Marlysa morte, la vie a repris son court chacun de son côté. Mais une nouvelle se repend et les fait se regrouper : la femme au masque serait vivante et jouerait les justicières.
Je croyais cette série terminée avec l'enterrement de son héroïne mais il n'en est rien. J'avoue ne pas avoir été très convaincue par son ressuscitement et par ses pouvoirs démoniaques que cela implique.
L'histoire met pas mal de temps à démarrer et j'ai trouvé le début un peu longuet.
Apres l'on retrouve ce qui fait le charme de la série : de l'aventure, des combats, des dessins efficaces et colorés.
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Ce personnage était sans doute l'un des plus intéressants à découvrir. Comment est 'il devenu Skullface ? Par quel destin tragique était 'il passé ? Nous étions réellement curieux de connaître l'évolution du compagnon d'arme de Preko.
Malheureusement, le traitement un peu poussif qui en sera fait ne sera pas vraiment à la hauteur des attentes suscitées par les fans. On a l'impression que ce personnage semble aux antipodes de celui imaginé par Crisse dans la série mère même s’il semble toujours intéressant de dévoiler de nouvelles facettes. Cependant, cela ne prend pas et on s'ennuie un peu à la lecture.
On pourra regretter ce manque d'inspiration. On est très loin de l'émotion suscitée dans le précédent tome. Bref, la comparaison est rude et explique en partie cette petite déception. Juste un raté dans l'univers bien riche de Kookaburra Universe.
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À moins qu'on ne soit un fan inconditionnel de Marlysa, ou de son auteur, ou des bd d'aventure, je pense qu'il devient nécessaire de changer son état d'esprit lorsqu'on aborde le 15 ème tome d'une série.
C'est ce que j'ai tenté de faire, un peu en vain, essayant d'ouvrir cette bd comme si je ne connaissais pas, comme si je découvrais l'univers de Marlysa.
Et bien la tentative s'est avérée un demi échec, ou une demie réussite.
Échec car, malgré mes efforts d'amnésie volontaire, je n'ai pu empêcher mon esprit de se souvenir des personnages, même s'ils sont extrêmement nombreux, ce qui m'a rappelé malheureusement que trop de personnages finissait par nuire à l'ensemble. Il s'est également souvenu que depuis quelques tomes, les aventures de Marlysa ne sont plus conçues en terme de cycle mais en one shot, même si on peut voir un semblant de continuité entre les tomes. Ce qui fait ressurgir la désagréable sensation de continuité commerciale.
Réussite car, j'ai quand même apprécié le récit aventureux et toutes les péripéties que fait vivre l'auteur à son héroïne, ce qui me rappelle que celui ci doit faire preuve d'une sacrée imagination pour concevoir toutes ces intrigues, qui n'en sont pas vraiment, et qui oblige l'auteur à enchaîner les évènements afin de garder sinon l'intérêt, en tous cas l'attention de son lectorat.
Je noterai un évidente baisse de la qualité des graphismes, et ce depuis quelques volumes déjà...
Donc voilà, vous êtes prévenu(e)s... à vous de faire le choix de la destination du contenu de votre porte monnaie...
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J'ai été charmée par cette adaptation en BD, c'est bien la première fois…
Cela tient à la qualité des dessins, aux couleurs harmonieuses et à la mise en scène cinématographique : la première page, par exemple, ne contient pas de texte, mais ses images sont éloquentes. Comme au cinéma, le dessinateur utilise les gros plans sur les visages pour nous montrer les émotions de ses personnages. Ces derniers sont tous bien dessinés et différenciés et me font penser à un casting de film - auquel j'adhère !
Le scénario brillamment synthétique reprend tous les éléments significatifs du roman, restituant à un rythme naturel l'intrigue et l'ambiance.
Le dessin et les couleurs sont superbes.
En résumé, cette adaptation est un hommage fidèle au texte d'origine et aussi (il me semble) une belle aventure en BD qui fait honneur au talent de ses créateurs (texte, mise en scène, dessin, couleurs).
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Je ne sais pas trop quoi penser de cette bd. Cette série compte 4 tomes qui ne se suivent pas mais dont le point commun, le thème central est l'androïde.
Ici il est question de l'artificialité de l'androïde confronté aux sentiments humains, intimement liés dans une réflexion qui taraude le personnage principal Kielko, dont on devine les intentions dès les premières lignes. Ces humains qui le passionnent et qui l'intriguent en même temps est un modèle pour lui. Il les étudie afin de devenir l'un d'eux. En début de tome, Jean Charles Gaudin nous rappelle que : " un robot n'est pas tout à fait une machine. Un robot est une machine fabriquée pour imiter de son mieux l'être humain." Cette phrase d'Isaac Asimov prend tout son sens dans cette bd et le scénariste va même plus loin, puisque le dit robot ne se contente pas seulement de nous ressembler. je n'en dirai pas plus sous peine de dévoiler toute l'intrigue.
Il est intéressant de noter le parti pris de l'auteur. En effet cet androïde, complètement artificiel même s'il est doté d'un système d'interfaces et d'un niveau "d'intelligence" suffisant lui permettant de "considérer" les sentiments humains, de les analyser et de les "intégrer" à son propre système, observe les êtres humains, les êtres vivants, que ce soit dans leur vie, ou leur mort ( il note la fragilité de nos enveloppes charnelles) et se pose comme un étudiant. Mais ces êtres humains observés ( un couple et un enfant) sont présentés dans leur quotidien comme des êtres pratiquement artificiel. Il est difficile de croire en leur état vivant, naturel, tellement leur vie n'est qu'en réalité un vaste mensonge, une supercherie, un ersatz de vie humaine. Tout est dans le paraître. l'auteur va même jusqu'à faire du personnage principal un peintre, qui vit de ses expositions. Quant à sa compagne, on ne sait d'elle si ce n'est qu'elle voyage pas mal, qu'elle s'absente du domicile régulièrement. L'artificialité de leur vie ne pouvait qu'aboutir à ce que l'on devine, le mari trompe régulièrement sa femme pour satisafaire ses pulsions. C'est plutôt convenu mais cela prendra tout son sens dans le dernier acte de la bd. En effet, l'androïde, dans sa quête d'humanité ira jusqu'à protéger son modèle et même se faire son complice, jusqu'au drame final. La femme découvrant que son mari s'offre des parties de jambes en l'air réagit violemment, une dispute éclate et dégénère, l'androïde intervient pour protéger son modèle et agresse la femme. Finalement, l'androïde sera inculpé et reconnu coupable, et "exécuté" .
J'ai du mal à comprendre le dénouement et la position de l'auteur, et je n'ai su me positionner moi même tant il n'est pas clair. La dernière scène montre bien à quel point le parallèle artificiel/ sentiments est traité, et qu'il est bien le sujet du récit, mais c'est dans sa résolution que quelque chose me gêne.
Sur le fond comme sur la forme, cette bd est tout de même bien foutue mais je doute que le sujet traité n'intéresse plus que cela, les amateurs de sf.
La note est à l'image de mon avis... incertain...
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Fitz rencontre par hasard Dame Patience, la femme de son père. Elle va prendre son apprentissage en main en lui apprenant musique et poésie. Mais c'est également grâce à elle qu'il va commencer un plus rude apprentissage: celui de l'Art, à savoir comment communiquer par l'esprit.
Dans ce tome on continue donc l'apprentissage de Fitz, centré sur celui de l'Art avec un maitre, Galen, qui ne l'aime pas. Ce trouve que l'Art n'est pas très bien rendu dans ce tome, mais je pense que ça ne doit pas être facile de faire comprendre quelque chose d'un peu abstrait. Fitz est doué, puis ne l'est plus, dans cette discipline. Sans que l'on comprenne vraiment d'où vient le problème.
C'est dans ce tome que le lien, très important pour la suite, entre Fitz et le prince Vérité, va se nouer.
Un second tome qui ne s'envole pas. On a toujours l'impression d'être dans une introduction. Mais on peut louer les efforts des auteurs pour leur volonté de coller au récit de Robin Hobb.
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Après avoir convaincu les Thaumaturges de ne plus intervenir dans leur monde Marlysa et ses amis rentre chez eux pour découvrir que les habitants de Tolden ont été enlevés. Ce sont les rinults qui ont fait le coup, afin d'avoir un bon lot d'esclaves.
Nous retrouvons ici Marlysa et ses nombreux amis. Un peu trop nombreux à mon avis. Trop de personnages secondaires viennent accompagner notre guerrière au masque, du coup on s'y intéresse moins.
C'est un tome avec de l'aventure, des combats, et un univers que l'on prend plaisir à découvrir avec la patte graphique de Danard.
Ca reste léger, ça se lit bien mais on aimerait retrouver le souffle du début de la série avec un enjeu un plus étoffé.
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Je commence à trouver que certains éléments de l'histoire se répètent ou s'étirent inutilement, alors que rien d'intéressant ni d'important n'est apporté au récit par ces répétitions ou ces étirements. Toutefois, la bande dessinée présente toujours les mêmes qualités littéraires et artistiques que les tomes précédents.
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Ce 2e tome est aussi intéressant que le premier. Le personnage de Fitz évolue encore à travers toute une série d'aventures. J'aime beaucoup les liens entre le personnage principal et les animaux, ce lien est à la fois mystérieux et touchant. J'ai bien hâte de voir en quoi cela influencera ses actions et son destin. J'aime aussi l'ambiance créée par la bande dessinée: les décors, les aspects historiques liés au Moyen Âge comme les aspects plus magiques liés à l'univers fictionnel de cette époque. Une autre force du roman est son accent sur les complots, les différentes manipulations dont est l'objet Fitz. Cela est intrigant et frustrant à la fois. On ne sait plus trop qui est méchant, qui est gentil et comme le personnage pourra démêler tout ça en restant vivant.
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Quatre enquêtes, au cœur d’une monarchie steampunk, menées par un couple d’enquêteurs partageant la même enveloppe corporelle. Tantôt homme, tantôt femme, un simple contact avec un miroir suffit pour la permutation. Jim et Jenna alternent les tours de veille pour résoudre les mystères qui se présentent.
Un univers dont les règles se construisent au fur et à mesure de la lecture. Tout est alors possible, ne reste qu’à se laisser porter par les planches.
Un bon moment de lecture sans transcendance, au point que je me sens de passer mon tour pour la suite. Ni les dessins, ni les intrigues n’ont provoqué cette soif d’un plus.
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Très bon tome 3 que celui-ci. Jenna a rejoint le bureau royale, Jim et elle vont devoir résoudre une nouvelle affaire alors que le cirque Collossos se représente en ville. Un mystérieux tueur s’en prend à des femmes bourgeoises et célibataires, un homme entre mais c’est une femme qui ressort!
Étranges faits quand on connaît l’histoire de Jim et Jenna.
Le scénario est toujours aussi bon, un peu moins d’humour je dirais dans ce tome mais la bande dessinée est fidèle aux deux premières, l’action est très présente, on ne s’ennuie pas, c’est bien écrit, les dessins sont super. Vivement la suite.
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C’est l’une des rares séries plutôt connues qu’il me restait à aviser. Eh oui, je suis plutôt dans la situation d’avoir lu toutes les principales séries...
Pour tout dire, cela me chagrine un peu dans la mesure où la phase de découverte est passée et que c’est derrière moi. Bien sûr, on pourra me rétorquer qu’il y a toujours de nouvelles séries en cours qui sont intéressantes. Cependant, ce n’est plus pareil passé un certain cap. Cela m’apprendra à aviser tout ce qui me passe par la main. Il existe cependant une seule série archi-populaire que je n’aviserai jamais.
Je n’arrivais pas à mettre la main sur celle-ci bien que l’envie de la découvrir me taraudait depuis quelques temps. J’ai senti à son synopsis que c’était le genre d’histoire un peu fantastique que j’aimais bien. Il y a tout d’abord ce côté enquête policière qui est rondement bien menée au niveau du scénario. Le graphisme est également plutôt agréable. Bref, il existe tous les ingrédients pour passer un bon moment de détente.
Et puis, le petit plus vient de cet univers un peu cyberpunk situé dans une ville qui ressemble étrangement à New-York tout en se plaçant sous un régime monarchique. Le mystère de ce dédoublement de personnalité vient ajouter à la sauce qui prend facilement le lecteur. Cette série a vraiment tout pour plaire car elle maîtrise parfaitement les rouages.
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En vous procurant cette intégrale regroupant les tomes 9 à 12 de Marlysa, vous vous attaquez à un gros morceau. En effet, c'est pas moins de 242 pages d'aventure non stop qui vous attendent.
Cette intégrale regroupe donc l'ensemble du cycle du secret, un récit qui court sur 5 tomes et qui ne vous permettra de respirer que rarement.
Marlysa saute d'action en action, ne se repose presque jamais. Et c'est également le cas pour ses compagnons. Tous sont embringués dans une folle course poursuite qui commence dès la première page et qui ne s'arrêtera qu'à la 240 ème. Les moments de repos sont rares à tel point que vous en profiterez pour faire vous aussi une petite halte. Sinon on retrouve tout ce qui fait le charme et la réussite de cette série. L'aventure, l'exotisme, un brin de sensualité, de l'action en veux tu en voilà, un zest d'espionnage et d'enquête, et surtout énormément de générosité de la part des auteurs. Que ce soit pour le scénario ou les graphismes, les auteurs s'en donnent à coeur joie pour donner son souffle homérique à cette série. C'est en effet une véritable odyssée que vit Marlysa, de péripéties en péripéties grandiloquentes.
Je vous conseille de vous armer de patience, d'une bonne bière, ou d'une bonne tisane, éventuellement d'un petit en-cas, car vous ne quitterez cette intégrale qu'après l'avoir englouti dans son entièreté.
Vous ne vous ennuierez jamais...
Le seul bémol que je mentionnerai concernera la dernière phase de ce cycle, correspondant grosso modo au dernier tome, dans lequel apparaissent plusieurs "méchants" officiant au sein de cet Ordre Noir. C'est à n'y plus rien comprendre, on ne sait plus où donner de la tête d'autant que certains personnages disparus refont surface, et certains autres changent d'allégeance. Trop de personnages tuent les personnages messieurs les auteurs. Du coup, certains passent totalement à côté et ne représentent rien si ce n'est de la chair à canon de fin de niveau.
Vous serez également ans doute gênés par le poids assez conséquent du volume. le tenir entre les mains plusieurs heures durant relève de l'exploit...!
Mais bon c'est une intégrale et ça s'mérite!!
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Un bel album avec de jolis dessins très agréables. Cependant, je n'ai pas trop accroché avec les personnages et encore moins avec l'histoire. Dommage.
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C'est toujours un plaisir de retrouver un nouveau tome de cette série et toujours un bon moment en compagnie de Jim et de Jenna. Toutefois, j'aurais du relire les deux tomes précédents. Ca remet dans le contexte car leur histoire reprend là où on les avait laissé et ça donne un peu plus de profondeur. Ca m'a manqué mais ça n'est que de ma faute.
On alterne l'enquête et l'état de santé de Jim et de Jenna. Ca rend leur rétablissement plus lent et ça évite de s'enfermer dans une enquête classique. Car cette dernière en soi n'est pas très développée, pas très recherchée. Sans grand suspense. Mais on garde aisi l'esprit de la série. On s'intéresse beaucoup plus aux deux personnages principaux. On se demande ce qu'ils vont devenir et les conséquences. Les autres sont un peu absents, on ne fait que les entrecroiser.
Les dessins sont toujours une réussite et très agréables.
On attend la suite avec hâte et plaisir.
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Ce troisième tome termine cette trilogie de manière magistrale. Alors que le récit poursuit sa route logique et se referme sur lui même pour nous amener jusqu'à un événement que l'on devine bouleversant, les éléments qui se sont mis petit à petit en place, commencent à se dévoiler les uns par rapport aux autres, et à s'imbriquer pour former le puzzle final. Gaudin introduit la question de la religion jusqu'au point où elle devient le centre de ce tome.
Le récit se referme sur lui même à l'image des personnages, qui se retrouvent prisonniers. C'est dans ce camp que tout se termine, l'auteur nous le fait bien sentir. Il n'est plus question de tergiverser sur les différences et sur le respect des coutumes; seule compte la survie. Et la réponse à la question fondamentale, but ultime de l'expédition.
Gaudin nous emmène bien tranquillement jusqu'à un paroxysme, un dénouement, qui une fois découvert, nous apparaît comme d'une évidente simplicité. Mais c'est son caractère presque naïf qui lui procure toute sa force et toute sa portée, et qui donne tout son sens au récit global. Car il est question de responsabilité de nos actes, et d'héritage. Que laissent t'on aux générations par nos actes inconsidérés? De quoi vont t'il hériter? Et à quel prix?
A travers cette trilogie, Jean Charles Gaudin a proposé sa version, qui pourrait devenir réalité, de la responsabilité à l'échelle humaine, et nous invite à réfléchir et à nous remettre en question avant qu'il ne soit trop tard, et que nos actions, même les plus insignifiantes, n'engendrent de conséquences irréversibles à long voire très long terme.
à lire absolument....
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Cela fait maintenant quelques temps que je harcelais les responsables de ma bibliothèque favorite pour qu'ils me dénichent les 3 tomes de cette bd signée Jean Charles Gaudin.
Et je les remercie d'avoir exhaussé mon souhait, et tant d'autre.
J'ai donc beaucoup aimé ce premier tome qui nous emmène au coeur de l'action et au coeur d'un univers où les moeurs et les cultures s'entrechoquent, parfois avec violence, souvent avec agressivité et dédain.
Si le scénario sert avant tout à mettre en place le décor et à présenter les personnages principaux, ainsi que les enjeux, il ne se contente pas de raconter une histoire mais permet d'ouvrir une réflexion sur la différence, la tolérance et les moeurs et cultures. En effet Gaudin nous invite à suivre un groupe de gens réunis dans un seul même but, celui de trouver le responsable des pertes inexpliquées qui surviennent dans les deux camps. Alors qu'il s'accusaient les uns les autres de la calamité qui les accablent, ils découvriront qu'ouvrir les yeux et s'ouvrir aux autres en laissant les préjugés et les faux semblants de côté, leur rendra plus service.
Gaudin dresse un tableau intéressant de la race humaine face à ses propres peurs, incompréhensions et et autres incohérences.
L'histoire est magnifiquement servie par un graphisme fin et juste; les expressions des visages sont parlantes et les personnages et créatures indigènes sont très bien dessinés à mon goût. Les dessins de Peynet illustrent parfaitement la dangerosité de ce monde dans lequel évolue les personnages principaux, nous rappelant que l'être humain n'est pas le seul danger ici.
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