Jude Deveraux

Livre très sympathique à lire, un bon moment passé devant ce roman !

Je pense qu'il fait partie des romans ou même qu'il est LE roman qui m'a fait le plus rire.

Les deux principaux personnages sont très attachants et je dirais presque mystérieux.

Petite déception sur l'action finale, qui est un peu rapide et pas très recherchée, je trouve.

Je le conseille toutefois vivement à ceux qui veulent passer un petit moment de détente et rire un bon coup (si, comme moi, vous arrivez à rire devant un livre).

Je me suis demandée ce qu'elle pouvait lui trouver, un physique agréable ? Car le reste ne laisse pas du tout rêveur! Il couche avec elle sous l'emprise de l'alcool et ne s'en souvient plus et après le mariage imposé n'a de cesse de l'humilier et de la rabaisser et c'est à la fin qu'il comprend son erreur ! Comme disait Frédéric Dard "Il y aurait plusieurs façons d'être con, mais le con choisit toujours la pire".

Je me demande ce qui a pu motiver le succès du livre auprés de beaucoup de lectrices car pour moi je l'ai trouvé insipide.

Pas de critique mais un ajout, il fait parti de La saga des Montgomery, tome 2.

Une belle entrée en matière pour cette saga familiale ! Il a de la chance Gavin que Judith soit si patiente...

J'ai un faible pour les histoires écossaises ! Et celle ci n'a pas failli... Nous avons ici un couple explosif avec une jeune fille qui n'a peur de rien et qui a un caractère bien trempé !

Le plus joli tome de la saga. J'ai particulièrement aimé la première scène d'amour.

Voilà nos quatre frères sont casés avec des femmes à la personnalité très différente ! Dommage qu'il n'y ait pas un cinquième frère, j'adore cette famille, je les trouve très drôles et très affectueux les uns avec les autres =)

Après Les yeux de velours, je me suis lancée avec grand plaisir dans le 2ème tome (sur 4) de la saga des Montgomery. La fin du premier tome nous annonçait déjà ce qui allait se passer pour Stephen à savoir son mariage avec une écossaise dont il ne voulait pas.



Le roman nous mène au cœur de la rivalité entre les peuples anglais et écossais, rivalité dont on entend encore largement parler aujourd’hui. J’ai beaucoup aimé ce cadre historique et qu’à travers les yeux de Stephen et Scarlett, on voit à quel point finalement les 2 peuples peuvent s’entendre et trouver des choses qui sont mieux dans la coutume des autres.



Et j’ai vraiment retrouvé le talent du premier tome, on va bien au delà de la romance, il y a de nombreuses péripéties et événements et l’histoire des personnages n’est pas de tout repos. Je me suis beaucoup attachée à Scarlett la redoutable qui ne veut pas qu’on la voit comme une femme, une moins bien qu’un homme du coup et puis j’ai trouvé le personnage de Stephen très émouvant, à tenter de montrer à cette femme à quel point il l’aime.



Souvent dans les sagas il y a un tome qui ressort nettement, qui est mieux que les autres. Ici pour le moment ce n’est pas le cas, les 2 tomes sont vraiment supers.
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j ai beaucoup aimé ses drole par moment j ai tellement rie

J'ai adoré cette romance, 400 pages qui passent à toute vitesse avec plein de péripéties, de quiproquo, de rebondissements. Tout est très bien amené et j'ai aime les nombreux personnages dont on fait connaissance au fil des pages. J'ai hâte de lire la suite.
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Je me souviens l'avoir lu d'une traite et plusieurs fois...

Après les trois premiers tomes, j'avais hâte de découvrir les aventures de Miles et Elizabeth. Le cadet de la fratrie Montgomery est un débauché notoire, ayant eu plusieurs enfants issus de diverses aventures. C'est alors qu'il fait la rencontre d'Elizabeth Chatworth , dans des circonstances pour le moins originales, puisque cette dernière lui est livrée complètement nue enroulée dans un tapis. Contre toute attente, Miles la désire immédiatement et semble touchée par l'apparente froideur de la jeune femme dissimulant en fait, une profonde sensibilité. En effet, avoir grandi auprès d'Edmund et Roger ne fut pas de tout repos, sans oublier son horrible belle soeur Alice. Elizabeth semble perdue dans ce conflit opposant sa famille et les Montgomery mais elle ne tardera pas à découvrir la vérité, que celle-ci lui plaise ou non. J'ai trouvé aussi très touchants les moments où Miles évoquent ses enfants et lorsque son fils les accompagne dans leur périple. Avec Elizabeth, ils semblent former une nouvelle famille. Le passage dans les pommiers en Ecosse est vraiment très beau. Pourtant, la romance entre Miles et Elizabeth devra affronter de nombreux obstacles…En effet, le premier se situe dans le conflit même entre Montgomery et Chatworth qui remonte aux plans machiavéliques d'Alice contre Judith, et à la mort de Mary. C'est toujours un grand plaisir de retrouver les autres personnages: des hommes toujours aussi têtus mais qui parviennent toutefois à se laisser dompter par leurs épouses. J'ai beaucoup ris lorsqu'ils les enferment toutes dans une cellule pour éviter qu'elles ne les suivent…Décidément, cette famille m'aura marqué et je suis prête à lire d'autres livres de Judith Deveraux. L'épilogue était vraiment génial ! On sait ce qu'il advient de chacun, à quel point la vie leur a sourit…Tout en ayant un aperçu des descendants de cette inoubliable famille.

Après deux excellents premiers tomes, j'ai encore beaucoup aimé la suite des aventures de la famille Montgomery. Cette fois, nous retrouvons Raine Montgomery, un héros qui m'intriguait déjà dans les tomes précédents. Mais l'histoire démarre avec la douce Alyx, qui à cause de son talent pour le chant, a attiré le désir de Pagnell, un lord sans scrupule. Pour se venger, ce dernier l'accuse de sorcellerie et assassine son pauvre père…Alyx se retrouve alors seule et contrainte de se déguiser en garçon pour assurer sa survie. Elle rejoint alors le camp de Raine, chef d'un groupe de parias et de criminels en fuite. En dépit de son déguisement, Raine ne tarde pas à découvrir la véritable identité d'Alyx et la désire ardemment. Les aventures qu'ils vivent sur le camp sont vraiment prenantes, avec des personnages secondaires tous plus intéressants les uns que les autres, je pense notamment à la guérisseuse. Pourtant, les choses se compliquent entre l'arrivée de Brian Chatworth et l'annonce de la mort de Mary…Raine est fou de rage et se révèle presque impitoyable. Alors qu'Alyx agit de nombreuses fois dans le seul but de lui sauver la vie, Raine se montre têtu et intransigeant. J'ai d'ailleurs été très surprise par son comportement, dans la mesure où il semblait si doux et compréhensif avec Judith et Scarlett. Visiblement, lorsqu'il s'agit de leur femme…Les Montogmery perdent complètement la tête. Je l'ai même parfois trouvé cruel lorsqu'il ne prend la peine de s'intéresser à Alyx ou à leur fille Catherine qu'il n'a toujours pas vu après un an, uniquement par fierté…Alyx est une jeune fille qui m'a beaucoup touché et son don a eu le mérite de ne pas servir uniquement à procurer du plaisir à un public, car elle parvient à charmer le roi et à obtenir de lui ce qu'elle attendait. J'ai aussi adoré retrouver Gavin et Judith qui ont agrandi leur famille, Stephen et Scarlett qui poursuivent aussi cette voix au sein du clan. Maintenant, j'ai hâte de découvrir ce qu'il adviendra de Miles, le petit dernier de la fratrie, qui risque de tomber sous le charme du cadeau peu conventionnel que Pagnell lui envoie. En effet, je sens que je vais adorer le couple Miles-Elizabeth !

Encore un livre de Jude Deveraux que j'ai dévoré et pourtant très différent du premier. En effet, nous découvrons ici Stephen qui doit épouser Scarlett MacArran, une chef de clan écossais. Tout d'abord, je dois dire que j'ai adoré l'originalité de l'histoire dans les highlands qui se poursuit aussi en Angleterre. Scarlett est une jeune femme sublime, avec un tempérament de feu, qui pense avant tout à son clan et sa survie. Entre le conflit avec les McGregor et les Chatworth qui n'ont pas dit leur dernier mot, Scarlett et Stephen vont être obligée de combattre main de la main même si leurs origines différent. Contre toute attente, Stephen devient un véritable Écossais, de part son accent et ses vêtements. Pour ce qui est de Gavin et Judith et les retrouve heureux et combler avec une famille qui s'agrandit peu à peu. Quant aux Chatworth, je suis encore sous le choc face aux horreurs qu'ils vont faire subir nos héros. Je pense en premier lieu à la pauvre Mary Montgomery qui ne sortira pas vivante de la cruauté de cette famille assoiffée de vengeance. Même si nous la connaissons très peu, j'ai eu beaucoup de mal à accepter sa mort alors que le jeune Brian l'aimait éperdument. J'ai été aussi très heureux que Stephen et Scarlett ait à leur tour un bébé et qu'ils finissent par s'aimer plus que tout au monde. Encore une fois, un Montgomery reste un Montgomery avec un sacré caractère. J'ai aimé les scènes d'amour entre les héros et aussi leurs disputes, car tout cela les a aider à se faire confiance, à se construire. Les passages avec Kirsty et la naissance de son enfant ont été très émouvants, car on y découvre une Scarlett bien plus douce et vulnérable. Je me demande ce qu'il adviendra des Raine et Miles, sans oublier que toute cette famille n'a pas dit son dernier mot pour venger la mort de Mary et les agressions dont ils ont été victimes. C'est pourquoi je commence sur le champ le tome 3 sur Raine !

Moi qui n'avais encore jamais lu de livre de Jude Deveraux, j'ai donc attaqué avec beaucoup de curiosité, la saga des Montgomery. On découvre ici l'aîné des Montgomery, Gavin qui semble très amoureux d'Alice Valence alors qu'il se marié avec Judith Revedoune, suite à un accord avec son père Robert. Alors qu'il avait jure à Alice de n'aimer qu'elle, même s'ils ne pourront jamais être ensemble, Judith semble bien plus intéressante que les terres et la dote qu'elle lui apporte. En effet, il s'agit d'une femme aussi ravissante qu'intelligente. Entre ses cheveux flamboyants et ses yeux dorés, associés à un caractère bien trempé...Gavin est sous le charme. Pourtant, il perd souvent pied face aux obstacles qui se dresse devant lui et perd très souvent le respect et l'affection que Judith aurait pu lui porter. Judith est héroïne merveilleuse qui conquiert tous les Montgomery et qui gère le domaine avec une main de maître. Quant à Gavin, bien que j'ai adoré ce héros, il a très souvent été naïf envers le comportement d'Alice, qui le manipule comme un pantin. "L'amour rend aveugle" c'est le moins qu'on puisse dire. Encore heureux, Gavin ne couche pas avec Alice après son mariage mais j'étais été choquée qu'il lui ait fallu tout ce temps pour ouvrir les yeux. Judith perd tout de même leur enfant à cause de ce monstre et ce n'est que lorsqu'elle tente de défigurer sa femme, qu'il découvre son vrai visage. Néanmoins on se rend compte que ces deux là s'aiment au fil du temps, en dépit des épreuves. Gavin est heureux dans son mariage et devient très protecteur envers son épouse. Par ailleurs, j'ai adoré Raine, Stephen et Miles qui laissent présager de belles histoires en perspective. Toutefois, il ne faut pas se faire d'illusions: les Montgomery auront certainement tous un sale caractère. J'ai aussi apprécié les quelques passages consacrés à Stephen dont la vie ne va être de tout repos avec sa futur épouse, chef du clan MacArran mais aussi ceux où la mère de Judith retrouve espoir en amour dans les bras de John. En tout cas, je suis convaincue que Gavin et Judith auront par la suite une belle et grande famille et que leur amour est bel et bien invincible. Vivement le tome 2 dans lequel Stephen risque de recevoir une belle correction de la part de sa fiancée pour être arrivé en retard à leur mariage ;)

Mince alors ! C'est peu de dire que je suis triste de n'avoir pas apprécié plus que ça ce roman, qui a l'air d'avoir plu à une grande majorité. Je m'attendais à autre chose, je pense, un roman peut-être plus maîtrisé, et, comment dire, un roman à la fois plus profond et plus dramatique.

En fait, les changements de tons permanents m'ont beaucoup gênée, jusqu'à la fin. Impossible de m'investir, impossible d'y croire ou de me sentir, moi aussi, transportée dans un autre espace-temps. Que l'auteur joue la carte de l'humour, soit, mais autant la jouer à fond et pas dans cette espèce d'écriture en demi-teinte qui ne sait pas trop sur quel pied danser.

Pour tout dire, durant les cent premières pages, j'avais l'impression qu'une pas très fute-fute un rien bécasse (comment peut-on craquer pour un aussi sombre crétin que ce Robert?) jeune femme maternait un grand ado mal grandi, ce chevalier groggy qui lui tombe dessus sans tambour ni trompette : elle lui offre des glaces, lui raconte des histoires le soir en lui papouillant les cheveux, l'emmène chez le dentiste, ou le calme avec des jeux vidéos : Douglass la mère-poule.

Quant au héros, le côté ébaubi-grand-benêt m'a, soit, un peu charmée, mais au bout d'un moment, je me suis aperçue que non, décidément, la mayonnaise ne prenait pas. Bon, disons, que là, on jouait sur le terrain de la farce, avec les objets-magiques, les gentils, les méchants, et les sots. D'accord, c'est sympa, le décalage qui prête à rire ou à sourire, mais à mon avis ça ne fait pas une romance.

Et tout à coup, quand l'affaire est dans le sac et que nos deux héros se tombent dans les bras, paf ! Virement de cap... On y est, voilà de la romance, du sentiment amoureux, des (petites) envolées... Aaaaah...

Mais sans s'y attarder, hop, l'auteur m'a sans coup férir catapultée en pleine fête foraine moyenâgeuse, avec une héroïne qui tout à coup prend du poil de la bête (mais sans arrêter tout de même de couiner, c'en était horripilant), dans une espèce d'improbable rôle de justicière des temps passés.

J'aurais vraiment voulu y croire, mais c'était soit trop, soit pas assez (trop décalé, pas assez dramatique, avec un drôle de côté "étude des temps élisabéthains" pas inintéressant, au demeurant) et j'avoue que je suis arrivée en bout de course avec un ouf de soulagement.

Oui, j'ai bien versé ma petite larmichette à la fin, cette fin qui est bien osée pour une pure romance, et c'est à cause d'elle que je mets la moyenne, et aussi pour quelques-unes de ces sympathiques idées qui m'ont largement fait sourire. Quant aux personnages secondaires, comme de grandes marionnettes de foire, elles grimaçaient beaucoup trop à mon goût.

Triste et déçue, donc, mais tant mieux pour celles qui l'ont aimé, ce roman à fort potentiel, qui contient quand même de mignons petits passages. Quant à moi, pour un premier essai avec l'auteur, il n'était pas très concluant.
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La saga des Montgomery T1 : Les yeux de velours de Jude Deveraux



11 décembre 2013 par labulledelicou | Poster un commentaire



Résumé :



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L’aube se lève… Judith ne dort toujours pas… Que lui est-il arrivé ? Est-elle vraiment la femme de cet inconnu assoupi à ses côtés ? S’est-elle réellement donnée à lui, pendant cette longue nuit, oubliant tout ce qui les sépare ? Oui. Elle s’est livrée tout entière à lord Gavin Montgomery, désormais son seigneur et maître. Il l’a déshabillée lentement, ses mains ont caressé chaque parcelle de sa peau brûlante, ses lèvres, tour à tour douces et exigeantes, l’ont fait frissonner. Puis il l’a emportée sur le lit conjugal, tremblante, vaincue… Et dans le monde magique des sens, plus rien n’a existé que leurs deux corps embrasés de désir. Mais avec le jour, la terrible réalité a repris ses droits : Gavin n’aimera jamais Judith ; son cœur appartient à une autre…







Descriptif :



Nombre de pages : 381 Date de sortie : 2013



Edition : J’ai Lu (Aventures et Passions) Genre : Romance historique



Prix :6.95







Mon avis :







J’ai découvert ce livre en flânant dans les rayons chez Cultura…







L’histoire se déroule dans une époque où les mentalités sont trèèès différentes de celles d’aujourd’hui. Du coup, les hommes ont tendances à nous faire froncer les sourcils et lever les yeux au ciel. Ils sont machos au possible ; les femmes ne servent qu’à coudre et réchauffer leur couche. Pfff







Gavin Montgomery est tout bonnement le stéréotype de ce type d’homme. Il se considère amoureux d’une jeune femme, avec qui, il ne fait que coucher. Cette dernière, Alice va se marier avec un vieux Lord. Gavin avait demandé sa main mais elle a été refusée par le père de la jeune femme.







Gavin est à la tête de la famille et a dû gérer le domaine depuis ses seize ans, il tente tant bien que mal de retrouver leur fortune perdue. Gavin doit se marier avec une femme qu’il ne connait pas mais il est persuadé d’aimer éperdument Alice, la blonde parfaite et lui jure de toujours l’aimer. Sa jeune épouse, Judith, une rousse au caractère bien trempé va découvrir cette promesse, elle est bien décidée à se venger !







Entre Gavin et Judith c’est explosif autant physiquement que psychologiquement. Ils vont mettre beaucoup de temps à comprendre que leurs sentiments sont bien plus profonds qu’ils ne le pensent.







Judith va malheureusement se plier au comportement de son mari même si elle est très déçue de son mariage.







Tout au long du livre Gavin en prend pour son grade, cet idiot ne pense qu’avec son cerveau masculin….







Judith fait bouger l’histoire et se débat pour sauver son mariage arrangé.







En bref, une découverte très sympa, j’ai d’ailleurs commandé les deux tomes suivants dont un qui est déjà lu. Je veux découvrir tous les membres du clan Montgomery !! ;)
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La princesse de feu est l'histoire de Doriane la jumelle d'Aryane, héroïne de la princesse de glace du même auteur.

Autant j'ai adoré le récit sur sa soeur autant j'ai trouvé celui-ci fade.

Doriane est pourtant d'un tempérament plus fougueux, elle se laisse emportée par ses sentiments, réfléchit moins et fait tout ce qu'elle pense juste pour ceux qu'elle aime sans penser aux conséquences.

Elle me ressemble un peu lol.

Pourtant le style d'écriture où la manière de raconter sa version de la même histoire ne m'ont pas plu.

Cela paraissait plus vivant, plus fougueux avec la princesse de glace.

On peut cependant apprécier les 2 versions car elles nous permettent de nous rendre compte que nous n'avons pas tous la même façon de concevoir un événement et que ce qui semblait anodin pour certain peut être important pour d'autre.

Ce n'en est pas moins une lecture agréable mais qui n'a pas fait mon bonheur. J'en attendais plus de cette jumelle.

On m'a prêté ce roman relié sans jaquette, je ne savais donc pas à quoi m'attendre en l'ouvrant même si le nom de l'auteur m'incitait plus à imaginer une romance qu'un traité de psychanalyse. Bilan : le seul élément qui retient ce roman au bord de la fosse Harlequin est le fantastique introduit par le thème du voyage dans le temps.



Fin des années 80, une jeune femme belle et ingénue (voire naïve et naïve) vient de se faire larguer par son copain et on se dit que c'est tant mieux pour elle car le copain en question avait l'air d'être un gros débile. Passons. Sa rencontre avec un chevalier sorti tout droit de son XVIème siècle va forcément venir bouleverser son existence !



Côté style, pas grand chose à sauver mais ma foi, par une journée froide, ça se laisse lire comme sur le sable chaud d'une plage.



Côté histoire, rien de crédible, on se croirait un peu dans "Retour vers le futur" à la sauce Renaissance. Alors, oui, chère Jude, à ce propos, il faut que je vous précise qu'à la fin du XVIème siècle, on parle davantage de soldats que de chevaliers car les temps ont légèrement changé depuis le Moyen-Age. Enfin, bon, je vous pardonne, vous êtes américaine, une approximation d'un siècle ne vous effarouche pas alors je ne vais pas, moi, jouer mon effarouchée.



Reprenons. La romance entre Marian et Nicholas reste assez touchante dans son genre mais c'est quand même très très "eau de rose". Vous voilà prévenus.



Ce roman commençant à dater, je veux bien croire qu'il ait fait son petit effet en un temps où les Musso et les Levy ne sévissaient pas et ne mêlaient pas encore le surnaturel et le miel pour produire leurs trucs aussi englués que des rubans à mouches. Aujourd'hui, je dirais que ce roman est à réserver pour une envie de détente romanesque un brin rétro.