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Citations de Hugh Laurie (86)


La douleur est une réalité. Quand elle vous tombe dessus, vous vous débrouillez au mieux.
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Quand je lui ai demandé si elle voulait coucher avec moi, elle a fait un haussement d'épaules à la française, que j'ai interprété comme un refus.
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Ma longue expérience en la matière me conduit à penser que personne n'est jamais un assassin, jusqu'au jour où on en devient un.
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Elle a plissé les yeux se tournant vers moi.
- Bonsoir.
- Salut, a-t-elle dit en plissant maintenant les paupières vers la rue. Flute, quelle heure est-il ? Je suis gelé.
- Une heure moins le quart. Tu veux monter?
Elle a réfléchi.
- Tu vas un peu vite en besogne, là?
- En besogne ? Tout dépend du point de vue, peut-être ?
J’ai rouvert la portière.
- Comment ça, du point de vue ?
- Soit tu es venue ici de ton plein gré, soit on vient de reconstruire ma rue autour de ta voiture.
Elle a réfléchi encore.
- J’ai trop besoin d’une tasse de thé.


Thomas ferre le poisson qui se prénomme Ronnie. Le poisson va-t-il se faire attraper et croquer tout cru par le pécheur ? La suite ce soir… si vous avez un peu de patience. C'est promis, surtout pour les hommes !
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- Je peux dormir avec toi, ce soir ?
J'ai sursauté. Et pour m"assurer que ce n'était pas le fruit de mon imagination. J'ai sursauté encore.
- Tu veux dormir avec moi ?
- oui.
- Tu veux dormir dans le même lit, pas seulement en même temps que moi ?
- Je t'en pris.
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- Ok, Lang. Comme vous n'êtes pas un imbécile, je ne le dirai qu'une fois. Vous avez tout pigé.
Il a jeté sa cigarette avant de poursuivre :
- Et alors ? On va faire un peu de bruit et relancer les affaires. A quel moment on pleure ? Qu'est ce qu'il y a de si terrible là-dedans ?
J'ai opté pour l'approche "on reste calme". En cas d'échec, j'essaierais l'approche "on le jette dans le fleuve et on court comme un dératé".
(Ndr : Barnes parle d'un attentat...)
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De fabrication anglaise, le "Javelin" est un système lance-missiles sol-air, autonome, à vitesse supersonique. [...]. Tout compris, la chose pèse une trentaine de kilos, et vous pouvez la commander de n'importe quelle couleur, à condition que vous la vouliez vert olive.
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Woolf a fait signe au garçon, puis s'est tourné vers moi.
[...]
- Deux Martinis, a-t-il dit. Tout ce qu'il y a de plus dry, et...
Il m'a observé et j'ai rectifié en opinant duchef :
-Vodka-Martini pour moi. Encore plus dry. En poudre, même, si vous avez.

Lang en présence de Woolf et également sa jolie fille, Sarah
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La voiture était une Rover (...). A moins d'en avoir absolument besoin, personne n'achète ces machins ridiculement snobs, avec des couches de bois et de cuir collées n'importe comment dans les moindres recoins. Mais l'Etat et les hauts dirigeants de Rover en ont absolument besoin.
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On a d’abord accusé les Irakiens, ce qui semble être aujourd’hui une pratique courante. Cette hypothèse s’est imposée pendant environ une heure, après quoi des esprits éclairés ont objecté que c’était impossible car tout de même on se serait aperçu de leur présence dans le village. L’accent, la couleur de peau, les prières à genoux vers La Mecque. Tout Suisse normalement rusé aurait remarqué ce genre de chose.

Puis on a inventé un pentathlonien hagard et égaré ; épuisé après trente kilomètres de ski de fond, notre homme vacille, tombe, et le coup part tout seul de sa 22 long rifle. Herr Van Der Hoewe décède d’un accident. Bien que d’une invraisemblance astronomique, cette seconde hypothèse a conquis un nombre considérable de votants, du fait surtout qu’elle excluait toute malveillance. Le concept de malveillance étant purement inadmissible dans le paradis enneigé des Suisses.

Un instant concurrentes, les deux rumeurs ont fini par accoucher d’une troisième, tout à fait extravagante : le coupable était un pentathlonien irakien, ont clamé des esprits moins éclairés que les premiers. Fou de jalousie à l’égard des athlètes scandinaves, vainqueurs des derniers jeux olympiques d’hiver, un pentathlonien irakien (quelqu’un connaissait quelqu’un qui avait entendu prononcer le nom de Mustapha) avait perdu la raison ; d’ailleurs, à l’heure qu’il était, il parcourait encore les montagnes, en quête de grands skieurs blonds à exterminer.
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Vous savez ce que c'est, quand vous êtes entraîné par le courant. En temps normal, le cerveau transmet les mots à la bouche et, quelque part en chemin, vous prenez une seconde pour vérifier que ce sont bien ceux que vous vouliez, qu'ils sont joliment emballés, puis vous les rassemblez dans le palais, direction l'air libre.
Mais quand on est entraîné par le courant, la fonction vérification interne est parfois défaillante.
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Parce que l'amour physique est plus souvent source de chagrin que de plaisir. Parce que les hommes et les femmes ne veulent pas les mêmes choses, et il y en a toujours un des deux qui sera déçu. Parce qu'on ne me le propose pas tous les jours, et que je n'aime pas demander. Parce que je ne suis pas très doué pour ça. Parce que je ne vois plus d'autre raison.
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Je me répétais pour la énième fois ce qu'on vous recommande de faire en mer quand le courant vous emporte. Il faut le suivre, dit-on, pas nager contre. Paraît qu'à un moment ou un autre, on touche terre.
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Ce n'est pas parce qu'on finit une tirade par "point barre" qu'elle est irréfutable.
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La peur fait peur. Je la tiens pour la plus effrayante des émotions observables. C'est une chose qu'un animal fou furieux, souvent assez inquiétante, même, mais un animal terrorisé - cette boule de panique frétillante, trépidante, ces deux yeux fixes dans un tas de plumes... eh bien, je ne veux plus jamais voir ça.
C'est ce que j'avais devant moi.
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La peur fait peur. Je la tiens pour la plus effrayante des émotions observables. C'est une chose qu'un animal fou furieux, souvent assez inquiétante, même, mais un animal terrorisé - cette boule de panique frétillante, trépidante, ces deux yeux fixes dans un tas de plumes... eh bien, je ne veux plus jamais voir ça.

C'est ce que j'avais devant moi.
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...et vous pouvez la commander de n'importe quelle couleur, à condition que vous la vouliez vert olive.
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Ce n'est pas parce qu'on finit une tirade par "point barre" qu'elle est irréfutable.
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Les petits hommes gras en costume gris sont légion.
Les petits hommes gras en costume gris dont j'ai empoigné le scrotum au bar d'un hôtel d'Amsterdam sont beaucoup moins nombreux.
Un groupe très restreint, pour tout dire.
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J'étais soudain en présence de M. Spencer.
Et quelle présence ! Un Rex Harrison en plus grand, avec des cheveux grisonnants, des lunettes en demi-lune et une chemise si blanche qu'elle devait être branchée sur le secteur.
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