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Citations de Johanna Lindsey (125)


En un instant ils furent dans la cabine, dont il claqua la porte derrière eux. Il avait trouvé comment assouvir la soudaine excitation qui s'était emparée de lui à l'idée de la bataille. Et il entendait s'y livrer avec la fougue qu'il aurait mise au combat.
Le combat ? Pour l'amour du Ciel, ils avaient des pirates aux trousses ! Comment pouvait-il penser à faire l'amour en ce moment ?
- James !
Elle tenta de se dégager, mais il continua à l'embrasser, sur le cou, plus bas...
- Tu aurais défié des pirates ! l'accusa-t-elle tandis que son lourd gilet tombait à terre. C'est complètement déraisonnable ! Non, attends, ma chemise...
Il l'en avait débarrassée, ainsi que de ses bandages, en un tour de main. Jamais elle ne l'avait vu si... passionné, si impatient.
- James, c'est sérieux !
- Pardonne-moi de ne pas être de ton avis, mon amour, dit-il avant de l'allonger sur le lit. C'est d'un ennui... Voilà ce qui est sérieux, ajouta-t-il, prenant un mamelon rose entre ses lèvres tout en continuant à la déshabiller.
Dieu, il avait une bouche merveilleuse ! Personne n'aurait pu dire que James Malory n'était pas un amant fabuleux. Enfin, tout le monde ne pouvait pas le savoir, mais elle était en position de l'affirmer, en ce moment, une position tout à fait délicieuse, même !
- Mais, James... risqua-t-elle, plus faiblement toutefois.
- Plus un mot, George, si ce ne sont pas des mots d'amour !
- Quel genre de mot d'amour ?
- "J'aime ce que tu me fais, James. Encore James. Plus bas, James..."
Elle cria légèrement lorsque sa bouche descendit le long de son ventre.
- Ceci n'est pas mal non plus, apprécia-t-il.
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Etrange de constater qu'après une bonne nuit de sommeil, on voit les choses d'un œil plus serein.
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Il faut plus de temps pour briser une selle neuve que pour s'habituer à une nouvelle monture.
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— No Man's Land ?
— Le paradis des hors-la-loi, puisqu'il n'y avait aucune juridiction, ni blanche ni indienne. Et ils ont encore leurs repaires sur cette terre. Ce n'est pas l'installation de quelques nouveaux colons qui va les chasser de la région.
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En général, les armes à feu impressionnent.
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— Y a beaucoup de boulots qui sont pas faits pour les femmes, dans le coin !
— Je veux dire vraiment pas pour les femmes. Dangereux, peut-être, ou trop dur physiquement.
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― Pourquoi le craindre à ce point ? Ce n’est qu’un homme après tout.
― Pour vous, bien sûr. Mais pour nous, c’est différent. Nous savons, au fond, qu’il n’y a rien à craindre. Il est bon et nous l’aimons. Mais des siècles de servage ne s’oublient pas si facilement. Les maîtres ont tous les pouvoirs chez nous et ça ne s’oublie pas si facilement. Dimitri n’est pas cruel. Cependant, il reste notre maître.
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C’était l’arrogance, la condescendance dont il faisait preuve qui la faisaient enrager mais pas l’homme qui se tenait en face d’elle et dont la présence physique, lorsqu’elle en prenait conscience,lui ôtait tous ses moyens.
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Tatiana Ivanova s’était montrée étonnamment difficile à conquérir. La courtiser coûtait un temps et une énergie considérables, plus qu’il n’en avait jamais accordé à aucune femme. Et il lui avait fallu, plus d’une fois, maîtriser son caractère emporté pour supporter les caprices de la jeune fille. Sans doute était-elle flattée de l’attention qu’il lui portait mais elle avait trop conscience de son pouvoir de séduction pour s’en émouvoir. Tous les hommes étaient à ses pieds. Elle ne paraissait nullement pressée de choisir parmi les prétendants qui l’entouraient.
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Non qu’il voulût se marier à tout prix. À quoi bon ? Il ne manquait jamais de compagnie féminine. Une épouse ne serait pour lui qu’une charge supplémentaire, alourdissant le poids de ses nombreuses responsabilités.
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Connaître votre corps n’est pas vous connaître.
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― Vous avez un amoureux dont vous êtes très éprise, alors ?

― L’amour est bon pour les sots. Je ne suis pas une sotte.
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Les cosaques ont toujours cohabité avec les Turcs et il paraît que les sultans n’ont pas de problèmes avec les femmes de leurs harems, qui sont pourtant, pour la plupart,d’innocentes captives.
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L’union avant le mariage est une tradition fort ancienne. De toute façon, ce n’est pas moi qui vous fais cette proposition. Je n’ai pas besoin de « période d’essai » pour savoir que nous pouvons être heureux ensemble !
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Un homme avait parfois besoin d’une femme de ce genre, surtout un homme qui voulait garder sa liberté. Elle avait une grande expérience des choses de l’amour, cette Jessie ! Après s’être fiancée quatre fois, elle affirmait qu’elle avait renoncé à se marier. Pourtant, Jamie n’en était pas si sûr. Il n’avait encore jamais rencontré de femme qui ne désirât le mariage. Si c’était ce qu’elle cherchait, en vérité, elle serait vite déçue avec lui !
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On appelle cela le désir et contre lui on ne peut rien.
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Il se trouve que certaines femmes se vendent comme esclaves pour finir comme miss Woods. Les femmes des harems sont choyées et vivent dans le luxe. Elles sont rarement maltraitées.
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Les hommes ne pleurent pas.
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C'était un homme avec qui il faisait bon s'amuser mais qu'il ne fallait surtout pas prendre au sérieux.
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Quelle naïveté! Parce que son père était tombé amoureux d'une esclave et l'avait épousée, elle avait cru qu'il en irait de même pour elle. Pourtant, même
en Norvège où sa famille jouissait d'une position aussi élevée que celle de Royce ici, sa mère avait dû être libérée de son joug d'esclave avant de pouvoir
épouser Garrick. L'amour n'avait pu briser la loi concernant les esclaves. Et ici, dans le Wessex, il y avait tant de seigneurs, tant de lois !
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