AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Gérard Vincent (II) (14)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Mort d'un chartreux



« Je cède à une faiblesse en écrivant ce journal. Mais c'est faible et démuni que je me présenterai bientôt devant le Mystérieux. Mais je n'oublie pas que le Maître, lui, n'a rien écrit. Celui qui n'écrit pas est le moyeu des Ecritures. »



Pierre, un Chartreux de cinquante-six ans condamné à brève échéance, note dans un journal ses réflexions au jour le jour. A vingt-six ans il décida de rejoindre cet ordre et de vivre dans le silence, la prière et la méditation. L'avancée de sa maladie se lit en filigrane, mais plus que tout il nous fait part de sa foi et de son apaisement à l'approche de la mort.



Ce texte très court est émaillé de références théologiques qui n'entravent en rien la compréhension de ses pensées. Témoignage très personnel d'un homme qui vit ses derniers jours, il m'a touchée par sa sincérité et sa sérénité.





Commenter  J’apprécie          375
Mort d'un chartreux

Un ami, ancien moine (pour de vrai), m'a prêté ce livre me demandant mon avis. Lecture particulière mais pas inintéressante. D'abord sur la forme, c'est bluffant : le journal est si bien fait qu'en milieu de parcours j'ai dû re-vérifier qu'il s'agissait d'un roman, d'une fiction. Sur le fond, de la religion bien-sûr (notre auteur est-il croyant ? Pratiquant ? Ou alors c'est un beau travail de précision), de belles phrases emplies d'évidence quand ce n'est pas de la sagesse, indépendamment du thème principal : un moine qui écrit son journal sur les derniers mois de sa vie, un cancer le grignotant peu à peu. J'en ressors avec ces trois idées, pas nouvelles mais qu'on met de côté dans l'urgence de nos sociétés. 1/ la Beauté du monde, beaucoup passent à côté ; on nous apprend à ne plus regarder cette belle Terre au profit du superficiel et de l'artificiel. Il le rappelle : où existe-t-il dans tout l'Univers si beau chef d'oeuvre de vies (qu'on bafoue pourtant) ? 2/ Ensuite, tout le mal que l'on fait à notre "Je", qu'on maltraite, mal nourri et qu'on abandonne à la solitude moderne. 3/ Enfin, évidemment, il rappelle que Dieu n'est pas institutionnel, il est en chacun, il n'est pas là pour gérer le collectif : pourquoi l'attendre là où il 'n'est pas. Chacun sa contribution (on voit où ça mène !), comme des résonances très contemporaines. S'engager dans ce genre de vie pour éviter : crispation et dissolution.
Commenter  J’apprécie          340
Mort d'un chartreux

Récit émouvant , assez poétique d’un moine chartreux , Pierre qui nous a laissé un témoignage écrit des neufs derniers mois de sa vie , cet homme de 59 ans savait qu’il souffrait d’un cancer du cerveau incurable . Il passera vingt cinq ans de sa vie au monastère .

J’ai beaucoup aimé l’histoire de cet homme qui au fil des pages raconte comment il est devenu moine chartreux , la vie qu’il mène dans cette communauté contemplative où il arrive malgré tout à être en contact par des relations épistolaires avec des êtres meurtris qu’il essaye d’aider .

Cette fin de vie est racontée avec un grande dignité , jusqu’à son dernier souffle , Pierre pensera toujours aux autres avant lui , il trouvera un grand réconfort parmi ses ´ frères ´ , beaucoup plus âgés que lui , une fin prématurée et toujours difficile à admettre , il faut un courage inouï pour accepter de mourir dans la force de l’âge , sa fin sera adoucie par la présence des autres moines chartreux .

Un beau livre plein d’espoir et d’esprit .

Commenter  J’apprécie          240
Mort d'un chartreux

"Mort d'un chartreux" est de ces livres qui, lorsque vous les ouvrez, dès les premières lignes, les premières pages, résonnent en vous.

Parce que le style vous parle, que vous vous glissez entre les mots comme dans un écrin naturel, protecteur.

Bien sûr, ce sentiment ne se partage pas, ne s'explique peut-être même pas, tant il est lié à l'histoire personnelle de chacun de nous.

Dans ce roman, Gérard Vincent se met à la place d'un moine chartreux, condamné à brève échéance par une tumeur inopérable. Il va alors, durant ses derniers mois de vie, et avec l'accord de son supérieur, tenir un journal. Mélange de relecture d'une vie passée, de réflexions philosophiques ou théologiques, moments de doutes, d'interrogations, de souffrance jusque dans la chair, instants d'extase, d'émerveillement, d'action de grâce aussi. Tant et si bien qu'on se demande si ce livre est bien un roman. Sur la forme comme sur le fond, puisque ce journal intime sonne profondément juste, sonne vrai.

L'ouvrage pourra déplaire, dérouter. Il m'a profondément touché. Parce qu'il peut rejoindre parfois nombre de mes interrogations. Parce que j'y associe les images de la Grande Chartreuse, lieu ô combien paisible, isolé, à l'écart du tumulte des hommes et pourtant au coeur de ce monde. Parce que des amis proches y ont des attaches. Parce que le parcours et la fin de vie du "héros" font aussi écho en moi.

Me voilà donc comme apaisé à la sortie de ces quelques 150 pages, serein, empli d'un regard confiant. Conclusion un peu "grandiloquente" mais reflet d'une belle rencontre littéraire.
Commenter  J’apprécie          200
Mort d'un chartreux

"Devenir Chartreux, c'est aller au désert avec Dieu."

Voilà la grande idée.



Ce sacerdoce ultime, cet acte de foi absolu, c'est celui qu'a posé Pierre Dambleteuse, il y a vingt-six ans, en choisissant la voie cartusienne*.

Rejoindre une communauté recluse pour s'approcher au plus près du Divin, ne vivre que de lecture et de méditation, de prière et de contemplation.

Faire silence et écouter, ainsi que le préconisa jadis Bruno le Chartreux, fondateur de l'Ordre ("Qui n'est pas solitaire ne peut être silencieux, qui ne fait pas le silence ne peut entendre celui qui parle.")



Vingt-six ans plus tard hélas, une tumeur maligne condamne Pierre à très brève échéance. Alors tant qu'il le peut, le moine écrit. Il note ses pensées et le fruit de ses méditations, consigne dans un journal ses quelques angoisses à l'approche de la mort mais surtout les grandes joies de son existence, réveillant quelques souvenirs ou célébrant la beauté du monde, des mots et de la poésie. Il fait ainsi "de [s]on souffle qui vacille une forme de prière" et délivre un témoignage très émouvant, mais à mon sens trop bref et trop "décousu" pour que le lecteur lambda puisse véritablement s'en imprégner. Chaque entrée du journal fait en effet l'objet d'un nouveau paragraphe très court, sans lien avec les précédents et rédigé au gré des fulgurances de Pierre : j'ai dû me contenter d'attraper au vol l'une ou l'autre de ces réflexions éparses - souvent très inspirantes ! - sans pour autant réussir à apprécier pleinement l'unité de l'ensemble.



Bien que le texte soit très beau et que la foi qui l'éclaire soit particulièrement vive, il m'est aussi apparu très (trop ?) profond, un peu confus, presque inaccessible au commun des mortels (dans un genre un peu similaire, l'excellent "Mourir au monde" de Claire Conruyt m'avait semblé plus abordable).

Les références bibliques et religieuses sont évidemment nombreuses et pointues, et j'ai plus d'une fois eu l'impression que cet ouvrage s'adressait en priorité à des théologiens de haute volée.



Il n'en demeure pas moins que le testament de cet homme qui voit venir son agonie et l'accepte en confiance, avec "gratitude et tendresse pour ce corps qui chavire", reste particulièrement poignant.

À l'heure où la maladie, la décrépitude et même la mort semblent niées, invisibilisées, on ne peut que s'émouvoir quand Pierre nous dit à l'occasion d'une nouvelle crise de douleur :

"Peut-on donner du sens à la souffrance physique ? Je le crois. Il faut laisser venir en soi le manque, la peine, le doute, l'effroi, le deuil, la solitude, pour qu'advienne - dans le grand creux du consentement et de l'abandon - la possibilité d'une inversion de signe.

Celle-ci n'est pas certaine. Mais elle peut advenir. Et c'est alors la joie d'aube et de rosée."



Puissions-nous tous, quand viendra l'heure, nous efforcer de ce suivre ce bel exemple de spiritualité accomplie et de sérénité heureuse...



---------

*cartusien : qui relève de l'Ordre des chartreux.
Commenter  J’apprécie          166
Mort d'un chartreux

Reçu à l'occasion d'une Masse critique, Mort d'un chartreux m'a étonnée et interrogée. J'avais à peine lu quelques pages du journal intime du moine chartreux, que j'ai voulu revenir à la page de couverture pour vérifier que j'avais bien vu, sous le titre, le mot "roman". Oui, il s'agit bien d'un roman, et même du premier roman de Gérard Vincent, comme l'affirme la quatrième de couverture. Vint alors le besoin d'en savoir plus.



En cherchant des éléments dans la biographie de l'auteur, je découvrais certaines similitudes avec son chartreux. Le nom du moine est Pierre Dambleteuse, or Ambleteuse est une commune littorale proche de Boulogne-sur-mer où est né Gérard Vincent. Tous deux ont traversé une grave dépression dans leur jeunesse. A trente ans, Gérard Vincent quitte le nord pour s'installer dans la région grenobloise, en lisière du massif de la Chartreuse. Massif où est implanté le monastère de la Grande Chartreuse où Pierre sera accueilli après sa dépression, à l'âge de trente ans. Il y restera vingt six ans, jusqu'à sa mort, pour vivre sa vocation. L'auteur se cache-t-il dans les habits et la personnalité de son personnage ? C'est fort probable !

Mais le fait que l'auteur parvienne à imaginer les pensées d'un moine, pensées qui apparaissent d'une grande justesse, cela m'interroge encore. Gérard Vincent fréquente-t-il le monastère, est-il en contact avec des moines ? Je n'ai pas la réponse. 



Quoiqu'il en soit, ce journal imaginaire d'un moine chartreux, souffrant d'une tumeur au cerveau et se sachant condamné, fait preuve d'une grande spiritualité, d'un amour indéfectible pour la beauté et d'un goût prononcé pour la poésie.



L'avancée du chartreux vers la mort, pas à pas, presque jour après jour, est à la fois d'une humanité touchante et d'une grande élévation. Pas de pathos dans ce "roman", mais une espérance à la fois humble et incontestable.

Une avancée vers l'avenir, dans le présent à l'éclairage du passé. "Notre présent, nous devons le servir, le nourrir, le chanter, le glorifier. Maintenant et à l'heure de notre mort".  Un chemin de vérité dont on suit pas à pas la réflexion qui laisse des empreintes, comme celles de pas sur la neige menant vers le sommet. Un chemin de consentement qui mène au salut. Un consentement qui rend VIVANT, aujourd'hui et pour l'éternité.



Merci à Gérard Vincent pour ce ”roman” lumineux et inspiré. Merci aux éditions du Rocher et à Babelio de m'avoir permis de le découvrir et l'apprécier.
Commenter  J’apprécie          161
Mort d'un chartreux

Le journal d'un moine chartreux, Pierre, qui se sait condamné par une tumeur au cerveau inopérable. La tradition monastique des Chartreux se base sur la Contemplation.

Et c'est bien à cet exercice que se livre Pierre qui "peut écrire parce qu'il peut à nouveau prier".



Entre contemplation, réflexion théologique et réflexion sociétale (parce que l'une ne va pas sans l'autre, après tout), Pierre vit au rythme de sa tumeur, qui le fait souffrir parfois des jours durant avant de lui laisser quelques heures de répit.



J'ai été émue par ce qui dessine en creux de son caractère, de sa douceur, de sa force également. Force dans la prière, force dans la Foi.

Un journal à égrener, entrée par entrée, et à méditer.



Commenter  J’apprécie          90
L'incandescence

Un livre brûlant et inclassable. Happé, on pénètre d'emblée dans le brasier où l'auteur fut jeté à son insu, qui faillit le consumer mais dont il sortit renouvelé, purifié. Les quelques pages du récit de l'épreuve vécue par l'auteur, imprévisible et terrifiante, vous brûlent les doigts. Vous en sortez haletant et quelque peu effaré. Elles vous ont emporté dans un tourbillon : folie, schizophrénie, délire mystique, descente aux enfers. Puis au fil des trois années qui suivent l'événement maléfique, c'est la remontée inespérée, la renaissance, une résurrection. Un retour à la Vie où chaque chose s'écrit désormais en Majuscule. L'auteur nous livre alors, date après date, ses notes, pensées, lectures, observations. Véritable ”chronique des jours qui brûlent”. La Beauté, la Littérature, la Parole, la Foi, y trouvent naturellement leur place, devenant l'essentiel et le chemin sur lequel désormais Gérard Vincent va avancer. L'écriture est incandescente et magnifique, la poésie constamment présente. L'incandescence, un livre qui ne peut laisser insensible. Il fait descendre dans les profondeurs de l'être, mais ”toucher le fond ce n'est jamais être très loin du sommet.”

Commenter  J’apprécie          80
Mort d'un chartreux

Pierre est mort dans la nuit. Un départ dans la simplicité, auprès de ses frères chartreux dont il partageait la vie depuis 25 ans au sein de la Grande Chartreuse. Le père abbé dispose de son journal et décide de le divulguer.



Quel sens que celui de cette vie recluse, surtout quand on était attiré plus jeune par le destin de Rimbaud et celui du Christ (« le Seigneur des poètes ») ? C’est au fonds le désir d’absolu, celui d’une « parole qui brûle ».



Pierre a choisi d’être « un homme envahi par Dieu ». Atteint par une tumeur au cerveau, il se sait condamné et livre dans ce journal son testament spirituel.



A travers ce récit imaginaire, l’auteur propose une vision très profonde de la vie religieuse où dans cette quête d’absolu, la paix et le consentement sont un choix radical.



« La faim spirituelle est la plus terrible parce que la moins visible. »



Le journal est économe et en même temps percutant. Les quelques pages qui le compose sont remplies de paroles fortes qui semblent tellement éloignées de notre quotidien et des valeurs modernes d’un Occident matérialiste.



« Jusqu’à sa mort on est promesse » déclare le moine attentif au moindre signe de la Grâce. Dans ses jours comptés, il implore dans l’urgence pour plus de foi et consent à cet abandon de la vie; et prie pour ceux qui resteront après lui.



Cette phrase du chartreux : « la petite lampe de leur vie est comme soufflée par une ultime brise » résonne au souvenir de ceux qui sont partis.



Puisse ces paroles vous nourrir aussi et vous éclairer.



T. Sandorf



Merci à Netgalley et aux Editions du Rocher pour ce livre essentiel. #Mortdunchartreux #NetGalleyFrance
Lien : https://thomassandorf.wordpr..
Commenter  J’apprécie          60
Mort d'un chartreux

Je comprends que certains se soient posé la question de la nature de ce livre car il est très peu romanesque. Il se lit vite car il est vraiment court mais je ne l'ai pas trouvé très fluide. Toutefois de nombreuses phrases ont trouvé un écho en moi tant elles sont justes.
Commenter  J’apprécie          50
Mort d'un chartreux

Le récit est un journal intime écrit par un moine Chartreux de 56 ans, qui se sait condamné. Une tumeur au cerveau ne lui laisse plus que quelques mois à vivre et il décide d' écrire ses derniers instants de vie.

C'est une fiction mais j'ai été bluffée par la sincérité de l'écriture, comment l' auteur a-t-il réussi à entrer à ce point dans la tête de ce moine ?

Il pose quotidiennement ou presque, des pensées, des leçons de vie, de la poésie…

Il nous fait sortir, le temps d'une lecture, hors du monde où tout va très vite, ce monde "qui est devenu le désert de la vraie vie" pour nous raccrocher à l'essentiel ou l' Essentiel.

On de vient contemplatif, on se nourrit de la lumière du soleil, des pâturages, de la montagne, de la prière et du silence.

Malgré la douleur et la fatigue, on le sent apaisé, sa mort n'est pas une fin, il laissera pour certains l'ayant rencontré, une lumière sur leur chemin de vie. Lui est prêt, il l'attend comme une délivrance.



Une très belle découverte que je recommande.
Commenter  J’apprécie          50
Mort d'un chartreux

Le terme roman sous le titre me paraît inexact. Ce livre raconte une histoire, avec un début, un milieu et une fin puisqu'il s'agit des derniers mois d'un moine chartreux mais la forme du journal quasi-quotidien enlève à celui-ci la linéarité propre, le plus souvent, à la narration romanesque. L'évolution de la maladie y est dépeinte quasiment an arrière-plan, voire pas du tout. Lire entre les lignes permet de savoir ou en est le personnage. Le plus important est dans l'évolution spirituelle du personnage, des choix à l'heure du dernier parcours. Je dois avouer humblement que j'ai eu un peu de mal à suivre le cheminement intérieur, y retrouvant quelques éléments autobiographiques de l'auteur, le peu que je connais. Les aphorismes et appels à une entité spirituelle sont nombreux, soutien, on le suppose, à un passage dans la douleur physique, assumée, le tout dans un apaisement d'une conscience non dénaturée par la présence d'un corps en délitement.

La foi, le temps, la mort, ces mots soulignent la brièveté de notre existence terrestre, passage obligé vers une transcendance invisible aux yeux du commun. Les quelques références orientales me donnent à penser que les graves manquements de notre espèce résident dans l'exclusion de l'autre, le grand tout formé par la communauté des hommes reste à construire, et non à détruire, comme nous pouvons le constater chaque jour.

Si je pouvais, quand l'heure sera venue, atteindre le degré de sérénité décrit dans ce livre, se débarrasser de tous les oripeaux matériels qui nous encombrent, j'en serais fort heureux.

Ceci est un livre, la vie, celle de chaque jour, nous prend et nous consomme une énergie, un peu vaine certes, dédiée à la satisfaction de nos besoins immédiats. Je ne suis ni un moine, ni un sadu, la sainteté, je le crains, n'est pas pour moi.

Pas simple à lire, ouvre des portes sans les refermer.

Amicalement

Gilles
Commenter  J’apprécie          40
Mort d'un chartreux

Ce roman de Gérard Vincent trace les derniers mois d’un moine de 56 ans qui, se sachant mourant, consigne ses émotions, pensées et souvenirs.
Lien : https://www.la-croix.com/Cul..
Commenter  J’apprécie          10
Mort d'un chartreux

L’auteur d’essais et de récits se penche sur la vie d’un moine atteint d’une tumeur et prête sans doute une part de sa propre expérience intérieure à son personnage.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
Commenter  J’apprécie          10


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Gérard Vincent (II) (36)Voir plus

Quiz Voir plus

Stupeur et tremblements

De combien de temps était la durée de son contrat ?

2 ans
1 an
6 mois
4 mois

10 questions
591 lecteurs ont répondu
Thème : Stupeur et Tremblements de Amélie NothombCréer un quiz sur cet auteur

{* *}