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Citations de Johanna Lindsey (125)


La plupart des seigneurs, quand ils meurent, accordent la liberté à leurs esclaves.
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Quand on lance un défi, on doit être capable d'en supporter les conséquences.
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En tant que chrétienne, elle savait que seul Dieu restait maître de son destin. Mais, en tant que fille de Viking, elle voulait faire de Royce de Wyndhurst son époux. Il lui faudrait donc le mériter, le gagner. Il lui faudrait vaincre la fatalité qui les avait opposés. Il lui faudrait se battre afin d'obtenir ce qu'elle voulait et pour cela, utiliser toutes les armes dont elle disposait.
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Le malheur est plus facile à supporter quand il est partagé.
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Une femme doit savoir prendre des initiatives, quand son mari est si occupé.
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Une femme ne pouvait ouvertement arborer une arme à la manière des hommes, et elle n'en avait d'ailleurs pas envie car elle était tout aussi fière de sa féminité.
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Kristen était plus forte que la plupart des femmes, elle ne possédait pas la puissance d'un homme. Et la ruse peut souvent pallier avec succès à la force
brutale.
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- Je suppose que je vous dois des excuses.
Gabrielle sursauta et fit volte-face. James se tenait derrière elle.
- Des excuses ?
- Je vais devoir faire du mal à votre ami, expliqua-t-il.
C'était ce qu'elle craignait. Pourtant, James ne paraissait nullement furieux. Elle ne le connaissait pas suffisamment pour savoir qu'il ne fallait jamais se fier à son expression.
- Est-ce bien nécessaire ? demanda-t-elle. Richard est inoffensif, en réalité. Et Georgina vient d'anéantir ses espoirs.
- Il a franchi les limites de la bienséance. Je ne peux le tolérer.
La mine abattue, Richard revint sur ses pas. Dès qu'il aperçut James, il s'enfuit dans la direction opposée. La vitesse à laquelle il franchit le mur de la propriété voisine était presque comique.
- Voilà qui est raisonnable de sa part, commenta James. Je ne grimpe pas aux murs.
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- Un coup de foudre ? railla-t-il. Cela m'étonnerait. J'ai évité à cette jeune fille une mauvaise chute, hier, sur le quai, alors qu'elle venait de trébucher devant moi, la maladroite.
Cette remarque permit à Gabrielle de retrouver un certain aplomb.
- Maladroite ? répéta-t-elle. Ce n'est pas de ma faute si une charrette a failli me renverser. Et vous vous êtes montré goujat à propos de ce soi-disant sauvetage.
- Goujat ? releva James. Voilà qui ne m'étonne guère. C'est un Américain, après tout.
- Ne me cherche pas, Malory, grommela Drew. Ce n'est pas le moment.
- Excuse-moi, mon vieux, mais il n'y a pas de moment pour évoquer combien vous autres Américains êtes des barbares et...
- James comment oses-tu ? intervient Georgina en s'insinuant entre les deux hommes. On ne peut vraiment pas vous laisser seuls une seconde !
- Mais si, ma chère, rétorqua James. Il est encore en vie, il me semble.
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― Mon gardien ?
― Oui. À qui appartenez-vous ?
― Oh, à personne.
Anthony sourit, ravi.
― Je devrais peut-être reformuler ma question ?
― Non, j’ai parfaitement compris. Et vous aussi. Mon grand-père
est mort récemment. Je vivais avec lui. Maintenant, je n’ai plus personne.
― Alors, prenez-moi.
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— Je comprends pourquoi vous avez été si longs! gronda James. Je vous envoie trouver où réside la petite, et vous revenez avec toute l'histoire de sa famille! Bon, qu'y a-t-il d'autre? Vous n'avez pas découvert ce qu'elle faisait en Angleterre, par hasard?

— Cherchait son promis.

— Son quoi ?

— Son fiancé, expliqua Henry.

James se pencha lentement en avant, et ses trois compagnons reculèrent instinctivement. Si James fulminait depuis qu'ils avaient quitté la Jamaïque, ce n'était rien comparé à sa réaction à ce simple mot.

— Elle... a... un fiancé?

— Elle en a plus! rectifia vivement Henry.

— Elle l'a trouvé marié à une Anglaise. Alors qu'elle avait attendu six ans que... Aïe, Henry! Tu m'écrases le pied!

— C'est ta grande gueule que je devrais écraser, mon vieux!

— Elle... l'a attendu... six ans? Artie frémit.

— Eh bien, il a été enrôlé d'office, cap'taine. Et, après la guerre... Ils savaient pas ce que le garçon était devenu avant cette année. Henry a dû faire du charme à une des femmes de chambre pour...

— Six ans, répéta James, comme pour lui-même. On dirait que George était diablement accrochée, n'est-ce pas, Connie ? ajouta-t-il d'une voix plus forte.
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C'est tout de même plus agréable d'avoir une jolie figure à contempler, même si le crâne est vide à l'intérieur!
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Il n'y a pas de meilleur enseignement que la pratique.
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— Seigneur Roland ?
— Juste Seigneur.
— C’est absurde, dit Brigitte en riant sans se détourner de sa tâche. Je vais vous appeler Roland. Et vous connaissez déjà mon nom. J’apprécierais que vous l’utilisiez, vous savez. Vous ne cessez de m’appeler « femme » ou « la fille ». Ce n’est pas très courtois.
La colère embrasa une nouvelle fois le regard de Roland :
— Voilà que tu recommences !
Ses beaux yeux tempétueux disparurent sous ses sourcils froncés :
— Le jour point à peine que déjà tu m’importunes à déclarer ce que tu vas faire et ce que tu veux !
Brigitte releva la tête, abasourdie :
— Qu’ai-je dit pour m’attirer vos foudres à nouveau ?
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― Je cherche votre petite-fille, madame, dit-il sans préambule.
Elle leva vers lui son visage ridé.
― Bien sûr ! Asseyez-vous là et donnez-moi votre main, ordonna-t-elle.
Il obéit sans discuter, presque malgré lui. La vieille femme n’avait plus guère de force dans les doigts. Elle ferma brièvement les yeux, avant de plonger son regard dans le sien. Il eut l’étrange impression qu’elle pénétrait ses pensées. 
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La pendaison serait un châtiment trop doux pour un espion pris en temps de guerre, Erika était donc soulagée qu’il n’y ait actuellement aucun conflit car la peine encourue serait beaucoup moins lourde. Ragnar, qui avait pris part à tant de conflits, serait bien sûr d’un avis différent. Mais il n’était pas là.
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Selig, de son côté, constata que Kristen ne s’était pas trompée. Il y avait ici bien trop de femmes parmi lesquelles choisir, trop qui étaient désireuses et même impatientes de partager sa couche. Voilà le dilemme auquel il devait faire face pour avoir si généreusement offert ses services par le passé. Vraiment, il était temps de se montrer plus difficile… Et puis non, il ne pouvait pas être aussi égoïste.
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Selig aimait les femmes, toutes les femmes, grandes ou petites, grosses ou maigres, laides ou belles, et elles le lui rendaient bien. Fait encore plus surprenant de la part d’un homme fortuné, il les traitait toutes de la même manière. Il ne prenait pas avantage d’une esclave sous prétexte qu’elle ne pouvait rien lui refuser, mais entreprenait de la séduire, comme il le faisait avec les femmes libres. Celles qu’Ivarr allait lui rapporter ne verraient aucun inconvénient à ce qu’il les possède, elle en était certaine.
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Ses lèvres étaient si sensuelles que toutes les femmes rêvaient d’y goûter.
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Ce n’était pas la peur qui les fascinait, même si ce redoutable guerrier pouvait être effrayant si nécessaire. Ce n’était pas la stupeur devant sa taille formidable qui surpassait même celle de leur seigneur Royce, pourtant exceptionnellement grand. C’était juste qu’elles n’avaient jamais vu d’homme aussi beau que Selig Haardrad.
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