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Critiques de Isabelle Alonso (75)
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... Même pas mâle !

lorsque on me dit que je dois être féministe j'ai l'impression qu'on m'insulte parce que je pense de suite à isabelle Alonso qui m' énerve... je n'ai pas acheté ce livre on me l'a offert et je suis contente de ne pas l'avoir fait parce que ce livre est une rengaine... alonso n'évolue pas ...
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... Même pas mâle !

Je ne connaissais pas vraiment Isabelle Alonso, un vague visage vu parfois à la télé. J'ai adoré ce livre, drôle, léger et tellement vrai. Heureusement qu'il est drôle d'ailleurs car il évoque toutes les petites injustices de la vie et si il n'y avait pas une touche d'humour pour les faire passer...

Après cette lecture, j'ai décidé de lire quelques romans d'Isabelle Alonso.
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Alice au pays des trop vieilles

Arrêté au milieu
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Alice au pays des trop vieilles

Je suis en train de lire ce livre qui est juste à mourir de rire. Le titre et la couverture m'avaient attirés. Je vous le conseille pour passer un bon moment de détente. Me reste à trouver le T2 (" Alice etle prince barbant") rapidement
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Alice au pays des trop vieilles

Un roman humoristique léger, léger, léger que je n'ai pas trop aimé.

L'humour n'est pas toujours très drôle, l'héroïne souvent agaçante.

Même si le message final du livre est positif, tout du long, nous avons le droit à une flopée de clichés, plus ou moins sexistes.

Je ne vous recommande donc pas cette lecture, trop légère, qui ne m'a rien apporté.
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Dernières nouvelles du 87 #2

Deuxième recueil de nouvelles sur le thème de l'appartement d'auteurs des Editions Héloïse d'Ormesson. Et c'est encore une fois une réussite. Certains des textes sont drôles, d'autres mystérieux. On y trouve également des clins d’œil aux différents romans et auteurs de la maison d'édition.
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Filigrane

Isabelle Alonso nous dresse ici le portrait d’un homme qu’on a beaucoup de mal à cerner. C’est un homme inoubliable (- pas forcément dans le sens positif -) qui marquera ses femmes à vie. J’ai particulièrement aimé m’imaginer au sein de ces couples. Je prenais plaisir à mettre en place ce scénario qu’Isabelle Alonso nous offre. La question qui nous vient tout de suite est qui est cet homme ? Que cherche-t-il ? Ou encore comment cela va-t-il finir ?



Parfois, on souffre à côté de ses femmes qu’on a envie de protéger de Maximilien. Et parfois, c’est Maximilien qu’on plaint ou qu’on aimerait protéger de ces femmes.



La fin est rocambolesque mais après tout, on se dit que c’est la meilleure fin possible pour ce genre d’histoire.



On passe donc avec ce roman par une série de sentiments et de sensations. On se pose des questions sur le grand amour. Existe-t-il vraiment ? Peut-on encore y croire aujourd’hui sans être une ado naïve ? Isabelle Alonso nous remet ici en question sur ces grandes questions de l’amour qu’on peut se poser aujourd’hui. C’est donc un roman intéressant, même si j’ai préféré L’exil est mon pays du même auteur qui avait su plus me toucher.


Lien : http://iluze.over-blog.com/a..
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Filigrane

Sept femmes ont vécu une histoire d'amour avec le même homme. Chacune, à sa manière, livre "son histoire" avec lui. J'ai été agréablement surprise, je craignais les redondances mais finalement, c'est un livre intéressant.
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Filigrane

On ne sait pas pourquoi dans la pile à lire on prend ce livre et pas un autre... Lui sait peut-être tout ce qu'il va nous apporter... En questions comme en réponses... J'ai acheté ce livre par hasard puis quand j'avais réalisé qui était l'auteur, chroniqueuse chez Ruquier, "chienne de garde", je m'étais dit que je ne le lirais sûrement pas...

Sept femmes parlent de Maximilien, l'homme qu'elles ont aimé... Sept parcours différents mais un homme égal à lui-même... Promettant à chaque histoire à Ana la première que "çà ne changera rien" et tentant de garder la main mise sur les femmes ou de disparaitre sans soucis... On sait, on sent un homme malheureux mais aussi un homme qui n'apprend pas de ses erreurs, au contraire elles vont croissantes... La fin est surprenante mais avec le recul il ne pouvait pas y en avoir d'autre...

Un livre qui tombe au moment où je m'interroge beaucoup sur ma vie sentimentale et notament sur le parcours de/avec mon ex, ce récit m'a fait comprendre certaines choses, me résigner pour d'autres bref un livre qui m'a beaucoup apporté sur le plan personnel.
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Filigrane

« Maximilien n'était-il pas ma plus belle, ma plus précieuse tristesse ? Une tristesse jolie, que je préférais à des joies banales. »



Plusieurs femmes ayant aimé le même homme se racontent. Toutes ont vécu une histoire différente, toutes avaient des personnalités bien différentes et malgré tout il semble qu'aucune ne soit en mesure de dire qui était Maximilien. Aucune n'a jamais réussi à être heureuse avec lui, à construire en regardant dans la même direction parce que Maximilien.. il n'a pas de direction. Ce qui ne l'empêche pas de vouloir tout contrôler dans la vie des autres.

Je n'ai pas été envoutée par l'écriture d'Isabelle Alonso. Mais ces portraits de femme sont troublants, ou plus exactement, certaines pensées le sont, car elles rappellent immanquablement des histoires entendues, vécues ou imaginées, à un moment ou à un autre de sa propre vie.
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Fille de rouge

À la lecture, c’est un roman qui amuse parce que l’on suit les pseudos aventures d’une adolescente, fille d’immigrés espagnols, avec sa maitrise approximative du français, ses soucis face à un corps qui change… Le monde léger d’une jeune fille sans problème mais dont le passé et l’ascendance a toute son importance dans la vie quotidienne.



L’écriture est assez crue mais je trouve qu’elle respecte bien le franc parlé des jeunes de cet âge-là.

Il y a aussi des références historiques puisque l’on aborde la guerre d’Espagne et la vie quotidienne de la population pendant la dictature de Franco. Le titre renvoie d’ailleurs directement à cette période, « Les rouges » étant le nom donné aux révolutionnaires espagnols pendant la guerre, dont le père d’Anna a fait partie. Anna elle-même est une jeune fille en révolution. Elle déclare la guerre à son corps qui change, aux conventions et aux inégalités sociales, au rôle réservé à la femme dans la société.



Enfin, le rouge est la couleur du sang et, notamment, du sang féminin. Celui-là même qui relie Anna aux autres femmes de sa famille (sa mère Libertad, sa grand-mère Virtudes) et permet de mettre en perspective la vie de trois générations de femmes fortes et rebelles.



Malheureusement, une fois le livre refermé, le bilan est plutôt maigre. Ce roman ne laissera pas de trace durable dans ma mémoire parce qu’il manque de consistance.
Lien : http://carnetdelecture.skyne..
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Fille de rouge

Passionnant
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Fille de rouge

Intéressant par endroits pour le contexte politique et les réflexions d'Anna sur l'adolescence mais il ne se passe pas grand chose dans ce livre si on enlève en plus certains passages que j'ai trouvé ennuyeux, il ne reste plus grand chose à se souvenir dans ce roman. Je m'attendais à un livre plus axé sur l'adolescence de l'héroïne et donc son évolution durant cette période.
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Fille de rouge

J'ai bien aimé. L'histoire est courte et se lit rapidement. Le style d'écriture de l'autrice est particulier par moment, et m'a un peu perdu. Mais c'est dû au fait que le personnage principal est une jeune fille qui est au collège.
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Fille de rouge

Beau récit sur l'enfance, la féminité, la famille et l'émigration.

J'ai aimé ces portraits de femmes, et l'écriture vive, colorée et poétique.
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Fille de rouge

J'aime bien Isabelle Alonso. Je la trouve pétillante, intelligente, pleine d'humour et de fraîcheur et son engagement féministe me la rend particulièrement sympathique. D'elle, j'avais lu, il y a quelques années, L'exil est mon pays que j'avais bien apprécié. J'ai voulu réitérer l'expérience en lisant, avec beaucoup de retard, la suite de son roman et malheureusement pour moi c'était moins réjouissant. Les « aventures » adolescentes de la petite Angustias, fille de réfugiés politiques espagnols, naturalisée Anne, ne m'ont effectivement guère intéressées. Je me suis ennuyée. J'ai trouvé le temps long. Et les personnages, petites filles, manquaient, à mes yeux, de crédibilité: je n'ai jamais vu d'enfants, d'adolescentes affirmer avec autant de lucidité un raisonnement féministe. Elles peuvent, très tôt, se rendre compte d'un dysfonctionnement, interroger les différences qui les opposent si rapidement aux garçons mais de là à avoir un raisonnement aussi pointu je dis, « bravo ». C'est, pour moi, un peu trop tirer par les cornes. L'auteure n'a donc pas fait dans la subtilité: sa patte est trop visibile. Elle a voulu faire porter à ses personnages, à ses enfants, un discours de grand; elle a voulu leur attribuer SON discours. Pourquoi pas … mais pour que le procédé prenne, il faut qu'il soit discret. Rendu visible, il perd de son efficacité et de sa crédibilité. Isabelle Alonso, vous l'aurez compris, ne m'a pas ici transporté. Je n'ai pas été touchée par le récit qui manquait à mes yeux de puissance et d'efficacité. Au lieu de la vivacité, c'est une couleur terne que j'ai rencontré.
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Fille de rouge

Bonjour,

Je n'arrête pas de change la notation en étoiles de ce livre. C'est à dire que, en vrai, il n'a rien d'excellent. MAIS, je ne sais pas, il laisse un goût tendre et légèrement sucré sur la langue...

Il y a quelque chose de très agréable à lire ce livre qui ne donne pas dans le drame, ni dans les multiples rebondissements. Il se déroule paisible. Ça a été une parenthèse de calme dans ma vie de brute.
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Fille de rouge

Fille de rouge fait parti de ces romans qui se déguste, dont on se délecte de chaque mot. Une véritable sucrerie au goût exquis, une pâtisserie aux fruits rouges au parfum exaltant. Isabelle Alonso va, tout au long de son roman, nous faire découvrir la petite vie bien mouvementée d'Anne, une jeune fille complexée par la couleur rouge, moteur de l'histoire. Entre humour et insolite, ce livre nous berce de tendresse et d'affection.

Les personnages ont chacun leur singularité, donnant ainsi un dynamisme à l'histoire. Il est aussi à noter que l'entièreté des chapitres ne conte pas l'histoire d'Anne, mais de Libertat et aussi de Virtudes, ces femmes de générations distinctes, rapprocher par le lien du sang, la couleur rouge. L'auteure va nous offrir plusieurs portraits moraux de ces femmes, mais surtout de la jeunette, Anne, la fille, la petite fille, celle qui ne veut pas avoir ces règle, celle qui ne pense qu'au rouge.

Y a-t-il vraiment une intrigue dans ce livre ? Je ne saurai vraiment le dire. Á mon sens, les événements vont et viennent, rythmant le récit de par les péripéties de chacune. I.Alonso nous permet de vivre une relation intergénérationnelle au plus profond, dans ce qu'il y a de plus sincère, de plus respectable.

Fille de rouge est une petite perle, une pépite que l'on a pas envie de lâcher, que l'on déguste, que l'on sirote avec amusant. Que vous dire de plus ? Ce livre est un cadeau tout emballé, il ne vous reste qu'une chose à faire : l'ouvrir.


Lien : http://wolkaiw.blogspot.fr/2..
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Fille de rouge

Quel plaisir de retrouver Angustias et ses envies de changer le monde ! On la sent mûrir petit à petit. Comme pour son prédécesseur, ce livre est rempli d’anecdotes qui arrivent à la petite fille. C’est drôle et frais. Mais fille de rouge, ce n’est pas que cela.



Dans ce livre, nous ferons également plus ample connaissance avec Libertad, la mère d’Angustias que nous retrouverons à plusieurs stades de sa vie : en fillette durant la seconde guerre mondiale, en mère de famille puis en personne âgée dans un homme. On en apprend plus sur l”Espagne franquiste aussi grâce aux voyages que font tous les ans la famille d’Angustias. Leur oncle, resté au pays, est nostalgique des années de liberté d’antan. Comme lui, j’ai eu envie de pousser la chansonnette et d’entonner des chansons révolutionnaires.
Lien : http://iluze.wordpress.com/2..
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Fille de rouge

Je poursuis mes lectures "écrivains des médias" puisque après Claude Sérillon et PPDA, je lis mon premier livre d'Isabelle Alonso. Le parallèle est peut-être exagéré, parce que la notoriété d'Isabelle Alonso est sans doute moins envahissante que celle des deux autres et aussi parce que Isabelle Alonso a d'abord été repérée comme auteure (d'un essai certes mais auteure tout de même) avant de devenir médiatique pour son féminisme via Les Grosses Têtes puis Laurent Ruquier.



De féminisme, c'est essentiellement de ça qu'il est question dans ce livre, en tout cas la question de ce qui fait qu'on devient femme, des changements de la puberté. C'est dans ces pages que l'auteure est la plus douée, on sent qu'elle maîtrise son sujet et qu'elle a des angles de vues originaux, notamment les pages sur les règles qui justifient en partie le rouge du titre. L'autre partie du rouge, celui du communisme, de l'anti-franquisme donne lieu à des pages qui m'ont semblé plus cliché, plus attendues et qui atteignent moi à l'émotion.



Le contraste est également assez flagrant entre les scènes de dialogue entre jeunes filles au début du collège, touchantes dans leur simplicité assumée et les pages d'envolée plus lyrique où je ne suis pas parvenue à suivre l'auteure dans certaines envolées stylistiques qui m'ont semblé artificielles.



Une impression contrastée donc, d'autant que les chapitres courts font plus cartes postales remplies d'impressions et pas assez consistantes pour réellement donner corps à des personnages que l'on sent-sait n'être que les alter-ego des membres réels de la famille de l'auteure.



Le moment passé reste agréable... peut-être aussi grâce à la brièveté de l'opus qui permet d'échapper à la lassitude.









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