. Les deux rêves sont très très proche l'un de l'autre et de voir la perception des deux hommes est intéressante et même fascinante.



Par contre la fin est particulière. Je ne veux pas vous en dire trop, mais j'ai aimé la manière dont l'auteur à écrit sa fin. Donc je vais m'arrêter là pour ne pas spoiler et pour que vous puissiez découvrir leur histoire.



En résumée, c'est un livre assez intriguant sur la forme et sur le fond. On est confronté à des mondes oniriques qui ne vont pas nous laisse indifférent et surtout pas insensible. Ce livre c'est une porte ouverte à l'imagination et aux rêves qu'on peut avoir. J'ai beaucoup apprécié ma lecture et je pense qu'il peut facilement devenir le genre de lire que j'aime relire
Commenter  J’apprécie          20
Retrouve-moi ce soir

Je tiens d’abord à te remercier, Florian, de m’avoir fait confiance et proposé ce SP, avec l’envoi du broché en plus, et je n’avais même pas remarqué quand j’ai accepté ! Saluons l’objet en lui même, car cela a son importance et je trouve cette couverture très réussie. Elle se démarque de ces insupportables photos de gars sous stéroïdes qui peuplent les couvertures de romances en tous genres. Celle-ci est classe, stylée, comme celle de ton prochain roman du reste, alors continue comme ça...

Maintenant, on va commencer par attaquer la forme et donc parler des choses qui fâchent. Ça y est ? Tu regrettes déjà de m’avoir confié ton bébé ? Mais non ! Comme dirait mon fils, "T’inquiète !!" On va terminer sur une note positive en parlant du fond car tu te doutes bien que si j’ai mis 4/6 c’est qu’il y avait du positif ! Alors ne me déteste pas tout de suite ! Il m’est arrivé une chose étrange en lisant ce roman, sans doute une déformation toute nouvelle due à mes activités récentes : je lisais et tout à coup, je cherchais où je pouvais mettre un commentaire pour dire :"Nooon ! La concordance des temps, bon sang !! Tu me fais du mal, là !! " Ah ! Mince ! Je n’étais pas en train de corriger !  

Ceux qui lisent régulièrement mes chroniques ou les quelques auteurs dont je fais des bêta lectures savent ou sauront que si je chasse autant que possible les fautes d’orthographe qui me font bobo aux yeux, quand cela concerne la concordance des temps, je deviens carrément psychorigide. Oui, j’avoue, je ne supporte pas ce manquement ! Je trouve que ça nuit totalement au déroulé d’une histoire, ou à la beauté d’une phrase quand cette concordance n’est pas respectée. J’ai souvent grincé des dents pour cette raison alors s’il te plaît, Florian, ne gâche pas ton talent avec ce genre d’erreurs, fais relire tes ouvrages pour les corriger, ils s’en trouveront infiniment meilleurs. Car je pense qu’ils le méritent !

Ça va ? Tu me détestes ou je peux continuer ?

C’est vrai qu’on a l’impression que je suis une vieille bique (heu...j’en suis une ?? ) mais, si j’execre devoir dire du mal d’un livre car je sais le travail qu’il a demandé, par contre je ne sais pas être autre chose qu’honnête...

Du coup, je peux en venir aux bonnes choses de ce roman. L’histoire, tout d’abord ! J’aime ce qu’il y a dans ta tête, Florian ! Je pense que ça fourmille ! Et tu nous offres une belle histoire, aux personnages attachants. Une histoire habillée de romantisme, et parfumée de rêves. Une histoire qui flirte avec le surnaturel mais après tout...pourquoi cela ne pourrait-il pas être vrai ? J’y crois ! Et cela doit être mon côté fleur bleue... Je me suis très vite attachée aux personnages, qui me paraissaient vrais, intensément connectés à une réalité où ils subissaient le confinement et l’isolement ! J’aurais cependant aimé qu’ils soient légèrement plus approfondis... tu me trouves exigeante ? Désolée, j’ai dû être la méchante institutrice acariâtre dans une autre vie (ou dans le rêve de quelqu’un ?! )

Alors je suis embêtée, Florian. J’ai lu le résumé de ton prochain livre, qui sort bientôt d’ailleurs. Et j’avoue qu’il est très intrigant... Mais devrais-je à nouveau me faire violence, non pas pour poursuivre ma lecture (cela n’a jamais été un problème !), mais pour éviter de convulser en raison de ces conjugaisons pas toujours à propos ?
Commenter  J’apprécie          20
Retrouve-moi ce soir

Florian Parent nous propose ici un premier roman très doux. J'affectionne beaucoup les livres sombres aux thèmes difficiles, mais des lectures doudou comme celle-ci, sans prise de tête, ça fait aussi du bien de temps en temps 🥰



Lior est un personnage très attachant, romantique, qui fantasme sur le grand amour et qui, confiné avec ses amis lors de la pandémie de la Covid-19, va rêver d'évasion dans les bras de Julian, personnage que j'apprécie tout autant. Les secondaires par contre sont assez effacés au final donc on n'a pas réellement d'attache pour eux je trouve.



Le style de Florian Parent est un style que j'aime beaucoup : très simple, moderne, sans détails superflus. Seul petit bémol, il reste des coquilles dans le texte et des tournures parfois bancales qui peuvent sortir un peu de la lecture 😕 Pour moi, clairement c'est du détail, l'histoire prend le dessus, mais je sais que pour certains c'est rédhibitoire. Sa plume peut paraître un peu trop simple, trop familière même avec certains anglicismes qui donne un effet des fois de dialogues surjoués, mais c'est son premier roman et, pour avoir lu les autres, son style s'est amélioré depuis je trouve 😉 Mais ça se lit très bien, on a vraiment l'impression qu'il nous raconte simplement l'histoire comme s'il était face à nous, ce qui rend la lecture extrêmement fluide, surtout que c'est très court donc on enchaîne les pages avec plaisir 😁



L'histoire se termine sur une fin que j'aime beaucoup, qui est un peu ouverte. Puis l'auteur propose trois suites possibles (en modifiant parfois légèrement un détail de la scène finale) et qui permettent d'avoir ainsi une fin plus fermée au choix. J'aime beaucoup les trois fins alternatives, ma préférée étant la dernière (qui m'a fait verser des larmes lors de ma première lecture 😭).



Conclusion : Florian Parent propose un premier roman court (150 pages sans les fins alternatives) au style très simple mais efficace, avec une histoire douce qui fait rêver et sourire niaisement par moments grâce à deux personnages principaux très attachants 🥰
Commenter  J’apprécie          10
Ne pars pas

Joli petit roman très bien écrit, sans prétention, mais avec des personnages très attachants. J'ai pris beaucoup de plaisir à voir se construire ce roman de science-fiction. Tout n'est pas parfait dans la construction même du roman, mais quel plaisir de me replonger dans cette histoire ! En soi, le roman n'est pas très original, mais le pitch est intéressant et l'angle d'attaque également. Bravo. Hâte de lire d'autres textes de Florent Parent.
Commenter  J’apprécie          10
Ne pars pas

C’est en forgeant qu’on devient forgeron, comme on dit, et ce n’est pas faux. J’apporterais cependant la précision qu’on devient surtout bon forgeron en forgeant. En appliquant ce dicton à l’écriture, ça veut dire, plus on écrit, plus on écrit bien. C’est le constat qui s’impose à moi, en tout cas, après la lecture de ce deuxième roman du jeune auteur Florian Parent. Nous avons déjà parlé de son premier roman Retrouve-moi ce soir sur le site, et j’ai conclu mon retour de lecture par les mots « Il me reste un deuxième livre de Florian Parent à lire ; à voir si je suis davantage conquis par celui-là. » Eh bien, pour ne pas vous faire lambiner, ce deuxième livre est celui-ci, justement ; et la réponse est un oui sans tergiversation.



Dans Ne pars pas, on suit l’histoire de Lucas et Paul. Le premier est un jeune étudiant parisien voué à devenir ingénieur (choix dicté peu ou prou par sa maman) ; le deuxième un New Yorkais qui débarque en France pour poursuivre, lui aussi, ses études (en économie, dans son cas). Tombe le verdict du confinement n°1. Lucas vient de sortir d’une relation toxique et a réaménagé dans l’appartement de ses parents ; Paul loue leur studio, situé un étage au-dessus. Les deux jeunes hommes se rencontrent, ils se plaisent, ils se séduisent, ils démarrent une belle histoire d’amour. Tout semble parfait : le partage, l’entraide, la force de leur sentiments. Ils deviennent inséparables, ils sont un couple modèle.



Mais la vie réserve parfois de drôles de surprises. Lucas, qui a un faible ainsi qu’un immense talent pour la confection de savoureuses pâtisseries depuis tout petit, change son fusil d’épaule et ouvre sa première boutique à Montmartre. Paul, lui, se fait embaucher par une start-up australienne pour s’occuper d’une mission chronophage et ultra-secrète dont il n’est pas autorisé à divulguer le moindre détail, même pas à son amoureux. D’ailleurs, au départ, il eût été dans l’embarras d’enfreindre cette règle, tellement il ne sait pas trop lui-même en quoi elle consiste. Jusqu’à ce que tout s’emballe, que tout change, et que la romance de départ devient un roman à suspense qui m’a tenu en haleine…



Ah, si je racontais les retournements de situation, ce serait un spoiler épouvantable ! Je m’abstiens, donc. Tout en maugréant, car donner mon ressenti avec davantage de précision va s’avérer fort compliqué. D’ailleurs, je trouve que la quatrième de couverture en dit déjà trop, sur la véritable trame de ce livre (je la trouve très vendeur, en même temps).



Alors, la construction du roman ? Elle suit une recette qui a fait ses preuves. Deux points de vue, qui alternent de chapitre en chapitre : celui de Lucas maintenant (il faut savoir quand même que ce « maintenant » se situe en 2034, dans le livre), puis celui de Lucas (et parfois de Paul) au fil des années, depuis leur rencontre jusqu’à rejoindre le présent (donc 2034, justement – vous me suivez, là ?). Les deux protagonistes portent l’histoire à la troisième personne, et en tant que lecteur.trice, il ne faut pas être allergique au passé simple car c’est le temps choisi par l’auteur (perso, ça ne me pose pas de problème du tout). On a aussi droit à quelques flash-backs pour mieux comprendre les personnages.



Pour le style, on retrouve la plume directe et entraînante de l’auteur. Il sait manier les mots, sait les faire vivre et vibrer, il n’y pas de doute. Parfois, un adjectif ou une tournure pouvaient me paraître un poil trop empesés (moins peut faire plus, dans certains cas), des actions de certains personnages légèrement trop emportées, et des passages de choses racontées au lieu d’être montrées persistaient çà et là. Oui, je dois aussi faire remarquer qu’une bonne relecture n’aurait pas été du luxe (j’ai imaginé les commentaires que ma propre relectrice, excellentissime, m’aurait laissés, du genre « M’enfin, Didi ! »). Des imparfaits sans justification, des formes de passé simple erronnées, quelques autres fautes d’orthographe qui font mal aux yeux. Mais dans l’ensemble, je trouvais ce roman plus fluide que le premier, il me faisait plus rentrer dans la peau des personnages, me faisait souffrir, sentir les papillons, et palpiter – surtout vers la fin, j’avais cette envie urgente de continuer à lire tout en voulant me cacher les yeux, du genre « Non, non, non, n’y va pas, ça va mal se passer, j’en peux plus ! » Oui, pour le suspense, j’étais bien servi, à peu près à partir de la deuxième moitié du roman, quand le cadre était planté, les zones d’ombre dessinées, et que j’avais plus de questions que de réponses.



Car oui, c’est surtout l’histoire que j’ai trouvée excellente. Je n’en dirai pas plus (toujours ma réticence de vous spoiler), mais disons qu’il y a du noir corbeau (ô deuil et désespoir !), du lumineux (ah, une belle romance – je suis preneur), et du paranormal qui, en y regardant de plus près, ne l’est peut-être pas tant que ça. L’auteur joue avec le possible plus qu’avec le probable, et il le transforme en véritable machine à suspense. J’ai fini le dernier tiers d’une seule traite, et la personne qui m’aurait appelé à ce moment-là se serait fait recevoir en beauté.



Donc, oui, j’ai été emballé, parfaitement emballé par ce deuxième opus de Florian Parent. Un savoureux mélange d’histoire d’amour (de la rencontre à une première fin tragique à une deuxième fin plus positive), de thriller sci-fi, et de conte prédictionnel et dystopique. À vous maintenant de vous faire séduire par ce livre, que malgré les petits bémols évoqués plus haut, je recommande.
Lien : http://livresgay.fr/ne-pars-..
Commenter  J’apprécie          10
Ne pars pas

Je suis très mitigée. L'histoire n'était pas mauvaise et relativement inattendue sur certains points mais sur d'autres terriblement prévisible. Il y avait du bon et du mauvais, peut-être que je n'étais pas vraiment le bon public pour ce roman



Du mal à accrocher au style d'écriture et vraiment déçue par la fin.
Commenter  J’apprécie          10
Les songes d'Elias

Florian Parent situe sa nouvelle romance au Québec où le jeune Elias travaille dans un petit supermarché. Il y mène une vie professionnelle très routinière, heureusement égayée par une collègue devenue sa meilleure amie. Cette monotonie va voler en éclats à l'arrivée de Kyle, le nouvel agent de sécurité. Ce dernier va prendre une place de plus en plus importante dans l'esprit d'Elias dont la particularité est de vivre souvent dans un monde chimérique. Ce n'est d'ailleurs que dans ses songes qu'il vit de façon positive s'autorisant alors tous ses fantasmes. C'est tout naturellement que Kyle y trouve une place de choix... jusqu'à ce qu'un événement inattendu ne viennent faire éclater cette bulle.



Je m'attendais à tellement bien que le bien, tout simplement, m'a paru décevant. Florian Parent utilise pour la troisième fois le principe d'une relation amoureuse physiquement inaccessible même si cette fois-ci elle se présente différemment. Ça fonctionne encore mais il m'a manqué le petit plus qui m'aurait fait briller les étoiles dans les yeux. Cela ne m'a toutefois pas empêché d'apprécier cette lecture, toute douce, avec des rebondissements, un peu d'humour et beaucoup de sentiments. Si vous ne connaissez pas encore les œuvres de l'auteur, je conseille de commencer par ce titre.



Tout ceci ne m'empêchera pas de regarder avec attention le prochain roman de Florian Parent. J'espère être à nouveau bouleversé comme avec les deux premiers.
Commenter  J’apprécie          10
Les songes d'Elias

Je me suis pas mal identifié à elias, bon je le suis pas autant mais quand même mdr



L'histoire malgré qu'elle soit courte (je parle sur la durée) est vraiment intéressante et ça se lis tout seul, je savais à quoi m'attendre a la fin car bon c'est mon genre de lecture hein mais franchement pour une fois j'ai été surpris du rebondissement et j'ai compris ton titre mdr.



En plus on a une vrai fin, pas une fin ouverte ou autre mais une vrai fin



Franchement j'ai adoré et je le trouve super excellent, ton perso est super bien détailler et malgré que kyles le soit moins je ne trouve même pas cela gênant vu que c'est vraiment centré autour d'elias, donc franchement une fois de plus je ne suis pas déçu et je suis plus que conquis



Je recommande
Commenter  J’apprécie          10
Retrouve-moi ce soir

Retrouve moi ce soir



L’histoire de RETROUVE MOI CE SOIR débute un peu avant l’apparition de la Covid-19, qui va chambouler la vie de millions de personnes.

Lior est un jeune Californien qui enchaine les rencontres en espérant tomber sur celui qui lui volera son coeur.

Mais suite à la pandémie et à l’annonce du premier confinement, il décide de partir s’exiler avec son groupe d’amis loin de la ville afin de ne pas rester enfermer dans son petit appartement.

C’est à partir de ce moment qu’il commence à rêver de Julian, l’homme parfait selon lui.

Pensant tout d’abord qu’il s’agit de son imagination qui le travaille, il ne se pose pas plus de question que ça au réveil, mais Lior continue au fil des nuits de rêver de Julian et commence à se poser des questions sur sa santé mentale.

Serait-il possible que Julian ne soit pas au final juste une projection de ses désirs?



J’ai vraiment adoré cette romance contemporaine qui, je suis sûr, touchera plus d’une personne.

Que vous soyez LGBTQIA ou non, l’histoire de Lior saura trouver le chemin de votre coeur car il ne s’agit pas ici juste une simple romance mm: ce livre redéfinit le rapport que nous avons avec le monde et nos interactions avec les autres.

Nous avons appris à vivre autrement depuis le début de cette pandémie et bien que la distanciation était de mise, nous avons appris à communiquer autrement, nous avons continué à entretenir ces relations qui sont au coeur de nos vies.

Cette distanciation imposée nous a permis de (re)découvrir l’importance et la nécessité de la connexion humaine.

Le thème du rêve est très souvent employé dans la romance, on peut notamment citer Marc Levy avec ET SI C’ÉTAIT VRAI, car rêver nous permet de nous projeter, et dans ce contexte pandémique complexe et inédit, ce n’est surement pas de trop.

Alexandre Lowen avait déclaré « sans rêve, il est impossible de connaitre le bonheur», alors n’arrêtez jamais de rêver.



Voila, j’espère que ma petite chronique vous à donner envie de découvrir le rêve de Lior et de Julian.
Commenter  J’apprécie          10
Retrouve-moi ce soir

On est sur une auto-édition ici, une première pour moi en terme de lecture. Il y a tellement d'éléments que j'ai aimé :

✨L'écriture fluide avec un auteur qui s'adresse directement à son lecteur

✨ On visualise très bien les lieux, les personnages...On se fait son propre film. J'ai même pensé à des musiques en lisant certaines scènes 🎵

✨ On est happé par ce jeu entre le rêve et la réalité...

✨Et que dire de la fin ? 😊 Vous verrez bien en lisant l'histoire de Lior et Julian😉.
Commenter  J’apprécie          10
Retrouve-moi ce soir

Des réflexions et de l'amour 💕



Voici #retrouvemoicesoir de @flonyc



J'ai lu ce roman d'une traite (presque, j'ai du travailler entre temps 😅) une fois commencé j'ai eu du mal à le refermer.



On suit une histoire d'amour fantastique entre deux hommes (enfin.. Lior, Aaron, Dorian, Julian.. Mais qui est qui 😜).

Deux hommes qui au moment du confinement, qu'on a plus ou moins tous vécu, voient leur vu nuit changer par des rêves.

Deux hommes qui vivent une histoire d'amour des plus originale.

Mais surtout deux hommes qui rêvent d'accomplissement.



Ce roman est une histoire d'amour mais pour moi c'est aussi, et surtout, une histoire de rêves.

Le rêve de chacun. Que ce soit dans le travail, les passions, nos relations.. On a tous des rêves et ambitions consciemment ou non qu'on ne réalise pas forcément pas manque de temps et recule sur nous même.

Ici l'auteur a lancé plusieurs réflexions qu'on peut être amener à ce poser afin de faire le point sur sa vie à n'importe quel moment. Le confinement ayant été une bonne période de réflexion pour certain puisque le temps c'est comme arrêté. En ralentissant peut être pouvons nous avoir assez de recule pour apprendre à ce connaître et savoir quel rêve on veut concrétiser ?



Voilà donc l'idée et le ressentis que j'ai eu en lisant ce roman.

Un roman qui se lis vite et qui nous fais reflechir. Surtout au vu de la fin.. A nous de choisir. A nous d'aller peut être au delà du rêve ?



Merci @flonyc pour l'envoie de votre roman, j'ai hâte de lire votre deuxième histoire surtout au vu du résumé (merci la newsletter 🙃).



À très bientôt !
Commenter  J’apprécie          10
À ceux que nous étions

C’est avec un grand plaisir que j’ai lu ce roman de Florian Parent.

Ce qui m’a énormément plu est le côté nostalgique. Il y a plein de références aux années 2000 (Ipod, Brintey Spears, MNS, AOL...) qui me rappelle mon adolescence.

L’histoire entre les deux personnages est trop choupi, il y a beaucoup d’émotions.

L’écriture est une fois de plus addictive, fluide.

J’adore.
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Florian Parent (90)Voir plus

Quiz Voir plus

A l'abordage : la mer et la littérature

Qui est l'auteur du célèbre roman "Le vieil homme et la mer" ?

William Faulkner
John Irving
Ernest Hemingway
John Steinbeck

10 questions
506 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , mer , océansCréer un quiz sur cet auteur

{* *}