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Critiques de Jean Diwo (250)
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Les Violons du roi

L'auteur de ce roman nous invite ici à pénétrer un monde très fermé, très secret : celui de la lutherie. "Les violons du roi" raconte l'histoire d'une poignée d'artisans de talent installés à Crémone et qui vont transformer le violon des ménétriers en instrument royal. Ils vont faire passer le violon des obscures cours de fermes aux cours flamboyantes de l'aristocratie européenne, du commun au précieux.



C'est à Crémone, patrie originelle du violon, que nous entraîne "Les violons du roi" et partir à la découverte de la bottega de Niccolo Amati, petit-fils d'Andrea Amati et inventeur de l'instrument. Niccolo Amati, dont les apprentis - prestigieux - se nomment Jacob Stainer, Andrea Guarneri et Antonio Stradivari qui bouleversera l'histoire de la musique et du violon.



Dans cette bottega crémonaise le Maître et les élèves ne vivent que par la musique et pour la musique. Y viennent les plus célèbres et les plus célébrés des violonistes italiens de l'époque, à commencer par Benvenuti.
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Le Printemps des cathédrales

Jean Diwo nous raconte les règles, les traditions, les secrets et les passions de ce monde de la construction en y mêlant les mésaventures de la famille royale française. De Sens à la Sainte-Chapelle et de Louis VI à Louis IX, nous parcourons ainsi le XIIe, siècle en compagnie d'une famille de bâtisseurs de cathédrales.
Lien : https://books.google.fr/book..
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La Fontainière du roy

Je ne sais pas si ce sont mes études de Lettres, mes boulots de prof de français et de bibliothécaire ou simplement mon éducation, mais pendant de très nombreuses années, je n'ai jamais abandonné un livre. J'avais l'impression que je n'honorais pas le contrat implicite entre moi et l'auteur, ou bien que j'allais forcément manquer quelque chose dans les dernières pages... Mais voilà que j'abandonne coup sur coup deux romans historiques (le précédent, une enquête de Nicolas le Floch). En fait, aujourd'hui, je me dis que la vie est trop courte pour m'embêter avec des bouquins qui ne me plairont pas, et surtout que personne ne va plus me demander de les analyser ni me les coller à l'examen ! J'ai donc abandonné "La Fontainière du Roy" après le premier chapitre. Il y avait pourtant tout pour me plaire, notamment car j'adore l'histoire du Grand Siècle que je commence à bien connaître. Je n'ai pas eu l'impression de lire un roman mais de l'Histoire à peine romancée : déjà, je déteste quand il y a des notes de bas de page, car elles interrompent la lecture et que j'ai l'impression qu'on me prend pour une andouille. Que l'auteur tienne à étaler sa science, certes, mais qu'il le fasse au moins à la fin du roman ! C'est comme si Jean Dixo avait été dépassé par toute la matière qu'il a récoltée sur le sujet ; et justement, un écrivain n'est pas un historien : il devrait faire des choix sans les justifier ni nous sortir de l'ambiance, et rendre ses personnages humains. Ce n'est pas parce qu'il s'agit de Louis XIV ou Fouquet qu'on devrait avoir l'impression de voir une gravure ancienne se tenir sur deux pattes et parler à coups d'extraits de mémoires... Si j'aime lire des romans historiques, c'est justement pour sentir que les grands personnages de l'Histoire sont des humains comme moi, avec leurs défauts, leurs qualités, leurs failles et leurs émotions, ce qui n'était clairement pas le cas ici.
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L'Empereur

Après les artistes et les ébénistes, Jean Diwo profitait de la trame de ce roman, pour rappeler le rôle majeur qu’a eu la presse au vingtième siècle. En informant bien sûr, mais aussi en formant l‘opinion et en inventant de nouveaux concepts de diffusion. La force des quotidiens a été d’être un relais indispensable des discours des politiques, créant des liens entre pouvoir et médias qui perdurent aujourd’hui. Sauf que la presse écrite n’a cessé de décliner au profit de la télévision, puis des nouveaux médias.

Dans ce roman, Adrien Anthelme part de rien et devient grâce à bonnes rencontres à se faire un nom dans les rédactions des quotidiens, avant de devenir le patron tout puissant d’un groupe de presse et de publicité. L’ombre de Pierre Lazareff et de France-Soir n’est pas loin...

Bien écrit, assez dynamique, le texte de Diwo ne prend vraiment tout son sel qu’en comparant le roman à l’histoire réelle du siècle dernier.

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La Fontainière du roy

Déception notamment à côté du roman du même auteur "Au temps où la Joconde parlait". Roman intéressant pour son évocation des débuts de la construction du château de Versailles, de cette époque qui regroupe tant de grands architectes, jardiniers, peintres, hommes de lettres symboles de "Grand siècle". Pour le reste, cette intrigue à l'eau de rose qui raconte le destin de l'héroïne Clémence, fille du fontainier du roi François de Francine, n'a aucun intérêt à mon goût.
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La chevauchée du Flamand

Un Jean Diwo de la même eau que "Du temps où la Joconde parlait ": même écriture fluide — bien qu'un peu artificielle à mon goût — même genre de portrait, même insertion de la petite histoire dans la grande, ce qui permet de réviser les faits marquants de l'histoire de France, de Navarre et plus largement de l'Europe de l'époque dans laquelle Rubens a vécu, et d'apprendre sur son rôle et pas seulement en tant qu'artiste. Je m'en souviendrai comme d'une lecture facile et réjouissante pour qui, comme moi, s'intéresse à la peinture et à l'Histoire.
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La Fontainière du roy

J'ai aimé me plonger dans l'ambiance de la Cour de Louis XIV, de la construction de Versailles, réviser mon histoire de France. J'ai moins aimé l'écriture qui sans être désagréable n'est pas celle d'un écrivain. Les amours à l'eau de rose de Clémence sont aussi ennuyeuses que les obligations auxquelles elle a dû se plier pour entrer à la Cour et les longueurs des descriptions n'atténuent évidemment pas l'envie qu'on a parfois de l'abandonner à son heureux sort. Quelques sursauts parfois dans l'action aident à terminer le roman. Malheureusement, la fin s'ouvre sur le début d'une nouvelle aventure, une suite que je ne lirai sans doute pas tant je reste sur cette impression d'ennui qui a accompagné ma lecture.
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Les Dames du faubourg, tome 2 : Le Lit d'ac..

Suite des « Dames du faubourg ».

On retrouve avec plaisir la famille Oeben, menée par Antoinette, fille de cet ébéniste réputé, mariée à l'aristocrate de Valfroy puis compagne de Lenoir, homme de goût et de culture. Les maîtres - artisans du faubourg sont toujours là et vieillissent après avoir passé le relais à la génération suivante : Jacob, le maître des sièges Louis XV et Louis XVI, Riesener, le vieil ébéniste, Richard et Lenoir, fondateurs de la filature sur le boulevard qui portera leur nom, les bronziers, les miroitiers, les tapissiers, les faïenciers, tous s'activent de la Révolution à la Restauration et il est plaisant de suivre leur parcours, plus ou moins romancé et enrichi de personnages de fiction crédibles et attachants.

Diwo est né dans ce quartier qu'il semble bien connaître et auquel il est manifestement très attaché. J'ai bien aimé, parce que j'y ai passé mon enfance, son évocation de la place d'Aligre, avec son marché Beauvau fondé par l'abbesse de Saint Antoine des champs. Qui aurait pu croire que ces vieilles maisons, aujourd'hui disparues au profit d'un hideux immeuble moderne et déjà de piètre figure, aient vu passer Eugène Delacroix (qui serait le fils naturel de Talleyrand) et toutes ces célébrités du XIXème siècle dans le « salon » de la délicieuse Antoinette ?

Si je peux, je m'attaque au troisième volume dès cet été !



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Les dîners de Calpurnia

Calpurnia est la fille adoptive de l'architecte de Néron. Elle est belle et cultivée et aime s'entourer de beaux esprits. A travers le récit de la vie de cette femme, l'auteur nous fait traverser un siècle d'histoire de l'empire romain, de l'incendie de Rome par Néron au débuts du christianisme.
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Au temps où la Joconde parlait

Un roman dynamique partagé en plusieurs chapitre pour suivre l’évolution de chaque artiste. Il y a bien sur les incontournables : Léonard de Vinci, Michel Ange, Botticelli, Raphaël mais bien d’autres encore ayant eu leur place parmi les grands. J’ai d’ailleurs découvert Antonello da Messina qui fit le trajet jusqu’à Bruges afin de connaître le secret de la peinture à l’huile.



Le contexte histoire ne manque pas d’être décrit étant donnée la relation étroite qu’entretenaient les artistiques avec les rois, les papes et autres grands de l’Italie.



Le contexte historique n’est pas particulièrement développer mais le roman est très fluide à lire et les dialogues donnent de la vie aux personnages.
Lien : http://unepauselivre.over-bl..
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Les chevaux de Saint-Marc

Un roman très intéressant, bien écrit, bien construit, basé sur des faits historiques. Vous apprendrez notamment pourquoi et comment les chevaux qui ornaient l'hippodrome de Constantinople se sont retrouvés au-dessus de la porte principale de la basilique Saint-Marc. Une belle histoire, même si parfois le propos se révèle un peu naïf : par exemple, je n'ai pas du tout "accroché" lorsque Germain, le cheval, comprend son maître Guillaume et réagit à bon escient !
Lien : http://romans-historiques.bl..
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La Calèche

Un sujet intéressant mais traité trop légèrement à mon sens : ce récit manque de profondeur et de détails. Jean Diwo n’a fait qu’effleurer le monde del ' artisanat de la sellerie et de la famille Hermès. Dommage, que les faits n’aient pas été plus approfondis, comme il avait si bien su le faire dans « Les violons du roi », « Au temps où la Joconde parlait » , « L’Empereur » .



Je suis restée sur ma faim.
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Les Violons du roi

Lorsque j'ai commencé à feuilleter « Les violons du roi » de Jean Diwo, je ne m'attendais pas à être autant immergée dans l'atmosphère de la lutherie et de la musique baroque. Bien que le violon ne soit pas mon instrument de prédilection - je lui préfère de loin le violoncelle ou le piano -, je me suis retrouvée curieuse de découvrir ce roman centré sur cet instrument emblématique.



Le récit se déroule au cœur du 17ème siècle, dans le petit village de Crémone en Italie, où nous faisons la rencontre d’un certain Antonio Stradivari, un jeune apprenti chez un maître luthier, Niccolo Amati. Dès les premières pages, l'auteur a éveillé mon intérêt en dépeignant le désir ardent de Stradivari de créer un violon qui porterait sa marque distinctive, plutôt que de se contenter de copier les créations de son mentor.



Ce roman nous plonge également dans la vie de l'autre Antonio, Vivaldi, dont je connaissais bien évidemment la renommée en tant que compositeur de génie, mais dont j'ignorais les aspects plus intimes, notamment son statut de prêtre.



Le titre du livre ne laisse aucun doute sur son sujet principal : le violon. Toutefois, ce qui m'a surpris, c'est la manière dont l'auteur a su rendre cet univers fascinant et accessible, même pour quelqu'un comme moi, une profane, et pas spécialement passionnée par cet instrument non plus.



L'écriture de Jean Diwo est empreinte de détails et de nuances, nous plongeant au cœur de l'atelier de lutherie avec ses odeurs de bois, ses copeaux éparpillés et les subtilités des vernis. Les personnages, en particulier Stradivari et ses apprentis, sont décrits avec une sensibilité touchante, bien que j'aie trouvé la partie vénitienne du roman, notamment les passages impliquant Vivaldi et Paolina, un peu moins captivante.

Malgré cela, je me suis laissée emporter par l'histoire et j'ai été surprise de constater à quel point j'étais captivée par ce roman.



Au final, je lui attribue la note de 5/5, car il m'a non seulement permis de découvrir un univers que je ne connaissais que peu, voire pas du tout, mais il m'a également donné envie d'approfondir mes connaissances sur le thème des instruments de musique et de la musique classique, qui occupaient une place si importante dans la société de l'époque.

En somme, « Les violons du roi » est un roman qui saura séduire aussi bien les amateurs de musique classique que les curieux à la recherche d'une lecture enrichissante et immersive. Je le recommande vivement à tous ceux qui souhaitent découvrir les coulisses de la création des violons les plus célèbres de l'histoire.
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Les dames du faubourg

Louis XI a signé l’acte de naissance du faubourg Saint-Antoine, patrie du meuble, de la scie et du rabot bref le royaume du bois. Jean Diwo va nous faire parcourir une page de l’histoire de France des années 1470 aux prémices de la Révolution française. Outre ces moments riches en événements, le fil rouge en sera les abbesses de Saint-Antoine-des-Champs, qui part leurs interactions avec les ouvriers du bois et le pouvoir royal, en feront les « dames du Faubourg » ; car il fallait en effet être une femme forte, volontaire et résolue, pour mener et gérer ses ouvriers et son abbaye.



Rien de plus agréable de comprendre et de suivre l’évolution du menuisier-huchier à celui d’ébéniste ; dont le grand-maître en sera André-Charles Boulle. De plus ce roman abonde de termes de fabrication de menuiserie, de secrets de recherches, nécessaire pour faire évoluer le coffre, en commode, en placards pour terminer par l’incrustation de marqueterie et/ou de bronze pour les meubles les plus luxueux



Mais il n’est pas question d’oublier la vie sociale des hommes et des femmes, des bourgeois, des nobles et donc de la famille Royale, ni bien sûr les soubresauts de l’histoire : de François Ravaillac, à la Saint Barthélemy et Pilâtre de Rozier !



Malgré tout ce récit n’omet pas les histoires d’amour, et en outre met en exergue l’importance de certaines femmes : tels Ninon de Lenclos ou Madame de Staël, qui se refusent à l’immobilisme dans leurs foyers, font salon et désapprouvent l’état navrant de la dépendance des femmes.



Découvrir ou redécouvrir les pages de l’histoire de France, sans temps mort, mais avec un plaisir indicible, dans le contexte du travail manuel du bois et de notre histoire de France.


Lien : https://bookslaurent.home.bl..
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Au temps où la Joconde parlait

Sous les yeux du lecteur, les artistes les plus renommés de la Renaissance italienne renaissent. Leurs succès, leurs doutes, leurs rêves et leur vie privée leur redonnent vie.

Le roman court sur des années et évoque Léonard de Vinci, Michel-Ange, Botticceli... Il est intéressant de voir la continuité entre ces artistes, mais on a parfois l'impression d'avoir un catalogue de grands hommes, sans vraiment rentrer dans leur intimité et en survolant la vie de chacun.
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Les dames du faubourg

Qu'il est agréable de lire et d'apprendre en même temps !!

Merci à Jean Diwo pour son art de conter L Histoire au travers des histoires de ses personnages.

Où l'on se plait à imaginer Paris au XVème siècle, à marcher dans les pas des huchiers, simples artisans, qui deviennent au fil des siècles des artistes du bois et du meuble.

Où l'on traverse les siècles à un rythme soutenu, entre les naissances et les morts, les mariages et les apprentissages.

Où l'on révise l'histoire de France, avec ses rois, ses grands événements, vus du Faubourg.

Où l'on apprend comment vivaient les corporations d'artisans, les communautés religieuses.

Où l'on suit la mode vestimentaire et ces grandes inventions qui bouleversent la vie des français : la fourchette, l'imprimerie, les montgolfières.

Où l'on croise les personnages célèbres : le Tintoret, André-Charles Boulle, Mme de Stael...

Où l'on s'attache à ces personnages moins célèbres : j'ai particulièrement apprécié la période avec Anne.



Bref, ce roman c'est la vie, la mort, la création qui reste et qui perdure au delà des générations. Un hymne à l'artisanat d'art.



Petite note pour l'éditeur : la chronologie en fin de volume est très utile. J'aurais bien apprécié un petit arbre généalogique.



Alors faut-il le lire ? Oui très grand oui. Vous allez apprendre qui a inventé la commode et vous risquez fortement d'avoir envie de visiter ou revisiter le château de Versailles et de vous promenez dans Paris avec un oeil différent...

Je recommande particulièrement à ceux qui ont aimé les Piliers de la terre de Ken Follett.

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La Fontainière du roy

Un petit bijou que ce livre.

La vie romancée pendant le règne de Louis XIV;
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Les Violons du roi

Quand on aime la musique, les cordes en particulier, on ne peut qu'être passionné par la lecture de ce livre qui nous fait voyager du nord au sud, nous documente grâce aux luthiers, nous enchante car la musique sort du livre.
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La Calèche

Si vous avez aimé Les Dames du Faubourg, du même auteur, alors sans aucun doute, vous aimerez La calèche.

Après les artisans du bois du faubourg Saint Antoine, Diwo a entrepris de raconter l'histoire romancée de la famille Hermès.

On baigne dans le cuir de Russie, les peaux de vaches et de cochons, les différents outils, l'atmosphère de l'atelier d'un sellier, les points de couture, les chevaux, les carrosses...Comme à son habitude, c'est très bien raconté, les personnages sont attachants, peut-être un petit peu trop parfaits, mais cela ne gâche pas le plaisir.

On découvre également avec intérêt Paris sous la Commune, les différents événements politiques qui ponctuent la vie de la famille Hermès.



Un bon roman, vite lu, instructif, plaisant, hélas gâché par un nombre impressionnant de fautes d'orthographe, de coquilles, de mots oubliés en pleine phrase.

Pendre à la place de Prendre, par exemple, ça change "légèrement" le sens d'une phrase. La femme du personnage principal s'appelle Christine, et devient Christiane le temps d'une phrase. Affligeant !!



Cela m'étonne de Flammarion. C'est navrant !

Quoi !? On n'apprend plus à l'école qu'il ne faut pas dire "j'ai été" mais "je suis allé" ??? Hein, les instits, rassurez-moi, on leur apprend encore ??

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Les Ombrelles de Versailles

Ce deuxième tome bien qu'extrêmement bien documenté, est beaucoup trop lourd à digéré.

Il tient davantage d'une liste chronologique des évènements de l'époque que du roman et il en perd son intérêt.

Il faut dire que cette fin de règne n'était déjà pas gaie en elle-même. Mme Maintenon incitait la cour à moins de fêtes et plus de dévotion. Chaque courtisan vieillissait à l'instar du roi, les plus hauts personnages mouraient, le royaume perdait ses guerres, les hivers rigoureux se succédaient entraînant la famine et la misère du peuple et la famille royale se décimait de maladie.

Très monotone, davantage cours d'histoire que récit romanesque.







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