Citations de Frédéric Bertocchini (55)
C'est à Gallipoli que j'ai affronté l'épreuve du bandeau. C'est à Gallipoli que j'ai reçu la lumière... Et c'est à Gallipoli que j'ai...
...accompli mon premier devoir de franc-maçon, de ce fait et plus que jamais, je marchais sur les traces de mon père Ghjacintu.
« Pensez-vous, Monsieur le Préfet, qu’un Corse, pour être un homme d’honneur, ait besoin de servir dans l’armée française ? » (p. 6)
Tu aimes faire parler de toi Morrison, hein ? Tu cherches la gloire ? Tu finiras à l’asile, crois-moi !
"J'ai visité le Père-Lachaise aussi... Fascinant cimetière..." (p. 31)
Qui va à la chasse au prolagus perd sa place !
Si je dois mourir, Sampiero, ce sera par tes mains.
-Ils descendent vers nous ! C'est une opération héliportée ! Ils vont larguer des commandos !
-Des pumas ! Ce sont vraiment de gros malades !
Eh bien, malgré moi, je me sens redevenir sauvage depuis que j'ai mis le pied dans cette île. Mille affreuses pensées m'agitent, me tourmentent.
« Sais-tu que la nature a eu tort de faire de toi une femme. Tu aurais été un excellent militaire. » (p. 39)
« L’affront sera lavé par le sang. On n’assassine pas un Della Rebbia ainsi, en toute impunité. » (p. 3)
"Ce fut, sans conteste, le moment le plus important de ma vie. C'est là, sans doute... que l'âme du chaman a bondi dans la mienne... Je n'étais plus tout à fait moi-même, tout en l'étant davantage. Non... ce n'était pas un rêve... Non... Ce n'était pas un putain de rêve." (p. 12 & 13)
"La simple idée du néant me maintenait en vie." (p. 25)
Si l'assassin s'était racheté une conduite aux yeux de la loi, en ayant servi la France et en étant devenu un héros de guerre, les Vicensini n'avaient rien oublié de la tragédie. La haine était toujours vivace
"Il est encore en Europe un peuple capable de législation. C'est l'île de Corse. La valeur et la constance avec lesquelles ce brave peuple a su recouvrer et défendre sa liberté mériterait bien que quelque homme sage lui apprît à la conserver. J'ai quelque pressentiment qu'un jour cette petite île étonnera l'Europe". (1792)
Déjà à l'époque, la solidarité n'était pas un vain mot sur notre île !
-Alors, ça vient ?
-Oui, ça rentre comme dans du brocciu...
Je me sens responsable de ce qui est arrivé à ton frère, tu comprends ? ça n'aurait jamais dû arriver ! Pas comme ça !
Monsieur Dumas, lorsque Louis et moi sommes nés, nous nous tenions encore par le côté, de sorte qu'il a fallu un coup de scalpel pour nous séparer.
« Si l’administration française vous a envoyés ici, c’est pour vous remettre dans le droit chemin, pour parfaire votre éducation et faire de vous de bons et parfaits citoyens. La France a honte de vous. Mais le temps du redressement est arrivé.
Travaillez bien.
Travaillez dur.
Travaillez plus. »
Celui qui a donné la mort mérite la mort !