Jean-Pierre Chabrol

Je connaissais Marti, le chanteur occitan, sa voie forte, je connaissais Chabrol l'écrivain conteur. Je me souviens aussi de la lutte des viticulteurs occitans pour la préservation de leurs terres, pour la défense de leur travail, contre l'importation du raisin de différents pays de la communauté européenne .... le marché commun ! Routes bloqués, délestages sur la route des vacances en 1975. Le livre rend bien compte de l'ambiance à l'époque, de l'amitié et de la solidarité à travers la lutte. Le travail en commun entre Marti et Chabrol a très bien fonctionné. Même si le livre est un peu daté, j'ai été happée par l'enchaînement des événements, par la détermination des acteurs et aussi des actrices. J'ai aussi mesuré l'évolution de l'appareil policier face à une lutte dure et des militants déterminés.

J'ai adoré ce livre qui décrit la lutte des vignerons des Corbières pour leur survie et pour la survie de leur culture occitane.

Plongez dans le beau pays cévenol grâce aux contes à mi-voix. Un jeune garçon élevé par sa mamée (dont la soupe et bien meilleure que celle de maman), qui doit lutter contre sa «saloperie», un musicien caractériel chez qui on retrouve des montagne de mouches mortes, deux vieux garçon qui veulent trouver des femmes pu encore les amoureux assassins vous transporteront dans la France du siècle passé,



Très bien écrites, ces nouvelles, oscillant entre fiction et souvenirs ont un petit goût de nostalgie. Très beau.
Lien : https://sites.google.com/sit..

Un recueil de nouvelles originales, toutes différentes, avec un point commun : Les Cévennes en toile de fond.

Elles sont écrites "à la Chabrol" avec un style simple, mais travaillé et très propre, bien tourné, imagé, avec une pointe d'humour, mais aussi de nostalgie.

J'ai toujours apprécié cet auteur, et je persiste.

Quand j'ai envie de me changer les idées ou de passer un bon momnt je relis du Chabrol (entre autre)

Petites histoires et contes du terroir cévenol.

Des historiettes typiques d'un Chabrol en pleine forme... entre solitude et vies entremêlées de 3 générations familiales,... entre autobiographie et création... entre provincialisme et universalité,... entre faits divers et expériences existentielles archétypales...

Contes d'outre temps est un recueil de nouvelles /"contes" /anecdotes qui date de la jeunesse de l'auteur à ce que j'en ai compris. Ça se lit mais personnellement je trouve cela très plat voir trop plate.

J'en ai abandonné la lecture page 79 après les 2 premiers livres ;

-La saveur des choses

-La minute qui passe



La seule anecdote qui m'a vraiment plu et marquée est "Mes cocktails" (p77-79)

Dans ce livre les contes semblent être groupés en sept thèmes. Toutefois, je ne comprends pas les thèmes : Les arbres morts ; Gueules ; Le sac et la corde. A la relecture, le thème « Les arbres morts » regrouperait les contes qui traitent de mort, de disparition.



Je vois pour définition de conte : Récit de faits ou d’aventures imaginaires avant tout oral qui relate lesdits récits. Le conte en tant que récit porte en lui une charge émotionnelle ou philosophique puissante.



Autre définition :

Récit de faits, d’aventures imaginaire, destiné à distraire.



Les récits, histoires contées se déroulent dans les Cévennes mais pas que.



Le livre compte une cinquantaine de thèmes. J’en ai apprécié, en tous cas, quatre qui sont : Les fumeurs de pipe ; Le chien dans le temple ; Radada ; Notre chien immortel.



Le texte « Les fumeurs de pipe », compare ces fumeurs aux fumeurs de cigarette, les uns prenant du plaisir à fumer, les autres le faisant machinalement par habitude, sans plus.



« Le chien dans le temple » parle d’un nouveau pasteur dans le village, qui devait déjeuner avec le diacre. Or chez le diacre au repas, il était de coutume que le chef de famille en l’occurrence le diacre fatigue la salade. Avant de pratiquer l’opération est prononcé la formule consacrée : « Les femmes comme les salades aiment être secouées, ce que le jeune pasteur à plutôt mal pris.



« Radada », de son surnom était un étudient d’une rare timidité qui réussissait brillamment aux examens écrits et était recalé à l’oral. Il rencontra une jeune fille qui lui plut et demanda à un ami comment il devait s’y prendre pour conquérir le cœur de la jeune fille …



« Notre chien immortel » est un chien perdu adopté par le grand-père de l’auteur qui remarque et apprécie les qualités du chien.



Dans l’ensemble ces contes ne m’ont vraiment pas fait vibrer.

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette histoire pleine de poésie.

J'ai beaucoup apprécié cette histoire pleine de poésie

Cet ouvrage de 1073 pages, que j'ai découvert dans ma bibliothèque pendant le 2 ème confinement, m'a enchanté, il retrace la vie des mines dans les cévennes, le dur labeur, la pauvreté, mais toujours la foi dans la vi ds habitants, Ce livre passe les uns après les autres les portraits de personnes marquantes, le chevrier, le maire à la foi mineur, l'instituteur fraîchement débarqué de la ville, etc il n'épargne pas les propriétaires de ces mines qui demandent toujours plus sans jamais payé plus, et puis les grèves, le parti communiste, les congés payés, la naissance des auberges d jeunesse, bref, un monde qu'on a oublié peu à peu, j'ai pu me retrouver un peu dans la vie de village ouvrier, intéressant.

Recueil de 9 nouvelles, écrites par 9 auteurs différents, et qui toutes racontent, de manière plus ou moins longue, plus ou moins poétique, avec plus ou moins de suspense, 9 événements ayant marqué la vie des personnages.

Découverte de qui est vraiment celle à qui on est marié depuis 25 ans, de notre réaction face au mépris des autres, du désir de savoir, de comprendre ce qui se passe autour de nous.



Ma préférence va clairement à la dernière nouvelle du livre: "La Louve" de Claude VINCENT.

Vision poétique d'un enfant sur sa vie, sur la nature et sur sa mère, cette "elle" si seule, solitaire, qualifiée de "louve" par les gens du village qui la méprisent pour une raison que l'enfant ne comprend pas... Histoire de cet enfant qui veut savoir, comprendre et qui petit à petit, finira par découvrir toute la vérité.

De toutes, c'est la seule où le style était vraiment agréable, magique et où les informations arrivant au compte goutte, on se sentait vraiment comme ce petit garçon qui ne comprend pas tout et qui découvre petit à petit des éléments de réponse.

Neuf nouvelles, avec pour thème le frisson venant d’auteurs connus de différentes époques. C’est éclectique dans les styles, j’ai une préférence pour celles d’Agatha Christie et Christian Jacq, celle de Marc Levy est un peu trop simpliste pour moi mais le temps d’une nouvelle, ça suffit pour l’apprécier.

Elles sont globalement bonnes, je n’ai pas de reproche à faire, c’est un bouquin pratique pour les transports ou la plage avec lequel on a un peu de tout dans un format poche. Ca fait échantillon de teste avant de se lancer dans les romans de ces auteurs.



Oui pour le divertissement, oui pour la variété et la découverte mais sans plus pour les nouvelles qui ne sont pas les meilleurs œuvres de A. Christie et C. Jacq.

9 nouvelles de suspens noir pour ce petit livre qui se lit très bien, bien que très inégales, certaines sont un peu longues alors que j'en ai adoré d'autres (a.christie, fyfield, rendell)

Un bon moment tout de même

Je suis tombée par hasard sur ce recueil de nouvelles datant d'une quinzaine d'années et j'ai trouvé plaisir à lire certains textes, d'auteurs connus que je n'ai jamais lus auparavant. Un agréable moment

Je ne suis pas fan, en général, de nouvelles car trop courtes, elles ne restent pas dans les mémoires ( en tout cas pas dans la mienne). Je les trouve pratiques cependant pour lire dans les salles d' attente à la place des vieux magazines périmés...

Dans ce recueil, j' ai trouvé 2 perles :

- "A une seconde près" de Marc Levy, tendance polar

- "La louve" de Claude Vincent, tendance roman du terroir.

Je n'ai vraiment apprécié aucune des neuf nouvelles policières de ce recueil. J'ai malheureusement trouvé mes lectures ennuyantes, peu originales et surtout peu enlevantes. J'aime bien les recueils de nouvelles, peut-être en ai-je trop lu sur ce thème? Ces nouvelles-là m'ont laissée complètement de glace.

Je ne suis pas fan de nouvelles en général, mais ce livre-ci m'a été offert et je ne regrette pas de l'avoir lu. Bien sûr les textes sont trop courts à mon goût, mais j'ai bien aimé passer d'un auteur à l'autre, d'une atmosphère à l'autre...

neuf nouvelles d'auteurs connues. C'est un style que j'aime beaucoup, et cette fois, il s'agit de neuf écritures très différentes. Je ne les ai pas toutes lues, mais j'ai beaucoup apprécié "La louve" de Claude Vincent, "à une seconde près" de Marc Levy et "un petit reconstituant" de Frances Fyfield.

J’ai acheté ce livre dans une vente d’occasion, en pensant l’enregistrer pour la bibliothèque sonore où je suis bénévole. En effet les textes courts tels que les nouvelles sont bien appréciés des audio-lecteurs, ainsi que les histoires policières.

Il y a au programme de ce recueil 9 écrivains dont certains sont bien connus comme auteurs « à suspense ».

J’ai été personnellement assez déçu par ces nouvelles. Ce ne sont sans doute pas les meilleures productions des auteurs sélectionnés : peut-être des essais, ou des nouvelles parues dans la presse au début de leurs carrières…

Certains textes paraissaient pourtant prometteurs, comme par exemple « Un petit reconstituant » d’Elizabeth George, dans lequel apparaît l’inspecteur Linley, sans doute au début de sa carrière, qui se fait « souffler » la solution de l’énigme par une simple citoyenne… La nouvelle souffre malheureusement d’un trop grand nombre de personnages introduits en peu de pages, et donc on a du mal à s’y retrouver.

D’autres nouvelles ont un dénouement trop prévisible, et nous laissent avec un petit goût de déception : c’est le cas en particulier de « Service dangereux » de Daniel Boulanger, « Le point de non-retour » d’Agatha Christie, « L’âge d’or" de Ruth Rendell.

Je retiens au-dessus du lot deux textes un peu plus originaux, « Le pain blanc du chasseur » de Jean-Pierre Chabrol, et « La Louve » de Claude Vincent, ce dernier surtout pour son style d’écriture assez poétique.

Donc finalement, je ne pense pas enregistrer ces nouvelles, je vais retourner vers les « grands classiques reconnus » d’Agatha Christie.