Jean-Noël Blanc

Ce livre est très intéressant car il est composé de nombreuses nouvelles, 16 au total qui sont toutes plus ou moins longues, ce qui facilite leur lecture et leur compréhension. Mon histoire préférée est celle du petit garçon qui fait de la bicyclette, qui se blesse et qui finit par gagner Paris-Roubaix vingt ans plus tard. Toutes ces histoires parlent du dépassement de soi-même. J'ai aimé ce livre car il est très intéressant.

Ce livre est composé de plusieurs nouvelles, celle qui m'a le plus plu est "l'homme des cages",qui parle d'un gardien de foot qui arrête les tirs.



Thomas

Livre: "Les nouvelles re-vertes" de jeans-noël Blanc.

Ces derniers succès sont: " L’inauguration des ruines" en 2013, "tailles douces" en 2010...

C'est l'histoire de deux personne adulte (femme et homme).La femme offre une calendrier à l'homme dans lequel est marquer des chose qui pollue notre environnement donc chaque jours l'homme décide de ce débarrasser de ces choses qui se trouve dans la rue de la femme,mais chaque jours des personnes viennent nettoyer et réparaient les catastrophe de l'homme. C'est une nouvelle ironique de la planète. Cette nouvelle ne m'a pas plu car il y avais des passages compliqué a comprendre, cette nouvelle est ironique et utopique.Il nous permet de savoir ce qui pollue l’environnement. Je recommande ce livre pour se qui aime la nature.

Je n'ai pas d'extrait qui m'a marquer.

Très bon livre très dynamique.

Le livre parle des maîtres qui partent dans une foret et qui abandonnent leur chat. Ce livre est un peu triste et émouvant mais à la fin le chat rentre chez lui et tout le monde est heureux .

des nouvelles de qualité variables, intéressantes par les jeux autour du genre. dans la première nouvelle, co écrite avec Annie Saumont, l'auteur définit la nouvelle comme un café serré. Il va donc nous offrir des expressos d'une page et demi et plus encore de 4 lignes.

Je m'attendais à ce que les nouvelles soient écrites comme des reportages, mais en fait la forme est un prétexte qui donne de la cohérence à l'ensemble des nouvelles.

La plupart des nouvelles sont agréables à lire et plutôt bien construites (même si la forme est à peu près toujours la même, avec un rebondissement grinçant à la fin). Certaines sont très décevantes (en particulier une nouvelle sur l'écologie), les brèves sont un peu trop « Almanach Vermot » (ou plus exactement, elles détonnent par rapport aux nouvelles par leur manque d'acidité) mais globalement c'est assez frais et l'idée de départ donne envie de dévorer les nouvelles.

Thème du sport et de l'exploit

Le roman, tantôt balzacien (feuilleton du XIXe siècle), tantôt oulipien (multiplicité des registres d'écriture), est d'abord une histoire de famille sur quatre générations.[...] Mais c'est bien de fiction qu'il s'agit dans cette brillante Inauguration des ruines.
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Inaugurer un édifice, c'est célébrer de futures ruines, suggère Jean-Noël Blanc au fil de son ample roman-puzzle. De même que toute dynastie est vouée à s'éteindre, et tout empire industriel à se disloquer à plus ou moins long terme. Tout est voué à la finitude ? Alors autant s'en amuser, semble dire l'auteur,
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Jean-Noël Blanc est passionné de sport, football et vélo notamment, et cela se voit. Le personnage de Tavernier est crédible et très attachant. L'atmosphère du grand club de foot est bien rendue, avec les différents directeurs, ... L'intrigue commence bien, mais malheureusement, la fin n'est pas à la hauteur du reste du livre.
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J'ai adoré la nouvelle intitulée "La course de l'eau" dans la section "Nouvelles policières". Toutefois, les autres nouvelles sont banales, plutôt ennuyantes ou sans surprise.

Lu en 2017. Un recueil qui m'avait plu de découvrir, ainsi que la plume percutante et ciselée de l'auteur, aussi émouvante que réaliste. Un ouvrage nécessaire car il nous rappelle qu'à l'adolescence ça bouillonne sévère, à l'intérieur, que ça enrage souvent même !

Six nouvelles donnent la voix à six jeunes filles et garçons, âgés de 14 à 18 ans, de notre époque comme celle d'hier.

Ce livre s'intitule Nouvelles Re-vertes. Publié en 2008 par Magnier. Il se compose de 1 préface et 12 nouvelles, chacune a été écrite par un auteur différent.



Toutes ces histoires sont différentes, mais toutes basées sur le même fait, qui est l'écologie.



Je n'ai pas aimé ce livre de façon générale car le thème sur lequel se base ces récits ne m'a pas plu. De plus, je trouve le style d'écriture des auteurs monotone car j'estime le rythme des phrases trop long. Il y a trop de descriptions et pas assez de dialogues. Je trouve les nouvelles que j'ai lues assez lassantes car je n'ai pas du tout aimé l'écriture des auteurs.



Mais il y a malgré tout des points positifs à ce livre parce qu'il sensibilise sur l'écologie ainsi que la pollution. Il nous dit que l'on peut aider la planète, on peut s'en donner les moyens si on veut le faire.



Mathilde B.

Avec ses petits instants de vie, morcellés en courts sous-chapitres, ce livre nous accompagne, au début un peu de manière anecdotique. Au fur et à mesure des pages, il nous talonne et nous rattrape. Pour moi, ce fut au chapitre 10, page 217 : c'est à ce moment qu'il m'a conquis, que j'ai moi aussi cherché où était ma piscine.

C'est léger et bien écrit. Comme une petite musique qui vous attrape et vous résonne bien dans les oreilles.

Comme dirait Juliette Arnaud (France-Inter) : "Merci, bisous, Merci"

Des textes courts (ce sont des nouvelles), incisifs et amusants : quel plaisir, quelle maîtrise !

Lorsque Yv a publié un billet sur ce roman, je me suis dit que ce livre devrait me parler.*



En effet, l’action se déroule pour une bonne part à Saint-Etienne et dans les environs pendant la révolution industrielle (non, je ne suis pas si vieille que ça…)



Cette lecture m’a donc permis de découvrir ma ville d’adoption et son riche passé industriel, mais aussi deux artistes : l’un peintre et l’autre photographe.



François-Auguste Ravier est peintre et nait quelques dizaines d’années avant Felix Thiollier, photographe.



Ils se lient d’amitié tard dans leur vie mais ne cesseront jamais d’être présent l’un pour l’autre, s’enrichissant chacun à leur tour.



J’ai beaucoup aimé découvrir les jeunes années de ces deux artistes, vaches maigres pour le peintre, reprise de l’industrie familiale pour le photographe ; comment se développe leur technique.



J’ai aimé passionnément avec eux la nature et la difficulté de rendre le souffle sur une toile ou sur une photographie.



Un roman passionnant, avec des personnages qui vont vite.



L’image que je retiendrai :



L’édition que j’avais insert des reproductions magnifiques.
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La nouvelle, le retour ! un genre que je lis peu, que l'on trouve peu dans la littérature actuelle et qui pourtant a une série d'atouts pour plaire à ceux qui aiment et à ceux qui aiment moins lire : concision des sujets, personnages et lieux restreints, action unique autour de laquelle tout tourne sans intermèdes et longueurs inutiles.

On appréciera dans La Couleur de la rage la capacité de Jean-Noël Blanc à se fondre dans la peau des ados qu'il met en scène le temps d'une nouvelle plus ou moins "longue", oscillant entre à peine dix et plus de quarante pages. Pour chacune, un style original, au gré de l'adolescent que l'auteur incarne. Première ou troisième personne, la facilité avec laquelle on entre dans chaque histoire est impressionnante. Les fins arrivent, toujours trop tôt, nous faisant maudire le genre de la nouvelle parce que l'on aurait voulut un roman et en même temps, on sait que tout le plaisir est là, dans l’extrême concentration du récit.

La Couleur de la rage nous propulse dans des quotidiens, des époques différents et dans des univers mentaux bien distincts les uns des autres. Très courtes ou non, les nouvelles de Jean-Noël Blanc font mouche sur ce thème exploré avec minimalisme qu'est le passage de l'adolescence à l'âge adulte. Au delà des noms des personnages, c'est notre adolescence que l'on revit à travers eux.

Parmi toutes ces nouvelles, j'ai beaucoup aimé Fugue en mineur, Petite Colombe et Ping Pong, trois nouvelles très différentes mais passionnantes, dans lequel on se plonge d'un bout à l'autre.

Sans fard, juste et directe, comme s'y prête bien le genre, La Couleur de la rage est un recueil de nouvelles qui devrait plaire aux adolescents en pleine construction de soi.

Merci à Babélio, Masse Critique pour l'envoi de cet ouvrage. Il s'agit d'un recueil (illustré des peintures d'Elzévir) de 3 nouvelles. 3 histoires. 3 tranches de vie.



La 1ère "le printemps" relate la fin de l'histoire entre Victorien et Roberte, où comment être marié pour le meilleur et pour le pire, a conduit Victorien à prendre la plus douloureuse décision de sa vie.



La 2ème "veuve", une histoire d'âme en peine, sans doute la nouvelle que j'ai préféré lire.

Yvonne craque pour Amédée...

Amédée se fiance avec une autre...

Elle quitte le village...

Elle croit trouver l'amour auprès de Victor...

Tombe enceinte et se retrouve seule....

Ensuite Sylvestre ...

Une tornogne...fin de l'histoire...

Des hommes de passages... rien...

Felix...l'amour. ..l'âge. .. la mort... fin de l'histoire....

Seule...seule...seule...

Ne pas regarder derrière.  Pleurer et se taire...



La 3ème "la demoiselle", sans doute la nouvelle que j'ai trouvé la plus désagréable à lire, est l'histoire d'une femme trompée qui vient s'entretenir avec la maîtresse de son mari. Calmement... Très calmement... Trop calmement... Sournoisement.... Destructrice....



Je ne connaissais pas cet auteur. Son écriture est fluide. Ces nouvelles se lisent vite. Une bonne heure tout au plus. Je n'ai pas apprécié le style outre mesure. Je n'ai pas été touchée comme j'aurais pensé l'être. Livre vite lu mais vite oublié.

Les peintures qui illustrent le livre cadrent bien avec le style de l'auteur.

Ce livre, que j'ai reçu dans le cadre de Masse Critique, regroupe un ensemble de trois nouvelles. Celles-ci dépeignent trois personnages, trois tranches de vie. Rien d'extraordinaire ou d'enjolivé, l'auteur a pris le parti du réalisme, dans ce que la vie peut avoir de dur. Les personnages, situations et émotions sont décrits avec beaucoup de justesse, ce qui les rend touchantes, malgré la brutalité de certaines histoires.