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Citations de Guy des Cars (762)


Un siècle doit être trop long ou trop court selon le lieu ou l on a été condamne a le vivre.l héroïne de cette histoire a eu le bonheur de naître,de vivre, d'aimer de souffrir, de danser surtout et de mourir a paris après avoir passe cent années d'une exidrance riche en émotions.
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On ne court pas après la vérité qui s'enfuit.
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Guy des Cars
On ne court pas après la vérité qui s'enfuit.
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La fille brune n'avait pas assez vécu pour savoir que les grands amours sont passagères
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Il avait préféré sacrifier ses parents à son amour ..
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"Elle avait triché en virtuose non seulement avec les êtres humains mais aussi avec la vie, à laquelle elle avait trop demandé, et avec la mort dont elle avait devancé l'appel"
- Guy Des Cars (la tricheuse)
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On a vite sympathisé parce qu'on est tous de la même région...Les autres, ceux du Nord ou d'ailleurs, nous ont même surnommés "La bande des Marseillais". ça les agace qu'on ait tous un peu de soleil dans le gosier.
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Là il abandonnait presque à regret son chapeau melon en hiver et son canotier de paille jauni à la belle saison pour recouvrir son chef d’une toque usagée qu’il plaçait très en arrière sur son crâne pour cacher sa nuque dégarnie. Ainsi coiffé, il endossait une toge élimée, sur laquelle n’apparaissait ni Légion d’honneur ni tout autre bout de ruban, sans prendre même la peine de retirer sa jaquette verdie. Ce double vêtement lui prêtait alors une corpulence qu’il était loin d’avoir dans la réalité, bien qu’il eût largement dépassé la soixantaine. Au moment de quitter le vestiaire pour commencer sa ronde habituelle, il complétait sa silhouette en glissant sous son bras gauche une vieille serviette en cuir dans laquelle il n’y avait pour toute pièce à conviction que la Gazette du Palais.
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Elle apparut, la fille, mais la vision fut telle qu'il en eut le souffle coupé : ce n'était pas la fille de légende, mais une fille qui n'avait pas pris le temps de se maquiller, ni de dénouer sa chevelure. La robe de rêve était remplacée par un peignoir quelconque jeté sur une chemise de nuit. Ses pieds dans des vieilles pantoufles d'où dépassaient ses orteils.
L'amoureux manqua défaillir de surprise.
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-Et vous pensez que ce criminel viendrait rôder autour de la tombe ?
- Pourquoi se gênerait-il ? Quand on a mis un tel acharnement à supprimer un homme, on doit éprouver un étrange sentiment de satisfaction à le savoir sous terre !
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Depuis trois jours la pluie n'avait cessé de tomber. Elle s'était réfugiée dans la bibliothèque où la seule manifestation de vie était le crépitement d'un feu de septembre dans la vieille cheminée. Blottie, pieds nus, dans le fauteuil, la Juive restait prostrée pendant que son regard allait alternativement de la contemplation des flammes à celle du joli portrait où elle se revoyait en robe pourpre.
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Elle était une maharani , toute jeune, portant un "sari" blanc brodé d'or, avec une longue traine qui passait entre ses jolis pieds et qui avait balayé le tapis de la salle à manger quand elle était entrée ; comme bijoux elle arborait des rubis à ses oreilles, à son cou, à ses poignets, à ses doigts, à ses orteils même...
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Solange Duval avait appris les 6 systèmes différents de signes qui lui étaient indispensables pour pouvoir communiquer avec l'infirmer : la langue mimique, la dactylologie, l'écriture Braille, l'écriture typographique Ballu, l'écriture anglaise et même le langage vocal propre aux sourds-muets dont l'emploi n'était qu'assez limité.
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Les gens ont la conviction que plus ils paieront cher un avocat à tapage et plus leur peine sera légère. Ce en quoi, pensait Deliot, ils se trompent lourdement ! Trop de publicité faite sur le nom d’un avocat n’est pas toujours la meilleure arme défensive. Mais comment un vieil homme comme lui pouvait-il lutter – dans ce siècle de bluff grandissant et de mégalomanie universelle – contre un courant qui envahit même les cours de justice ? N’étaient-ils pas légion ses confrères, dont la longue expérience et la pratique patiente des couloirs du Palais n’avaient plus grand poids devant l’assaut de jeunes Turcs aux toques fraîches dont l’unique ambition était de se faire un nom au plus vite et cela par n’importe quel moyen.
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— Mamie, pourquoi fait-on des rêves ?
— Personne ne pourra vraiment te l’expliquer… Ce sont des souvenirs ou des prémonitions qui passent dans le cerveau pendant que l’on dort. Ceci parce que le cerveau ne s’arrête jamais de travailler. Jadis, les Anciens croyaient à la puissance des rêves… C’est pourquoi ils avaient souvent auprès d’eux des mages qu’ils consultaient pour savoir ce que voulait dire le rêve qu’ils avaient fait.
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La franchise de mon grand-père n’était pas à sens unique. Il aimait qu’on lui dise les choses en face. Et cela donnait souvent des résultats savoureux.
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Aucun romancier à l’imagination féconde, nul poète épris d’idéal n’aurait pu imaginer une première rencontre plus romanesque que celle qui fut vécue par le jeune prince Carol de Hohenzollern et la bouillante princesse Élisabeth de Wied à la cour de Berlin alors que le jeune homme n’était encore qu’un brillant lieutenant et la jeune fille une créature dont la gaieté et l’entrain avaient besoin d’une perpétuelle activité.
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Nous avons pour principe de laisser faire aux gens ce qu’ils veulent. De plus, depuis une année que vous êtes à notre service, nous avons pu vous juger : vous êtes intelligente, capable de mener votre barque vous-même et sachant très bien ce que vous voulez. Je ne vous cache pas non plus que nous regretterons votre départ tout en pensant que vous commettez peut-être une erreur en vous laissant attirer par le mirage de la capitale.
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Le seul dérivatif était le cinéma que je découvrais à cette époque. Dire que cet art m’a passionnée serait exagéré : pour moi il n’a été et ne sera toujours qu’un passe-temps permettant d’imaginer qu’un jour peut-être viendra où l’on vivra comme les grandes vedettes de l’écran : dans le luxe. Parce qu’il n’y a que cela à m’intéresser vraiment.
Il ne faudrait pas croire non plus que je me rendais dans les salles obscures pour y faire des rencontres ou y ébaucher des flirts ! Je n’ai jamais été pour le flirt qui, à mon avis, n’est que du temps perdu. Je suis pour l’amour, le grand, le vrai, l’unique qui meuble toute une tranche de vie : celui que j’ai connu avec André.
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L'idée qu'elle ne devait s'en prendre qu'à elle-même et qu'elle était l'unique responsable de tout ce qui était arrivé, n'effleura pas une seule fois son esprit.
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