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Citations de Jeffery Deaver (304)


Les meurtriers ne considèrent jamais les personnes qu’ils tuent comme des “victimes”. C’est impossible. Ils ne les humanisent pas.
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Le feu et l’illusion sont inséparables.Explosions de poudre flash, bougies, flammes de propane au-dessus desquelles dansent les artistes de l’évasion…
Le feu, cher public vénéré, est le jouet du diable et le diable a toujours été associé à la magie. Le feu illumine et le feu obscurcit, il détruit et il crée.
Le feu transforme.
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C’est l’agilité de l’esprit qui compte avant tout.
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Tout ce qui concerne le passé n’est que souvenirs.
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Les personnes ayant des habitudes régulières sont plus faciles à cibler.
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Hart tendit l'oreille. Plus aucun cri, plus aucune voix. Uniquement le vent qui sifflait entre les branches et faisait détaler les feuilles sur le sol comme des crabes.
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Bien essayé, murmura Bob Shelton. Mais la vie n’est qu’une vaste désillusion, vous ne croyez pas?

Non, songea Wyatt Gillette. La vie n’est qu’un vaste piratage.
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Il était mauvais et capable de tuer un être humain aussi facilement qu’il transperçait le cœur numérique d’un personnage fictif dans un jeu MUD.
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...du devoir du poète de se déliter afin de filtrer à travers toutes les couches de la société.
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Ce n’est pas rare. L’ordre dans la fratrie s’avère souvent déterminant, en matière de dyslexie.
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L’homme est le seul animal qui fasse des promesses et mette ses menaces à exécution.
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Un intello qui a le sens de l’humour. Ça change.
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La politique, ce n’est pas mon truc. Ces gens-là récupèrent la mort des deux petites à leur propre profit. Ils déforment les faits. Ça me rend malade.
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Les enfants se comportent mal parce qu’ils veulent qu’on fasse attention à eux.
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Mais comme elle ne le savait que trop bien après cette affaire, quand un ordinateur décide avec toute son autorité, on ne peut que s'exécuter.
Page 513
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«Nous pensons que l'auteur de ces crimes a usé de techniques de vol d'identité pour approcher ses victimes. Pour les mettre en confiance. »

Méfiez-vous, ajoute-t-il, de tout individu que vous ne connaissez pas et qui semble au courant de vos habitudes de consommation, de la situation de vos comptes bancaires, de vos projets de voyages, des infractions que vous avez commises au volant.
« Voire de petites choses auxquelles vous ne prêtez pas habituellement attention vous-même. »
Page 356
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... Quand vous conduisez vite, vous prenez le risque d'avoir un accident et vous en acceptez l'idée, n'est-ce pas?
- Si l'on veut.
Berger leur jetait des regards inquiets tout en pétrissant la vertèbre blanchie entre ses mains menottées.
- Vous vous approchez, donc, de ce danger, de ce point de rupture ? Ah, vous voyez parfaitement ce que je veux dire. Je parle de cette frontière entre le risque de mourir et la certitude de mourir. Voyez-vous Sachs, quand on garde en soit le souvenir de ceux qui sont déjà morts, cette frontière devient très floue. Il suffit d'un pas pour les rejoindre.
Elle abaissa la tête et ses traits se figèrent tandis que les mèches dégringolant sur son front lui cachaient les yeux.
- En finir avec les morts, murmura-t-il, en priant pour qu'elle ne s'en aille pas avec Berger, conscient de l'avoir poussée à l'extrême limite de ce qu'elle pouvait supporter. – J'ai touché un nerf, là. Jusqu'où va votre désir de rejoindre ceux qui sont morts ? Quelle est sa part en vous ? Elle n'est pas petite, Sachs. Oh non, elle n'est pas petite.
Elle hésitait sur le seuil de la chambre. Il comprit qu'il était tout près de son cœur.
Se retournant brusquement vers Berger, elle saisit les menottes. Allons-y. Et de le pousser dehors.
Vous savez de quoi je parle, n'est-ce pas ? lança Rhyme.
Nouvel arrêt.
- Dans la vie… il vous arrive des choses, Sachs. Il arrive que, tout simplement, on ne puisse pas être ce qu'on devrait être, avoir ce qu'on devrait avoir. Et la vie change. Parfois un peu, parfois beaucoup. Et au-delà d'un certain point, on se dit que ça ne vaut pas la peine d'essayer de réparer ce qui s'est détraqué.
Il les regardait, debout tous les deux et immobiles sur le seuil. Un silence total régnait dans la pièce. Elle se retourna.
- La mort guérit de la solitude, continua Rhyme. Elle guérit de la tension. Elle guérit des démangeaisons. Tout comme elle avait regardé ses jambes ce matin-là, il jeta un coup d'œil à ses ongles martyrisés. Lâchant les menottes de Berger, elle s'approcha de la fenêtre. Des larmes brillaient sur ses joues dans la lumière orangée qui venait du dehors.
Sachs, je suis fatigué, dit-il d'un ton pressant. Je ne saurai vous dire à quel point je suis fatigué. Vous savez combien la vie est dure de toute façon. Ajoutez à ça une montagne de… fardeaux.
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Tu sais à qui tu parles ? demanda Dellray avec un sourire diabolique. Je suis le Grand Caméléon. Je peux sourire d'un côté, et pincer de l'autre.
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- Mais du temps tu n'en as pas! Ça coûte cher, le temps, ça file à toute allure, et tu n'en as pas, mon vieux ! T'en. N'as. Pas.
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Il y avait des façons horribles de mourir.
Amélia Sach les connaissait toutes, du moins le croyait-elle. Mais elle se rappelait pas avoir vu quelque chose d'aussi cruel.
Rhyme l'avait appelée alors qu'elle se trouvait encore à Westchester pour lui dire de revenir au plus vite à Manhattan afin de lui décrire deux scènes de crimes commis, apparemment, à quelques heurs d'intervalle, par quelqu'un qui s'était baptisé lui-même l'Horloger.
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